encore en stop !
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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encore en stop !
Je vous conterai la suite avec Kong et Roger, plus tard !
J'ai repensé à une rencontre furtive, de mes débuts.
J'étais chez un pote, vers Brignoles !
En y allant, comme je faisais du stop, je suis monté dans la fourgonnette d'un artisan métallurgiste.
En le découvrant, je ne sais pas trop quoi penser de lui !
Le type est massif et musclé, avec la peau abimée par le soleil !
Il est en "Marcel", ses poils dépassent de son torse.
Tout ça m'excite ! Et n'arrange pas mon envie de me faire baiser.
Son âge me trouble également, probablement plus de la quarantaine.
J'en ai 20, et je baise avec des hommes, depuis quelques mois à peine !
Bref ! Où est le problème ?
Je me rends compte qu'il pue la transpiration !
Je ne sais pas encore, que cela contribuera à mon excitation, parfois !
La facilité, avec laquelle il m'aborde, ça aussi, ça me trouble !
J'ai pas l'habitude !
"Où tu vas ? Minot ?".
"Brignoles !".
"Parfait ! J'y vais aussi ! Montes !".
"Merci !".
"De rien, belle gueule !".
J'ai hésité avant de monter ! Mais son charisme me trouble, c'est indéniable !
Dès que je pose mes fesses, il me prend la cuisse !
Il comprend, que tout ça me bloque, mais je ne dis rien pour l'en empêcher ! Donc, il insiste lourdement.
"T'as une belle bouche ! Ca fait envie ! T'as déjà sucé la bite d'un homme ?".
Comment ose t-il dire ça ?
Je ne réponds pas.
"Tu dis rien ! Mais, je sais que tu vas pas me repousser ! Sinon, tu serais pas monté !".
Mais bien sûr ! Et moi, qui ne l'ai pas vu venir !
Ca se bouscule dans mon esprit, j'ai envie de me faire baiser, mais l'odeur du type qui rempli le véhicule, m'en dissuade !
Il me parle crûment, sans gêne !
"J'adore me taper des petits jeunes comme toi ! Vous êtes moins farouches que des gonzesses ! Je baise plus souvent des mecs, que des meufs ! Quasiment que des mecs, d'ailleurs !".
Je sors de mon mutisme:
"Ah bon ? Tant que ça ?".
"Je vais être franc ! Plutôt des types plus âgés, mais ce que je préfère, c'est ton genre ! Je suis content de t'avoir ramassé !".
Le mot, me donne l'impression d'être un fruit sexuel qu'il vient de cueillir.
Il ajoute:
"On a de la route, ça nous donnera le temps de nous amuser ! C'est super ! Tu vas me pomper la bite ?".
"Euh... oui, d'accord !".
Pendant qu'il scrute la route, à la recherche d'un endroit pour profiter de ma présence, je réalise que je bande.
Son physique me rend dingue.
Putain ! Non ! Je peux pas être excité par ce genre d'homme ?
J'ose pas imaginer sa queue odorante dans ma bouche !
Même ses questions me troublent, je ne sais pas quoi en penser !
Il me pousse dans mes retranchements.
"J'espère que tu aimes sucer longtemps, une belle bite !".
"Euh... oui !".
"C'est bien, détends toi ! Tu veux la voir ?".
Je ne réponds pas, je sais pas, si j'en ai envie ! Je crains la suite ! Il pue trop !
"Allez ! Sors là ! Tu verras comme elle est belle ! Allez ! Sois pas timide !".
Il voit que j'hésite, donc il attire ma main sur sa braguette !
"Voilà ! Dégages la bien ! Tu vois, comme je bande ! C'est toi qui m'excite comme ça ! Elle te plait ?".
Il faudrait être difficile ! Sa verge me rappelle celle de mon premier amant, le militaire gradé !
"Euh... oui ! Beaucoup !".
Contre toute attente, il a la verge propre !
Je ne la quitte pas des yeux, en faisant glisser mes doigts sur sa longueur.
"Allez ! Fais pas le difficile ! Pompes moi le nœud ! Plus vite que ça ! P'tite salope ! Putain, ça m'excite d'enfoncer mon gros vié dans ta belle petite gueule !".
Il vient de m'enfoncer sur sa verge, en me tenant par les cheveux, pour m'imposer une pénétration buccale.
Son gros gland, qui me tape au fond de la gorge, termine de m'exciter !
Il a gagné, j'aime ce qu'il me fait !
Je prend sa verge à la base, en recouvrant ses couilles, que je malaxe vicieusement !
"Ouais ! Comme ça ! Allez ! A toi maintenant ! Je te laisse faire ! Bouffes moi la bite ! T'aimes le jus ! J'espère ?".
"Mmmmmm ! Mmmmmm ! Mmmoui ! Mmmmmm !...".
"Parfait ! Je vais tout te mettre dans la gueule, alors ! Orhhhh ! C'est bon ! Ouais ! Lèches moi encore le gland ! Comme ça ! Arhhh ! Putain ! Tu suces bien ! Pour une jeune pédale !".
J'ai hâte qu'il arrête le véhicule ! J'ai envie de le sucer, sans être gêné par la position, le levier de vitesse, le volant, et tout le reste !
"Orhhh ! Stop ! Minot ! Attends, on va se trouver un coin tranquille !".
Il prend le premier chemin de campagne, et se gare aux abords d'un bois.
On se cache derrière l'arrière de la fourgonnette.
Il fait glisser son pantalon jusqu'à ses pieds.
"Allez ! Viens ! Reprends moi la bite ! Pompes moi ! Comme tout à l'heure !".
Je suis excité comme une petite salope !
Finalement, je m'en veux d'avoir eu des scrupules.
Je me régale, avec sa bite !
Mon érection ne retombe pas !
Je peux enfin lui gober les couilles, en le branlant avec mes petits doigts !
"Hummmm ! Putain ! T'es encore plus salope que je le pensais ! Continues ! Tu vas avoir mon jus !".
Je baisse sa verge, pour la recouvrir de ma gorge humide et chaude.
On s'accorde parfaitement dans nos gestes.
Lui en me baisant la bouche, et moi en le suçant !
Son rythme s'accélère !
Je devine la montée de son éjaculation !
Il me le confirme.
"Orhhhh ! P'tite salope ! Tu vas avoir mon foutre ! J'veux que tu avales tout ! T'as compris ?".
"Mmmmm ! Glllllllrrrr ! Gllllllllllllll ! Mmmmmmmmm !...".
Ma gorge devient poisseuse, et plus chaude encore !
C'est son sperme qui afflue en jets puissants !
Il râle comme une bête en rut ! Ca me rend fou d'excitation !
Son foutre est très puissant en gout !
J'ai pas l'habitude, mais je ne veux pas recracher !
J'aurais horreur d'être à sa place ! Donc, je m'arrange pour le satisfaire jusqu'au bout !
Il m'abreuve en jouissant pleinement !
J'adore entendre ses râles, pendant qu'il se déverse dans ma gorge !
"Arhhhhhhhh ! Putain, c'est trop bon ! Avales ! Salope ! Arghhhhhhhhhhhh !".
Ses jets diminuent, il ne me reste, que peu de sperme dans la bouche, j'ai tout ingurgité !
Il me tient par le haut du crâne, et continue de m'enfoncer sa grosse verge.
"Hummm ! Putain ! Tu m'as bien sucé, minot ! Orhhh ! C'est trop bon de se faire pomper la bite ! T'es une bonne petite pute !".
Je le lèche encore, en attendant son signal pour m'arrêter.
"Hummm ! Ouais ! Tu te régales ? Hein, p'tite pédale ? Elle t'a plu ma bite ? Dis-moi ?".
"Mmmmm ! Mmmm ! Oui ! Elle m'a plu !".
"Tu t'es déjà fais pété la rondelle ? Dis moi ?".
La phrase me choque ! Mais il attend ma réponse !
"Euh... Oui ! Depuis quelques mois !".
"Putain ! Il fallait le dire ! Je t'aurai enculé ! Je t'aurai défoncé le cul !".
"Désolé !".
"Bon, pas grave ! Tu restes sur Brignoles, ce soir ?".
"Non ! Je rentre à Toulon entre 5 et 7 heures du soir !".
"Super ! Alors ! Je te ramènes ! Et je te baise !".
"D'accord !".
"T'es dans quel quartier à Toulon ? Je pourrais venir te baiser ! T'as un appart ?".
"Non, je vis encore avec mes parents !".
"Dommage ! Moi, je suis au Pont du Las ! Prends ma carte, si tu passes vers chez moi ! On ne sait jamais !".
"J'essaierai !".
Ensuite, il m'a déposé près d'un endroit qui m'arrangeait.
Un abri bus.
"Attends-moi ici, ce soir ! Je fini vers 17 h ! J'y serais vers 17h15, mais attends moi jusqu'à 17h30, on ne sait jamais !".
"Ok ! A ce soir !".
J'ai attendu moins de 10 minutes avant de reconnaitre sa camionnette.
Il était 17h10.
Son véhicule embaumait la sueur !
Son marcel était bicolore sous les bras et le torse !
c'était encore pire qu'à l'aller !
Il a vite repris ses gestes possessifs sur moi !
J'ai du lui caresser la verge, pendant qu'il roulait.
Malgré mon envie de lui appartenir, son odeur me repoussait encore !
Surtout après sa journée de travail !
Cette fois, il trouve un chemin perpendiculaire à la route !
Il gare le véhicule en travers, puis m'attrape par la nuque pour m'embrasser comme un pervers.
"Hummm ! J'vais bien te prendre la chatte ! Tu m'as fais bander longtemps ! Salope ! Sors ! J'vais te défoncer sur le capot de la bagnole !".
Au début, il me laisse encore le sucer contre sa portière, puis, il m'exhibe les fesses et admire mon cul !
"Putain ! Je savais que t'avais un beau cul ! J'vais me régaler !".
Il me couche le torse, sur le capot avant.
Je prend peur, en voyant les voitures passer au loin !
On est enfoncé dans un chemin de petit bois, mais de quelques mètres à peine !
Il me crache sur l'anus, comme un vicieux en manque.
Je m'attends à me faire empaler rapidement, comme avec certains de mes partenaires militaires.
Et j'y ai droit !
Son gros gland force ma rosette, pendant qu'il écarte mes lobes fessiers, avec ses mains !
"Arhhhh ! Doucement ! Laisses moi un peu de temps ! Tu vas trop vite !".
"Pardon, minot ! Mais j'ai trop envie de ta p'tite chatte !".
Il calme sa pénétration, et peu à peu, je le reçois entièrement, jusqu'aux couilles !
Son gros gland se heurte à mon coccyx, ce qui m'apporte un plaisir fou.
Il me bloque sur sa verge, pendant que je râle mon bonheur.
"Putain, minot ! T'es trop bon ! J'peux te défoncer maintenant ?".
"Orhhhh ! Oui ! Vas y ! Encules-moi !".
Inévitablement, je repense à mon premier amant.
Même si cet homme est bien plus vicieux !
Le fait de voir les autos qui passent, pendant qu'il est derrière moi, et m'encule!
Ca ajoute à ma jouissance cérébrale !
Imaginez la scène ! Vous voyez un jeune garçon, couché sur un capot, avec un homme mûr qui bouge derrière lui, vous pensez quoi ?
Surtout avec ma bouche ouverte, qui râle mon plaisir anal !
C'est sans équivoque !
L'accumulation d'assauts dans mon cul, fait son effet, je lui annonce:
"Argghhhhhhhhhhhhhh ! Putain ! C'est trop bon ! Encore ! je jouis du cul ! Arghhhhhhhhhhhhhh !".
"Orhhhhhh ! Con ! C'est trop bon ! Tu la prends bien ma bite ! T'es une vraie p'tite salope ! On va se revoir ! Tous les deux ! Crois-moi !".
"Arhhhhhhhhhhhh ! Arggggggggggggghhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiis !...".
"Orhhh ! Finalement, c'est mieux que tu m'ai sucé ce matin ! Je peux te limer plus longtemps, maintenant ! Putain ! Cette chatte ! Je m'éclate, j'ai envie de te défoncer ! Salope !".
"Arghhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiii ! Défonces-moi ! Arhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh !...".
Pris par le plaisir, on ne remarque pas la présence d'un inconnu, derrière nous.
L'homme a surgit du bois, en tenue de chasseur.
Il se masturbe, en matant mon jeune cul, qui se fait malmener par l'ouvrier quarantenaire.
Mon amant prend plaisir à me faire "couiner" jusqu'à l'orgasme anal, puis il sort sa grosse bite, afin de calmer sa montée d'éjaculation.
Il s'amuse à m'empaler encore, sans me baiser.
Et il reprend sa défonce anale !
Il annonce enfin:
"Bon, cette fois, c'est mon tour ! J'vais te remplir la chatte ! Salope !".
Je l'encaisse encore, en jouissant du cul, mais je ne m'occupe plus des voitures qui passent !
J'ai le visage contre le capot.
Mes cuisses nues s'écrasent contre l'aile de la camionnette.
Ma queue est bandée à l'extrême, je suis au bord, d'éjaculer mon sperme !
Il crie son plaisir éjaculatoire !
Je me redresse contre lui, en sentant ses grosses mains sur mes hanches.
En regardant ma verge, pour la viser et me faire jouir en me masturbant, je vois ses gros doigts graisseux.
Il m'a laissé des traces foncées sur les flancs.
Je suis encore plus excité !
Mon foutre explose entre mes doigts, au rythme du gland, profondément enfoncé dans ma chatte.
Je macule le pneu devant moi, dans une complète anarchie de jets !
On est gêné dans notre orgasme mutuel, par les râles du chasseur.
On ne se rend compte de sa présence, qu'à ce moment là !
L'artisan me soulève les fesses, encore quelques fois, pour finir de m'inséminer.
Je ne peux m'empêcher de regarder la verge de l'inconnu, qui repend son foutre sur les feuilles mortes.
J'aurai bien aimé en profiter aussi !
Mais, je devine que mon amant artisan, n'est pas prêteur !
Il prend même plaisir à me pivoter, afin que je lui lave, et vide la verge.
Il exhibe sa jeune salope.
"Hummm ! Ouais ! Comme ça ! Montres lui comme t'adore mon foutre ! Tu m'as bien sucé ce matin ! Allez, avales ! Il en reste encore un peu !".
Moi aussi, j'aime m'exhiber, je le découvre !
Lentement, l'inconnu range sa verge, puis disparait dans le bois.
Mon artisan fait de même, pendant que je couvre mes fesses poisseuses de sperme.
Je m'évertuerai à serrer mon sphincter, pour garder la semence que j'ai reçu dans la chatte.
Sur la route du retour, il me fait prendre sa carte professionnelle.
"On va se revoir, tous les deux ! T'as une trop bonne chatte ! T'es mon genre de mec ! Appelles-moi, dès que tu peux !".
"Euh ! Ca va être compliqué !".
"T'as pas aimé ma bite ? T'as pas envie que je te défonce la chatte, encore ?".
"Si, mais je vis encore chez mes parents ! Et je suis à l'armée !".
"T'auras bien un moment, pour que je te baise ! Je te fais confiance !".
"OK ! Je m'arrangerai ! Je connais un peu ton quartier !".
Il m'a déposé, près de chez mes parents.
Avant de me coucher, j'ai pris un bain.
J'ai pris un plaisir énorme, en éjaculant dans l'eau, tout en matant ses traces de doigts gras sur mes hanches, avant de les laver !
J'ai tenu parole, en "trainant" dans son quartier, à l'heure ou il terminait son travail.
La première fois, il m'a entrainé dans un square, peu fréquenté.
Il m'y a enculé, dans les anciennes toilettes publiques.
Il m'a montré ou il habitait, en m'indiquant de me montrer devant ses fenêtres, les jours où j'aurai envie "d'une bonne défonce !".
On est retourné à chaque fois, dans le square boisé !
A la longue, j'ai trouvé ça décevant, dommage !
J'ai laissé faire le hasard, pour nos futures rencontres.
Mais, je ne passais plus exprès, devant ses fenêtres !
Et de toute manière, j'avais assez, de mes amants militaires !
J'ai repensé à une rencontre furtive, de mes débuts.
J'étais chez un pote, vers Brignoles !
En y allant, comme je faisais du stop, je suis monté dans la fourgonnette d'un artisan métallurgiste.
En le découvrant, je ne sais pas trop quoi penser de lui !
Le type est massif et musclé, avec la peau abimée par le soleil !
Il est en "Marcel", ses poils dépassent de son torse.
Tout ça m'excite ! Et n'arrange pas mon envie de me faire baiser.
Son âge me trouble également, probablement plus de la quarantaine.
J'en ai 20, et je baise avec des hommes, depuis quelques mois à peine !
Bref ! Où est le problème ?
Je me rends compte qu'il pue la transpiration !
Je ne sais pas encore, que cela contribuera à mon excitation, parfois !
La facilité, avec laquelle il m'aborde, ça aussi, ça me trouble !
J'ai pas l'habitude !
"Où tu vas ? Minot ?".
"Brignoles !".
"Parfait ! J'y vais aussi ! Montes !".
"Merci !".
"De rien, belle gueule !".
J'ai hésité avant de monter ! Mais son charisme me trouble, c'est indéniable !
Dès que je pose mes fesses, il me prend la cuisse !
Il comprend, que tout ça me bloque, mais je ne dis rien pour l'en empêcher ! Donc, il insiste lourdement.
"T'as une belle bouche ! Ca fait envie ! T'as déjà sucé la bite d'un homme ?".
Comment ose t-il dire ça ?
Je ne réponds pas.
"Tu dis rien ! Mais, je sais que tu vas pas me repousser ! Sinon, tu serais pas monté !".
Mais bien sûr ! Et moi, qui ne l'ai pas vu venir !
Ca se bouscule dans mon esprit, j'ai envie de me faire baiser, mais l'odeur du type qui rempli le véhicule, m'en dissuade !
Il me parle crûment, sans gêne !
"J'adore me taper des petits jeunes comme toi ! Vous êtes moins farouches que des gonzesses ! Je baise plus souvent des mecs, que des meufs ! Quasiment que des mecs, d'ailleurs !".
Je sors de mon mutisme:
"Ah bon ? Tant que ça ?".
"Je vais être franc ! Plutôt des types plus âgés, mais ce que je préfère, c'est ton genre ! Je suis content de t'avoir ramassé !".
Le mot, me donne l'impression d'être un fruit sexuel qu'il vient de cueillir.
Il ajoute:
"On a de la route, ça nous donnera le temps de nous amuser ! C'est super ! Tu vas me pomper la bite ?".
"Euh... oui, d'accord !".
Pendant qu'il scrute la route, à la recherche d'un endroit pour profiter de ma présence, je réalise que je bande.
Son physique me rend dingue.
Putain ! Non ! Je peux pas être excité par ce genre d'homme ?
J'ose pas imaginer sa queue odorante dans ma bouche !
Même ses questions me troublent, je ne sais pas quoi en penser !
Il me pousse dans mes retranchements.
"J'espère que tu aimes sucer longtemps, une belle bite !".
"Euh... oui !".
"C'est bien, détends toi ! Tu veux la voir ?".
Je ne réponds pas, je sais pas, si j'en ai envie ! Je crains la suite ! Il pue trop !
"Allez ! Sors là ! Tu verras comme elle est belle ! Allez ! Sois pas timide !".
Il voit que j'hésite, donc il attire ma main sur sa braguette !
"Voilà ! Dégages la bien ! Tu vois, comme je bande ! C'est toi qui m'excite comme ça ! Elle te plait ?".
Il faudrait être difficile ! Sa verge me rappelle celle de mon premier amant, le militaire gradé !
"Euh... oui ! Beaucoup !".
Contre toute attente, il a la verge propre !
Je ne la quitte pas des yeux, en faisant glisser mes doigts sur sa longueur.
"Allez ! Fais pas le difficile ! Pompes moi le nœud ! Plus vite que ça ! P'tite salope ! Putain, ça m'excite d'enfoncer mon gros vié dans ta belle petite gueule !".
Il vient de m'enfoncer sur sa verge, en me tenant par les cheveux, pour m'imposer une pénétration buccale.
Son gros gland, qui me tape au fond de la gorge, termine de m'exciter !
Il a gagné, j'aime ce qu'il me fait !
Je prend sa verge à la base, en recouvrant ses couilles, que je malaxe vicieusement !
"Ouais ! Comme ça ! Allez ! A toi maintenant ! Je te laisse faire ! Bouffes moi la bite ! T'aimes le jus ! J'espère ?".
"Mmmmmm ! Mmmmmm ! Mmmoui ! Mmmmmm !...".
"Parfait ! Je vais tout te mettre dans la gueule, alors ! Orhhhh ! C'est bon ! Ouais ! Lèches moi encore le gland ! Comme ça ! Arhhh ! Putain ! Tu suces bien ! Pour une jeune pédale !".
J'ai hâte qu'il arrête le véhicule ! J'ai envie de le sucer, sans être gêné par la position, le levier de vitesse, le volant, et tout le reste !
"Orhhh ! Stop ! Minot ! Attends, on va se trouver un coin tranquille !".
Il prend le premier chemin de campagne, et se gare aux abords d'un bois.
On se cache derrière l'arrière de la fourgonnette.
Il fait glisser son pantalon jusqu'à ses pieds.
"Allez ! Viens ! Reprends moi la bite ! Pompes moi ! Comme tout à l'heure !".
Je suis excité comme une petite salope !
Finalement, je m'en veux d'avoir eu des scrupules.
Je me régale, avec sa bite !
Mon érection ne retombe pas !
Je peux enfin lui gober les couilles, en le branlant avec mes petits doigts !
"Hummmm ! Putain ! T'es encore plus salope que je le pensais ! Continues ! Tu vas avoir mon jus !".
Je baisse sa verge, pour la recouvrir de ma gorge humide et chaude.
On s'accorde parfaitement dans nos gestes.
Lui en me baisant la bouche, et moi en le suçant !
Son rythme s'accélère !
Je devine la montée de son éjaculation !
Il me le confirme.
"Orhhhh ! P'tite salope ! Tu vas avoir mon foutre ! J'veux que tu avales tout ! T'as compris ?".
"Mmmmm ! Glllllllrrrr ! Gllllllllllllll ! Mmmmmmmmm !...".
Ma gorge devient poisseuse, et plus chaude encore !
C'est son sperme qui afflue en jets puissants !
Il râle comme une bête en rut ! Ca me rend fou d'excitation !
Son foutre est très puissant en gout !
J'ai pas l'habitude, mais je ne veux pas recracher !
J'aurais horreur d'être à sa place ! Donc, je m'arrange pour le satisfaire jusqu'au bout !
Il m'abreuve en jouissant pleinement !
J'adore entendre ses râles, pendant qu'il se déverse dans ma gorge !
"Arhhhhhhhh ! Putain, c'est trop bon ! Avales ! Salope ! Arghhhhhhhhhhhh !".
Ses jets diminuent, il ne me reste, que peu de sperme dans la bouche, j'ai tout ingurgité !
Il me tient par le haut du crâne, et continue de m'enfoncer sa grosse verge.
"Hummm ! Putain ! Tu m'as bien sucé, minot ! Orhhh ! C'est trop bon de se faire pomper la bite ! T'es une bonne petite pute !".
Je le lèche encore, en attendant son signal pour m'arrêter.
"Hummm ! Ouais ! Tu te régales ? Hein, p'tite pédale ? Elle t'a plu ma bite ? Dis-moi ?".
"Mmmmm ! Mmmm ! Oui ! Elle m'a plu !".
"Tu t'es déjà fais pété la rondelle ? Dis moi ?".
La phrase me choque ! Mais il attend ma réponse !
"Euh... Oui ! Depuis quelques mois !".
"Putain ! Il fallait le dire ! Je t'aurai enculé ! Je t'aurai défoncé le cul !".
"Désolé !".
"Bon, pas grave ! Tu restes sur Brignoles, ce soir ?".
"Non ! Je rentre à Toulon entre 5 et 7 heures du soir !".
"Super ! Alors ! Je te ramènes ! Et je te baise !".
"D'accord !".
"T'es dans quel quartier à Toulon ? Je pourrais venir te baiser ! T'as un appart ?".
"Non, je vis encore avec mes parents !".
"Dommage ! Moi, je suis au Pont du Las ! Prends ma carte, si tu passes vers chez moi ! On ne sait jamais !".
"J'essaierai !".
Ensuite, il m'a déposé près d'un endroit qui m'arrangeait.
Un abri bus.
"Attends-moi ici, ce soir ! Je fini vers 17 h ! J'y serais vers 17h15, mais attends moi jusqu'à 17h30, on ne sait jamais !".
"Ok ! A ce soir !".
J'ai attendu moins de 10 minutes avant de reconnaitre sa camionnette.
Il était 17h10.
Son véhicule embaumait la sueur !
Son marcel était bicolore sous les bras et le torse !
c'était encore pire qu'à l'aller !
Il a vite repris ses gestes possessifs sur moi !
J'ai du lui caresser la verge, pendant qu'il roulait.
Malgré mon envie de lui appartenir, son odeur me repoussait encore !
Surtout après sa journée de travail !
Cette fois, il trouve un chemin perpendiculaire à la route !
Il gare le véhicule en travers, puis m'attrape par la nuque pour m'embrasser comme un pervers.
"Hummm ! J'vais bien te prendre la chatte ! Tu m'as fais bander longtemps ! Salope ! Sors ! J'vais te défoncer sur le capot de la bagnole !".
Au début, il me laisse encore le sucer contre sa portière, puis, il m'exhibe les fesses et admire mon cul !
"Putain ! Je savais que t'avais un beau cul ! J'vais me régaler !".
Il me couche le torse, sur le capot avant.
Je prend peur, en voyant les voitures passer au loin !
On est enfoncé dans un chemin de petit bois, mais de quelques mètres à peine !
Il me crache sur l'anus, comme un vicieux en manque.
Je m'attends à me faire empaler rapidement, comme avec certains de mes partenaires militaires.
Et j'y ai droit !
Son gros gland force ma rosette, pendant qu'il écarte mes lobes fessiers, avec ses mains !
"Arhhhh ! Doucement ! Laisses moi un peu de temps ! Tu vas trop vite !".
"Pardon, minot ! Mais j'ai trop envie de ta p'tite chatte !".
Il calme sa pénétration, et peu à peu, je le reçois entièrement, jusqu'aux couilles !
Son gros gland se heurte à mon coccyx, ce qui m'apporte un plaisir fou.
Il me bloque sur sa verge, pendant que je râle mon bonheur.
"Putain, minot ! T'es trop bon ! J'peux te défoncer maintenant ?".
"Orhhhh ! Oui ! Vas y ! Encules-moi !".
Inévitablement, je repense à mon premier amant.
Même si cet homme est bien plus vicieux !
Le fait de voir les autos qui passent, pendant qu'il est derrière moi, et m'encule!
Ca ajoute à ma jouissance cérébrale !
Imaginez la scène ! Vous voyez un jeune garçon, couché sur un capot, avec un homme mûr qui bouge derrière lui, vous pensez quoi ?
Surtout avec ma bouche ouverte, qui râle mon plaisir anal !
C'est sans équivoque !
L'accumulation d'assauts dans mon cul, fait son effet, je lui annonce:
"Argghhhhhhhhhhhhhh ! Putain ! C'est trop bon ! Encore ! je jouis du cul ! Arghhhhhhhhhhhhhh !".
"Orhhhhhh ! Con ! C'est trop bon ! Tu la prends bien ma bite ! T'es une vraie p'tite salope ! On va se revoir ! Tous les deux ! Crois-moi !".
"Arhhhhhhhhhhhh ! Arggggggggggggghhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiis !...".
"Orhhh ! Finalement, c'est mieux que tu m'ai sucé ce matin ! Je peux te limer plus longtemps, maintenant ! Putain ! Cette chatte ! Je m'éclate, j'ai envie de te défoncer ! Salope !".
"Arghhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiii ! Défonces-moi ! Arhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh !...".
Pris par le plaisir, on ne remarque pas la présence d'un inconnu, derrière nous.
L'homme a surgit du bois, en tenue de chasseur.
Il se masturbe, en matant mon jeune cul, qui se fait malmener par l'ouvrier quarantenaire.
Mon amant prend plaisir à me faire "couiner" jusqu'à l'orgasme anal, puis il sort sa grosse bite, afin de calmer sa montée d'éjaculation.
Il s'amuse à m'empaler encore, sans me baiser.
Et il reprend sa défonce anale !
Il annonce enfin:
"Bon, cette fois, c'est mon tour ! J'vais te remplir la chatte ! Salope !".
Je l'encaisse encore, en jouissant du cul, mais je ne m'occupe plus des voitures qui passent !
J'ai le visage contre le capot.
Mes cuisses nues s'écrasent contre l'aile de la camionnette.
Ma queue est bandée à l'extrême, je suis au bord, d'éjaculer mon sperme !
Il crie son plaisir éjaculatoire !
Je me redresse contre lui, en sentant ses grosses mains sur mes hanches.
En regardant ma verge, pour la viser et me faire jouir en me masturbant, je vois ses gros doigts graisseux.
Il m'a laissé des traces foncées sur les flancs.
Je suis encore plus excité !
Mon foutre explose entre mes doigts, au rythme du gland, profondément enfoncé dans ma chatte.
Je macule le pneu devant moi, dans une complète anarchie de jets !
On est gêné dans notre orgasme mutuel, par les râles du chasseur.
On ne se rend compte de sa présence, qu'à ce moment là !
L'artisan me soulève les fesses, encore quelques fois, pour finir de m'inséminer.
Je ne peux m'empêcher de regarder la verge de l'inconnu, qui repend son foutre sur les feuilles mortes.
J'aurai bien aimé en profiter aussi !
Mais, je devine que mon amant artisan, n'est pas prêteur !
Il prend même plaisir à me pivoter, afin que je lui lave, et vide la verge.
Il exhibe sa jeune salope.
"Hummm ! Ouais ! Comme ça ! Montres lui comme t'adore mon foutre ! Tu m'as bien sucé ce matin ! Allez, avales ! Il en reste encore un peu !".
Moi aussi, j'aime m'exhiber, je le découvre !
Lentement, l'inconnu range sa verge, puis disparait dans le bois.
Mon artisan fait de même, pendant que je couvre mes fesses poisseuses de sperme.
Je m'évertuerai à serrer mon sphincter, pour garder la semence que j'ai reçu dans la chatte.
Sur la route du retour, il me fait prendre sa carte professionnelle.
"On va se revoir, tous les deux ! T'as une trop bonne chatte ! T'es mon genre de mec ! Appelles-moi, dès que tu peux !".
"Euh ! Ca va être compliqué !".
"T'as pas aimé ma bite ? T'as pas envie que je te défonce la chatte, encore ?".
"Si, mais je vis encore chez mes parents ! Et je suis à l'armée !".
"T'auras bien un moment, pour que je te baise ! Je te fais confiance !".
"OK ! Je m'arrangerai ! Je connais un peu ton quartier !".
Il m'a déposé, près de chez mes parents.
Avant de me coucher, j'ai pris un bain.
J'ai pris un plaisir énorme, en éjaculant dans l'eau, tout en matant ses traces de doigts gras sur mes hanches, avant de les laver !
J'ai tenu parole, en "trainant" dans son quartier, à l'heure ou il terminait son travail.
La première fois, il m'a entrainé dans un square, peu fréquenté.
Il m'y a enculé, dans les anciennes toilettes publiques.
Il m'a montré ou il habitait, en m'indiquant de me montrer devant ses fenêtres, les jours où j'aurai envie "d'une bonne défonce !".
On est retourné à chaque fois, dans le square boisé !
A la longue, j'ai trouvé ça décevant, dommage !
J'ai laissé faire le hasard, pour nos futures rencontres.
Mais, je ne passais plus exprès, devant ses fenêtres !
Et de toute manière, j'avais assez, de mes amants militaires !
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