ENTRE COPINE
Récit érotique écrit par Simorgh [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-02-2008 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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ENTRE COPINE
<p>Lors d’une conversation très banale entre copine je déclare que le mardi, après les cours, mon fils va chez ma mère et dort aussi chez elle et que pour profiter de cette journée de célibataire sans enfant je vais aller au cinéma.
Pendant la conversation, un docteur pour qui je travaille me demande si elle peut venir avec moi, si j'y vais seule et à qu’elle heure. Je lui réponds: en sortant à 14 heures, que j y vais seule et qu’elle peut venir avec moi si elle en a envie. Mais à une seule condition : qu’elle arrête de me balancer du "vous" long comme le bras et qu’elle connaît mon prénom.
Donc nous partons ensemble pour notre salle obscure.
Toute la séance se passe tranquille. Malgré quelques petites mains baladeuses sur les jambes et les genoux. Mais bon, je sais qu’au travail elle a une réputation de croqueuse de femmes. Cela ne me dérange pas. M’amuse plutôt. Titille ma curiosité. Si en plus de plaire aux hommes je plaisais aussi aux femmes. Pourquoi pas, ça pourrait être amusant. Il parait que ça vient de mon parfum. Ça plairait beaucoup à mon amant, lui qui me parle toujours de baise à trois. Je pourrais lui apporter deux femmes. Et tout ça que pour moi, car le médecin en question et franchement allergique aux hommes. Donc j’aurai rien que pour moi un homme et une femme.
Tout en regardant le film je pense à mon amant et à sa venue nocturne, ainsi que de la surprise qu’il aurait si il trouvait dans le lit sa maîtresse avec une autre femme, en train de se doigter consciencieusement et de mouiller comme deux fontaines. Je pense que cette situation l’exciterait fortement.
J’ai de plus en plus de mal à me concentrer sur le film et laisse partir mon imagination à mes délires sexuels. Surtout que la main se fait de plus en plus entreprenante et que je me laisse faire. Puisque maintenant elle est entre mes jambes et que ma chatte commence à réagir aux caresses.
Je ferme les yeux discrètement pour ne pas faire remarquer que j’apprécie ses caresses et pense à la main de mon amant pour faire un transfert de personne. Mais dans un élan de pudeur je retire la main et la pose délicatement sur la cuisse de sa propriétaire. Et essaie tant bien que mal de reprendre le fil de l’histoire. Et jusqu' à la fin du film elle garde ses mains sur sa taille.
A la sortie nous allons manger un morceau au Mac Do tout proche mais l’ambiance et un brin plombée, plutôt tendue.
La copine me regarde droit dans les yeux et dit : "Géraldine, tu me plais terriblement. Je sais qu’il y a un homme dans ta vie, que tu aimes les queues et pas vraiment les mollusques".
Heureusement qu’il n' y a pas grand monde et que nous sommes dans un coin retiré. Je prends une jolie couleur pourpre aux joues et sens la chaleur monter.
"Je t’ai entendue le dire au vestiaire, sur le coup ça m’a bloquée, je voulais te parler de mon attirance envers toi, mais venant de ta part ça m’a fait sourire et ça ne m’a pas fâchée. La preuve je suis ici avec toi". "Tu n’as jamais eu ce style de relation. Tu n’as jamais couché avec une femme. C’est pas comme avec un homme mais c’est bien aussi, tu devrais essayer et avec moi si tu veux."
On monte chez moi pour récupérer les affaires de ma copine. Je la brusque un peu car cette situation me gêne, je ne suis pas habituée. La relation avec cette femme me fait un peu peur. Et puis mon amant ne devrait plus tarder à arriver. Mais je suis toujours entre deux. Je commence à le connaître et on en a parlé je sais que cette situation lui plairait assez. Et je voudrai aussi lui montrer à quel point j’ai changé. Et de quoi je suis capable. Capable de me faire une femme pour lui plaire plus encore. J’ai beau bouger la copine elle n’est pas décidée à partir. On dirait qu'elle sent que j'attends quelqu'un...Si elle ne part pas je vais me retrouver dans le même lit, entre un homme et une femme qui devient très entreprenante. Devant mon inertie ses mains commencent à me déshabiller.
Je reste debout et ne bouge pas. Je me laisse faire, je commence à trouver ça agréable et ça excite ma curiosité et pas que ma curiosité…moi aussi. Me retrouver en sous-vêtements devant une femme qui, délicatement ôte mon soutien gorge et commence à me caresser les seins en faisant rouler les pointes sous ses doigts; puis ses mains attrapent élastique de mon string pour le faire glisser vers le bas...elle reste à genoux et embrasse ma vulve toute bombée...je frissonne de plaisir. C'est inouï, cette femme qui vient de me déshabiller embrasse ma chatte et je la laisse faire avançant même le ventre pour sentir sa bouche s'appuyer plus fort. Elle empoigne mes fesses avec ses mains et se met à les caresser en mouvements très doux et circulaires. J'ai un frisson plus fort que les autres et sens que je suis en train de mouiller comme avec mon amant...Elle se relève doucement et au passage me bouffe les pointes de seins, tout en continuant à me masser la croupe...puis elle se colle contre moi et je sens a travers ses vêtements les grosses pointes de ses nichons qui semblent dures comme de l'acier.
Elle me pousse vers la chambre et là je me dis que maintenant, quoique j'ai envie au fond de moi je vais passer à la "casserole".
Tout en me suivant elle se désape à une vitesse grand V, ne conservant que ses bas retenus par un porte jarretelles et ses talons. Sa robe est partie au sol en défaisant trois boutons et comme moi elle est torse nu.
Elle me pousse dans la pénombre de la chambre et m'embrasse à pleine bouche. Ca me fait drôle, je n'ai pas l'habitude, ou c'est l'idée que je m'en fais, car après tout j'ai déjà embrassé plusieurs mecs...là c'est plus doux, moins brutal...j'aime assez finalement.
Ses mains habiles continuent de courir sur mon corps, passant des seins aux fesses, du cou au ventre, puis elle me fait mettre sur le lit...
Maintenant c'est cuit je ne peux plus reculer...d'ailleurs je me rends compte que je n'en ai pas envie, je me rends compte que j'ai envie qu'elle continue...
Si JP me voyait il n’en reviendrait pas. Son bébé pute, allongée sur son lit en train de se faire caresser, doigter, manger, jouir sous les mains d’une femme dont je ne connais même pas le prénom.
Elle a écarté mes cuisses et enfonce doucement un doigt souple dans ma motte gorgée de suc, avec le pouce elle presse sur le clitoris...ââââhhh, salope, ouiiiiiiiiiii salope elle sait y faire. Maladroitement je commence à lui pétrir les nibards. Ils sont copieux. (JP aimerait)...
Mais, comme prévu justement, il arrive, se déshabille comme à son habitude dans la salle à manger et se dirige vers la chambre et là quelle surprise... Il me voit complètement nue, haletante éperdue dans la jouissance inattendue que me procure cette femme aux formes pleines et sensuelles.
Il nous regarde le spectacle lui plait car sa grosse bite se dresse aussitôt. Il se branle en nous voyant faire. Les yeux fermés je n’ai pas remarqué sa présence. Ma copine ne voulant pas paraître coincée continue de me gamahucher à pleine main, pendant que sa bouche aspire délicatement mes seins aux pointes tendues et dures. Elle sait y faire la garce…les yeux fermés je pourrais presque penser que c’est mon salaud crapuleux, si ce n’était la caresse des cheveux de cette femme qui me frôlent la poitrine.
Sa bouche vient effleurer la mienne comme un papillon…instinctivement mes lèvres s’entrouvrent et je sens sa langue revenir doucement en picorer le pourtour.
C’est étrangement léger et bon. Rien de délirant, mais une certaine torpeur mitigée de langueur…Ca y est je suis en train de gouiner et ça ne m’a pas faite partir en courant. Il faut dire que j’attends JP, me demandant comment il va trouver le spectacle, sans savoir qu’il est déjà là en train de masturber un gros membre qui gonfle de plus en plus.
Ma copine m’a fait rouler sur le coté et prenant une de mes jambes la passe autour de ses hanches pour libérer ma belle chatte bombée. Je coule, je coule vraiment, tant depuis tout à l’heure elle a su caresser ma fente avec un art consommé. J’ai toujours les yeux fermés mais je sens le lit bouger derrière moi et deux mains chaudes et viriles se mettre à me pogner les hanches…Hein…qui est-ce ? Je reconnais le parfum de mon amant et comprends que ma copine préfère me partager avec un mec plutôt que de rien avoir…
Complètement allumée par l’érotisme salace du moment je me laisse aller à cette situation des plus crapuleuses. Dans mon dos JP appuie une bite énorme, qui ne demande qu’à me pénétrer; devant, ma copine continue à me bécoter les lèvres et à triturer mon clitoris pendant que les mains du salaud qui bande derrière moi viennent me pétrir les nichons.
Je plane total…
Ma copine rentre maintenant deux doigts dans ma chatte me murmurant à l’oreille des douceurs qui me font fondre : « tu es comme du miel, ta chatte ressemble à un fourreau de velours et soie, ta chair est tendre comme celle d’un bébé… » et ce, toujours en me rentrant ses doigts plus profondément dans le ventre. Derrière, je sens la grosse bite de JP qui s’insinue entre mes cuisses pour venir coulisser dans la fente de ma vulve, heurtant au passage les doigts de cette femme qui ne se dérobe pas et entreprend de caresser le gland qui vient se poser pour continuer à gonfler.
JP m’embrasse dans le dos, faisant monter des frissons dans toute ma colonne vertébrale. Ma copine, maintenant, enfonce sa langue dans ma bouche et sa salive me délivre une sorte d’anesthésiant qui me plonge dans une sorte de torpeur jouissive. J’ai envie de plus…il me faut une bonne pénétration, une bonne bite pour me combler…mais, la femme sentant mon désir, veut me posséder la première et demande où est mon copain électrique…Elle le prend dans le secrétaire et se remet entre mes cuisses, puis, doucement l’enfonce entre les lèvres de ma chatte…C’est salement jouissif.
Je me sens femelle, salope, jouisseuse, pute...ouiiiiiiiiiiiii, pute, c'est le mot, dans le sens de celles qui baisent pour le plaisir de baiser et rien d'autre. Je me fais baiser; je suis entre deux personnes qui s'occupent de moi, me caressent, me font jouir, me pénètrent de leurs doigts; je sens sous ma chatte une grosse queutasse qui va bientôt me défoncer pendant qu'un gode me démonte la motte...
Une femme me fait jouir, avec un olisbos, pendant qu’un mec appuie sa grosse verge sur mes fesses. Les lèvres de ma copine sont toujours sur ma bouche et elle picore en me disant de me laisser aller, que je suis bien, que je suis bonne, que je vais jouir, que je ne dois penser qu’à moi…que nous allons l’envoyer au septième ciel et qu’elle veut que je jouisse autant avec elle qu’avec JP.
Je suis sur un petit nuage de bulle. JP recommence à présenter sa grosse queue à l’entrée de ma chatte, puis, profitant d’un retrait du gode s’enfonce d’une seule poussée bien au fond. Je hurle de plaisir…ma copine me mord les lèvres comme pour me punir de ne pas jouir d’elle, puis se remet à me tripoter la motte, n’hésitant pas à frôler le membre qui rentre et sort à une cadence de plus en plus rapide. Elle joint sa main libre à celles de JP et la sarabande recommence sur mes seins dont les pointes semblent doubler de volume. JP mine de rien laisse glisser ses mains sur la poitrine de ma copine qui a, au départ, un mouvement de recul…mais comme j’y mets les miennes elle se laisse aller en fermant les yeux. Salope que je suis, coincée entre une femme et mon amant…qui profite largement de la situation, qui me pénètre comme un malade, qui paluche l’autre pute qui, je le sens s’énerve en me sentant partir de plaisir. Elle saisit mes seins et les mord comme JP sait le faire, pinçant les pointes, malaxant leur masse pour les aspirer entre ses lèvres sensuelles.
Je ne sais plus ou j’en suis, qui me fait jouir…je ne l’aurais pas cru si on me l’avait dit il y a un an. Certes, ce serait mieux si c’était deux mecs, je le dis et même j’y pense de plus en plus, sachant qu’il y en a un qui n’attends que ça…et qu’en plus je sais, maintenant, que j’y prendrais du plaisir. Deux mecs pour me bourrer…aaaaaaaaahhhhhh, cette évocation me procure un orgasme de salope qui fait presque s’arrêter mes deux copuleurs. La copine, prenant le gode me l’introduit de nouveau dans la chatte. Ca rentre sans coup férir tellement je suis trempée. JP, appuyant sa queue contre mon anus pousse doucement et s’introduit lentement en me disant que je suis bonne, que je suis salope, que c’est lui qui m’a faite comme je suis devenue…qu’il veut bien me prêter à d’autres, mais que je suis à lui et qu’ensuite c’est lui qui viendra me reprendre, pour enfoncer sa grosse bite là où d’autres auront rentré leurs doigts ou leurs queues…Je tremble de jouissance…ce mec est un salaud…il me donne envie de faire ce dont je ne me serais jamais crue capable…juste pour lui montrer que je peux le faire, juste pour lui montrer que je deviens la bonne petite salope qui va l’exciter avec son beau cul de baiseuse, la belle petite pute qui se prendra de la bite pendant qu’il la regardera jouir…
Je m’envoie de nouveau en l’air en sentant ma copine bouger le gode tout au fond de ma vulve en rut, en sentant ce gode venir au contact de la grosse queue de mon amant qui maintenant me bourre comme un malade, à grands coups de rein, ses mains cramponnées à ma croupe de femelle…C’est salaud, mais alors salaud…Pute, ouiiiiiiiiiiiiiii, je suis sa pute, il me fait jouiiiiiiiiiiiiiiir ce queutard, et elle aussiiiiiiiiiiiiiiiii, la salope, ouiiiiiiiiii, la salope…elle sait y faire…âââââââââââhhhhhhhh, elle me bouffe la bouche et ses mains viennent attraper les hanches de JP pour lui faire augmenter la cadence de sa pénétration, comme si c’était elle qui me donnait de la queue…
Je n’en peux plus…dans un long râle et dans un cri de gorge je pars du cul, de la chatte, de la bouche, du ventre…je sens la houle m’emporter, au bord de l’évanouissement…la bite de JP enfle dans mon ventre, je la sens se mettre à vibrer et, d’un coup, son hurlement de plaisir me tétanise, pendant que ma copine se met à gémir son plaisir en me suçant les lèvres. Elle jouit en laissant ses mains caresser mon dos ainsi que la poitrine de JP, qui lui se met à lui palucher les seins doucement. Je m’endors entre ses deux salauds qui m’ont éclatée. J’ai joui, joui, joui…Ils m’ont rendue encore plus salope et pute qu’avant…Je vais recommencer... JP…oui je vais recommencer…tu vas être fière de moi… ta salope.
Ton bébé pute va te surprendre…tu vas pouvoir te branler en sachant tout ce qu’elle est capable de faire…!
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Pendant la conversation, un docteur pour qui je travaille me demande si elle peut venir avec moi, si j'y vais seule et à qu’elle heure. Je lui réponds: en sortant à 14 heures, que j y vais seule et qu’elle peut venir avec moi si elle en a envie. Mais à une seule condition : qu’elle arrête de me balancer du "vous" long comme le bras et qu’elle connaît mon prénom.
Donc nous partons ensemble pour notre salle obscure.
Toute la séance se passe tranquille. Malgré quelques petites mains baladeuses sur les jambes et les genoux. Mais bon, je sais qu’au travail elle a une réputation de croqueuse de femmes. Cela ne me dérange pas. M’amuse plutôt. Titille ma curiosité. Si en plus de plaire aux hommes je plaisais aussi aux femmes. Pourquoi pas, ça pourrait être amusant. Il parait que ça vient de mon parfum. Ça plairait beaucoup à mon amant, lui qui me parle toujours de baise à trois. Je pourrais lui apporter deux femmes. Et tout ça que pour moi, car le médecin en question et franchement allergique aux hommes. Donc j’aurai rien que pour moi un homme et une femme.
Tout en regardant le film je pense à mon amant et à sa venue nocturne, ainsi que de la surprise qu’il aurait si il trouvait dans le lit sa maîtresse avec une autre femme, en train de se doigter consciencieusement et de mouiller comme deux fontaines. Je pense que cette situation l’exciterait fortement.
J’ai de plus en plus de mal à me concentrer sur le film et laisse partir mon imagination à mes délires sexuels. Surtout que la main se fait de plus en plus entreprenante et que je me laisse faire. Puisque maintenant elle est entre mes jambes et que ma chatte commence à réagir aux caresses.
Je ferme les yeux discrètement pour ne pas faire remarquer que j’apprécie ses caresses et pense à la main de mon amant pour faire un transfert de personne. Mais dans un élan de pudeur je retire la main et la pose délicatement sur la cuisse de sa propriétaire. Et essaie tant bien que mal de reprendre le fil de l’histoire. Et jusqu' à la fin du film elle garde ses mains sur sa taille.
A la sortie nous allons manger un morceau au Mac Do tout proche mais l’ambiance et un brin plombée, plutôt tendue.
La copine me regarde droit dans les yeux et dit : "Géraldine, tu me plais terriblement. Je sais qu’il y a un homme dans ta vie, que tu aimes les queues et pas vraiment les mollusques".
Heureusement qu’il n' y a pas grand monde et que nous sommes dans un coin retiré. Je prends une jolie couleur pourpre aux joues et sens la chaleur monter.
"Je t’ai entendue le dire au vestiaire, sur le coup ça m’a bloquée, je voulais te parler de mon attirance envers toi, mais venant de ta part ça m’a fait sourire et ça ne m’a pas fâchée. La preuve je suis ici avec toi". "Tu n’as jamais eu ce style de relation. Tu n’as jamais couché avec une femme. C’est pas comme avec un homme mais c’est bien aussi, tu devrais essayer et avec moi si tu veux."
On monte chez moi pour récupérer les affaires de ma copine. Je la brusque un peu car cette situation me gêne, je ne suis pas habituée. La relation avec cette femme me fait un peu peur. Et puis mon amant ne devrait plus tarder à arriver. Mais je suis toujours entre deux. Je commence à le connaître et on en a parlé je sais que cette situation lui plairait assez. Et je voudrai aussi lui montrer à quel point j’ai changé. Et de quoi je suis capable. Capable de me faire une femme pour lui plaire plus encore. J’ai beau bouger la copine elle n’est pas décidée à partir. On dirait qu'elle sent que j'attends quelqu'un...Si elle ne part pas je vais me retrouver dans le même lit, entre un homme et une femme qui devient très entreprenante. Devant mon inertie ses mains commencent à me déshabiller.
Je reste debout et ne bouge pas. Je me laisse faire, je commence à trouver ça agréable et ça excite ma curiosité et pas que ma curiosité…moi aussi. Me retrouver en sous-vêtements devant une femme qui, délicatement ôte mon soutien gorge et commence à me caresser les seins en faisant rouler les pointes sous ses doigts; puis ses mains attrapent élastique de mon string pour le faire glisser vers le bas...elle reste à genoux et embrasse ma vulve toute bombée...je frissonne de plaisir. C'est inouï, cette femme qui vient de me déshabiller embrasse ma chatte et je la laisse faire avançant même le ventre pour sentir sa bouche s'appuyer plus fort. Elle empoigne mes fesses avec ses mains et se met à les caresser en mouvements très doux et circulaires. J'ai un frisson plus fort que les autres et sens que je suis en train de mouiller comme avec mon amant...Elle se relève doucement et au passage me bouffe les pointes de seins, tout en continuant à me masser la croupe...puis elle se colle contre moi et je sens a travers ses vêtements les grosses pointes de ses nichons qui semblent dures comme de l'acier.
Elle me pousse vers la chambre et là je me dis que maintenant, quoique j'ai envie au fond de moi je vais passer à la "casserole".
Tout en me suivant elle se désape à une vitesse grand V, ne conservant que ses bas retenus par un porte jarretelles et ses talons. Sa robe est partie au sol en défaisant trois boutons et comme moi elle est torse nu.
Elle me pousse dans la pénombre de la chambre et m'embrasse à pleine bouche. Ca me fait drôle, je n'ai pas l'habitude, ou c'est l'idée que je m'en fais, car après tout j'ai déjà embrassé plusieurs mecs...là c'est plus doux, moins brutal...j'aime assez finalement.
Ses mains habiles continuent de courir sur mon corps, passant des seins aux fesses, du cou au ventre, puis elle me fait mettre sur le lit...
Maintenant c'est cuit je ne peux plus reculer...d'ailleurs je me rends compte que je n'en ai pas envie, je me rends compte que j'ai envie qu'elle continue...
Si JP me voyait il n’en reviendrait pas. Son bébé pute, allongée sur son lit en train de se faire caresser, doigter, manger, jouir sous les mains d’une femme dont je ne connais même pas le prénom.
Elle a écarté mes cuisses et enfonce doucement un doigt souple dans ma motte gorgée de suc, avec le pouce elle presse sur le clitoris...ââââhhh, salope, ouiiiiiiiiiii salope elle sait y faire. Maladroitement je commence à lui pétrir les nibards. Ils sont copieux. (JP aimerait)...
Mais, comme prévu justement, il arrive, se déshabille comme à son habitude dans la salle à manger et se dirige vers la chambre et là quelle surprise... Il me voit complètement nue, haletante éperdue dans la jouissance inattendue que me procure cette femme aux formes pleines et sensuelles.
Il nous regarde le spectacle lui plait car sa grosse bite se dresse aussitôt. Il se branle en nous voyant faire. Les yeux fermés je n’ai pas remarqué sa présence. Ma copine ne voulant pas paraître coincée continue de me gamahucher à pleine main, pendant que sa bouche aspire délicatement mes seins aux pointes tendues et dures. Elle sait y faire la garce…les yeux fermés je pourrais presque penser que c’est mon salaud crapuleux, si ce n’était la caresse des cheveux de cette femme qui me frôlent la poitrine.
Sa bouche vient effleurer la mienne comme un papillon…instinctivement mes lèvres s’entrouvrent et je sens sa langue revenir doucement en picorer le pourtour.
C’est étrangement léger et bon. Rien de délirant, mais une certaine torpeur mitigée de langueur…Ca y est je suis en train de gouiner et ça ne m’a pas faite partir en courant. Il faut dire que j’attends JP, me demandant comment il va trouver le spectacle, sans savoir qu’il est déjà là en train de masturber un gros membre qui gonfle de plus en plus.
Ma copine m’a fait rouler sur le coté et prenant une de mes jambes la passe autour de ses hanches pour libérer ma belle chatte bombée. Je coule, je coule vraiment, tant depuis tout à l’heure elle a su caresser ma fente avec un art consommé. J’ai toujours les yeux fermés mais je sens le lit bouger derrière moi et deux mains chaudes et viriles se mettre à me pogner les hanches…Hein…qui est-ce ? Je reconnais le parfum de mon amant et comprends que ma copine préfère me partager avec un mec plutôt que de rien avoir…
Complètement allumée par l’érotisme salace du moment je me laisse aller à cette situation des plus crapuleuses. Dans mon dos JP appuie une bite énorme, qui ne demande qu’à me pénétrer; devant, ma copine continue à me bécoter les lèvres et à triturer mon clitoris pendant que les mains du salaud qui bande derrière moi viennent me pétrir les nichons.
Je plane total…
Ma copine rentre maintenant deux doigts dans ma chatte me murmurant à l’oreille des douceurs qui me font fondre : « tu es comme du miel, ta chatte ressemble à un fourreau de velours et soie, ta chair est tendre comme celle d’un bébé… » et ce, toujours en me rentrant ses doigts plus profondément dans le ventre. Derrière, je sens la grosse bite de JP qui s’insinue entre mes cuisses pour venir coulisser dans la fente de ma vulve, heurtant au passage les doigts de cette femme qui ne se dérobe pas et entreprend de caresser le gland qui vient se poser pour continuer à gonfler.
JP m’embrasse dans le dos, faisant monter des frissons dans toute ma colonne vertébrale. Ma copine, maintenant, enfonce sa langue dans ma bouche et sa salive me délivre une sorte d’anesthésiant qui me plonge dans une sorte de torpeur jouissive. J’ai envie de plus…il me faut une bonne pénétration, une bonne bite pour me combler…mais, la femme sentant mon désir, veut me posséder la première et demande où est mon copain électrique…Elle le prend dans le secrétaire et se remet entre mes cuisses, puis, doucement l’enfonce entre les lèvres de ma chatte…C’est salement jouissif.
Je me sens femelle, salope, jouisseuse, pute...ouiiiiiiiiiiiii, pute, c'est le mot, dans le sens de celles qui baisent pour le plaisir de baiser et rien d'autre. Je me fais baiser; je suis entre deux personnes qui s'occupent de moi, me caressent, me font jouir, me pénètrent de leurs doigts; je sens sous ma chatte une grosse queutasse qui va bientôt me défoncer pendant qu'un gode me démonte la motte...
Une femme me fait jouir, avec un olisbos, pendant qu’un mec appuie sa grosse verge sur mes fesses. Les lèvres de ma copine sont toujours sur ma bouche et elle picore en me disant de me laisser aller, que je suis bien, que je suis bonne, que je vais jouir, que je ne dois penser qu’à moi…que nous allons l’envoyer au septième ciel et qu’elle veut que je jouisse autant avec elle qu’avec JP.
Je suis sur un petit nuage de bulle. JP recommence à présenter sa grosse queue à l’entrée de ma chatte, puis, profitant d’un retrait du gode s’enfonce d’une seule poussée bien au fond. Je hurle de plaisir…ma copine me mord les lèvres comme pour me punir de ne pas jouir d’elle, puis se remet à me tripoter la motte, n’hésitant pas à frôler le membre qui rentre et sort à une cadence de plus en plus rapide. Elle joint sa main libre à celles de JP et la sarabande recommence sur mes seins dont les pointes semblent doubler de volume. JP mine de rien laisse glisser ses mains sur la poitrine de ma copine qui a, au départ, un mouvement de recul…mais comme j’y mets les miennes elle se laisse aller en fermant les yeux. Salope que je suis, coincée entre une femme et mon amant…qui profite largement de la situation, qui me pénètre comme un malade, qui paluche l’autre pute qui, je le sens s’énerve en me sentant partir de plaisir. Elle saisit mes seins et les mord comme JP sait le faire, pinçant les pointes, malaxant leur masse pour les aspirer entre ses lèvres sensuelles.
Je ne sais plus ou j’en suis, qui me fait jouir…je ne l’aurais pas cru si on me l’avait dit il y a un an. Certes, ce serait mieux si c’était deux mecs, je le dis et même j’y pense de plus en plus, sachant qu’il y en a un qui n’attends que ça…et qu’en plus je sais, maintenant, que j’y prendrais du plaisir. Deux mecs pour me bourrer…aaaaaaaaahhhhhh, cette évocation me procure un orgasme de salope qui fait presque s’arrêter mes deux copuleurs. La copine, prenant le gode me l’introduit de nouveau dans la chatte. Ca rentre sans coup férir tellement je suis trempée. JP, appuyant sa queue contre mon anus pousse doucement et s’introduit lentement en me disant que je suis bonne, que je suis salope, que c’est lui qui m’a faite comme je suis devenue…qu’il veut bien me prêter à d’autres, mais que je suis à lui et qu’ensuite c’est lui qui viendra me reprendre, pour enfoncer sa grosse bite là où d’autres auront rentré leurs doigts ou leurs queues…Je tremble de jouissance…ce mec est un salaud…il me donne envie de faire ce dont je ne me serais jamais crue capable…juste pour lui montrer que je peux le faire, juste pour lui montrer que je deviens la bonne petite salope qui va l’exciter avec son beau cul de baiseuse, la belle petite pute qui se prendra de la bite pendant qu’il la regardera jouir…
Je m’envoie de nouveau en l’air en sentant ma copine bouger le gode tout au fond de ma vulve en rut, en sentant ce gode venir au contact de la grosse queue de mon amant qui maintenant me bourre comme un malade, à grands coups de rein, ses mains cramponnées à ma croupe de femelle…C’est salaud, mais alors salaud…Pute, ouiiiiiiiiiiiiiii, je suis sa pute, il me fait jouiiiiiiiiiiiiiiir ce queutard, et elle aussiiiiiiiiiiiiiiiii, la salope, ouiiiiiiiiii, la salope…elle sait y faire…âââââââââââhhhhhhhh, elle me bouffe la bouche et ses mains viennent attraper les hanches de JP pour lui faire augmenter la cadence de sa pénétration, comme si c’était elle qui me donnait de la queue…
Je n’en peux plus…dans un long râle et dans un cri de gorge je pars du cul, de la chatte, de la bouche, du ventre…je sens la houle m’emporter, au bord de l’évanouissement…la bite de JP enfle dans mon ventre, je la sens se mettre à vibrer et, d’un coup, son hurlement de plaisir me tétanise, pendant que ma copine se met à gémir son plaisir en me suçant les lèvres. Elle jouit en laissant ses mains caresser mon dos ainsi que la poitrine de JP, qui lui se met à lui palucher les seins doucement. Je m’endors entre ses deux salauds qui m’ont éclatée. J’ai joui, joui, joui…Ils m’ont rendue encore plus salope et pute qu’avant…Je vais recommencer... JP…oui je vais recommencer…tu vas être fière de moi… ta salope.
Ton bébé pute va te surprendre…tu vas pouvoir te branler en sachant tout ce qu’elle est capable de faire…!
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