Encore ma fermière
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2008 dans la catégorie A dormir debout
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Encore ma fermière
<p>Depuis plus d'un mois je suis absent et n'ai donc pas pu aller voir ma fermière. Je ne sais pas si elle a fait encore l'amour avec sa cousine ou le facteur ou même les deux à la fois. Je ne porte rien de particulier, ni pour son con ni pour son cul : elle possède déjà à peu près tout ce qu'il faut pour ses masturbations. Comme souvent j'arrive un peu avant midi. Elle ne m'attendait pas et était très heureuse de me revoir. Il faisait chaud pour la saison et elle était courte vêtue : elle portait un chemisier qui me permettait de voir ses seins presque entièrement et sa jupe ultra courte laissait voir ses jambes à mi cuisse.
Elle m'embrassait longuement. Je lui avais manqué : ma bite et ma langue ne la faisaient plus jouir. Elle voulait me sucer aussitôt. Elle en avait absolument besoin comme apéritif: Mon sperme devenait nécessaire comme nourriture spécialement faite pour la tenir en forme. Elle me demandait de me déshabiller. Je me dépêchais pour la satisfaire. De son coté s'était plus rapide. Nous étions nus et elle m'a pris la bite dans sa bouche. Je sentais ses lèvres autour de mon mandrin qui allaient et venaient et sa langue qui caressait mon gland. Elle savait fort bien sucer. Elle me caressait les couilles et me rentrait deux doigts dans le cul, juste ce qu'il fallait pour me faire jouir. Je lâchais tout mon sperme dans sa bouche gourmande. Elle léchait jusqu'à la dernière goutte et venait ensuite m'embrasser sa langue dans ma bouche : j'y retrouvais le gout de ma semence: ce n'était pas désagréable.
Pour se satisfaire, comme souvent elle s'appuyait sur la table, les jambes ouvertes et devant moi sortait le clitoris de sa cachette pour le caresser vivement : elle jouissait assez vite.
Toujours nue, elle préparait un repas léger et je pouvais voir ses seins balancer selon ses mouvements. Ses fesses me donnaient envie d'y poser la main et même de toucher son cul. Mais elle n'aurait pas accepté de ne pas aller plus loin avant d'avoir manger.
Dès l'encas prit nous nous sommes aimés.
Elle partait vers sa chambre, non pas pour que je l'y suive mais pour aller chercher le godemiché que je lui avais offert depuis plusieurs mois. A son retour elle enlevait ses boules de geisha et le plug de son cul. Elle s'offrait à moi.
Mais je désirais la posséder dehors, juste à l'abri d'une haie pas très fournie. J'aurais aimé que nous nous fassions surprendre en baisant. L'idée ne devant pas être mauvaise. D'emblée elle acceptait. Comme moi elle espérait que quelqu'un pourrait nous voir et qui sait, se branler devant nous ou venir participer.
Totalement nus, nous portons une couverture pour nous y installer. Je bandais toujours: elle ma pris la bite dans sa main et s'en ai servi comme d'une laisse. Elle posait la protection au sol et nous y sommes couchés. Je commencais par lui caresser les seins et les sucer. En même temps je portais une main sur son con. Sa fourrure assez légère m'excitait au plus haut point. Elle regardait avec un air envieux mon sexe. Mais elle attendrait encore un peu que je la baise.
Ma main trouve facilement son bouton et je l'astique lentement sans appuyer. Elle gémit doucement avant de me dire dans l'oreille: je jouis. Je ne suis pas encore satisfait et j'aime l'a faire attendre. Je lui passais une main entre les fesses et trouvais facilement l'entrée de son cul. D'un seul doigt je caressais le tour de l'orifice encore très lentement. Au bout d'un moment elle me disait plus fort que la première fois qu'elle jouissait.
Enfin n'y tenant plus se présentais ma pine dans son con. Elle la saisissait et la guidait dans son sexe. J'y rentrais très facilement tellement elle mouillait. Jouissant presque de suite elle me demandait de l'enculer. Pourquoi pas : elle aime ça et moi j'aime bien son anus. Nous jouissions ensemble.
En prenant un instant de repos elle se blottissait contre moi et nous parlions des choses de l'amour tranquillement. Et ce que nous espérions se produisait : nous étions vus par un jeune garçon, pour nous, qui se branlait à quelques mètres de nous. La fermière toujours à la recherche de plaisir lui adressait la parole : Viens ici faire l'amour avec nous : tu pourrais me baiser sans problème et jouir avec nous.
Tout honteux de s'être fait surprendre ce jeune garçon venait à nous. La fermière l'a déshabillé et l'embrassait. Il nous avouait que c'était la première fois qu'il voyait une femme nue baiser. Inutile de dire que cet aveux était pour nous l'occasion de joindre l'utile à l'agréable. Nous l'installions entre nous deux et je ne savait trop pourquoi, je prenais sa pine dans une main et la branlais. La fermière elle l'embrassait et lui passait ses mains partout surtout entre ses fesses pour lui rentrer plusieurs doigts. Le garçon qui ne pensait pas être traité de la sorte jouit très vite. Ma main était pleine de son sperme. La fermière me demandait si j'aimais branler les hommes: ce n'était que la première fois.
Elle prenait à présent la pine du nouveau venu et se mettait à la sucer pour le faire bander à nouveau. Je connaissais ses talents pour savoir qu'en peu de temps, cette bite redeviendrait ce qu'elle était.
Je garçon bandait encore plus fort que la première fois. La fermière lui demandait de la baiser. Elle le faisait venir sur elle et le guidait vers son con. Le garçon se mettait à limer ce con et elle en demandait davantage. Je comprenais ce qu'elle voulait: Je demandais au jeune de se mettre sur le dos. La fermière en l'enjambant se faisait mettre par le con et tout en étant limée par la queue du jeune me demandait de l'enculer. Elle seule faisait les aller et venue: quand une bite l'enculait, l'autre sortait presque de son con. Cette fois encore nous jouissions ensemble bien que le jeune peu habiltué aux partouzes ait pour sa part ,jouit avant.
L'après midi déjà bien entamée nous décidions de renter à la ferme. Et toujours nus, nous rentrions suivis par le jeune. Et là une idée était venue : la fermière voulait que ce jeune soit enculé. C'etait elle qui ayant eu l'idée la mettait en pratique. Elle imposait au jeune de se courber un peu. Elle lui prenait la bite dans la bouche et me demandait de lui rentrer dans le cul le gode. Tenté par l'expérience, je faisais ce qu'elle voulait : Je demandais à la fermière de mettre sa mouille sur le godemiché et je le posais sur le cul du jeune et lentement je l'enculais. Il était tendu mais petit à petit, devant les caresses de sa bite dans la bouche de sa nouvelle maîtresse et celles que je lui imposait dans son cul il se laissait faire et allais aux devant du godemiché. Il jouissait dans la bouche de ma fermière qui avalait se sperme nouveau pour elle.
Nous demandions au jeune de nous quitter, ce qu'il fit en nous demandant si nous pourrions nous revoir pour recommencer cette séance.
Quand à nous deux nous passions le reste de la journée à baiser " normalement", elle en se branlant avec son gode et moi en la regardant faire et me faisant sucer. J'allais partir : elle remis les boules de geisha en place ainsi que le plug, prête pour se branler encore dans la nuit.
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Elle m'embrassait longuement. Je lui avais manqué : ma bite et ma langue ne la faisaient plus jouir. Elle voulait me sucer aussitôt. Elle en avait absolument besoin comme apéritif: Mon sperme devenait nécessaire comme nourriture spécialement faite pour la tenir en forme. Elle me demandait de me déshabiller. Je me dépêchais pour la satisfaire. De son coté s'était plus rapide. Nous étions nus et elle m'a pris la bite dans sa bouche. Je sentais ses lèvres autour de mon mandrin qui allaient et venaient et sa langue qui caressait mon gland. Elle savait fort bien sucer. Elle me caressait les couilles et me rentrait deux doigts dans le cul, juste ce qu'il fallait pour me faire jouir. Je lâchais tout mon sperme dans sa bouche gourmande. Elle léchait jusqu'à la dernière goutte et venait ensuite m'embrasser sa langue dans ma bouche : j'y retrouvais le gout de ma semence: ce n'était pas désagréable.
Pour se satisfaire, comme souvent elle s'appuyait sur la table, les jambes ouvertes et devant moi sortait le clitoris de sa cachette pour le caresser vivement : elle jouissait assez vite.
Toujours nue, elle préparait un repas léger et je pouvais voir ses seins balancer selon ses mouvements. Ses fesses me donnaient envie d'y poser la main et même de toucher son cul. Mais elle n'aurait pas accepté de ne pas aller plus loin avant d'avoir manger.
Dès l'encas prit nous nous sommes aimés.
Elle partait vers sa chambre, non pas pour que je l'y suive mais pour aller chercher le godemiché que je lui avais offert depuis plusieurs mois. A son retour elle enlevait ses boules de geisha et le plug de son cul. Elle s'offrait à moi.
Mais je désirais la posséder dehors, juste à l'abri d'une haie pas très fournie. J'aurais aimé que nous nous fassions surprendre en baisant. L'idée ne devant pas être mauvaise. D'emblée elle acceptait. Comme moi elle espérait que quelqu'un pourrait nous voir et qui sait, se branler devant nous ou venir participer.
Totalement nus, nous portons une couverture pour nous y installer. Je bandais toujours: elle ma pris la bite dans sa main et s'en ai servi comme d'une laisse. Elle posait la protection au sol et nous y sommes couchés. Je commencais par lui caresser les seins et les sucer. En même temps je portais une main sur son con. Sa fourrure assez légère m'excitait au plus haut point. Elle regardait avec un air envieux mon sexe. Mais elle attendrait encore un peu que je la baise.
Ma main trouve facilement son bouton et je l'astique lentement sans appuyer. Elle gémit doucement avant de me dire dans l'oreille: je jouis. Je ne suis pas encore satisfait et j'aime l'a faire attendre. Je lui passais une main entre les fesses et trouvais facilement l'entrée de son cul. D'un seul doigt je caressais le tour de l'orifice encore très lentement. Au bout d'un moment elle me disait plus fort que la première fois qu'elle jouissait.
Enfin n'y tenant plus se présentais ma pine dans son con. Elle la saisissait et la guidait dans son sexe. J'y rentrais très facilement tellement elle mouillait. Jouissant presque de suite elle me demandait de l'enculer. Pourquoi pas : elle aime ça et moi j'aime bien son anus. Nous jouissions ensemble.
En prenant un instant de repos elle se blottissait contre moi et nous parlions des choses de l'amour tranquillement. Et ce que nous espérions se produisait : nous étions vus par un jeune garçon, pour nous, qui se branlait à quelques mètres de nous. La fermière toujours à la recherche de plaisir lui adressait la parole : Viens ici faire l'amour avec nous : tu pourrais me baiser sans problème et jouir avec nous.
Tout honteux de s'être fait surprendre ce jeune garçon venait à nous. La fermière l'a déshabillé et l'embrassait. Il nous avouait que c'était la première fois qu'il voyait une femme nue baiser. Inutile de dire que cet aveux était pour nous l'occasion de joindre l'utile à l'agréable. Nous l'installions entre nous deux et je ne savait trop pourquoi, je prenais sa pine dans une main et la branlais. La fermière elle l'embrassait et lui passait ses mains partout surtout entre ses fesses pour lui rentrer plusieurs doigts. Le garçon qui ne pensait pas être traité de la sorte jouit très vite. Ma main était pleine de son sperme. La fermière me demandait si j'aimais branler les hommes: ce n'était que la première fois.
Elle prenait à présent la pine du nouveau venu et se mettait à la sucer pour le faire bander à nouveau. Je connaissais ses talents pour savoir qu'en peu de temps, cette bite redeviendrait ce qu'elle était.
Je garçon bandait encore plus fort que la première fois. La fermière lui demandait de la baiser. Elle le faisait venir sur elle et le guidait vers son con. Le garçon se mettait à limer ce con et elle en demandait davantage. Je comprenais ce qu'elle voulait: Je demandais au jeune de se mettre sur le dos. La fermière en l'enjambant se faisait mettre par le con et tout en étant limée par la queue du jeune me demandait de l'enculer. Elle seule faisait les aller et venue: quand une bite l'enculait, l'autre sortait presque de son con. Cette fois encore nous jouissions ensemble bien que le jeune peu habiltué aux partouzes ait pour sa part ,jouit avant.
L'après midi déjà bien entamée nous décidions de renter à la ferme. Et toujours nus, nous rentrions suivis par le jeune. Et là une idée était venue : la fermière voulait que ce jeune soit enculé. C'etait elle qui ayant eu l'idée la mettait en pratique. Elle imposait au jeune de se courber un peu. Elle lui prenait la bite dans la bouche et me demandait de lui rentrer dans le cul le gode. Tenté par l'expérience, je faisais ce qu'elle voulait : Je demandais à la fermière de mettre sa mouille sur le godemiché et je le posais sur le cul du jeune et lentement je l'enculais. Il était tendu mais petit à petit, devant les caresses de sa bite dans la bouche de sa nouvelle maîtresse et celles que je lui imposait dans son cul il se laissait faire et allais aux devant du godemiché. Il jouissait dans la bouche de ma fermière qui avalait se sperme nouveau pour elle.
Nous demandions au jeune de nous quitter, ce qu'il fit en nous demandant si nous pourrions nous revoir pour recommencer cette séance.
Quand à nous deux nous passions le reste de la journée à baiser " normalement", elle en se branlant avec son gode et moi en la regardant faire et me faisant sucer. J'allais partir : elle remis les boules de geisha en place ainsi que le plug, prête pour se branler encore dans la nuit.
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