EN VOITURE !

- Par l'auteur HDS Polichinel -
Récit érotique écrit par Polichinel [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : EN VOITURE ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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EN VOITURE !
<p>Automne 2007 Gare d’Ottawa,

La foule est dense sur le quai d’embarquement. Il s’y mêle des ouvriers, des gens de la haute classe, des familles des gens seuls, des vieux, des jeunes.

« En voiture, en voiture » hurle le conducteur.

Tous se pressent pour s’engouffrer dans les portes du train. Tant bien que mal, je réussi à me faufiler entre les passagers pour trouver une place. Je en route pour un congrès. En quittant le bureau, je n’ai pas eu le temps de me changer, je suis encore en veston cravate. Je lousse le nœud de la cravate et ouvre le col de ma chemise, Style 5 à 7.


Je me dirige au wagon restaurent.Au milieu des passagers je trouve une place, commande à boire et à manger.

Un long coup de sifflet annonce le départ du train. La première secousse se fait sentir alors que le train s’ébranle pour le périple. Le paysage s’active derrière les fenêtres. Les couleurs des feuilles d’automne commencent à se mélanger alors que le train prend tranquillement de la vitesse.

Sirotant une boisson forte sur glace, j’observe en silence la foule qui peuple le wagon. Mais de tout ce monde, une femme se démarque, elle porte un habit blanc, la blouse est cintrée sous sa poitrine généreuse et la jupe s’arrête juste sous ses genoux. La taille de l’habit met les courbes naturelles de son corps en évidence. Ses cheveux remontés en chignon sont brun clairs. Elle a un chapeau a large bord de couleur paille, sous le quel se dévoile un regard feutré.

Assise seule à sa table, elle feint de lire un roman, ses yeux observent tout se qui se passe dans le wagon. Son visage est un mélange de sérénité et d’espièglerie, un sourire d’enfant avec des yeux rieurs, une bouche avec des lèvres charnues et écarlates.

Elle lance des œillades à tous les hommes de la place. Elle joue un jeu de séduction très bien orchestré. Elle passe la main dans ses cheveux. Elle effleure, subtilement, le haut de sa poitrine du bout des doigts. Elle croise et décroise les jambes laissant deviner à tous les secrets de son entrejambe. Tous les hommes du wagon ont remarqué son manège. Plusieurs suivent chacun de ses gestes comme hypnotisés. Je ne lui accorde qu’une simple attention sans plus.

Contrairement aux autres hommes, je ne me laisse pas prendre dans son filet. Elle n’est pas habituée à l’indifférence. Plus je l’ignore plus elle tente d’attiré mon attention.

Dans une courbe prononcée du train, son livre glisse de la table. Se penchant pour le ramasser, elle prend bien soin bien m’exhiber sa croupe. Tous les messieurs ici présents, se régalent du spectacle. Elle reste penchée plus long temps que nécessaire. Sa jupe blanche à remonter légèrement découvrant des bas de soie couleur chaire. Elle se rassoit, vérifiant l’effet que son petit numéro a eu sur ses spectateurs attentifs. Satisfaite, me regardant droit dans les yeux, elle passe la langue sur ses lèvres d’une manière provocante.

Je ne réponds pas à son appel, ni à son regard plein de promesses à chaque fois que nos yeux se croisent. Je sens la frustration monter en elle. Elle perd le sans froid et la tranquillité qu’elle avait au début du voyage. Son jeu de séduction est moins contrôlé, moins posé. Elle cherche par tous les moyens à gagner mon attention, sans y arriver.

Voyant que sa cause est perdue, elle quitte le wagon restaurent. Dans une ultime tentative de me séduire, elle passe à moins d’un mètre de ma table. Sa démarche est langoureuse. Gage de plaisir assuré, son bassin ondule à chacun des ses pas. Elle quitte sous le regard appuyé des hommes.

J’attends quelques temps avant de me lever à mon tour et la suivre. De wagon en wagon, elle passe son chemin sans remarquer que je la suis. Elle traverse les couchettes sans s’y arrêter. Nous sommes maintenant dans la section des compartiments privés. Elle entre dans son compartiment.

Sans qu’elle ne remarque ma présence, je l’observe au travers de la porte vitrée. Je reste sur ma position un long moment à détailler ses faits et gestes. Se croyant seule, elle remonte sa jupe, me faisant découvrir la dentelle du haut de ses bas. Elle est vraiment sexy. Ses mains rejoignent son sexe. D’une main elle pétrie avec vigueur sa poitrine de l’autre son sexe au travers de la culotte.

Ses caresses sont de plus en plus pesantes sur son sexe. Me faisant dos, elle s’allonge sur la banquette remonte le bassin et retire sa culotte. Je vois, maintenant, ses mains disparaître sous sa jupe. Je devine que ses doigts s’enfoncent en elle. Elle ferme les yeux et se laisse aller à ses plaisirs solitaires. Elle est là, splendide, seule à se caresser dans son compartiment.

J’entre.

Surprise par mon intrusion, rouge de confusion, elle se redresse sur le banc rabaisse rapidement sa jupe et tente de me cacher se qu’elle était en train de faire. De mon côté, je fais comme si je n’avais rien vu. Souriante elle croit qu’elle a gagnée, qu’elle ma séduite. Lorsqu’elle veut engager la conversation, je l’ignore. Je m’assoie devant elle sans un mot. Je prends le journal qui traîne sur la baquette et commence à lire.

Le plus subtilement possible, elle enfonce sa culotte dans la fente entre le dossier et le siège de la banquette pour la cacher à mes yeux. Elle se lève. Pose sa tête contre la fenêtre et regarde le paysage défiler devant ses yeux. Puis la lumière du jour disparaît alors que le train s’enfonce dans une montagne.

Dans le noir du tunnel, je m’approche d’elle. Mon torse touche sa poitrine, d’instinct elle recule. Je la suis jusqu’à ce que je la coince contre le mur. Dans l’obscurité je sens son parfum, ressens la chaleur de ses seins au travers de l’étoffe contre mon torse. Sa bouche est à quelques millimètres de la sienne. Je sens son souffle chatouiller mes lèvres. Le tunnel semble durée une éternité.

Quand enfin la lumière revient, je prends ses mains pour les mettre au dessus de sa tête et les fixer contre la cloison du compartiment. Une de ses mains quitte les miennes à la recherche d’une voix de sortie. De ma main libre je prends son menton et force nos yeux à se croiser. Mon regard la tient prisonnière, tremblante, sans défense.

Celle qui tantôt jouait à la chatte pour attirer les regards se retrouve prise à son propre piège. Elle ne contrôle plus aucune des règles du jeu.

Ma bouche se pose sur la sienne. Envoûtée, elle se laisse faire sans réagir. Puis quand ma langue passe entre ses lèvres, elle répond à ma demande muette. S’en suit un baiser langoureux, fougueux, fauve même.

Je commence à lui caresser les seins au travers du tissu. Puis avec une douceur et une lenteur infinie j’enlève chaque bouton de son chemisier. Mes mains parcours sa poitrine, descendent les bonnets du soutien-gorge pour en libérer les seins. Je m’applique à les caresser en les enveloppant, les malaxant, les titillant, les mordants, les aspirants. Je fais rouler les mamelons qui durcissent entre mes doigts.

Elle renverse la tête en arrière portant sa poitrine en avant pour accueillir mes caresses. Glissant mes mains sur ses épaules, je retire les manches de sa blouse. Tout en l’embrassant à pleine bouche, je laisse tomber sa blouse sur le sol. Du même mouvement, sans même en défaire l’agrafe, je rabats son soutien-gorge sur ses hanches. Ses seins libérés pointent et rebondissent comme une généreuse promesse de plaisir

Je frôle son dos dénudé avec un doigt, ce qui la fait frissonner. Puis doucement je continue le long de sa colonne vertébrale. J’ai atteint la chute de ses reins et commence à lui malaxer doucement les fesses.

D’une légère pression je l’ai faite rasseoir. Assis à ses côtés, je pose ma main sur son genou. Je remonte sa jupe à mi-cuisse. Passant à l’intérieur, je remonte ma main avec délicatesse. Mes doigts glissent sur la soie des bas sachant pertinemment que je trouverai son sexe libre de toute entrave. Je détecte la fine dentelle m’indiquant que je suis presque arrivé au but.

Elle se cambre et ouvre les cuisses, me permettant ainsi d’y passer la main. Sa chatte est mouillée. Je masse son entrejambes avec douceur. De chaque coté de sa fente mes doigts la pétrissent. Du pouce j’écarte les lèvres et fait rouler son clitoris. Son sexe n’est pas seulement mouillé, il est dégoulinant de désir.

Mon pouce presse son clito et le fait sortir de sa cachette. Sans aucune difficulté, deux doigts passent en elle. Mes doigts entrent et sortent rapidement de son sexe trempé. Elle écarte largement les jambes pour me laisser champ libre pour la caresser. Sa respiration n’est plus que soupirs et gémissements.

Ma bouche prend d’assaut sa poitrine et son cou. Pour son plus grand plaisir j’accélère le rythme entre ses cuisses. Je mange ses seins, dévore les mamelons. Mon pouce et mes doigts font des ravages en elle.

« Prends-moi, prends-moi! Je t’en pris, prends-moi !», me supplie-t-elle dans un murmure. Ignorant totalement sa requête, je continue sa torture m’appropriant son corps.

Je la veux totalement soumise et offerte.

La tirant par le sexe, je lui indique de se relever. Sans broncher elle répond à mes commandements silencieux. Debout devant moi, elle retire sa jupe. La voici nue qui m’offre sa chatte à manger.

Confortablement assis au fond de la banquette, je prends ses fesses à deux mains et la tire contre mon visage. Un léger duvet s’écrase dans mes narines. Ma langue déguste ce doux sexe qui m’est donné.

Elle accompagne mes coups de langue d’un lent et profond va-et-vient. Puis d’une main je reprends l’exploration de son sexe. Mes doigts coulissent en elle. Je garde son clito prisonnier de ma bouche. Elle passe ses mains dans mes cheveux pour maintenir ma tête dans cette position.

Son bassin ondule d’avant en arrière. De mes doigts pleins de mouille je caresse l’entrée de son cul. Avec un mélange de surprise et d’appréhension elle apprécie cette nouvelle caresse. Je tournois sur son anus sans en forcer la porte. Son clito est toujours dans ma bouche, mes mains alternent entre sa chatte et son cul. Tremblante d’excitation elle s’accroche à mon crâne.

Ses mains passent de mon crâne à mon torse; de mon torse à mon ventre; de mon ventre à mes cuisses. Elle s’agenouille devant moi. Elle ouvre ma braguette sort mon sexe. Je bande déjà comme un taureau. Ses lèvres forment un anneau serré sur mon membre. Sa bouche monte et descend rapidement sur ma hampe.

Moi, qui suis encore tout habillé, je la regarde avec ses seuls bas de soie me sucer avec délectation, je me régale de ce spectacle. Elle joint ses deux mains à sa bouche pour me donner encore plus de plaisir. Pendant plusieurs minutes, je profite de ses caresses et me laisse porter par le plaisir.

Elle se redresse, m’embrasse. Elle passe ses jambes de part et d’autres de mon corps. Appuyant ses mains contre mon torse, elle s’empale sur mon sexe dressé. Sa bouche cherche la mienne. Mon sexe s’engouffre dans sa chaire. Elle se laisse tomber sur mes cuisses, faisant entrer mon pieu profondément en elle. Sans bouger, elle laisse le mouvement du train faire le travail. Bousculée par les secousses de la routes, elle rebondi sur mon membre tendu.

La cadence de nos ébats s’accélère. Mon sexe empli son bas ventre. Sa poitrine bondie à porter de ma bouche, j’enfonce mon nez entre ses seins et les pétrie en même temps. Elle danse sur mon sexe qui s’enlise de plus en plus en elle. Ses mains se serrent sur mes épaules, ses ongles pénètrent ma peau. Je sais qu’elle vacille vers l’orgasme.

Un soupir long et profond s’échappe de sa gorge. Comme si la terre se dérobait sous ses pieds, son cri fut sûrement entendu dans tous les compartiments voisins. Au moment de sa jouissance, je plante mon sexe au fond d’elle.

Blottie contre mon corps, elle ouvre ma chemise dénoue la cravate et laisse mes vêtements pêle-mêle sur la banquette du wagon. Changeant de position, elle se retrouve les genoux sur la baquette les mains contre le dossier. Moi je suis derrière, mon sexe est fiché en elle. Je commence à la prendre avec douceur.

Rapidement je prends de la vitesse, forçant des cris de plaisir. Plus j’accélère plus elle se cabre, emportée par mes coups de reins. J’entre en elle comme une locomotive effrénée. Dans une terrible chevauchée, je la pistonne. Mes coups de reins sont forts et fermes. Elle passe les mains dans son dos, me prenant par les hanches et m’invite à la prendre encore plus fort. Je n’ai plus aucune retenue. Mes coups de butoir écrasent mon sexe au plus profond de sa chatte.

Je noue ses mains dans son dos avec ma cravate. Les liens ne sont pas trop serrés et ne lui font pas mal, mais elle ne peut plus bouger les bras. Je me retire de sa chatte brûlante et vient me positionner devant sa bouche.

Prisonnière de mes désirs, elle ouvre les lèvres et accueille mon sexe. Faisant des aller retour, de tout son corps elle reprend la fellation avec autant dévouement qu’elle le peut. Sa langue parcourt mon gland. Elle le lèche, le suce, l’aspire, le cajole autant qu’elle le peut. Prenant sa tête à deux mains, je lui impose le rythme qui me plait. Je me masturbe avec sa bouche.

Pour l’encourager je passe mes mains sous son ventre et reprends possession de son sexe. Alternant entre sa chatte et ses fesses, je la caresse avec un mélange de douceur et de fermeté. Sa réaction est immédiate. Elle pousse sa chatte au creux de ma main pour que mes doigts s’y glissent encore plus profondément. Mon index tourne et tourne sur son cul. Dilatant peu à la barrière, je sais qu’elle va bientôt s’ouvrir.

Je me retire de sa bouche, le sexe luisant de bave, je prends position derrière elle. Elle s’allonge sur le ventre sur la banquette, les jambes largement écartées. D’une main, je joue frénétiquement avec son clito. Elle se cambre, m’offre son cul. Mon gland violacé gonflé à bloc s’appuie contre son anus. Avec un mélange de sa liqueur intime et de sa salive je lubrifie son cul. À la première poussée, il s’ouvre et me laisse glisser à l’intérieur.

L’étau de son anus se referme sur mon membre. Elle tremble. Mon sexe pénètre en elle. Mes mains sous son ventre cajolent son sexe. Le mélange d’excitation et de douleur la rend folle. Elle pousse des soupirs et des cris. Peu à peu, je prends position dans ses entrailles. Après une dizaine de minutes, je me suis enfoui jusqu’à la garde. Le passage était étroit, je suis entré avec douceur, délicatesse même.

Elle commence à remuer le bassin. Je lui laisse choisir le rythme, lent et langoureux. Ses fesses soudées contre mes cuisses, nous bougeons en harmonie. Comme les vagues de l’océan qui s’écrasent contre la rive, mon sexe emplissait ses parois coups après coups, sans relâche. Nous avons accéléré.

Mon sexe prend de la vitesse entre ses fesses. Elle pousse de petits gémissements. Mes coups de reins sont de plus en saccadés. Elle ne contrôle plus sa respiration. Elle est parcourue de spasme de plaisir. Elle couine comme une chienne alors que je laboure son cul à grande vitesse. J’adore l’entendre jouir sous l’assaut de mon pieu.

Je m’enfonce au fond de ses entrailles. Je défais les nœuds qui retiennent ses mains. J’en ai plus besoin. Je sais que l’ai conquise, son corps, son esprit, son âme. Une fois libérées ses deux mains glissent sous son corps à la recherche de son sexe. Elle se caresse, stimule son clito et enfonce trois doigts dans sa chatte brûlante.

Je la tiens par les hanches et la tire contre moi. Mon sexe s’enfonce au plus creux de ses entrailles. Nos deux corps vivrent puissamment. Je sens que je suis au bord de l’orgasme. Je me retire de l’étau de son cul et me plante au fond de son sexe.

Mes cuisses appuyées contre ses fesses, je m’étale sur elle donnant un dernier coup de butoir. Elle pousse un long râle de plaisir lorsque une première giclée emplie sa chatte. La chaleur de ma semence la porte dans un bonheur infini. Dans des spasmes saccadés je me vide en elle. La ferveur de ma sève se transmet à son corps comme une fièvre de plaisir.

Le train entre en gare et s’arrête abruptement. Nous nous sommes rhabillés en silence. Avant de quitter son compartiment, je l’invite à m’accompagner à mon hôtel. Sans hésiter, elle accepte. Mais dans un sens avait-elle vraiment le choix puisque maintenant je n’ai plus besoin d’aucun lien pour la tenir captive.

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