Encore mentir!

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : Encore mentir! Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Encore mentir!
Le soir convenu, je sonne à la porte de son appartement. Suzanne m’ouvre, souriante. Je la connais de la salle. Elle est une femme frustrée sur le plan sexuel. Qui prend un amant pour se satisfaire.
Ce soir Suzanne a les cheveux bouclés d’un châtain clair probablement déteint, rassemblés en un chignon approximatif. Elle porte aux pieds des cuissardes noires brillantes lacées sur le centre et jusqu’à mi-cuisses. Sa façon de se déplacer est celle d’un oiseau de proie.
Je la suis jusqu’au salon où nous prenons l’apéro. Elle habite dans un trois pièces. Alors qu’elle est assise, je remarque l’éclat laiteux des cuisses. Ainsi que son slip étroit qui recouvre son sexe. Plus haut, une guêpière qui découvre à demi des seins.
Nous avons pas mal éclusé entre la sangria et le champagne. Mais nous n’étions pas ivres. L’effet de l’alcool nous met dans un état euphorique.
Notre conversation, qui commence par des banalités, glisse insensiblement vers le sexe. Et quand vient pour moi le moment de prendre congé, Suzanne se montre précautionneuse à ce que je prenne le volant.
- Mieux vaut que tu dormes dans le canapé !
-Bon…bon, mais il va falloir que j’invite un nouveau truc pour ma femme.
- Je pense que tu n’as pas besoin de moi pour cela ?
- Pas vraiment ! Je suis devenu un expert en la matière !
Ceci fait, et pas la plus facile des discussions au téléphone, je me déshabille. Je sens que je suis comme observé. Suzanne passe et repasse devant moi pour accéder à la salle de bains. Elle en ressort en chemise de nuit. Je ne me refuse pas de la reluquer.
Chassant de mon esprit, la vision causée par l’apparition de Suzanne, je m’efforce de trouver le sommeil. L’alcool aidant, j’y parviens facilement.
Mais à un moment de la nuit, je suis réveillé par de légers bruits. Je tends l’oreille, je reconnais clairement la nature des sons qui émanent de la chambre de Suzanne. Des râles et des plaintes qui ne laissent aucune équivoque.
Est-ce ma présence qui stimule ainsi son sens ?
Cependant, cela a pour conséquence de me mettre dans un état d’excitation extraordinaire.
Mais ma morale m’incite à rester à ma place. Mais voilà que la porte de la chambre s’ouvre. Elle s’approche près de mon canapé.
- Tu dors ? Fais la voix que je reconnais être celle de Suzanne.
- Quoi ? Je réponds en faisant l’endormi…
Elle m’empoigne la main et me tire de ma couche.
-Viens avec moi !
Elle m’entraîne dans sa chambre. Là je suis surpris d’y trouver Corinne. Sans un mot d’explication Suzanne me fait m’allonger sur le dos près de sa copine. Je suis tout de même étonné de la voir là. Je pense que Suzanne a profité que je sois dans un profond sommeil pour l’inviter à venir la rejoindre. Mais à quel but !
Pas le temps de m’attarder sur le sujet que déjà je sens quatre mains me frôler le corps. Cela fait naître chez moi des frissons. Elles se mettent à masser le membre érigé à travers mon slip. L’une après l’autre, elles remontent leurs mains de mes couilles à la pointe du gland qui tend vainement de trousser une entrée sous l’élastique de mon slip.
Elles pressent doucement sur ma verge, malaxent un peu plus rudement les testicules, et ce faisant, exaspèrent mon désir. Ensemble elles retirent le dernier obstacle. S’emparant du membre, Corinne me gobe et se met à me sucer. Je suis aux anges !
Suzanne, jalouse d’entendre mes gémissements sortir de ma bouche, sous la caresse buccale de sa copine, arrache ma queue de la bouche de Corinne, pour l’engloutir en entier dans sa bouche. Elle aspire mon gland. Une vraie experte du genre. C’est mon jour de chance ! Les deux jeunes filles se surpassent pour me procurer que du plaisir.
Suzanne m’enjambe.
-J’espère que tu aimes ça ? Me dit-elle.
-C’est même ce que je préfère !
Et tête-bêche au-dessus de moi, pose son sexe sur ma bouche afin que je la lèche. Elle prend appui sur ses coudes afin de diriger la pratique. Corinne, pour la part, gobe ma queue jusqu’à la racine. Suzanne lui imprime le mouvement, la faisant reculer et avancer sur ma queue. Je profite de l’instant pour masser le cul qui m’est offert. J’enfonce un doigt, puis deux dans le vagin. J’ai droit à de la reconnaissance de la part de la propriétaire de ce beau fessier. Qui fait onduler son derrière sur mon visage.
Corinne, plus bas sur mon corps, câline mon pubis, ma verge, mes couilles. Mollement, elle joue avec mon gland, mon prépuce. J’ai cru que j'allais jouir d'un coup tellement cela m'excitait. Elle se penche au plus près de ma verge et embrasse le bout de mon gland doucement, puis de façon plus affirmée. Pour ensuite continuer ses baisers le long de ma verge pour atteindre mes testicules. A ce moment-là, je n’en peux plus tellement c’est bon et elle remonte sur mon gland et commence à le mettre en bouche.
Au fur et à mesure de ses mouvements de tête, elle va de plus en plus loin jusqu’à avoir mon gland entièrement dans sa bouche. Elle continue sa masturbation avec sa bouche en allant de plus en plus vite. Je ne tiens pas longtemps et je jouis dans sa bouche. Comme le fait Suzanne, dont je reçois un liquide chaud au fond du palais.
Très vite, les deux filles échangent leur place. Corinne se place à califourchon sur ma bouche. Et Suzanne devant mes couilles.
Je donne de grands coups de langue entre les jambes de Corinne. En partant de son anus et en remontant jusqu’au bouton. Elle ne met pas longtemps à jouir.
Une fois libre, je me saisis de Suzanne entre mes bras et l’embrasse passionnément. Elle pousse un petit cri de triomphe, ravie. Elle pose un pied sur la chaise de sa coiffeuse. Reins creusés, cuisses ouvertes, brûlée d’un désir sauvage, elle m’attire sur son ventre, se haussant le plus possible pour frotter, contre mon sexe, sa vulve affamé.
Le feu aux tempes, je sens que je n’étais plus en mesure de maîtriser la situation. Je plie un peu les genoux et m’enfonce d’un seul coup en elle, avec une rudesse virile qui la fait rugir de plaisir.
Souple comme une acrobate, elle se déhanche, contracte son ventre pour mieux m’emprisonner, se remue sur ma queue, se frictionne pour stimuler son clitoris, se poignarde elle-même avec une ardeur, un acharnement qui la fait se tordre.
Râle et bredouille des mots obscènes. Malgré ma vigueur, j’ai du mal à supporter ses assauts, cette position difficile qui, en augmentant ma tension virile, exige en contrepartie un maximum d’effort musculaire.
Paupières closes et lèvres ouvertes. Impérieuse, Suzanne ordonne :
- Plus fort et n’arrête pas ! Je vais jouir !
Les jambes flageolantes, mais le sexe tétanisé, j’accentue mon rythme. Suzanne, le visage anormal par la montée irrésistible du plaisir, laisse échapper un feulement continu.
Brusquement, elle crie sous les yeux envieux de Corinne, étendue sur le lit en train de se caresser.
Ne pouvant plus me retenir, j’explose brusquement en elle en longs jaillissements tumultueux qui la font hurler plus fort. Hors d’haleine, je desserre mon étreinte. Suzanne se laisse aller, toute secouée, la bouche meurtrie et les yeux cernés de bistre.
- Corinne aimerait que tu l’encules. Et vois-tu, je lui dois bien ça.
- Comment ça ! Tu lui dois ?
- De m’avoir donné l’idée de te mettre dans mon lit !
- Parce que c’était…
- Elle. Parfaitement.
Elle a un rire de gorge, et sort d’un tiroir de sa coiffeuse un tube de lubrifiant. Elle se verse une noix sur les doigts avant d’en enduire toute la raie de Corinne. Elle frotte sans délicatesse, du plat de la main, comme si elle faisait une toilette.
- J’espère que tu en as toujours envie, Corinne ?
En réponse, elle agite sa croupe. Les doigts de Suzanne s’attardent sur l’anus. Le bout de son index entre et sort rapidement pour assouplir le sphincter. Elle y ajoute le majeur, entamant un mouvement tournant.
- Tu commences à aimer ça ?
Elle retire ses doigts, avec un geste sec qui contraste avec le ton doucereux de sa voix. Puis, maintient quelques instants le cul écarté. Sans encore bâiller de façon spectaculaire, l’anus palpite, impatient.
Je commence par lui écarter les fesses, scrutant l’anus mauve de Corinne. Je pointe à mon tour mon index sur l’anneau qui se met à palpiter. Alors que je l’enfonce lentement dans le cul. Il s’ouvre naturellement sous la pression. Elle n’est pas à sa première expérience. Ondulant même les hanches, sous l’action du doigt que je vrille. Elle n’était vraiment pas à sa première sodomie. Je retire mon doigt de l’anus, et le porte à mes narines.
- Alors ? Me fait Corinne.
- À ton avis ?
Je me positionne derrière elle. Écarte ses fesses. Les yeux dans les yeux de Suzanne, je lâche de ma bouche de la salive chaude qui va s’écraser dans le sillon de son fessier, coulant jusqu’à l’entonnoir que forme son anus.
De deux doigts, je guide ma queue à l’entrée des reins de la jeune femme. Je sens ses fesses se contracter pour m’enserrer encore plus de ma queue. Je gémis sous cette caresse chaude et rythmée. Nous sommes comme soudés l’un à l’autre Ma queue trouve refuge loin dans son cul, sous les yeux de Suzanne.
La cadence est signée par les claques sonores de mon bas-ventre. Butant sur les fesses dans un très obscène bruit de succion. Ma queue est plus dure que du bois. Le frottement se fait plus sucré et bouillant au fur et à mesure que le lubrifiant naturel enduit ma bite.
- Ah oui, je vais jouir, ça vient… je vais t’inonder le cul.
Et là, je n’en crois pas mes oreilles.
- Non ! Proteste Suzanne, qui dégage ma queue de l’orifice. Je te veux dans ma bouche, je te dois une récompense.
Elle se met à genoux et commence à me pomper, yeux clos. Je ne peux que gémir sous la tendre caresse et laisse la bouche avide de Suzanne m’aspirer. Sa langue gourmande me lape. Je ne peux que lâcher les vannes. Je saisis la tête de Suzanne entre mes mains et la plaque contre mon ventre. Elle a peine à déglutir, tant l’éjaculation est longue et abondante.
On a attendu un laps de temps pour remettre ça. J’étais comme lessivé, à ma sortie de l’appartement. Ma femme a trouvé une mine confite.
C’est que je n’ai pas chômé de toute la nuit !
- Le boulot te tuera, mon chéri ! Me lâche-t-elle.
- Si tu le dis ! Lui fais-je en collant mes lèvres aux siennes, avant d’aller rejoindre ma chambre.

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