Encore des échaffaudages...
Récit érotique écrit par Inconnue75 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2006 dans la catégorie Plus on est
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Encore des échaffaudages...
J'ai eu une expérience un peu... attachante on va dire. Un de mes gardiens de nuit m'a accompagné un soir chez moi. Beau black, bien baraqué, un de ceux qui m'avait bien fourré la chatte et le cul, et très habile de sa langue qui plus est....
Donc chez moi, pas de chichis, à peine arrivés on se jette dessus, et il me doigte assez violemment la chatte et me sucant les têtons. Aaaaah, qu'est-ce qu'il m'a fait mouiller le salaud ! Il me retourne et commence à me pilonner furieusement la chatte, tout en me claquant les fesses. Je sens sa grosse bite raide au fond de ma chatte, il s'arrête et commence à m'agrandir la rondelle avec ses doigts. Mmmmm, sa queue bien raide en moi, rien que de sentir ses doigts au fond de mon trou, j'écarte mes cuisses au maximum. Il le sent, et me traite de petite pute ! J'adore ! Puis il reprend son pilonnage, en laissant 2 doigts dans mon cul, aller et venir en même temps que sa queue. Et il lâche son jus au fond de ma chatte.
Insatiable, il me pose des questions sur l'échaffaudage. Car évidemment, je lui ai parlé de mes petites virées nocturnes. Le gaillard semble vivement intéressé, et il me propose une petite promenade. Me faire tirer pour de vrai sur l'échaffaudage, c'est une occas' à ne pas laissé passer, je dis oui, et nous voilà en 10 secondes dehors, munis de couvertures polaires tout de même, car il ne fait pas chaud.
Alors que je pensais rester à mon étage, il m'emmène d'un côté où je ne suis jamais allé, et m'explique qu'un cousin à lui a travaillé sur des chantiers, et donc lui aussi par la même occasion. Nous nous retrouvons donc au dernier étage de ma tour, sans que je m'en sois rendue compte. La vue est imprenable, et effectivement nous sommes plus tranquille. Mais ce con frappe à la fenêtre qui se trouve en face de nous. Nous sommes nus sous nos couvertures polaires, et je me dis dans ma tête qu'il est taré, on peut se faire embarquer par les flics si
les gens ouvrent et les appelle ! Mais non, un autre black s'amène (c'était 1h du matin), et mon copain lui fait les présentations : "salut Xxx ! c'est la petite salope de mon bureau, j't'en ai parlé !". Je comprends qu'il avait déjà
pris des renseignements sur moi, pour savoir où j'habite etc etc.
Mais après tout pourquoi pas, car le gars se dessape aussi et vient nous rejoindre sur l'échaffaudage. Parmi tous ces tubes d'alu qui composent l'échaffaudage, je me retrouve "cassée" en 2 avec le ventre sur une barre transversale assez haute, si bien que les jambes pendent un peu dans le vide. Mon copain de la sécurité se trouve devant ma tête et attache chacun de mes
poignets à la barre la plus proche. L'autre fait pareil avec mes chevilles, je me retrouve donc en équilibre sur le ventre sur une barre, et écartelée car mon bras droit est tendu vers le bas devant moi, et attaché sur ma droite à un montant, pareil pour l’autre bras. Et pour les jambes c’est la même chose, tendues à l’arrière vers le bas et attachées sur la droite et la gauche. Ma chatte et mon cul sont complètement offerts à la vue.
Je ne peux plus bouger, plus me défaire, et j’ai pas intérêt à gueuler car les gens dorment et il y a des immeubles en face. N’importe qui pourrait ouvrir sa fenêtre et me voir ainsi. Sauf qu’il fait nuit, heureusement. Dans cette position de totale soumission, je me mets à mouiller comme une salope. Et je
les implore de venir me baiser ! ! ! « Viens me bourrer la chatte, viens vite, je mouille ! Aaaah, j’ai envie d’une queue dans mon cul, viens ! ! ! ». Alors, mon copain de la sécurité me présente sa grosse queue à sucer, ce que je fais avec empressement, tandis que son copain me doigte la chatte et le cul en même temps. « Ah la salope ! Elle est déjà mouillée de partout ! Je vais pouvoir l’enculer presque à sec ! ». A ces mots, j’essaye de dire quelque chose, mais j’ai une grosse bite qui s’enfonce dans ma bouche et qui reste au fond de ma
gorge, m’empêchant de parler. J’étouffe presque, le type de la sécurité me tient la tête et reste au fond de ma gorge. Pendant ce temps, l’autre derrière me fourre sa grosse queue tendue dans mon cul ! AIIIIIE ! Il me fait mal, je ne peux pas crier, avec la bite de l’autre dans la bouche. Et je sens une bite
énorme me pilonner le cul, aaaahhh ! c’est vraiment le truc qui me fait écarter la chatte ça ! Je suis vraiment une grosse pute, je mouille, j’ai envie d’une queue dans ma chatte pendant que mon cul se fait limer, et que je m’étouffe avec une autre bite dans ma bouche, mmmmmm ! ! ! Ca dure, ça dure….. et il me
pilonne encore et encore, de plus en plus fort, et ça y est, il lâche sa purée dans mon cul………
Il se retire, sans ménagement, ce qui me fait un peu mal quand même, et mon copain de la sécurité se dégage enfin de ma gorge, après avoir lâché sa sauce également. Mais ils rentrent dans l’appartement en me laissant là, attachée et impuissante ! ! ! Ils reviennent quelques minutes plus tard, mais au lieu de me
détacher, je sens qu’ils posent quelque chose sur mon dos, et ils retournent de nouveau dans l’appartement.
L’épreuve la plus terrible que j’ai jamais eue ! Je suis restée dans cette position, attachée, la chatte et le cul offerts, et ils ne sont pas revenus. Je ne pouvais pas appeler au-secours, j’avais trop la honte, et dans la position où j’étais, la tête quand même dirigée vers le bas, je ne voyais pas ce qui se
passait devant et autour de moi. Je me suis aperçue avec angoisse que le jour se levait, et j’ai entendu des fenêtres et des volets s’ouvrir. Est-ce que ces gens m’ont vues ? Je ne sais pas. Puis j’ai entendu des voix d’hommes. Merde, c’étaient les ouvriers de l’échaffaudage. Dans quel merdier je me suis mise !
Evidemment, ils n’ont pas mis longtemps à voir la passagère clandestine, et sont arrivés rapidement jusqu’à moi.
D’après leur réaction, je devais avoir sur moi un papier, qui leur indiquait que j’étais une grosse salope, et que mon plus grand plaisir était de recevoir des grosses queues dans ma chatte, dans mon cul et que comme toute bonne pute qui se respecte, j’étais une bonne suceuse. Et que je leur était
offerte comme cadeau pour leurs bons travaux. J’ai entendu des éclats de rire bien gras, et j’ai commencé à sentir des mains sur mon dos, sur mon cul, et déjà dans ma chatte. Aaah, oui, je suis vraiment une grosse pute, car j’ai commencé à mouiller dès que j’ai senti des doigts dans ma chatte, mmmm, c’est bon ! De là où j’étais, je ne pouvais voir que les bites qui se présentaient devant moi. Et j’ai dû sucer, sucer, et encore sucer des bites, je ne sais pas combien ils étaient, mais j’ai senti des queues bien raides me transpercer le cul, me labourer la chatte, et ils ne se sont pas gênés pour me juter à la
raie, et dans ma chatte, et dans mon cul, et à me faire sucer leur bite pleine de foutre…. Aaaa, j’ai joui au moins 10 fois, tellement ils y allaient fort ! Après, il a bien fallu qu’ils aillent travailler. Mais bon sang, moi aussi il fallait que j’y aille.
Le type qui habitait en face a dû faire partie de la tournée du matin, qui m’a pilonné le cul, est venu me voir. « Alors ma salope, t’as aimé ? ». Il me caressait la chatte de ses doigts. Il m’a attrappé le clito et l’a pincé légèrement, mmmm ! « Ooh, mais tu mouilles encore on dirait ! Ma salope, il t’en faut encore une tournée ! ». Il m’a enfin détachée, m’a fait rentrer chez lui et m’a encore bourré de tous les côtés, avant que je puisse prendre une douche et aller au boulot.
J’y ai croisé le gars de la sécurité, qui, en me voyant, s’est mis à gonfler dans son pantalon…. Je suis partie rapidement à mon bureau……..
Donc chez moi, pas de chichis, à peine arrivés on se jette dessus, et il me doigte assez violemment la chatte et me sucant les têtons. Aaaaah, qu'est-ce qu'il m'a fait mouiller le salaud ! Il me retourne et commence à me pilonner furieusement la chatte, tout en me claquant les fesses. Je sens sa grosse bite raide au fond de ma chatte, il s'arrête et commence à m'agrandir la rondelle avec ses doigts. Mmmmm, sa queue bien raide en moi, rien que de sentir ses doigts au fond de mon trou, j'écarte mes cuisses au maximum. Il le sent, et me traite de petite pute ! J'adore ! Puis il reprend son pilonnage, en laissant 2 doigts dans mon cul, aller et venir en même temps que sa queue. Et il lâche son jus au fond de ma chatte.
Insatiable, il me pose des questions sur l'échaffaudage. Car évidemment, je lui ai parlé de mes petites virées nocturnes. Le gaillard semble vivement intéressé, et il me propose une petite promenade. Me faire tirer pour de vrai sur l'échaffaudage, c'est une occas' à ne pas laissé passer, je dis oui, et nous voilà en 10 secondes dehors, munis de couvertures polaires tout de même, car il ne fait pas chaud.
Alors que je pensais rester à mon étage, il m'emmène d'un côté où je ne suis jamais allé, et m'explique qu'un cousin à lui a travaillé sur des chantiers, et donc lui aussi par la même occasion. Nous nous retrouvons donc au dernier étage de ma tour, sans que je m'en sois rendue compte. La vue est imprenable, et effectivement nous sommes plus tranquille. Mais ce con frappe à la fenêtre qui se trouve en face de nous. Nous sommes nus sous nos couvertures polaires, et je me dis dans ma tête qu'il est taré, on peut se faire embarquer par les flics si
les gens ouvrent et les appelle ! Mais non, un autre black s'amène (c'était 1h du matin), et mon copain lui fait les présentations : "salut Xxx ! c'est la petite salope de mon bureau, j't'en ai parlé !". Je comprends qu'il avait déjà
pris des renseignements sur moi, pour savoir où j'habite etc etc.
Mais après tout pourquoi pas, car le gars se dessape aussi et vient nous rejoindre sur l'échaffaudage. Parmi tous ces tubes d'alu qui composent l'échaffaudage, je me retrouve "cassée" en 2 avec le ventre sur une barre transversale assez haute, si bien que les jambes pendent un peu dans le vide. Mon copain de la sécurité se trouve devant ma tête et attache chacun de mes
poignets à la barre la plus proche. L'autre fait pareil avec mes chevilles, je me retrouve donc en équilibre sur le ventre sur une barre, et écartelée car mon bras droit est tendu vers le bas devant moi, et attaché sur ma droite à un montant, pareil pour l’autre bras. Et pour les jambes c’est la même chose, tendues à l’arrière vers le bas et attachées sur la droite et la gauche. Ma chatte et mon cul sont complètement offerts à la vue.
Je ne peux plus bouger, plus me défaire, et j’ai pas intérêt à gueuler car les gens dorment et il y a des immeubles en face. N’importe qui pourrait ouvrir sa fenêtre et me voir ainsi. Sauf qu’il fait nuit, heureusement. Dans cette position de totale soumission, je me mets à mouiller comme une salope. Et je
les implore de venir me baiser ! ! ! « Viens me bourrer la chatte, viens vite, je mouille ! Aaaah, j’ai envie d’une queue dans mon cul, viens ! ! ! ». Alors, mon copain de la sécurité me présente sa grosse queue à sucer, ce que je fais avec empressement, tandis que son copain me doigte la chatte et le cul en même temps. « Ah la salope ! Elle est déjà mouillée de partout ! Je vais pouvoir l’enculer presque à sec ! ». A ces mots, j’essaye de dire quelque chose, mais j’ai une grosse bite qui s’enfonce dans ma bouche et qui reste au fond de ma
gorge, m’empêchant de parler. J’étouffe presque, le type de la sécurité me tient la tête et reste au fond de ma gorge. Pendant ce temps, l’autre derrière me fourre sa grosse queue tendue dans mon cul ! AIIIIIE ! Il me fait mal, je ne peux pas crier, avec la bite de l’autre dans la bouche. Et je sens une bite
énorme me pilonner le cul, aaaahhh ! c’est vraiment le truc qui me fait écarter la chatte ça ! Je suis vraiment une grosse pute, je mouille, j’ai envie d’une queue dans ma chatte pendant que mon cul se fait limer, et que je m’étouffe avec une autre bite dans ma bouche, mmmmmm ! ! ! Ca dure, ça dure….. et il me
pilonne encore et encore, de plus en plus fort, et ça y est, il lâche sa purée dans mon cul………
Il se retire, sans ménagement, ce qui me fait un peu mal quand même, et mon copain de la sécurité se dégage enfin de ma gorge, après avoir lâché sa sauce également. Mais ils rentrent dans l’appartement en me laissant là, attachée et impuissante ! ! ! Ils reviennent quelques minutes plus tard, mais au lieu de me
détacher, je sens qu’ils posent quelque chose sur mon dos, et ils retournent de nouveau dans l’appartement.
L’épreuve la plus terrible que j’ai jamais eue ! Je suis restée dans cette position, attachée, la chatte et le cul offerts, et ils ne sont pas revenus. Je ne pouvais pas appeler au-secours, j’avais trop la honte, et dans la position où j’étais, la tête quand même dirigée vers le bas, je ne voyais pas ce qui se
passait devant et autour de moi. Je me suis aperçue avec angoisse que le jour se levait, et j’ai entendu des fenêtres et des volets s’ouvrir. Est-ce que ces gens m’ont vues ? Je ne sais pas. Puis j’ai entendu des voix d’hommes. Merde, c’étaient les ouvriers de l’échaffaudage. Dans quel merdier je me suis mise !
Evidemment, ils n’ont pas mis longtemps à voir la passagère clandestine, et sont arrivés rapidement jusqu’à moi.
D’après leur réaction, je devais avoir sur moi un papier, qui leur indiquait que j’étais une grosse salope, et que mon plus grand plaisir était de recevoir des grosses queues dans ma chatte, dans mon cul et que comme toute bonne pute qui se respecte, j’étais une bonne suceuse. Et que je leur était
offerte comme cadeau pour leurs bons travaux. J’ai entendu des éclats de rire bien gras, et j’ai commencé à sentir des mains sur mon dos, sur mon cul, et déjà dans ma chatte. Aaah, oui, je suis vraiment une grosse pute, car j’ai commencé à mouiller dès que j’ai senti des doigts dans ma chatte, mmmm, c’est bon ! De là où j’étais, je ne pouvais voir que les bites qui se présentaient devant moi. Et j’ai dû sucer, sucer, et encore sucer des bites, je ne sais pas combien ils étaient, mais j’ai senti des queues bien raides me transpercer le cul, me labourer la chatte, et ils ne se sont pas gênés pour me juter à la
raie, et dans ma chatte, et dans mon cul, et à me faire sucer leur bite pleine de foutre…. Aaaa, j’ai joui au moins 10 fois, tellement ils y allaient fort ! Après, il a bien fallu qu’ils aillent travailler. Mais bon sang, moi aussi il fallait que j’y aille.
Le type qui habitait en face a dû faire partie de la tournée du matin, qui m’a pilonné le cul, est venu me voir. « Alors ma salope, t’as aimé ? ». Il me caressait la chatte de ses doigts. Il m’a attrappé le clito et l’a pincé légèrement, mmmm ! « Ooh, mais tu mouilles encore on dirait ! Ma salope, il t’en faut encore une tournée ! ». Il m’a enfin détachée, m’a fait rentrer chez lui et m’a encore bourré de tous les côtés, avant que je puisse prendre une douche et aller au boulot.
J’y ai croisé le gars de la sécurité, qui, en me voyant, s’est mis à gonfler dans son pantalon…. Je suis partie rapidement à mon bureau……..
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