Enculé de force dans les dunes.
Récit érotique écrit par Plaisir39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 132 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Plaisir39 ont reçu un total de 660 444 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 19 473 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Enculé de force dans les dunes.
J'ai déjà raconté cette histoire, sous un autre pseudo, il y a très très longtemps.
A cette époque (1990), je me rendais au magasin d'un ami pour le boulot, je n'ai fais que 4 rencontres sexuelles à cet endroit .
Mais un jour, je me rends au toilettes du jardin public, là ou j'ai baisé avec l'homme du kiosque à sandwich.
Je me soulage, et ensuite me laisse aller à me masturber lentementComme le jardin est désert, je ne risque rien, du moins, je le pensais.
Un homme entre dans les toilettes, d'un pas décidé.
Je ne peux cacher mon air surpris, je reste le sexe à la main contre l'urinoir, L'homme s'approche, il a le type magrébin, propre et sympathique, mais m'attire moyennement.
Il sort sa queue et se branle aussitôt en me regardant fixementPuis il se tourne en pointant sa bite vers moi et disant avec un très léger accent, que je ne vais pas essayer d'écrire.
"Tu suces?"J'hésite un peu, puis me baisse alors devant ses pieds, et englobe sa queue.
Elle est de taille moyenne, mais vu le coté exceptionnel de la rencontre, je ne fais pas la fine bouche (sans jeu de mots).
Il gémit de plaisir et quelques minutes plus tard, me demande d'un ton un peu autoritaire de le suivre dans un cabinet.
A l'intérieur, il me baisse mon pantalon, en me disant qu'il veut me baiser.
Il me plaque contre le mur au dessus de la cuvette et commence déjà sa pénétration.
Je le retiens un peu, puis quand je me sens prêt, je relâche tout et m'offre complètement à ses coups de boutoir dans mon cul.
Il ne tarde à déverser son jus dans mon anus.
Je reste un peu frustré, n'ayant pas atteint l'orgasme.
On discute un peu, il s'appelle Farid, je lui demande ou sont les endroits chauds de la ville.
Il me conseille un endroit en périphérie (dans les dunes, au bord de la plage) et me propose de m'y emmener le même soir.
Le soir venu, je l'attends devant le jardin, il arrive et nous voila partis, vers ces fameuses dunes.
Pendant le trajet, il me demande de le sucer alors qu'il conduit, je m'exécute comme une pute soumise, dix bonnes minutes après, on se gare et je le suis dans la végétation.
L'endroit est désert, il se colle à un arbre et me tends sa queue, je m'agenouille devant elle et la dévore littéralement.
Il est très excité et me baise la bouche fougueusement, lâchant quelques mots dans sa langue.
Il me prends fermement par la tête et me colle son gland au fond de la gorge, son jus chaud m'envahit la bouche, j'avale très vite pour mieux respirer.
D'autres jets suivent et finissent au fond de ma gorge.
Je me redresse, et le regarde, il est repu et satisfait de ma prestation.
J'ai peur de n'être venu que pour lui faire une fellation, l'endroit est très agréable, mais pas d'hommes en recherche de jeunes à baiser aux alentours.
Il me propose de visiter l'endroit, mais, après seulement quelques mètres, nous ne rencontrons qu'un homme de type magrébin, mais plus prononcé.
Il vient vers nous, mon amant lui dit bonsoir, ils se connaissent bien.
Farid me présente à son ami, qui me dit s'appeler Mohammed.
Il nous dit qu'il n'y a personne. Nous discutons un bon quart d'heure.
Je ne suis pas intéressé par Mohammed qui a un physique repoussant (grand, mince, visage buriné, gros sourcils, regard vicieux et sentant la transpiration).
Je leur dis que je vais visiter les dunes, seulement voilà, l'endroit est désert!
Puis, 15 minutes se passent, au détour d'une dune, je revois l'homme que nous avons croisé, il me demande avec un accent très prononcé:"Tu veux faire l'amour".
Malgré son accent, je comprends qu'il veut me baiser.
J'ajoute encore qu'il est repoussant, je lui réponds:"Non! Merci!".
Mais, en me tenant le bras, il me présente d'un coup, sa queue bien bandée, avec l'autre main.
"Allez, laisses toi faire!".
Elle est très belle et grosse, mais il ne me plait vraiment pas.
Il me retiens sans mal, son physique est beaucoup plus imposant que le mien.
"Je vais bien te faire l'amour! Tu me plais!".
"Non!".
Il me prends la main et la pose sur sa queue, je ne sais plus quoi faire, il est vraiment repoussant, malgré sa queue qui m'excite un peu.
Il se colle à moi en disant:"Allez, viens! Pédé" (toujours avec un accent arabe).
Il me baisse de force devant sa bite et me pénètre la bouche.
"Voila! Comme ça! Lèches! T'en as envie! Suces ma queue!".
Elle a un gout d'urine, je garde ma bouche ouverte avec réticence et dégout.
Il me baise longtemps ainsi.
Heureusement pour moi, le gout d'urine s'estompe au fur et à mesure des va et vient buccaux.
Ce salaud s'est lavé la bite avec ma bouche.
Il me soulève et me déshabille fermement.
Je proteste en lui disant:"Non! Je veux pas!".
Mais, je ne dois pas être convaincant et me retrouve avec le ventre contre les vêtements, sur une butte de sable.
Il appuie de tout son corps sur moi et me mets son gros membre contre l'anus.
"Non! Mohammed!".
"Tu vas bien jouir, tu verras!".
Je pousse sur mon muscle anal pour vite me préparer à son assaut.
Il me dit:"Farid, m'a dit que t'es une salope, et que t'as un bon cul, alors, je vais t'baiser à fond, j'vais voir, si t'y es une bonne femme".
"Non!".
Il joint le geste à la parole et m'enfonce son gros gland.
De mon coté, je mors mon avant bras en continuant de l'accompagner analement.
Il me pénètre alors d'un coup butant au fond de mes entrailles.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhhhh!".
Il vocifère des mots que je ne comprends pas, en me défonçant carrément le cul.
Il s'amuse de temps en temps à sortir, pour m'envahir à nouveau avec son gros pieu.
Il me déchire et j'ai un sentiment trouble entre la honte et le plaisir.
Cet homme ne me plais vraiment pas, mais, je n'arrive pas à l'empêcher de me baiser.
Son sexe entre en moi sans problème à présent, m'enculant violemment.
Ce salaud arrive à m'arracher un orgasme que j'essaie de lui cacher en mordant mon bras.
Il nous couche sur le coté et me prends par derrière encore un long moment.
"T'es mieux qu'une femme" dit-il.
Je ne dis pas un mot, je me contente de prendre ses coups de queue en ressentant malgré du plaisir.
Il décide de se tourner encore et s'allonge sur le dos, sans quitter mon anus, en me tenant sur lui.
Je prends appui sur mes pieds et mes mains derrière moi, le laissant me défoncer par dessous.
Petit à petit, j'accompagne ses mouvements, je suis encore saisi de plaisir, je gémis malgré moi en mordant les lèvres.
Cette brute me fait encore jouir du cul, je sens ses couilles contre mes fesses, il sort et rentre à fond à nouveau.
Je lâche un râle, il recommence.
Ce vicieux doit aimer m'entendre gémir.
Il nous retourne encore pour me mettre en levrette, il plonge son gros pieu dans mon cul, d'un coup et se déchaine dedans.
Il lâche:"Tiens! Pédé".
Il se retire et me mets sa bite dans la bouche en me la baisant, de sa main droite, il m'attrape les fesses.
Trois doigts me rentrent dans l'anus sans difficulté, cet appui de fortune lui sert à mieux me baiser la bouche.
Il délaisse ma gorge pour m'enculer encore un moment puis me rebaise la bouche, puis change et rechange.
Alors qu'il m'encule, il m'appuie sur le dos pour me cambrer, m'enfonçant le visage dans le sable, il se démène toujours à fond en moi, me faisant prendre mon quatrième orgasme.
Puis ses mouvements deviennent plus rapides, ses mains serrent fort mes hanches.
Au même moment, il s'arrête d'un coup en s'appuyant au fond de mon cul, je sens très fort, une puissante giclée chaude dans mon cul.
Il recule et en se branlant m'arrose de deux autres giclées, des fesses aux épaules, puis me repénètre en se vidant à nouveau abondamment dans mon cul.
Il me tient serré contre lui sans quitter mon anus et nous couche sur le coté.
"T' es une bonne femme, tu fais bien l'amour". Me dit-il.
Je ne sais quoi penser de ses paroles, j'ai une sensation étrange et bizarre, que je ne peux pas décrire.
Je n'ai rien fait, il s'est servi de moi comme d'une poupée gonflable et me dit que j'ai bien fait l'amour?
Il sort son sexe de mon cul doucement, seulement un peu plus de cinq minutes après, en me disant:"Lèches-moi!".
Je comprends que je dois le "lécher" et me mets à quatre pattes au dessus de lui pour le sucer.
Malgré mes réticences, j'admets qu'il m'a donné des orgasmes, et lui rend ce plaisir.
Sa bite est toujours bandée, embuée de foutre, je me régale avec une honte perverse, de le laver du gland jusqu'aux couilles, humides de sperme.
Mon anus est béant, je sens une légère brise sur mes fesses, de l'air entre dans mon cul, me procurant un léger frisson, je referme mon sphincter instinctivement.
Cela a pour effet de chasser le sperme de mon cul, qui coule le long de ma cuisse droite pendant que mon visage monte et descend sur la bite de mon amant magrébin inconnu.
Je ne le lèche plus à présent, je le suce avec gourmandise!
Sa queue est bien dure et propre, maintenant.
Ce salaud n'a quasiment pas débandé, il lâche de temps à autre des "Suces! Pédé", "T'es une bonne femme, toi!" et plusieurs mots arabes inconnus pour moi.
Un long moment de ce traitement se passe, lorsqu'il se redresse et me couche sur le dos, il me soulève à l'équerre, je vois mon cul au dessus de moi.
La position est inconfortable, mais il me tient bien par les fesses en l'air.
Il se tient au dessus de mon cul en travers et dirige sa grosse bite à la verticale vers mon anus, lubrifié de foutre.
Il passe mon anneau d'un coup, pour venir buter au fond de mon cul.
Et nous voila repartis dans une défonce anale accompagnée d'insultes à mon égard.
Je jouis comme une petite pute, comme auparavant, il s'amuse à sortir pour replonger encore plus fort à chaque fois.
De temps en temps, il me fouette l'anus avec sa queue, puis me défonce à nouveau.
On m'a rarement enculé aussi longtemps, mon anus est béant, poisseux de sperme, je suis épuisé d'orgasmes anaux.
Je ne ressens presque plus rien, à part le plaisir malsain de lui appartenir, de lui être soumis.
Il m'encule encore et encore, il sort sa queue, me frappe l'anus en se branlant, puis me pénètre avec son gland tout en se masturbant.
Il enlève sa main, vient buter au fond de mon cul et recommence, puis il me lâche en me laissant retomber et me met sa bite dans la bouche en faisant des mouvements énergiques.
Il me tiens le visage, sort sa queue et se branle au dessus de ma bouche ouverte au maximum.
Ses mouvements sont de plus en plus rapides et effrénés, il m'oblige à garder la bouche ouverte.
Il me penche légèrement face à son gros gland gonflé de plaisirAlors, d'un coup sec et puissant, une giclée de son foutre liquide vient s'écraser au fond de ma gorge, je reste avec ma bouche béante sans avaler.
Il crie: "Ahhh! Pédé! Allez, bois! Pédé!"Ses mains s'activent sur sa bite qui crache de nouveaux jets abondants dans ma gorge.
Il a un spasme qui me fait deviner qu'il a fini de jouir.
Il me regarde un moment avec ma bouche pleine de sperme chaud, me fait un sourire, et m'appuie sur le menton pour faire rejoindre mes lèvres.
En "femme" soumise, j'avale son jus, tout du moins, ce que j'ai pu recevoir, puisqu'il récupère ce qui coule à la commissure de mes lèvres avec son gland et me l'enfonce dans la gorge en disant:"Lèches! Petit pédé".
Je le lècherai ainsi langoureusement, plusieurs longues minutes en me masturbant à mon tour, excité par cette grosse bite dans ma bouche et ce quasi-viol qui s'est fini en défonce anale.
Je ne tarde pas à lâcher mon foutre qui se répand sur mon ventre, pendant que je plonge ma bouche sur la queue de mon "violeur" en jouissant.
Il me faut un moment pour reprendre mes esprits.
Il s'est déjà rhabillé. Je lui demande de m'attendre, lui précisant que je suis venu avec Farid qui m'attend pour me ramener à mon hôtel, ou je me masturberai encore, excité par cette humiliation.
Je n'ai jamais revu Mohammed, j'ai longtemps cherché, si je ressentais de la honte ou de l'excitation, à propos de cette nuit.
Aujourd'hui, je me dis que c'était un viol qui a fini en complète acceptation de défonce anale. je suis conscient que si je l'avais recroisé, j'aurai accepté, tout de suite, qu'il m'encule encore!
En général, je choisi mes "amants" sur leur allure "propre" et leurs attributs sexuels ainsi que leur potentiel de sympathie.
Je fuis les hommes au regard vicieux, visage buriné et fortement basané comme lui, mais je dois reconnaitre que c'était un amant exceptionnel.
A cette époque (1990), je me rendais au magasin d'un ami pour le boulot, je n'ai fais que 4 rencontres sexuelles à cet endroit .
Mais un jour, je me rends au toilettes du jardin public, là ou j'ai baisé avec l'homme du kiosque à sandwich.
Je me soulage, et ensuite me laisse aller à me masturber lentementComme le jardin est désert, je ne risque rien, du moins, je le pensais.
Un homme entre dans les toilettes, d'un pas décidé.
Je ne peux cacher mon air surpris, je reste le sexe à la main contre l'urinoir, L'homme s'approche, il a le type magrébin, propre et sympathique, mais m'attire moyennement.
Il sort sa queue et se branle aussitôt en me regardant fixementPuis il se tourne en pointant sa bite vers moi et disant avec un très léger accent, que je ne vais pas essayer d'écrire.
"Tu suces?"J'hésite un peu, puis me baisse alors devant ses pieds, et englobe sa queue.
Elle est de taille moyenne, mais vu le coté exceptionnel de la rencontre, je ne fais pas la fine bouche (sans jeu de mots).
Il gémit de plaisir et quelques minutes plus tard, me demande d'un ton un peu autoritaire de le suivre dans un cabinet.
A l'intérieur, il me baisse mon pantalon, en me disant qu'il veut me baiser.
Il me plaque contre le mur au dessus de la cuvette et commence déjà sa pénétration.
Je le retiens un peu, puis quand je me sens prêt, je relâche tout et m'offre complètement à ses coups de boutoir dans mon cul.
Il ne tarde à déverser son jus dans mon anus.
Je reste un peu frustré, n'ayant pas atteint l'orgasme.
On discute un peu, il s'appelle Farid, je lui demande ou sont les endroits chauds de la ville.
Il me conseille un endroit en périphérie (dans les dunes, au bord de la plage) et me propose de m'y emmener le même soir.
Le soir venu, je l'attends devant le jardin, il arrive et nous voila partis, vers ces fameuses dunes.
Pendant le trajet, il me demande de le sucer alors qu'il conduit, je m'exécute comme une pute soumise, dix bonnes minutes après, on se gare et je le suis dans la végétation.
L'endroit est désert, il se colle à un arbre et me tends sa queue, je m'agenouille devant elle et la dévore littéralement.
Il est très excité et me baise la bouche fougueusement, lâchant quelques mots dans sa langue.
Il me prends fermement par la tête et me colle son gland au fond de la gorge, son jus chaud m'envahit la bouche, j'avale très vite pour mieux respirer.
D'autres jets suivent et finissent au fond de ma gorge.
Je me redresse, et le regarde, il est repu et satisfait de ma prestation.
J'ai peur de n'être venu que pour lui faire une fellation, l'endroit est très agréable, mais pas d'hommes en recherche de jeunes à baiser aux alentours.
Il me propose de visiter l'endroit, mais, après seulement quelques mètres, nous ne rencontrons qu'un homme de type magrébin, mais plus prononcé.
Il vient vers nous, mon amant lui dit bonsoir, ils se connaissent bien.
Farid me présente à son ami, qui me dit s'appeler Mohammed.
Il nous dit qu'il n'y a personne. Nous discutons un bon quart d'heure.
Je ne suis pas intéressé par Mohammed qui a un physique repoussant (grand, mince, visage buriné, gros sourcils, regard vicieux et sentant la transpiration).
Je leur dis que je vais visiter les dunes, seulement voilà, l'endroit est désert!
Puis, 15 minutes se passent, au détour d'une dune, je revois l'homme que nous avons croisé, il me demande avec un accent très prononcé:"Tu veux faire l'amour".
Malgré son accent, je comprends qu'il veut me baiser.
J'ajoute encore qu'il est repoussant, je lui réponds:"Non! Merci!".
Mais, en me tenant le bras, il me présente d'un coup, sa queue bien bandée, avec l'autre main.
"Allez, laisses toi faire!".
Elle est très belle et grosse, mais il ne me plait vraiment pas.
Il me retiens sans mal, son physique est beaucoup plus imposant que le mien.
"Je vais bien te faire l'amour! Tu me plais!".
"Non!".
Il me prends la main et la pose sur sa queue, je ne sais plus quoi faire, il est vraiment repoussant, malgré sa queue qui m'excite un peu.
Il se colle à moi en disant:"Allez, viens! Pédé" (toujours avec un accent arabe).
Il me baisse de force devant sa bite et me pénètre la bouche.
"Voila! Comme ça! Lèches! T'en as envie! Suces ma queue!".
Elle a un gout d'urine, je garde ma bouche ouverte avec réticence et dégout.
Il me baise longtemps ainsi.
Heureusement pour moi, le gout d'urine s'estompe au fur et à mesure des va et vient buccaux.
Ce salaud s'est lavé la bite avec ma bouche.
Il me soulève et me déshabille fermement.
Je proteste en lui disant:"Non! Je veux pas!".
Mais, je ne dois pas être convaincant et me retrouve avec le ventre contre les vêtements, sur une butte de sable.
Il appuie de tout son corps sur moi et me mets son gros membre contre l'anus.
"Non! Mohammed!".
"Tu vas bien jouir, tu verras!".
Je pousse sur mon muscle anal pour vite me préparer à son assaut.
Il me dit:"Farid, m'a dit que t'es une salope, et que t'as un bon cul, alors, je vais t'baiser à fond, j'vais voir, si t'y es une bonne femme".
"Non!".
Il joint le geste à la parole et m'enfonce son gros gland.
De mon coté, je mors mon avant bras en continuant de l'accompagner analement.
Il me pénètre alors d'un coup butant au fond de mes entrailles.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhhhh!".
Il vocifère des mots que je ne comprends pas, en me défonçant carrément le cul.
Il s'amuse de temps en temps à sortir, pour m'envahir à nouveau avec son gros pieu.
Il me déchire et j'ai un sentiment trouble entre la honte et le plaisir.
Cet homme ne me plais vraiment pas, mais, je n'arrive pas à l'empêcher de me baiser.
Son sexe entre en moi sans problème à présent, m'enculant violemment.
Ce salaud arrive à m'arracher un orgasme que j'essaie de lui cacher en mordant mon bras.
Il nous couche sur le coté et me prends par derrière encore un long moment.
"T'es mieux qu'une femme" dit-il.
Je ne dis pas un mot, je me contente de prendre ses coups de queue en ressentant malgré du plaisir.
Il décide de se tourner encore et s'allonge sur le dos, sans quitter mon anus, en me tenant sur lui.
Je prends appui sur mes pieds et mes mains derrière moi, le laissant me défoncer par dessous.
Petit à petit, j'accompagne ses mouvements, je suis encore saisi de plaisir, je gémis malgré moi en mordant les lèvres.
Cette brute me fait encore jouir du cul, je sens ses couilles contre mes fesses, il sort et rentre à fond à nouveau.
Je lâche un râle, il recommence.
Ce vicieux doit aimer m'entendre gémir.
Il nous retourne encore pour me mettre en levrette, il plonge son gros pieu dans mon cul, d'un coup et se déchaine dedans.
Il lâche:"Tiens! Pédé".
Il se retire et me mets sa bite dans la bouche en me la baisant, de sa main droite, il m'attrape les fesses.
Trois doigts me rentrent dans l'anus sans difficulté, cet appui de fortune lui sert à mieux me baiser la bouche.
Il délaisse ma gorge pour m'enculer encore un moment puis me rebaise la bouche, puis change et rechange.
Alors qu'il m'encule, il m'appuie sur le dos pour me cambrer, m'enfonçant le visage dans le sable, il se démène toujours à fond en moi, me faisant prendre mon quatrième orgasme.
Puis ses mouvements deviennent plus rapides, ses mains serrent fort mes hanches.
Au même moment, il s'arrête d'un coup en s'appuyant au fond de mon cul, je sens très fort, une puissante giclée chaude dans mon cul.
Il recule et en se branlant m'arrose de deux autres giclées, des fesses aux épaules, puis me repénètre en se vidant à nouveau abondamment dans mon cul.
Il me tient serré contre lui sans quitter mon anus et nous couche sur le coté.
"T' es une bonne femme, tu fais bien l'amour". Me dit-il.
Je ne sais quoi penser de ses paroles, j'ai une sensation étrange et bizarre, que je ne peux pas décrire.
Je n'ai rien fait, il s'est servi de moi comme d'une poupée gonflable et me dit que j'ai bien fait l'amour?
Il sort son sexe de mon cul doucement, seulement un peu plus de cinq minutes après, en me disant:"Lèches-moi!".
Je comprends que je dois le "lécher" et me mets à quatre pattes au dessus de lui pour le sucer.
Malgré mes réticences, j'admets qu'il m'a donné des orgasmes, et lui rend ce plaisir.
Sa bite est toujours bandée, embuée de foutre, je me régale avec une honte perverse, de le laver du gland jusqu'aux couilles, humides de sperme.
Mon anus est béant, je sens une légère brise sur mes fesses, de l'air entre dans mon cul, me procurant un léger frisson, je referme mon sphincter instinctivement.
Cela a pour effet de chasser le sperme de mon cul, qui coule le long de ma cuisse droite pendant que mon visage monte et descend sur la bite de mon amant magrébin inconnu.
Je ne le lèche plus à présent, je le suce avec gourmandise!
Sa queue est bien dure et propre, maintenant.
Ce salaud n'a quasiment pas débandé, il lâche de temps à autre des "Suces! Pédé", "T'es une bonne femme, toi!" et plusieurs mots arabes inconnus pour moi.
Un long moment de ce traitement se passe, lorsqu'il se redresse et me couche sur le dos, il me soulève à l'équerre, je vois mon cul au dessus de moi.
La position est inconfortable, mais il me tient bien par les fesses en l'air.
Il se tient au dessus de mon cul en travers et dirige sa grosse bite à la verticale vers mon anus, lubrifié de foutre.
Il passe mon anneau d'un coup, pour venir buter au fond de mon cul.
Et nous voila repartis dans une défonce anale accompagnée d'insultes à mon égard.
Je jouis comme une petite pute, comme auparavant, il s'amuse à sortir pour replonger encore plus fort à chaque fois.
De temps en temps, il me fouette l'anus avec sa queue, puis me défonce à nouveau.
On m'a rarement enculé aussi longtemps, mon anus est béant, poisseux de sperme, je suis épuisé d'orgasmes anaux.
Je ne ressens presque plus rien, à part le plaisir malsain de lui appartenir, de lui être soumis.
Il m'encule encore et encore, il sort sa queue, me frappe l'anus en se branlant, puis me pénètre avec son gland tout en se masturbant.
Il enlève sa main, vient buter au fond de mon cul et recommence, puis il me lâche en me laissant retomber et me met sa bite dans la bouche en faisant des mouvements énergiques.
Il me tiens le visage, sort sa queue et se branle au dessus de ma bouche ouverte au maximum.
Ses mouvements sont de plus en plus rapides et effrénés, il m'oblige à garder la bouche ouverte.
Il me penche légèrement face à son gros gland gonflé de plaisirAlors, d'un coup sec et puissant, une giclée de son foutre liquide vient s'écraser au fond de ma gorge, je reste avec ma bouche béante sans avaler.
Il crie: "Ahhh! Pédé! Allez, bois! Pédé!"Ses mains s'activent sur sa bite qui crache de nouveaux jets abondants dans ma gorge.
Il a un spasme qui me fait deviner qu'il a fini de jouir.
Il me regarde un moment avec ma bouche pleine de sperme chaud, me fait un sourire, et m'appuie sur le menton pour faire rejoindre mes lèvres.
En "femme" soumise, j'avale son jus, tout du moins, ce que j'ai pu recevoir, puisqu'il récupère ce qui coule à la commissure de mes lèvres avec son gland et me l'enfonce dans la gorge en disant:"Lèches! Petit pédé".
Je le lècherai ainsi langoureusement, plusieurs longues minutes en me masturbant à mon tour, excité par cette grosse bite dans ma bouche et ce quasi-viol qui s'est fini en défonce anale.
Je ne tarde pas à lâcher mon foutre qui se répand sur mon ventre, pendant que je plonge ma bouche sur la queue de mon "violeur" en jouissant.
Il me faut un moment pour reprendre mes esprits.
Il s'est déjà rhabillé. Je lui demande de m'attendre, lui précisant que je suis venu avec Farid qui m'attend pour me ramener à mon hôtel, ou je me masturberai encore, excité par cette humiliation.
Je n'ai jamais revu Mohammed, j'ai longtemps cherché, si je ressentais de la honte ou de l'excitation, à propos de cette nuit.
Aujourd'hui, je me dis que c'était un viol qui a fini en complète acceptation de défonce anale. je suis conscient que si je l'avais recroisé, j'aurai accepté, tout de suite, qu'il m'encule encore!
En général, je choisi mes "amants" sur leur allure "propre" et leurs attributs sexuels ainsi que leur potentiel de sympathie.
Je fuis les hommes au regard vicieux, visage buriné et fortement basané comme lui, mais je dois reconnaitre que c'était un amant exceptionnel.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Plaisir39
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Wahou super,ce que j'aurai être à sa place et m'en prendre plein le cul de grosse bite,de multiorgasmes,dejute bien chaude dans ma bouche aussi,j'adore cette histoire qui 'a bien fait bander et me laisse au bord de l'orgasme,ho putain je tiens plus,je vais me finir au chiottes en me branlant et caressant mes tétons et gicler de plaisir...