Entre ma femme, et mon amant. 3

Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Entre ma femme, et mon amant. 3
Le moment, avant le diner, est empli d'une ambiance de bonheur à trois.
C'est étrange à vivre !
Tout le monde s'embrasse sur la bouche, naturellement.
On fait le point sur cette relation, évidemment.
"C'est trop bien !" Nous dit Corinne.
Je réponds:
"Oui, mais, ce serait encore mieux, si tu avais un amant, que tu aimes, toi aussi !".
"Pourquoi ? J'ai pas besoin d'aimer un autre homme ! Tu me suffis !".
"Ben, je repense à Julien ! Ca t'aurais plu, non ?".
"Ah, oui ! J'aurais été trop heureuse, mais c'est impossible, il est à Paris ! Mais, c'était des sentiments en plus, je peux m'en passer ! Si ça ne dérange pas Gilles, de me baiser aussi, comme une salope, moi, ça me va comme ça !".
"Pas de souci, ma chérie ! Tu m'plais, toi aussi ! Beaucoup plus que mon ex !".
"Euh ! Et pour la sodo ? On fait quoi ? T'as dégusté la première fois !".
"Oui ! C'est sûr, mais je m'y habituerai ! Parce que j'en ai besoin ! Et j'avais beaucoup joui, malgré tout !".
"Bon, on est raccord sur tout, alors !". conclut Gilles !
On a dévoré notre repas, puis, on s'est mis devant l'écran de télévision, sans conviction.
Les souvenirs sexuels nous hantaient.
C'est Gilles qui a ouvert les hostilités, en penchant ma femme sur sa bite.
Il me tend sa bouche pour un baiser pervers.
J'éteins le son de la télé, puis on se dénude à nouveau.
Je sais déjà, que je vais m'effacer au profit de ma belle.
Je l'admire, entrain de lui sucer la bite, sans jalousie.
Je participe à ma façon, avec quelques baisers ponctuels.
A cause de la taille de sa verge, elle préfère s'empaler sur lui.
J'adore la voir se déchainer, de plus en plus fort, sur la grosse queue de mon amant.
Les mots vulgaires sont de la partie, on aime ça !
Quand il la sent prête, il la positionne en chienne soumise, et la défonce comme une pute.
Elle nous crie son plaisir de jouir avec lui.
Je me suis placé devant elle, pour qu'elle me suce, comme et quand elle peut.
Gilles saisit le tube de gel, et entreprend de l'enculer.
"Orhhh ! Mon amour ! Tu vois ce qu'il va me faire ?".
"Oui ! Tu te sens prête ?".
"Orhhh ! Je... je sais pas ! Mais je sais, que je vais bien jouir ! Arghhhhhhh ! Putain ! Elle est énorme !".
Ca, je le sais, en toute connaissance de cause !
"Tu y vas doucement ! Chéri ! Elle a pas encore l'habitude de ta queue !".
"Je sais chaton, je vais faire gaffe !".
Je pose mes mains sur son cul, et écarte ses fesses, afin d'aider Gilles dans sa conquête.
Pour éviter de me mordre la queue, Corinne plonge ses dents sur le coussin du canapé.
Elle a des réactions de cambrements, à chaque fois qu'il gagne en profondeur.
Du haut de mon point de vue, je constate qu'elle a en elle la moitié de la grosse verge de mon amant.
Il entame ses allers retours, sans se presser.
Elle me serre les cuisses entre ses doigts, tout en s'étouffant sur ma bite.
Quand j'estime qu'elle s'habitue assez, je la redresse pour lui donner un long baiser tendre.
On est tous les deux gênés, par les secousses de Gilles dans son anus.
Un râle plus puissant, dans ma bouche, me confirme sa première jouissance anale.
Je m'éloigne, et lui donne la possibilité de la vivre pleinement.
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Il ralentit jusqu'à stopper sa possession, pour lui permettre de reprendre de l'énergie.
Ensuite:
"C'est bon, ma belle ? On peut continuer ?".
Sa réponse est claire, elle s'empale sans l'attendre.
"Orhhhhh ! Oui, défonces-moi maintenant ! J'en ai envie !".
Malgré tout, il contrôle ses enfoncements.
Il fixe le terrain gagné par sa verge, dans son orifice anal.
C'est clair qu'il lui cogne le coccyx, à chaque assaut.
Elle ne peut pas encore l'encaisser jusqu'aux couilles.
Voyant arriver l'inévitable, je préviens Gilles.
"Recules la ! Elle va pas tarder à gicler !".
Il la fait glisser hors du canapé, elle s'appuie toujours sur moi.
Ses épaules sont posées sur le flanc du canapé.
Il l'encule toujours.
Ses magnifiques nichons se balancent, pendant qu'elle nous gueule son plaisir anal.
Gilles et moi, nous nous regardons au même moment.
Lui, parce qu'il se fait arroser l'entrecuisse de cyprine, et moi, parce que j'entends le bruit que cela fait, en giclant sur le sol.
On échange un sourire complice, puis, il attire ma nuque pour m'embrasser, sans cesser de lui défoncer le cul.
Ma femme orgasme plusieurs fois d'affilée.
Je me laisse emporter par l'excitation.
Avec mes mains, sur son cul, je ne cesse de l'enfoncer très puissamment, sur la queue de Gilles.
Trop puissamment ! Gilles l'empale d'un coup jusqu'aux couilles !
Elle hurle, et se cambre, pendant qu'il continue de s'affairer en elle.
C'est clair qu'elle vit encore un plaisir énorme !
Puis, elle s'appuie sur le ventre de Gilles pour le fuir.
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Stop ! Gilles ! C'est trooooooooooooop ! Arghhhhhhhhhhhhh !...".
Elle est prise de tremblements musculaires dans les jambes, puis lâche un dernier jet, plus puissant que les précédents.
Elle remonte sur le canapé, avec le cul cambré à l'extrême.
"Orhhhhhhhhhh ! J'ai trop joui ! Putain ! C'est trop bon, mais, c'est dur à encaisser ! Stop ! J'en peux plus !".
Gilles est décontenancé.
"Euh, je fais quoi ? Moi ! J'allais jouir !".
Je me propose:
"Tu veux que je te suce ? A moins que tu préfères ma chatte !".
Corinne nous surprend:
"Ah ! Non ! Je vais mal le vivre, si j'arrive pas à le faire jouir !".
Elle reprend sa position, pour s'offrir, mais il préfère l'enculer debout.
Très rapidement, il retrouve ses profondeurs anales.
Je vois qu'elle est dépassée, par cette trop longue verge en elle.
Elle pose sa main sur le haut de son ventre.
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Bébé ! Je la sens jusque là, sa bite ! Dis-moi que ça craint rien ? Arghhhhhhhhhhhhh ! Putain, c'est trop bon ! Arghhhhhhhhhhhhh !...".
Elle gicle encore quelques coulées de cyprine, puis l'homme que j'aime se vide en elle, en râlant.
"Orghhhhhhhh ! Pascal ! Ca y est ! Il jouit dans mon p'tit cul ! Orhhhh ! Je suis trop fière de moi ! Arghhhhhhhhhhhhh !...".
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Chaton ! Elle est bonne, elle aussi ! Putain ! Orghhhhhh ! Approches ! j'ai envie que tu me prennes dans ta bouche !".
Je comprends que c'est à moi, de sortir sa grosse bite, de l'anus de ma belle.
Je lui lèche, et pompe la verge comme jamais.
Par moment, Corinne attire mon visage entre ses fesses, pour lui lécher l'anus également.
Ces deux pervers en profitent pour partager de nombreux baisers, et leurs impressions.
"Hummmm ! Tu m'as trop bien enculée, Gilles ! J'ai adoré !".
"T'étais pas mal non plus, ma chérie ! Tu m'as bien encaissé ! C'est bon de se faire lécher le cul, par mon p'tit chaton ?".
"J'adore ! Comme ça, il a une plus grosse dose de ton sperme ! Faut pas gâcher !".
Posant, quand ils peuvent, leurs mains sur mon crâne, en profitant de leurs positions dominantes, quand je passe de l'anus à la grosse bite.
Ils vont se recoller analement à deux reprises, m'obligeant à renettoyer cette nouvelle pollution.
Je me redresse, et les accompagne dans leur baiser, avec ma langue.
Après une douche, on s'est décidé à se coucher ensemble.
A leur demande, je me suis placé entre eux.
Le lendemain, Corinne nous préparait le petit déjeuner en chantant, alors que Gilles m'incitait à le faire jouir, avec ma bouche.
J'ai avalé son abondante semence chaude, avant mon café, j'adore !
Pendant, le p'tit dèj, Gilles nous révèle qu'il pense préférable de nous laisser plusieurs jours, sans le voir, pour ne pas trop empiéter sur notre couple.
"C'est gentil ! On s'appelle quand on en a envie ! Mais, ne te gênes pas, pour venir dire bonjour, on est amis, quand même !".
"J'y manquerais pas ! Merci ! Ma chérie ! Orhhh ! là ! Là ! Ouahhhhhhhh ! (il baille), j'ai passé une journée géniale hier ! Je vous adore ! Et toi, je t'aime, mon chaton ! Merci, pour ce matin !".
Je souris, tout mon être transpire le bonheur !
Il nous a laissé, Corinne et moi, nous sommes aimés comme au premier jour.
Deux jours plus tard, à peine, je rentre des courses vers 11h du matin.
Je surprend Gilles toutes cuisses écartées.
Dans notre salon, avec Corinne qui lui dévore les couilles, puis se met à le pomper comme une salope.
"Orghhhhhhhh ! Bonjour chaton ! C'est elle qui m'a cherché !".
"Je te crois, je la connais !".
"Mmmmmm ! Mmmmmmm ! Mon amour ! Dès que tu te sens prêt ! Tu prends la suite ! Je sais qu'il attend que ça !".
"Orhhh ! C'est vrai que je dirai pas non !".
Je range les courses, puis reviens dans le salon.
J'ai besoin d'un baiser, pour connaitre l'envie de mon amant !
Sexe ou tendresse ?
"Tiens, Je te l'ai mis en condition !". Ajoute ma femme.
Puis, elle va dans la salle de bain pour se préparer, et nous laisse en disant:
"Bon, je vais un peu voir ma copine ! Et après, je vais au club libertin ! Amusez vous bien, les amoureux Mangez sans moi !".
"Toute seule ?".
"Oui, j'ai l'habitude ! Pascal n'aime pas m'accompagner ! Bisous !".
J'ai pensé que l'idée de nous savoir ensemble, lui a donné envie de sexe.
Un peu comme Gilles, qui n'a pas cessé de repenser à nos échanges sexuels.
Il m'a aimé jusqu'à 13h environ.
On a dévoré notre repas, puis l'idée que Corinne devait probablement s'envoyer en l'air avec un ou des inconnus, nous a motivé pour remettre ça, mais plus vicieusement.
A la fin, je me suis plains:
"Orghhhhhh ! Chéri ! Va falloir laisser ma chatte tranquille ! Putain ! Tu me l'a détruite encore !".
C'est étrange à vivre !
Tout le monde s'embrasse sur la bouche, naturellement.
On fait le point sur cette relation, évidemment.
"C'est trop bien !" Nous dit Corinne.
Je réponds:
"Oui, mais, ce serait encore mieux, si tu avais un amant, que tu aimes, toi aussi !".
"Pourquoi ? J'ai pas besoin d'aimer un autre homme ! Tu me suffis !".
"Ben, je repense à Julien ! Ca t'aurais plu, non ?".
"Ah, oui ! J'aurais été trop heureuse, mais c'est impossible, il est à Paris ! Mais, c'était des sentiments en plus, je peux m'en passer ! Si ça ne dérange pas Gilles, de me baiser aussi, comme une salope, moi, ça me va comme ça !".
"Pas de souci, ma chérie ! Tu m'plais, toi aussi ! Beaucoup plus que mon ex !".
"Euh ! Et pour la sodo ? On fait quoi ? T'as dégusté la première fois !".
"Oui ! C'est sûr, mais je m'y habituerai ! Parce que j'en ai besoin ! Et j'avais beaucoup joui, malgré tout !".
"Bon, on est raccord sur tout, alors !". conclut Gilles !
On a dévoré notre repas, puis, on s'est mis devant l'écran de télévision, sans conviction.
Les souvenirs sexuels nous hantaient.
C'est Gilles qui a ouvert les hostilités, en penchant ma femme sur sa bite.
Il me tend sa bouche pour un baiser pervers.
J'éteins le son de la télé, puis on se dénude à nouveau.
Je sais déjà, que je vais m'effacer au profit de ma belle.
Je l'admire, entrain de lui sucer la bite, sans jalousie.
Je participe à ma façon, avec quelques baisers ponctuels.
A cause de la taille de sa verge, elle préfère s'empaler sur lui.
J'adore la voir se déchainer, de plus en plus fort, sur la grosse queue de mon amant.
Les mots vulgaires sont de la partie, on aime ça !
Quand il la sent prête, il la positionne en chienne soumise, et la défonce comme une pute.
Elle nous crie son plaisir de jouir avec lui.
Je me suis placé devant elle, pour qu'elle me suce, comme et quand elle peut.
Gilles saisit le tube de gel, et entreprend de l'enculer.
"Orhhh ! Mon amour ! Tu vois ce qu'il va me faire ?".
"Oui ! Tu te sens prête ?".
"Orhhh ! Je... je sais pas ! Mais je sais, que je vais bien jouir ! Arghhhhhhh ! Putain ! Elle est énorme !".
Ca, je le sais, en toute connaissance de cause !
"Tu y vas doucement ! Chéri ! Elle a pas encore l'habitude de ta queue !".
"Je sais chaton, je vais faire gaffe !".
Je pose mes mains sur son cul, et écarte ses fesses, afin d'aider Gilles dans sa conquête.
Pour éviter de me mordre la queue, Corinne plonge ses dents sur le coussin du canapé.
Elle a des réactions de cambrements, à chaque fois qu'il gagne en profondeur.
Du haut de mon point de vue, je constate qu'elle a en elle la moitié de la grosse verge de mon amant.
Il entame ses allers retours, sans se presser.
Elle me serre les cuisses entre ses doigts, tout en s'étouffant sur ma bite.
Quand j'estime qu'elle s'habitue assez, je la redresse pour lui donner un long baiser tendre.
On est tous les deux gênés, par les secousses de Gilles dans son anus.
Un râle plus puissant, dans ma bouche, me confirme sa première jouissance anale.
Je m'éloigne, et lui donne la possibilité de la vivre pleinement.
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Il ralentit jusqu'à stopper sa possession, pour lui permettre de reprendre de l'énergie.
Ensuite:
"C'est bon, ma belle ? On peut continuer ?".
Sa réponse est claire, elle s'empale sans l'attendre.
"Orhhhhh ! Oui, défonces-moi maintenant ! J'en ai envie !".
Malgré tout, il contrôle ses enfoncements.
Il fixe le terrain gagné par sa verge, dans son orifice anal.
C'est clair qu'il lui cogne le coccyx, à chaque assaut.
Elle ne peut pas encore l'encaisser jusqu'aux couilles.
Voyant arriver l'inévitable, je préviens Gilles.
"Recules la ! Elle va pas tarder à gicler !".
Il la fait glisser hors du canapé, elle s'appuie toujours sur moi.
Ses épaules sont posées sur le flanc du canapé.
Il l'encule toujours.
Ses magnifiques nichons se balancent, pendant qu'elle nous gueule son plaisir anal.
Gilles et moi, nous nous regardons au même moment.
Lui, parce qu'il se fait arroser l'entrecuisse de cyprine, et moi, parce que j'entends le bruit que cela fait, en giclant sur le sol.
On échange un sourire complice, puis, il attire ma nuque pour m'embrasser, sans cesser de lui défoncer le cul.
Ma femme orgasme plusieurs fois d'affilée.
Je me laisse emporter par l'excitation.
Avec mes mains, sur son cul, je ne cesse de l'enfoncer très puissamment, sur la queue de Gilles.
Trop puissamment ! Gilles l'empale d'un coup jusqu'aux couilles !
Elle hurle, et se cambre, pendant qu'il continue de s'affairer en elle.
C'est clair qu'elle vit encore un plaisir énorme !
Puis, elle s'appuie sur le ventre de Gilles pour le fuir.
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Stop ! Gilles ! C'est trooooooooooooop ! Arghhhhhhhhhhhhh !...".
Elle est prise de tremblements musculaires dans les jambes, puis lâche un dernier jet, plus puissant que les précédents.
Elle remonte sur le canapé, avec le cul cambré à l'extrême.
"Orhhhhhhhhhh ! J'ai trop joui ! Putain ! C'est trop bon, mais, c'est dur à encaisser ! Stop ! J'en peux plus !".
Gilles est décontenancé.
"Euh, je fais quoi ? Moi ! J'allais jouir !".
Je me propose:
"Tu veux que je te suce ? A moins que tu préfères ma chatte !".
Corinne nous surprend:
"Ah ! Non ! Je vais mal le vivre, si j'arrive pas à le faire jouir !".
Elle reprend sa position, pour s'offrir, mais il préfère l'enculer debout.
Très rapidement, il retrouve ses profondeurs anales.
Je vois qu'elle est dépassée, par cette trop longue verge en elle.
Elle pose sa main sur le haut de son ventre.
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Bébé ! Je la sens jusque là, sa bite ! Dis-moi que ça craint rien ? Arghhhhhhhhhhhhh ! Putain, c'est trop bon ! Arghhhhhhhhhhhhh !...".
Elle gicle encore quelques coulées de cyprine, puis l'homme que j'aime se vide en elle, en râlant.
"Orghhhhhhhh ! Pascal ! Ca y est ! Il jouit dans mon p'tit cul ! Orhhhh ! Je suis trop fière de moi ! Arghhhhhhhhhhhhh !...".
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Chaton ! Elle est bonne, elle aussi ! Putain ! Orghhhhhh ! Approches ! j'ai envie que tu me prennes dans ta bouche !".
Je comprends que c'est à moi, de sortir sa grosse bite, de l'anus de ma belle.
Je lui lèche, et pompe la verge comme jamais.
Par moment, Corinne attire mon visage entre ses fesses, pour lui lécher l'anus également.
Ces deux pervers en profitent pour partager de nombreux baisers, et leurs impressions.
"Hummmm ! Tu m'as trop bien enculée, Gilles ! J'ai adoré !".
"T'étais pas mal non plus, ma chérie ! Tu m'as bien encaissé ! C'est bon de se faire lécher le cul, par mon p'tit chaton ?".
"J'adore ! Comme ça, il a une plus grosse dose de ton sperme ! Faut pas gâcher !".
Posant, quand ils peuvent, leurs mains sur mon crâne, en profitant de leurs positions dominantes, quand je passe de l'anus à la grosse bite.
Ils vont se recoller analement à deux reprises, m'obligeant à renettoyer cette nouvelle pollution.
Je me redresse, et les accompagne dans leur baiser, avec ma langue.
Après une douche, on s'est décidé à se coucher ensemble.
A leur demande, je me suis placé entre eux.
Le lendemain, Corinne nous préparait le petit déjeuner en chantant, alors que Gilles m'incitait à le faire jouir, avec ma bouche.
J'ai avalé son abondante semence chaude, avant mon café, j'adore !
Pendant, le p'tit dèj, Gilles nous révèle qu'il pense préférable de nous laisser plusieurs jours, sans le voir, pour ne pas trop empiéter sur notre couple.
"C'est gentil ! On s'appelle quand on en a envie ! Mais, ne te gênes pas, pour venir dire bonjour, on est amis, quand même !".
"J'y manquerais pas ! Merci ! Ma chérie ! Orhhh ! là ! Là ! Ouahhhhhhhh ! (il baille), j'ai passé une journée géniale hier ! Je vous adore ! Et toi, je t'aime, mon chaton ! Merci, pour ce matin !".
Je souris, tout mon être transpire le bonheur !
Il nous a laissé, Corinne et moi, nous sommes aimés comme au premier jour.
Deux jours plus tard, à peine, je rentre des courses vers 11h du matin.
Je surprend Gilles toutes cuisses écartées.
Dans notre salon, avec Corinne qui lui dévore les couilles, puis se met à le pomper comme une salope.
"Orghhhhhhhh ! Bonjour chaton ! C'est elle qui m'a cherché !".
"Je te crois, je la connais !".
"Mmmmmm ! Mmmmmmm ! Mon amour ! Dès que tu te sens prêt ! Tu prends la suite ! Je sais qu'il attend que ça !".
"Orhhh ! C'est vrai que je dirai pas non !".
Je range les courses, puis reviens dans le salon.
J'ai besoin d'un baiser, pour connaitre l'envie de mon amant !
Sexe ou tendresse ?
"Tiens, Je te l'ai mis en condition !". Ajoute ma femme.
Puis, elle va dans la salle de bain pour se préparer, et nous laisse en disant:
"Bon, je vais un peu voir ma copine ! Et après, je vais au club libertin ! Amusez vous bien, les amoureux Mangez sans moi !".
"Toute seule ?".
"Oui, j'ai l'habitude ! Pascal n'aime pas m'accompagner ! Bisous !".
J'ai pensé que l'idée de nous savoir ensemble, lui a donné envie de sexe.
Un peu comme Gilles, qui n'a pas cessé de repenser à nos échanges sexuels.
Il m'a aimé jusqu'à 13h environ.
On a dévoré notre repas, puis l'idée que Corinne devait probablement s'envoyer en l'air avec un ou des inconnus, nous a motivé pour remettre ça, mais plus vicieusement.
A la fin, je me suis plains:
"Orghhhhhh ! Chéri ! Va falloir laisser ma chatte tranquille ! Putain ! Tu me l'a détruite encore !".
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Trop mignon ce couple on sait depuis longtemps que Corinne est hypersexuelle et Pascal un candauliste qui aime se faire enculer par des grosses queues rien à dire c’est leur vie.Daniel
Chienne ? elle n'aboie pas...
Pute ? elle ne sa fait pas payer...
Dommage de rabaisser les femmes dont vous avez besoin, vous les hommes !
Pute ? elle ne sa fait pas payer...
Dommage de rabaisser les femmes dont vous avez besoin, vous les hommes !

