Encore merci... tata!
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Encore merci... tata!
Les journées passent sans que les fantasmes qui me rongent, concernant ma tante Catherine, s’apaisent ou diminuent, bien au contraire. Sans doute sont-ils aussi forts parce que ma tante est peut-être à moi ces derniers temps. Aussi je suis à la fois heureux et surpris quand ma tante m’invite à passer chez elle.
En attendant le rendez-vous, je me branle plusieurs fois par jour. Je suis en rut. L’idée de revoir ma tante m’excite.
Elle m’accueille chaleureusement comme si rien ne s’était passé. Elle est tellement bandante dans sa jupe courte qui met en valeur sa démarche, son bassin !
Ses seins me sautent à la figure. Je les devine sous son chemisier translucide, marqué par la dentelle du soutien-gorge. Elle rayonne, tata. Son sourire est sans équivoque. Il va se passer quelque chose entre nous !
Elle me fait m’asseoir une fois encore sur le canapé.
-Un coca ? Me fait-elle.
-Va pour un coca !
Elle virevolte, sa jupe danse sous mes yeux. Je peux entrevoir la dentelle noire de sa culotte. Je bande dur ! Au demeurant, j’ai la queue raide depuis mon arrivée chez elle. Au point d’avoir mal aux couilles.
-Tu as pensé à moi ? Me lance-t-elle en déposant la cannette devant moi.
-Tout le temps tata !
-Tu t’es donné du plaisir ?
-Plein de plaisir.
-Pourquoi ne pas prendre de copine ?
-Pas besoin… j’ai toi…
-Pas encore pour longtemps, mon chéri. Les enfants vont bientôt rentrer !
-Malheureusement !
-Oui comme tu dis ! Moi aussi.
-Quoi ? Toi aussi ?
-Je me suis touchée.
Je lui prends la main. Je presse son index. L’embrasse, je suce les doigts avec lesquels elle avait dû se branle en pensant à moi. Elle ajoute plus bas :
-J’ai envie de te faire plaisir mon neveu. Une envie de te montrer mon corps de femme.
Elle déboutonne pour ça son chemisier. Son soutien-gorge noir se gonfle. Je vois ses seins au travers. Déjà, une goutte perle au bout de ma queue. Hypnotisé, je regarde ma tante faire.
Pour voir qu’elle remonte sa jupe pour m’exhiber ses jambes. Ses bas noirs lui serrent le gras des cuisses, sa culotte est noire, ajourée comme son soutien-gorge.
-Alors ? Me fait-elle.
-Que du plaisir pour les yeux, tata !
-Attend mon neveu, je vais te montrer quelque chose.
Sur ce, elle se lève, ouvre la porte droite du bas de son buffet et y sort un gode.
Cette vue déclenche chez moi, mon excitation. Je contemple les nervures qui traversent le gode du pied à la base du gland. Contrairement au mien, il est plus beau. Cet objet m’attire. Je bande de plus belle. La comparaison avec ma queue est cruelle, et sans équivoque. Il manque à ma queue un bon dix centimètres de longueur et d’un bon centimètre de diamètre.
Là, en me défiant du regard, Tata Catherine stimule le geste de la masturbation sur le gode.
-Tu vois, me lance-t-elle, les veuves comme moi ont parfois recoure de petits coups de main.
-Tu t’en sers souvent ?
-Oui, bien sûr, à défaut d’autre chose. Je me donne beaucoup de plaisir avec !
-Tu jouis avec ?
-Évidemment, tu veux voir comment je fais quand je suis toute seule et que j’ai envie de jouir.
Sans attendre ma réponse, la voilà qu’elle se met à genoux sur le canapé, cale le gode derrière elle, entre ses pieds gainés. Puis lentement, elle le chevauche, faisant pénétrer l’engin dans sa chatte. Tout en faisant ça, elle me fixe, un léger sourire figé aux lèvres.
-Tu ne peux pas savoir à quel point c’est bon ! Me fait-elle en fermant les yeux.
Je profite de l’instant pour lui présenter ma queue. Qu’elle se met à suçoter. Puis elle retire son gode d’entre ses jambes pour appliquer doucement la pointe sur la partie la plus sensible de mon intimité. Elle tient l’engin comme un stylo, dessinant de minuscules cercles sur mon prépuce. La sensation est exquise. Les vibrations envahissent toute ma verge.
-Ça te plaît, mon neveu ?
-Oh…Oh oui tata, encore !
-Petit gourmand !
Alors elle appuie la pointe du gode plus fort sur la base du gland. La sensation est intense. À un tel point que je sens mon sperme monter dans ma queue, et d’émerger de mon méat. Sans attendre, elle donne refuge à ma queue dans sa bouche. Une dernière contraction de plaisir me fait éjaculer une fois encore.
-Merci mon neveu, me fait-elle en éloignant sa bouche de ma queue. Tu ne peux pas savoir le plaisir que je prends en buvant ton sperme.
Suite à ça, elle prend place sur le canapé, puis m’ordonne de me mettre à ses genoux devant ses jambes. J’ai les yeux à hauteur de son sexe. Qu’elle caresse par-dessus sa culotte de couleur noire. C’est insoutenable ! Et plus encore, lorsqu’elle fait jaillir ses seins de ses nids. Pleins, ronds, énormes.
-Viens téter tata, petit pourceau !
Je m’exécute, je la tête. Alors qu’en même temps elle me malaxe les couilles.
-Oui, tête ta tata à fond mon pourceau !
J’en prends le plus possible en bouche. Je lui purifie sa poitrine. La léchant sur toute leur surface. Elle gémit !
-Tu es en rut, mon salaud ! Fait-elle en brossant ma queue. Ça me plaît ! Je vais te branler pendant que tu me tètes, mon neveu !
Elle halète tout en me masturbant. Elle braille quand je mordille ses mamelons. Et elle jouit comme ça, sans prévenir, en me masturbant de plus belle. Quand elle arrête son mouvement de branle c’est pour me passer la main sur mes couilles, entre mes fesses.
-Tu ne peux pas savoir ce que ça me fait de te voir excité comme ça, mon neveu ! Je vais te faire une fois encore gicler ! Tu veux ?
-Bien sûr, tata !
Elle me fait mettre debout sur le canapé pour me retourner en pliant les jambes pour mettre mon cul à hauteur de sa bouche.
-Ah, ton cul !
Elle me renifle le cul. Elle me lèche les couilles, qu’elle fait balloter d’avant en arrière avec son nez, sa langue. Je sens son souffle chaud entre mes fesses. Putain, que j’aime ça ! Elle sait de temps en temps, se montrer bestiale, voire sale même, et ça, ça m’excite !
Elle revient côté face, ouvre en grand sa bouche, et enfourne mes couilles. C’est brûlant, c’est bon ! Elle les siphonne fort, à me faire mal. Mais très vite la douleur cesse, pour laisser la place au plaisir. Qui se trouve décuplé. Elle roule les testicules dans sa bouche. Elle les avale. Elle les recrache comme elle l’aurait avec des noyaux de prunes. Elle me demande de bouger. Par cette action, mes couilles entrent et sortent de sa bouche. Elle me caresse les fesses en même temps, les pétrit, les écrase. Elle sait y faire, tata !
Elle retire sa culotte. Me la tend pour que je le hume. Elle est emplie de ses transpirations, de ses sécrétions, de la moiteur des fuites odorantes. Pendant ce laps de temps, elle se branle, en écartant largement les cuisses. Elle se pince le clitoris, puis descend vers le vagin, l’ouvre, y fourre deux doigts, lime, avant de laisser glisser sa main entre ses fesses pour se titiller l’anus.
-Regarde comme je dégouline, mon neveu !
Elle me tend ses doigts pour que je les suce. Pour l’instant d’après les faire descendre pour s’exciter le cul, la fente, le bouton.
Elle jouit en se martyrisant, son bourgeon. Elle les masse comme de la pâte à modeler, entre deux doigts. Mais elle n’est pas encore satisfaite, la coquine. Elle est même effrayante de lubricité, au point de m’ordonner, alors:
-Lèche-moi, comme tu sais si bien le faire, neveu !
Je n’attendais que ça ! J’y vais à grands coups de langue dans sa chatte. Dans son cul, aussi. Surtout son anus, que ma tante s’efforce d’élargir pour moi. Je fais tout pour y enfoncer un maximum de ma langue. M’efforçant ainsi de lui donner un maximum de plaisir.
Plus bas, son vagin bée. Il est gluant, énorme. J’y enfourne ma langue. Au plus profond d’elle. J’aspire ses chairs, bois son jus à sa source.
Puis je retourne à son cul. Le bout de ma langue y entre parfaitement avant d’être repoussé à l’extérieur.
Ma tante jouit en soudant ma tête contre son intimité. Je suis témoin de son tortillement, de sa nuque rejetée en arrière. L’instant d'après, elle est avachie sur le canapé. J’ai, pour ma part, encore envie de lui lécher sa foufoune. Mais elle me repousse, et me dit :
-Non mon neveu ! J’aimerais par contre, te voir jouir maintenant. Aller mon neveu, exécution !
Je me place pour cela, debout, en face d’elle. Et alors qu’elle se caresse, j’en fais de même de mon côté, jusqu’à ce que je gicle dans sa bouche. Une fois de plus, insatiable, Tata Catherine avale.
Cette fois, je suis asséché. Comme Catherine l’est, elle-aussi. Les yeux dans le vague, bras et jambes écartés, demeurant immobile sur le canapé.
En attendant le rendez-vous, je me branle plusieurs fois par jour. Je suis en rut. L’idée de revoir ma tante m’excite.
Elle m’accueille chaleureusement comme si rien ne s’était passé. Elle est tellement bandante dans sa jupe courte qui met en valeur sa démarche, son bassin !
Ses seins me sautent à la figure. Je les devine sous son chemisier translucide, marqué par la dentelle du soutien-gorge. Elle rayonne, tata. Son sourire est sans équivoque. Il va se passer quelque chose entre nous !
Elle me fait m’asseoir une fois encore sur le canapé.
-Un coca ? Me fait-elle.
-Va pour un coca !
Elle virevolte, sa jupe danse sous mes yeux. Je peux entrevoir la dentelle noire de sa culotte. Je bande dur ! Au demeurant, j’ai la queue raide depuis mon arrivée chez elle. Au point d’avoir mal aux couilles.
-Tu as pensé à moi ? Me lance-t-elle en déposant la cannette devant moi.
-Tout le temps tata !
-Tu t’es donné du plaisir ?
-Plein de plaisir.
-Pourquoi ne pas prendre de copine ?
-Pas besoin… j’ai toi…
-Pas encore pour longtemps, mon chéri. Les enfants vont bientôt rentrer !
-Malheureusement !
-Oui comme tu dis ! Moi aussi.
-Quoi ? Toi aussi ?
-Je me suis touchée.
Je lui prends la main. Je presse son index. L’embrasse, je suce les doigts avec lesquels elle avait dû se branle en pensant à moi. Elle ajoute plus bas :
-J’ai envie de te faire plaisir mon neveu. Une envie de te montrer mon corps de femme.
Elle déboutonne pour ça son chemisier. Son soutien-gorge noir se gonfle. Je vois ses seins au travers. Déjà, une goutte perle au bout de ma queue. Hypnotisé, je regarde ma tante faire.
Pour voir qu’elle remonte sa jupe pour m’exhiber ses jambes. Ses bas noirs lui serrent le gras des cuisses, sa culotte est noire, ajourée comme son soutien-gorge.
-Alors ? Me fait-elle.
-Que du plaisir pour les yeux, tata !
-Attend mon neveu, je vais te montrer quelque chose.
Sur ce, elle se lève, ouvre la porte droite du bas de son buffet et y sort un gode.
Cette vue déclenche chez moi, mon excitation. Je contemple les nervures qui traversent le gode du pied à la base du gland. Contrairement au mien, il est plus beau. Cet objet m’attire. Je bande de plus belle. La comparaison avec ma queue est cruelle, et sans équivoque. Il manque à ma queue un bon dix centimètres de longueur et d’un bon centimètre de diamètre.
Là, en me défiant du regard, Tata Catherine stimule le geste de la masturbation sur le gode.
-Tu vois, me lance-t-elle, les veuves comme moi ont parfois recoure de petits coups de main.
-Tu t’en sers souvent ?
-Oui, bien sûr, à défaut d’autre chose. Je me donne beaucoup de plaisir avec !
-Tu jouis avec ?
-Évidemment, tu veux voir comment je fais quand je suis toute seule et que j’ai envie de jouir.
Sans attendre ma réponse, la voilà qu’elle se met à genoux sur le canapé, cale le gode derrière elle, entre ses pieds gainés. Puis lentement, elle le chevauche, faisant pénétrer l’engin dans sa chatte. Tout en faisant ça, elle me fixe, un léger sourire figé aux lèvres.
-Tu ne peux pas savoir à quel point c’est bon ! Me fait-elle en fermant les yeux.
Je profite de l’instant pour lui présenter ma queue. Qu’elle se met à suçoter. Puis elle retire son gode d’entre ses jambes pour appliquer doucement la pointe sur la partie la plus sensible de mon intimité. Elle tient l’engin comme un stylo, dessinant de minuscules cercles sur mon prépuce. La sensation est exquise. Les vibrations envahissent toute ma verge.
-Ça te plaît, mon neveu ?
-Oh…Oh oui tata, encore !
-Petit gourmand !
Alors elle appuie la pointe du gode plus fort sur la base du gland. La sensation est intense. À un tel point que je sens mon sperme monter dans ma queue, et d’émerger de mon méat. Sans attendre, elle donne refuge à ma queue dans sa bouche. Une dernière contraction de plaisir me fait éjaculer une fois encore.
-Merci mon neveu, me fait-elle en éloignant sa bouche de ma queue. Tu ne peux pas savoir le plaisir que je prends en buvant ton sperme.
Suite à ça, elle prend place sur le canapé, puis m’ordonne de me mettre à ses genoux devant ses jambes. J’ai les yeux à hauteur de son sexe. Qu’elle caresse par-dessus sa culotte de couleur noire. C’est insoutenable ! Et plus encore, lorsqu’elle fait jaillir ses seins de ses nids. Pleins, ronds, énormes.
-Viens téter tata, petit pourceau !
Je m’exécute, je la tête. Alors qu’en même temps elle me malaxe les couilles.
-Oui, tête ta tata à fond mon pourceau !
J’en prends le plus possible en bouche. Je lui purifie sa poitrine. La léchant sur toute leur surface. Elle gémit !
-Tu es en rut, mon salaud ! Fait-elle en brossant ma queue. Ça me plaît ! Je vais te branler pendant que tu me tètes, mon neveu !
Elle halète tout en me masturbant. Elle braille quand je mordille ses mamelons. Et elle jouit comme ça, sans prévenir, en me masturbant de plus belle. Quand elle arrête son mouvement de branle c’est pour me passer la main sur mes couilles, entre mes fesses.
-Tu ne peux pas savoir ce que ça me fait de te voir excité comme ça, mon neveu ! Je vais te faire une fois encore gicler ! Tu veux ?
-Bien sûr, tata !
Elle me fait mettre debout sur le canapé pour me retourner en pliant les jambes pour mettre mon cul à hauteur de sa bouche.
-Ah, ton cul !
Elle me renifle le cul. Elle me lèche les couilles, qu’elle fait balloter d’avant en arrière avec son nez, sa langue. Je sens son souffle chaud entre mes fesses. Putain, que j’aime ça ! Elle sait de temps en temps, se montrer bestiale, voire sale même, et ça, ça m’excite !
Elle revient côté face, ouvre en grand sa bouche, et enfourne mes couilles. C’est brûlant, c’est bon ! Elle les siphonne fort, à me faire mal. Mais très vite la douleur cesse, pour laisser la place au plaisir. Qui se trouve décuplé. Elle roule les testicules dans sa bouche. Elle les avale. Elle les recrache comme elle l’aurait avec des noyaux de prunes. Elle me demande de bouger. Par cette action, mes couilles entrent et sortent de sa bouche. Elle me caresse les fesses en même temps, les pétrit, les écrase. Elle sait y faire, tata !
Elle retire sa culotte. Me la tend pour que je le hume. Elle est emplie de ses transpirations, de ses sécrétions, de la moiteur des fuites odorantes. Pendant ce laps de temps, elle se branle, en écartant largement les cuisses. Elle se pince le clitoris, puis descend vers le vagin, l’ouvre, y fourre deux doigts, lime, avant de laisser glisser sa main entre ses fesses pour se titiller l’anus.
-Regarde comme je dégouline, mon neveu !
Elle me tend ses doigts pour que je les suce. Pour l’instant d’après les faire descendre pour s’exciter le cul, la fente, le bouton.
Elle jouit en se martyrisant, son bourgeon. Elle les masse comme de la pâte à modeler, entre deux doigts. Mais elle n’est pas encore satisfaite, la coquine. Elle est même effrayante de lubricité, au point de m’ordonner, alors:
-Lèche-moi, comme tu sais si bien le faire, neveu !
Je n’attendais que ça ! J’y vais à grands coups de langue dans sa chatte. Dans son cul, aussi. Surtout son anus, que ma tante s’efforce d’élargir pour moi. Je fais tout pour y enfoncer un maximum de ma langue. M’efforçant ainsi de lui donner un maximum de plaisir.
Plus bas, son vagin bée. Il est gluant, énorme. J’y enfourne ma langue. Au plus profond d’elle. J’aspire ses chairs, bois son jus à sa source.
Puis je retourne à son cul. Le bout de ma langue y entre parfaitement avant d’être repoussé à l’extérieur.
Ma tante jouit en soudant ma tête contre son intimité. Je suis témoin de son tortillement, de sa nuque rejetée en arrière. L’instant d'après, elle est avachie sur le canapé. J’ai, pour ma part, encore envie de lui lécher sa foufoune. Mais elle me repousse, et me dit :
-Non mon neveu ! J’aimerais par contre, te voir jouir maintenant. Aller mon neveu, exécution !
Je me place pour cela, debout, en face d’elle. Et alors qu’elle se caresse, j’en fais de même de mon côté, jusqu’à ce que je gicle dans sa bouche. Une fois de plus, insatiable, Tata Catherine avale.
Cette fois, je suis asséché. Comme Catherine l’est, elle-aussi. Les yeux dans le vague, bras et jambes écartés, demeurant immobile sur le canapé.
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