Enfin en femme bis - histoire érotique

Il est revenu, tu penses bien, au bout de quelques jours. Moi, je n’arrêtais de penser à ce qu’on avait fait et surtout de ce qu’on fera ensuite. Je voulais être encore plus sexy pour notre deuxième rencontre. J’avais acheté (en me ruinant…) de nouvelles fringues, encore plus pute que celles de l’autre fois. Superbe guêpière noire, bas résilles noirs, magnifiques hauts talons (14 cm ! durs à porter, mais je ne reste pas debout longtemps…) achetés à prix d’or chez Ernest (le top qualité !), longue perruque noire aussi, collier de perles, bracelets (tout ça en noir, tant qu’à faire). Et surtout un nouveau rosebud que j’ai trouvé sur le net, un incroyable « taillebud », (avec une queue en crin noir qui dépasse, une fois enfoncé fans la chatte). Je ne savais pas que ça existait Je m’étais promis de lui faire cette surprise. D’habitude, je n’en mets pas pour recevoir, mais là, je ne sais pas ce qui m’a prise… Ca fait très salope, j’ai vu ça dans le miroir, ça m’excitait toute seule. Je veux lui montrer que je suis prête à tout… Il me l’enlèvera ou jouera avec quand je l’accueillerai à nouveau dans mon couloir… Enfin, on verra bien… Je me suis maquillée encore mieux qu’avant, blush etc., jusqu’aux faux-cils que j’ai enfin appris à fixer. Effet super... Que dire encore … toute lisse évidemment, parfumée avec Opium… J’avais disposé dans le salon quelques objets érotiques, godes en tous genres (dont un énorme dont je ne m’étais jamais servie), vidéos de travs en boucle, musique d’ambiance… Réserve de poppers, rhum blanc très fort….
L’effet queue a marché !
Il est venu vers 11h. Je n’avais pas mis de culotte car la guêpière a un petit voile en bas, un peu comme une très minijupe volante et je voulais qu’il voie la queue du rosebud sortant de ma chatte. Même scénario pour son arrivée : porte entrouverte, moi collée contre le mur du couloir sombre, une jambe pliée, petit sac à main en bandoulière… J’ai tout de suite vu qu’il bandait déjà fort, à deviner la grosse bosse sur son pantalon, sans parler de son regard…. J’en étais ravie et même sûre qu’il avait bandé pendant tout son trajet, et même qu’il se mettait à bander partout dès qu’il pensait à ce que nous avions fait la dernière fois. Mon clito était là, dressé, tout dur, jaillissant, magnifique à voir hors de de la guêpière, offert. Il s’est précipité sur moi et s’est mis tout de suite à me sucer. Ah le salaud ! qu’il suce bien. Il m’avale toute la longueur en me pelotant les boules bien serrées par l’anneau doré. Il s’est relevé et, tout en me suçant les seins, a voulu enfoncer ses doigts dans la chatte. Mais il s’est heurté à la queue de crin, qu’il n’avait pas vue, tellement il avait été pressé de me sucer. « Qu’est-ce que c’est ça ? » me demande-t-il. Je me suis tournée en lui expliquant. Ça l’a excité encore plus. Il m’a branlé alors le clito et la chatte en faisant des petits va et vient avec le rosebud (4.85 cm X 0.30). C’était bon !!! Puis l’a retiré (super sensation quand on le retire…) et a commencé à me doigter. Comme j’avais des talons plus hauts, c’était plus facile que la dernière fois. Etre doigtée debout c’est tellement bon ! Je branlais en même temps sa grosse et longue bite, qui m’avait si plaisir. Il me suçait les seins (même s’ils sont bien, faudra que je pense à augmenter leur volume)…
Nous sommes passés au salon, où il s’est vite mis à poil, faisant semblant d’être en retenue, mais je savais qu’il était en rut. Sur le lit. Là, il est devenu plus directif : « mets-toi comme ça » m’ordonna-t-il en m’allongeant sur le ventre. Puis, se mettant derrière moi, me soulève les fesses assez haut ((il est fort, mes talons ne touchent plus le lit…), et commence à me lécher la chatte. Je sens sa langue qui s’enfonce, me titille le trou, me lèche les boules… Ça commençait bien. Moi je me popperise pendant ce temps, histoire de faire encore plus (enfin…si c’est possible…) ma salope… Puis il me doigte profond en me branlant le clito. Purée, je vais déjà jouir ??? Non… faut pas… Mais c’est tellement bon… Puis… plus rien… « Reste comme ça ! » me dit-il, d’un ton qui me faisait penser que j’avais intérêt à le faire… Je l’entends revenir (j’avais la tête dans l’édredon, les fesses cambrées, offertes …) et je ne tarde pas à savoir ce qu’il avait fait… Il me reprend dans la même position et je comprends qu’en fait il était allé chercher le rosebud qui était resté dans le couloir, puisqu’il me l’enfonce jusqu’au bout. Ah ah, le salopard ! Comme je l’avais prévu, ma « queue » lui plait ! Il me branle doucement la chatte avec, renfonce, s’arrête, et, visiblement en contemplant la scène, me dit : « ça m’excite énormément, voir ta salope de chatte, encore plus salope avec cette queue de jument qui dépasse, tu es encore pire que je ne l’imaginais… Tu vas voir, on va bien s’entendre, j’ai des idées pour toi… ». Ces mots, m’inondaient d’un plaisir mystérieux…
Lèches-moi le trou !
Je n’ai pas répondu. J’étais en feu et j’attendais la suite. Il me remet sur le dos, en me laissant le rosebud, s’accroupit devant ma bouche … « Lèches-moi le trou en me branlant et suces-moi la bite dès je te le dirai ! ». Je m’exécute, tu penses bien, en m’appliquant. J’écarte ses fesses et commence à le lécher, tout en le branlant. Son trou, comme je le savais, n’est pas très ouvert, mais je n’ai pas de mal à enfoncer ma langue dedans. Ça me plait, c’est un peu poivré, mais propre (heureusement…). Je sens, à ses mouvements, que ce salaud adore ça (tous les mecs, même les pires machos, adorent ça, je le sais depuis longtemps). Puis il me dit : « mets tes doigts et suces-moi !». Ce que je fais tout de suite, évidemment. Il prend deux grandes bouffées de poppers. J’enfonce son trou déjà bien mouillé, avec un puis deux et trois doigts. Putain ! Serait-il comme moi ? En même temps, il se souvient (c’est sympa…) de mon clito et me le branle en mettant sa main derrière lui. L’autre main me replote les nibards. Tu vois la scène ? Dans ma bouche, sa bite se soulève à chaque fois que j’augmente la pression de mes doigts dans son cul. Je suis sûre qu’on ne lui a jamais fait ça, du moins pas aussi bien. Je suis aux anges… Quel étalon ! J’ai mal à la nuque…
Rhum blanc + Popp’
Il se retire, me laissant allongée, un peu étourdie par la violence de la pipe. Se sert un grand verre de rhum blanc. J’ai peur qu’il en boive trop, car il est fort (55° !). Vient m’embrasser en m’en glissant dans la bouche, plusieurs fois, par petites giclées (je pense à l’effet sperme, du coup). Je lui saisis la bite par la même occasion. Le cocktail alcool + popp, faut faire attention. Je me suis déjà faite avoir deux fois : KO couchée ! Mais mmm !!!!! On fait une petite pause après l’avoir sucé encore avec la bouche pleine de rhum… On passe sur l’autre canapé. J’avais prévu des toasts apéritifs à base de gingembre frais pillé. On n’avait pas besoin de ça, mais je sais d’expérience que ça augmente encore le désir. On picore en bandant et en se suçant à tour de rôle… Toujours excités mais envie de se calmer pour mieux recommencer. Je le sens bien, il a de plus en plus envie de moi, et j’avais pensé que ça se passerait comme ça (et je repensais à ce qu’il m’avait dit la première fois : « tu seras ma pute »)… Du coup, comme il a le temps, j’applique le « plan B » que j’avais prévu depuis le début.
Changement de décors
Je lui apporte les mini-sandwiches au rosbeef- salade que j’avais préparés avec soin, un verre de bon vin, et lui demande (gourmande…) : « j’aimerais bien me refaire une beauté, et me changer. Ca te plairait ? J’en ai pas pour longtemps… Manges-ça en m’attendant et regarde les vidéos… ? » Lui : pas de problèmes, chérie, me répond-il, prends ton temps pour te faire belle pour moi ».
J’avais tout prévu. Je vais dans la salle de bain et là je change complétement de tenue. Plus «sage » : une jupe noire droite (fendue derrière quand même), beau chemisier blanc manches longues, avec joli col fermé. Cette fois, j’ai mis, sous un autre soutien-gorge, de beaux et gros faux seins. On voyait bien les tétons percer sous le chemiser. Perruque mi longue, blonde cette fois et des bijoux en plaqué or, plus assortis à la tenue. Haut-talons un peu moins hauts, classiques, genre secrétaire. Culotte dentelle classique, mais très sexy (toujours ouverte devant) quand même, bas coutures, clairs, porte- jarretelles assortis. Faux ongles peints couleur or, et je me suis re bien huilée la chatte : elle allait en avoir besoin…
Mode coulissant
Je reviens au salon au bout de vingt minutes, en m’excusant du retard. Il me regarde, étonné, mais je vois tout de suite que je lui plais aussi dans cette tenue. « Tu es superbe !, tu as beaucoup d’autres tenues comme ça? ». Je lui réponds que j’en ai un peu plus, pas vraiment beaucoup (mais de qualité), que je veux en avoir davantage, mais que tout cela coute cher et que je n’ai pas les moyens. Il se lève, la bite tendue, se colle à moi en me pelotant les bas et l’entrecuisse. Puis m’entraine ensuite vers une chaise où il s’assoit, moi debout. « Prenons du poppers et du rhum », décide-t-il. On le fait. Il me branle le clito et me dit « retrousse ta jupe ». J’obéis (j’adore le mot retrousser…). Il baisse ma culotte, me doigte la chatte toute mouillée, et m’ordonne finalement d’enlever ma culotte. Il bandait très fort et mourrait d’envie. « Viens t’empaler sur ma bite ! » Je m’exécute. Je me place au-dessus de lui, écarte mes fesses et descend mon trou sur sa bite, la guide avec ma main. Et ma chatte l’avale tout doucement, par étape, jusqu’à la garde. La sensation est terrible, j’ai souvent fait ça mais à chaque fois c’est du pur bonheur. Je fais des va et vient pendant un bon moment, lui me branlant en même temps, me caressant les jambes voilées (le PJ tendu fait effet…). Puis il me retire : « à genoux, suces-moi, salope ! ». Je l’englouti à nouveau, avec ma bouche cette fois. Il y a un petit gout, mais pas fort (ma chatte a toujours un lavement profond). Je le suce comme une déesse en le branlant, en lui tirant les couilles et en le doigtant, puisqu’il aime ça ce macho, ce salaud qui me plait de plus en plus. J’ai bien envie de le vider car je sens qu’il ne demande que ça. Une bonne giclée me ferait jouir… Mais il ne m’a pas encore suffisamment baisée et je veux repasser à la casserole …
Encore la queue qui fait effet
Justement… Il me ramène vers le lit. S’assoit au bord comme l’autre fois. Je reste debout, de dos, il me fait tourner, m’enfonce le rosebud avec la queue et prend le temps de regarder. Reprend du poppers ! Je me fais un plaisir d’obéir et du coup reprends en même temps une bonne gorgée de rhum blanc. Car je sens que ça va chauffer. Et il faut que je sois chaude au maximum. Mon clito est de plus en plus excité, je te parle pas de ma chatte… Tout est brûlant, agréable, mais maitrisé … Je suis sûre qu’il s’excite en prenant le temps de regarder la queue de crin qui sort de ma chatte. Il s’amuse avec… Écarte les jambes ! Je le fais… Je sais ce qu’il voit. Ma jupe toujours retroussée, mes PJ tendus sur mes bas, mes hauts talons, ma queue du rosebud qui dépasse… Il joue avec elle, voit aux mouvements de mes fesses et de mes jambes que j’adore ce qu’il me fait. C’est vraiment un expert du sexe. Et moi je me sens vraiment pute…
Là, je m’engage pour être sa putain
Puis il me fait venir à côté de lui, sur le bord du lit. Faire comme l’autre fois… Je me love près de lui, commence à le sucer en le branlant. Il me retire doucement mon rosebud-queue et me fourre la chatte, aussi ouverte que l’autre fois… Il me dit d’emblée : « si tu veux de belles tenues, je sais comment faire. Salope comme tu es, tu vas faire la pute pour moi et tu gagneras aussi ta vie ». Un peu surprise de sa rapidité, j’arrête de sucer pour répondre. Lui : « continue sans m’interrompre. Si tu es d’accord, tu fais Mmmm… et si tu n’es pas d’accord, tu dis non avec la tête compris ?! » Moi « Mmmm… ». Il continue, tout en me doigtant en prenant soin de bien m’élargir la chatte. Dans ces conditions d’excitation, je sens que je vais dire Mmmm…à tout ce qu’il voudra. C’est peut-être ce qu’il a prévu, ce vicieux. Un pro… Pas un mac à l’ancienne, mais un type, marié, bon père de famille, qui veut prendre son plaisir. Je comprends ça… Il m’explique qu’il déjà eu une pute dans le passé, qui a dû partir loin. Que tout s’était bien déroulé et qu’il voulait depuis longtemps recommencer. Mais qu’il n’avait pas, jusqu’à ce qu’il me rencontre, trouvé encore quelqu’une de capable. Puis il rentre dans les détails. J’imagine… Je dis Mmmm… à tout. Son plan et super et il sent au frétillement de ma chatte à chacun de ses mots, que ça me plait vraiment. C’est du chaud ! Risqué, mais je veux y aller…
Gros gode, le sperme coule à flot…
Là-dessus, il prend le plus gros gode que j’avais posé sur la table, me fait reprendre du poppers, en prend aussi, rhum pareil, il me lubrifie encore… J’ai un peu peur mais je suis dans un état second… Il m’enfonce l’énorme gode assez facilement (j’étais sûre que je n’aurais jamais pu me l’enfiler). Et commence à me baiser la chatte avec ça. J’ai des tas de frissons de plaisir. Je le branle et le suce bien en même temps. On est synchrone ! « Maintenant tu vas me faire jouir comme ça et avaler tout ! » . Je fais Mmmm … en tortillant mes fesses. Je continue à m’occuper de lui, comme je sais faire. Il n’en peut plus (moi non plus…). Sa bite saccade, il me traite de tous les noms, il va jouir tout de suite, je le sais. Là, c’est moi qui le domine … Et il commence à râler de plaisir…Soubresauts… J’en reçois plein la bouche, de grosses giclées successives… J’arrive à les avaler toutes (ce n’est pas facile car j’avale rarement), en laissant toutefois un peu de sperme dégouliner sur mon visage (je sais que les hommes aiment ça). Il se calme, ravi. « Salope c’était une pipe super, y’a longtemps qu’on ne m’a pas fait ça aussi bien » me dit-il gentiment. Je lui réponds, reconnaissante : « C’est à moi à qui tu as fait encore une fois un plaisir immense, mon chéri ». Ayant repris ces esprits (j’avais encore le gros gode-plug planté dans cette de plus en plus salope de chatte), il voit que je bande encore fort et que je n’ai pas joui. Il me retourne, me laboure à nouveau avec le gode, me branle le clito, et les boules de l’autre main, me suce. Il veut me faire jouir, je le sens. J’en peux déjà plus, mais je pense à ce qu’il m’a dit à propos de sa pute que je vais devenir. Il me traite à nouveau avec des mots encore plus vicieux. Là, ça me fait un déclic (même si je n’en avais pas besoin…) j’éclate en hurlant de plaisir. Il me boit ! Je mets bien dix minutes à reprendre mes esprits. On s’affale sur le lit…

La prochaine fois je te raconte en détail le plan pute et … mon premier client. N’empêche, quel salaud !