Enfin un vrai domi

- Par l'auteur HDS Alain123 -
Récit érotique écrit par Alain123 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Enfin un vrai domi Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Enfin un vrai domi
J'ai toujours voulu rencontrer un mec dominateur qui saurait me soumettre et m'amener à devenir une chienne. Le problème et de d'accepter la soumission et surtout de trouver un maitre en qui on ait confiance et qui est suffisamment vicieux. Et ça, c'est compliqué.

Je l'ai rencontré d'une façon tout à fait normale : sur un site de rencontre. Je cherchais un plan chaud et me présentais comme un passif soumis. Je tombe sur ce profil : arabe de 41 ans, 1m77, 81k, membré large, velu comme un ours (dixit l'annonce) et qui cherche une salope qui saura se laisser faire. Voilà grossièrement le dialogue sur le chat :
- Salut. Je suis passif soumis. Et toi?
- Moi actif exigeant. Mare des faux passifs qui n'encaissent pas.
- Une fois ouvert j'encaisse plutôt bien. Et selon feeling j'aime les plans domi. Tu es dispo quand?
- Envoie photo avant. Par MMS. Mon tel 06...
J'envoie la photo.
- Plutôt intéressant. Je suis dispo now et je reçois. Moi Karim
- Moi Alain.

Il me donne son adresse. Plutôt pas compliqué le monsieur. C'est bon signe.

Je me prépare et je pars. Une fois sur place, je l'appelle et il me guide jusqu'à chez lui. Je monte les escaliers, stressé comme dans tous les premiers plans. Je sonne et un homme barbu m'ouvre. Son regard me réduis au silence. Il me dit de me mettre sur le canapé.

L'appartement est assez petit et la pièce principale est très claire. Sur le canapé, plusieurs serviettes. Je vais passer à la casserole ici j'ai bien l'impression.
- Tu fais souvent ce genre de plan? Me demande t-il.
- Ça dépend de mes envies.
- Tu veux boire un truc? Ou bien tu veux me sucer direct?
- La pipe c'est pas mal. Dis-je avec un petit sourire.
- Je vais être rude à partir de maintenant. Ça te va?
- Heu. Oui...

Il s'assoie sur le canapé à côté de moi.
- A genoux pétasse. Et tâte moi le paquet.
Je fais ce qu'il me demande et commence à tâter ses cuisses et remonte vers la bosse qui est encore toute molle. Je me demande la taille de sa queue. Après quelques secondes je pose ma bouche sur sa bosse à travers son pantalon et mordille doucement. Ça commence à grossir et à durcir. Je passe ma main sur son ventre un peu grassouillet mais très velu.
- C'est bien salope. Je te cracherai mon jus dans la gorge après la baise. Direct en fond de gorge. Si tu n'as pas l'habitude ça te fera tout drôle.
Je prend l'initiative de défaire sa ceinture.
- C'est bien. On n'a pas besoin de te dire quoi faire.
Il se lève un peu pour que je puisse descendre son pantalon et son slip. Je me retrouve face à une grosse queue, pas longue, mais avec un gros gland et une base encore plus grosse. Elle est droite et pas totalement dure. Elle sent un peu fort, certainement la transpiration. Ses poils font une grosse touffe noire et épaisse tout autour de sa queue.
- Gobe un peu le gland et tâte mes boules.
Je prend ses boules en mains. Il a vraiment beaucoup de poils. Ce n'est pas très excitant sur le moment. Je commence à prendre son gland en bouche et je sens une petite odeur de pisse.
Après quelques minutes sa queue est raide et j'ai la bouche pleine avec son gland et une partie de sa queue. Je n'arrive pas à en prendre plus car la base est vraiment trop grosse. Si il s'enfonce à fond dans mon cul, je vais dérouiller.

Il se lève et me dit de rester à genoux. Me prend la tête avec ses deux mains et commence à me baiser la bouche lentement et régulièrement. Et de plus en plus à fond.
- Je vais te niquer la bouche tellement longtemps que je vais je vais t'anesthésier la gueule comme chez le dentiste sac à foutre. Putain, je vais te faire regretter de m'avoir dit que tu encaisses. Je vais te ruiner tes orifices façon arabe en rut. Je vais te faire comprendre qu'elle est ta place sous merde.
Il accélére le rythme. Je commence à avoir du mal à suivre. Mais il ne s'arrête pas. Et augmente le rythme lentement et ne ralenti à aucun moment.
- Lève les yeux.
Je le regarde, il se racle la gorge et me mollarde le visage. Ça tombe sur le nez et coule sur une de mes joues.
- La prochaine je te mollarde dans la gueule. Je vais te faire gouter à la bave d'homme. Et t'as intérêt à avaler.
Il commence à me bloquer sa queue pendant quelques secondes dans la gorge, puis ressort. Il répète l'opération plusieurs fois. J'ai vraiment du mal à ouvrir. La queue ne va pas trop au fond, donc je n'ai pas de haut le coeur. Mais je commence sérieusement à avoir mal à la mâchoire à force d'ouvrir autant la bouche.
- C'est bien. Je vois que tu prends bien étouffement. Je crois qu'un de ces jours je te pisserai dans la bouche pour bien me servir de ta bouche comme d'un chiotte. Ça va te faire drôle je pense.
Je ne suis pas particulièrement attirer par l'uro. Mais voir ce mal dominant prendre plaisir me fait dire que je vais certainement le faire.
- Allez tapette. Déshabille moi.

Je me lève et avale toute la salive que j'ai dans la gorge et m'essuie la bouche avec ma main. Je retire sa chemise et découvre un torse complément velu. Des biceps gros comme mes cuisses, un torse avec des pectoraux saillants et un ventre assez rond, mais fermes qui lui donne un air de daddy qui m'excite au plus haut point.
Je déposé sa chemise sur le canapé et m'agenouille pour retirer son slip, son jean et ses chaussettes. Ses cuisses sont tout aussi velus que son torse ou ses bras. Un vrai ours comme il l'avait écrit.
- Renifle mes couilles.
J'obéi et sent vraiment une odeur forte de transpiration. Il me prend la tête, ouvre ses cuisses et me colle le nez entre ses couilles et son trou.
- Lèche et gratte moi les couilles doucement. Après je te travaillerai le cul pour te niquer comme la dernière des chiennes.
J'ai plein de poils dans la bouche, je n'aime pas trop mais devant l'autorité de ce mec je n'ai qu'envie, c'est de le rendre fier de moi. Je lèche donc tout ce que je peux. Et par moment ma langue va tâter un peu son trou du cul.
- T'as l'air d'aimer l'odeur de mâle. Je te ferai travailler mon trou avec ta langue. Et si je suis d'humeur, je laisserai même un peu de merde. De la merde pour une sous-merde. Fini la Lope. Met toi à quatre pattes sur le canapé. Je vais te doigter et ensuite je t'encule. Je te préviens, la préparation n'est pas mon fort. Ça m'emmerde.

Je m'installe donc sur le canapé et cambre un maximum pour bien tendre mon cul. Il crache dessus et commence à insérer un doigt. Puis rapidement un second et troisième viennent. Il crache plusieurs fois sur mon trou et me doigte de plus en plus. J'encaisse plutôt bien je trouve, certainement l'excitation.
- Je vais mettre une capote. Je suis persuadé que tu t'es déjà fais doser.
- Oui. Mais uniquement par des mecs que je connais.
- Si t'encaisse bien, je te doserais un jour. Je suis sain, je te montrerai un test.
Il colle son gland sur mon cul et pousse doucement sans s'arrêter. Je couine car son gland est vraiment gros.
- C'est du lourd. Je travaille pas la profondeur mais la largeur. Je vais te faire couiner quand je rentrerai et sortirai.
Je pousse tout ce que je peux pour m'ouvrir. Ça risque laisser des trace, mais je m'en fout, j'ai pas envie qu'il m'explose le cul. Là je commence un peu à flipper.
- Allez. C'est parti. Je te refais le trou façon grotte de Lascaux.
Il s'enfonce à fond doucement. Mais fermement. Une fois à fond, je pousse un ouf. Il ricanne et me prend les cheveux d'une main et plaque son autre main sur mon coup pour me ramener à lui et me murmure :
- T'es qu'une merde qui me sers que pour mon plaisir.
Là il commence à sortir un peu puis revient à la charge à fond tout en me tenant toujours collé à lui. Il repart à fond et me lâche la gorge et les cheveux pour me tenir par les hanches. Après quelques allez-retour il sort brusquement. Putain ça fait mal! Et il rentre à nouveau à fond, plus rapidement que la première fois. Il recommence plusieurs fois ce manège et toujours plus rapidement. Malgré son côté bourrin, je sais qu'il fait attention à pas me faire mal, enfin pas trop du moins...
- Ça chauffe...
- Les jeunes salopes il faut toujours les ménager. Je vais remettre du gel. Mais ne t'habitue pas trop.

Je le sens sortir. Je me retourne et le vois prendre le tube de gel et m'en faire couler dans mon trou. Je regarde sa queue qui est couverte de morceaux de merde. Cela ne semble pas le déranger. Il s'en mets sur la queue, pose le gel et me la remet directement.
- Humf...
- Je t'avais dit de ne pas t'habituer à mes bons gestes.
Il recommence une baise régulière et ferme. Je tends mon cul comme je peux. Mais le salaud me fait comprendre que je suis à sa merci. Il me claque brusquement les fesses et n'y va pas de mains mortes.
Il sort de mon cul, y place quelques doigts et remets brusquement sa queue.
- Putain! Tu me déchire!
- Ta gueule. Tu as le cul ouvert comme un salon d'exposition. Tu me disais que tu encaisses une fois ouvert. Et bien tu l'es. Je te trouverai d'autres actifs et on te fera des doubles, alors tu as intérêt à t'y habituer. Ça faisait longtemps que je n'avais pas rencontrer un si bon passif. Surtout pour un premier plan.
Il me baise ainsi pendant quelques temps, puis sors sa queue brusquement.
- Viens sucer salope.

Je me retourne et il me prend par les cheveux et me plaque sa queue sur le visage avec le préservatif avec quelques traces de merde.
- Ouvre!
J'ouvre la bouche et avale du mieux que je peux. Je sens vraiment ma merde dans la bouche.
- Nettoie bien la capote. Après je la retire et je te gorge la gueule de mon jus.
Après quelques aller-retour. Il retire la capote et me la colle dans la bouche.
- Mâche le temps que je me branle un peu en t'admirant.

Il s'astique et me regarde méchamment. Un vrai prédateur. Même si je me doute que c'est un jeu, je flippe un peu.
Il se branle de plus en plus vite et sa respiration s'accélère.
- Crache la capote.
Il me colle sa queue dans la bouche et me bourre la bouche en me tenant la tête.
- Putain! Je vais te remplir et avale tout. Ha....
Il se vide par plusieurs jets. 3 ou 4. Je ne sais pas bien. Il me colle sa queue en fond de gorge et je commence à avoir des hauts le coeur. Mais il s'en fout et me maintient sans bouger tout en feulant. Je force avec mes mains sur ses cuisses pour me défaire de son emprise et la il me lâche. Je tombe sur le dos et reprend mon souffle. Lui s'allonge sur le canapé.
- Putain. Ça c'est du dégorgement. Tu es surprenant. Pour une première c'est fort. Tu ne bronche pas. Une vraie lope.

Je me relève et mets à côté de lui sur le canapé et passe ma main sur sa queue qui perle encore un peu de sperme.
- Je n'y suis pas allé trop fort?
- Un peu. Mais je voulais vivre ça.
- C'est vrai que t'encaisses bien. Il faut vraiment qu'on fasse d'autres trucs ensemble.
Il me prend la tête et me roule une grosse pelle baveuse. Je l'enjambe et me mets sur ses genoux, face à lui. Je passe mes mains sur son dos velu. Et pose ma tête dans son coup qui sent la transpiration. Ma respiration baisse doucement et je m'endors sur son épaule.

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