Enfin tranquille à ma ferme. Fin - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Pascal avait mis lui aussi un short de jogging bien ouvert sur les cotés, sans slip et comme il était un peu petit pour lui il rentrait dans la raie de ses fesses, marchant devant moi il ondulait volontairement et j'ai pas tardé à reprendre de belles formes. Comme on marchait pieds nus, on a pas fait de bruit et par la porte de la grange entrebaillée on a vu Bruno s'exciter le fion sur un gode fixé sur un mur. On le voyait de profil aller et venir sur un des goses de belle taille que je possédais. Tout à son affaire il ne nous a pas vu et j'en ai profité pour peloter les fesses de Pascal qui s'est penché un peu plus, moulant mieux son fessier.J'avais dégagé ma queue et me frottait aux fesses de Pascal qui pousssait ses fesses contre moi en matant. On a failli se casser la figure et Buno nous a repéré. Il a rougi et s'est dégagé du gode.
Eh bien on se fait du bien tout seul?
Euh oui un peu mais c'est surtout pour être plus ouvert pour vous. J'ai vu la collection de godes et j'ai choisi une taille au dessus de celle de Manuel.
On s'était approché et Pascal a vérifié en mettant le gode à coté de ma queue.
Ouaih un peu plus gros, c'est vrai mais t'a fouillé partout?
Bah, non y a de trucs je sais même pas à qui ça sert.
Tu veux vraiment être large comme ce gode?
Ben ça me plairait oui.
Bon, Pascal avait pris la direction des opérations et l'a dirigé dans un coin de la grange. Tu vois cet appareil, tu installes le gode au bout dela tige et avec la roue et la manivelle qui tournent entrainées par le moteur, le gode te défonce inlassablement.
Putain c'et pas mal ça. Mais tu peux toujours t'enlever.
Le principe , c'est que ton mec t'installe de façon à ne pas bouger et n'arrête que quand il veut.
Bruno bandait dur et se yeux brillaient.
Tu le fais Pascal? A moins que Manuel le veuille.
Manu fera ça mieux que moi.
Bon ok alors commence par t'installer sur ce truc en ferraille rembourré. Creuse bien le ventre dessus que je boucle la sangle. Ecarte un peu les pieds dans les demis cercles. Je les coince aussi pour que tu ne bouges pas. Mets les coudes bien à plat à terre. La aussi je les ai attachés.
Je vais positionner l'appareil et le bloquer en place. Ouvre bien et détends toi que je le mette bien au fond. Le gode avait de petit picots le long de la tige et j'ai bien réglé avant de commencer un premier va et vient mécanique lent.
Tu le sens bien? Tu préfères plus lent ou plus rapide ?
Un tout petit peu plus rapide. Il parlait dune voix chevrotante.
On reste à coté si tu as un désir à satisfaire.
Vous allez faire l'amour?
Oui pas la peine de se gêner non? Tu aime ça et nous aussi. Mais on se fera plaisir aussi avec toi. On s'est installé devant lui pour se caresser, Pascal ouvrait grand les cuisses, m'exhibant sa fente de mec que bruno avait du déjà pas mal visiter. Je l'entendais grogner de plaisir pendant que je suçais Pascal, lui doigtant l'anus d'un doigt inquisiteur et assez vite rejoins par un deuxième. Pascal ne restait pas inactif , sa langue allant du bas de les couilles(Diable qu'elle pendaient!) jusqu'au gland, insinuant la pointe de la langue dans le trou de ma verge.
Attends avant que je te prennes on va changer de position. Mets toi à 4 pattes sous Bruno et suce le, moi je te prendrais en te soulevant les cuisses.
Humm t'es vicieux et j'adore. Il a pris la pose et j'ai engagé ma queue dans ce trou qui attendait depuis si longtemps j'étais à la fois impatient et attentif à son plaisir et c'est lui qui des mains sur mes hanches me tirait ou me poussait , me donnant la cadence qui est devenu trés vite infernale. Je n'avais plus qu'un désir, jouir dans ce cul qui s'offrait. Quand j'ai enfin laché les vannes de mon plaisir, j'ai vu sur les lèvres de Pascal des traces de sperme que Bruno avait laché.
Bon, je vais faire plaisir à Bruno il va me sucer et aura comme ça le plaisir de ma queue et le goût de ton cul. Je me suis agenouillé devant lui, tendant mon sexe à sa bouche. Il était parti dans son délire avec le gode qui inlassablement labourait son cul et a ouvert la bouche sans hésiter. Léchant les quelques secrétions que Pascal avait laissée glisser sur ma tige. Il a joui je crois pour la troisième fois dans la bouche de Pascal et j'ai arrêté la machine. Une fois libéré il avait de beaux cernes sous les yeux et n'a pas pu se relever de suite.On est parti vers ma ferme nous restaurer et de loin j'ai vu une voiture bleue caractéristique. <j'aipassé un tee shirt dan la salle et suis allé au devant de la voiture. Un gendrame en uniforme m'a salué, me tendant une envelloppe. Le chef a reçu le message et a préféré vous mettre au courant comme ça. Je vous laisse, il n'attend pas de réponse.
J'ai ouvert la lettre, le commandant de brigade me retransmettait une lettre de mon chef aux moeurs. Il m'informait de la mort de l'ex procureur Prades. Tant que son procès n'était pas passé en justice il avait eu droit à une cellule particulière mais ensuite, Des matons, sachant que c'était un violeur de môme l'avait mis avec deux barraques et il leur avait servi de femme. Lui faisant comprendre ce qu'était un viol. Il avait du servir tout ceux que les mecs lui désignaient et nes'est jmais plains, connaisant le pourquoi de ce qui lui arrivait.
Ce qui n'était pas prévu c'est qu'il y avait eu un des taûlards qui avait le sida et chez lui ça a été assez foudroyant puiqu'il ne s'est jamai plaint. Ce sont les matons qui ont remarqué les signes d'amaigrissements mais malgré tout les soins il est décédé en disant qu'il ne regrettait rien et à eu un mot te félicitant de ton travail.
Le chef me disait qu'il avait fait suivre le courrier par la gendarmerie pour que Pascal ne soit pas au courant. La mort n'est pas un sujet pour un jeune comme lui. Un traumatisme suffisait.
Je suis remonté à la ferme et j'ai jeté la lettre au feu.
Ils m'ont tout les deux demandés si c'était un nouveau travail pour moi mais je les ai rassuré, mon chef me disait simplement que la dernière affaire promettait.
On a repris nos jeux tout l'été sans arrière pensées.
Voila l'histoire de Manuel se termine, pas joyeuse, mais hélas il y a des moments ou il faut savoir se couvrir quand on ne connait pas son partenaire.
Bonne journée et sortez encapuchonnés.