endettés 2

- Par l'auteur HDS Sparnye -
Récit érotique écrit par Sparnye [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : endettés 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(6.0 / 10)

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endettés 2
Le soir venu, Vivianne ne put s'empêcher de repenser à ce qui s'était passé. Elle avait sucé et avalé un homme autre que son mari. Elle ne savait pas quoi penser. Elle avait honte mais savait qu'elle avait fait ca pour son couple. Elle ne voulait pas le dire à PAUL. Son mari ne comprendrait pas. Elle se savait piégée. M. TRAVERS lui avait laissé suffisamment d'argent pour qu'elle achète ce qu'il lui avait dit : des bas et porte jarretelles. Elle se rappela qu'elle possédait ce type de sous-vêtements. Elle en mettait auparavant, il y a 10 ou 15 ans... Elle retrouva les ensembles et il y en avait des noirs. Bon, elle rangea les billets de côté. Ca y est, son mari rentrait du travail. Vite, elle se mis à cuisiner quelque chose de rapide. Elle savait qu'il allait dîner rapidement et s'installer dans le bureau pour ""faire les comptes"". Depuis plusieurs semaines, il réfléchissait au problème de les sortir de leurs difficultés. Au moins, elle serait tranquille et pourrait réfléchir à tout ca. cela se passa comme elle l'avait imaginé. PAUL s'installa dans le bureau, la laissant seule à ses pensées. La crainte arriva. plus qu'une nuit et demain matin, M. TRAVERS reviendrait. 3 heures ! Elle savait ce qu'il lui ferait. Après la fellation qu'elle lui avait accordée de force, il voudrait certainement la sauter. Au fond elle préférait. La pipe la dégoûte. là, au moins, elle n'aurait qu'à s'allonger et à se laisser faire. il jouira et ce sera fini. A 7 heures, après une nuit agitée, elle se réveilla. Vite, il fallait que son mari parte sans retard. Que se passerait-il si M. TRAVERS arrivait et qu'il soit encore là ? Elle lui fit son petit déjeuner et après quelques banalités, PAUL s'en alla au travail. Elle prit une douche et allait se maquiller mais s'arrêta net. Après tout, cet enfoiré veut me baiser ? hé bien je ne lui ferais pas l'honneur de me préparer pour lui. Elle mit les bais et les porte jarretelles, pas de culotte, comme il l'avait dit et mit une petite robe. A 8 heures 30, elle vit M. TRAVERS qui se dirigea vers la porte. Elle se précipita et lui ouvrit. BONJOUR SALOPE ! ca commençait bien ! le ton était donné. Sans attendre la permission, M. TRAVERS s'approcha d'elle et lui souleva sa robe. Il vit les sous-vêtements et grogna un ""CA VA"". TU AS OBEI C EST BIEN. MAINTENANT DESHABILLE TOI, ENLEVE TA ROBE, JE VEUX TE VOIR NUE AVEC TES BAS, COMME UNE BONNE SALOPE. Vivianne s'exécuta. Là, debout, elle ne portait plus que des bas et un porte-jarretelles. Pas de haut et pas de culotte. Elle attendait, ne sachant pas quelle attitude adopter. M. TRAVERS s'approcha d'elle, lui mit les mains sur les seins et comme,ca à les caresser. Au bout de deux minutes, Vivianne laissa échapper un petit soupir. En effet, cela ne lui faisait aucun effet. M. TRAVERS s'en aperçu et lui pinca violemment les bouts. Grimaçante de douleur, Vivianne se tordit et se recula. VIENS ICI lui ordonna t-il. Pourquoi faites-vous ca ? lui dit-elle ? TU ME FAIS CHIER. JE FAIS CE QUE JE VEUX C EST TOUT ! ON RECOMMENCE ! TU AS UN PROBLEME ? Non, répondit Vivianne. et elle s'approcha à nouveau, se plaçant devant lui. JE TE PREVIENS ; SI TU TE PLAINS OU SI TU BOUGES, JE ME BARRE ET TERMINE. FINI LE PRET ! ALORS ? faites ce que vous voulez répondit Vivianne. M. TRAVERS lui reprit les bouts de seins et lui tordit. Elle souffla mais ne dit rien. Alors il lui pinça les bouts jusqu'à ce que Vivianne ne put retenir des larmes. mais elle tint bon et se laissa faire. Enfin, il cessa. BON TU VAS ME SUCER POUR ME REMERCIER MAINTENANT. ET TACHE DE T APPLIQUER. Il s'assied sur une chaise et baissa lui-même son pantalon et son slip. A GENOUX lui ordonna t-il et APPROCHE. Vivianne s'exécuta. Elle approcha et lorsque son visage fut au niveau du sexe de l'homme, elle eu un mouvement de surprise. A nouveau, le sexe avait une odeur particulière. AH OUI JE NE T AI PAS DIT MAIS CE MATIN, AVANT DE VENIR, J AI SAUTE MA FEMME ET JE SUIS VENU DIRECTEMENT CHEZ TOI SANS ME LAVER. TU VAS ME LECHER TOUT CA ET NETTOYER. Vivianne resta devant le sexe sans bouger. Elle n'arrivait pas à ouvrir la bouche. La gifle la réveilla. Non, je peux pas, c'est dégueulasse lui dit-elle; faîtes pas ca ! ALLEZ TA LANGUE ET TA BOUCHE DEPECHE TOI ! En soupirant, Vivianne avala le membre. Elle eut un haut de coeur. le sexe portait encore des traces de mouille de l'épouse de M. TRAVERS. L'odeur de chatte la dérangeait fortement. Elle n'avait jamais eu de relation avec une femme et cela la confortait dans ce sens. ALLEZ SUCE ! Alors elle s'obligea et commença son va et vient. Au bout de quelques minutes, M. TRAVERS la releva. MAINTENANT ALLONGE TOI SUR LE DOS, ECARTE LES CUISSES. Elle obéit. Et là, au lieu de s'allonger sur elle, elle vit M. TRAVERS se placer entre ses cuisses et il commença à la lécher. NON c'est pas possible pensa t-elle, seul son mari lui avait fait une telle caresse. Elle attendit sans comprendre pourquoi il ne la sautait pas. Au bout d'un moment, elle se surprit à mouiller. Non pas que cela lui plaisait mais c'était plutôt une réaction incontrôlée de sa part. Elle ne dit rien et resta immobile. Pendant ce temps, M. TRAVERS continuait à la sucer, la lécher et à lui embrasser le sexe.Et soudain il se releva et vient se placer sur elle. D'un coup il s’enfonça en elle et commença un va et vient dans sa chatte. El là, elle comprit pourquoi il l'avait léchée. Pendant qu'il la prenait, il approcha sa bouche de la sienne et voulait l'embrasser. Elle détourna la tête. Il avait encore la bouche toute mouillée de sa mouille à elle et elle se refusait à cette pratique qui la dégoutait. Il lui prit les cheveux et tout en la besognant, il lui écrasa les lèvres. Elle ferma la bouche. TU M EMBRASSES CONVENABLEMENT AVEC TA LANGUE ET TU ESSUIES lui ordonna t-il. Avec un effort surhumain, elle lui obéit. Sa langue vient se mêler à la sienne et il l'obligea à lui lécher les lèvres. C'est là qu'il jouit. Enfin se dit-elle. Lorsqu'il fut soulagé, il se retira, la bite encore pleine de sperme et se rapprocha de ses lèvres : ALLEZ SUCE ! Non c'est pas possible,son calvaire ne s'arrêtait pas. Il lui força les lèvres et fit des mouvements de va et vient. NETTOIE TOUT ! Vvianne n'en pouvait plus et fit ce qu'il voulait. Elle s'activa de la langue et avala toutes les secrétions. Une fois la bite propre, il se releva et la laissa aller dans la salle de bains. Vivianne qui ne supportait pas les odeurs, avait été contrainte à un nettoyage qu'elle n'avait jamais imaginé. BON C EST PAS MAL MAIS DEMAIN TU FERAS ENCORE MIEUX. RENDEZ-VOUS DEMAIN MATIN A LA MEME HEURE...

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