Entre Marc et Emilie
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-10-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Entre Marc et Emilie
Avant de me retrouver de nouveau dans un lit avec un autre homme, j’ai longtemps
considérer que ce que j’avais vécu avec Marc était une expérience unique. Je n’avais
pas honte mais je ne pensais pas être homo, et je n’étais pas attiré par d’autres
hommes.
Bien au contraire lors de ma rentrée en Terminale c’est sur une fille de ma classe que
je flashais: Emilie. Il me fallut de longues semaines avant d’oser lui parler, et de
longs mois avant d’enfin poser mes lèvres sur les siennes.
Avant Emilie je prenais mon mal en patience en me branlant dans mon lit. Bien que
déprimante cette pratique me permettais de faire retomber la pression. Tout comme le
fit une quasi inconnue dans les toilettes d’une boite.
Nous fêtions... rien de particulier. C’était une soirée entre camarades de classe. Le
soir des vacances de Noël. Nous avions dîné dans une pizzeria, et si certains bien
sage étaient rentrés, une petite poignée, dont je faisais partie avait décidé d’aller
boire un verre puis de prolonger la soirée.
La boite était bondée, des jeunes comme nous, dansant sur les tubes du moment, buvant,
riant, profitant de nos belles années. J’avais bu, mais n’était pas ivre. Un peu
grisé. Ce soir à, avec un verre de plus j’aurais pu abordé Emilie. Mais je n’eu pas le
temps de boire un verre de plus. Je fus abordé par un nana alors que je me
trémoussais, sans doute de façon tout à fait ridicule. Elle se colla à moi, se frotta,
et sentant qu’elle ne me laissait pas indifférent, me pris par la main et m’attira
vers les toilettes. D’autres filles étaient là, elle nous regardèrent entrer dans une
cabine, et je suis certain qu’elles ne se genèrent pas pour commenter la scène dont
elle venait d’être les témoins. Je m’en foutais complètement.
La nana me fit asseoir sur la cuvette et sorti ma bite de sa prison de tissu. Dressée,
gonflée, prête à exploser elle l’a pris en bouche et me suça. Première fellation
féminine pour moi, pour elle, vu la façon dont elle s’y prenait c’était loin d’être
une première. J’essayais de chercher les différences entre sa bouche et celle de Marc,
mais très vite je me laissais aller au plaisir et lui inondais la bouche de mon
sperme. Elle recracha le tout sur le sol.
Après cette superbe pipe, elle me branla pour me refaire bander, fit glisser sa
culotte et vint s’empaler sur moi. Sans se soucier le moins du monde de moi, elle me
baisa. Sauvagement. Elle lâchait des phrases comme «Défonce moi», «Baise moi comme une
chienne» et autre «Fout moi ta bite bien profond». Pour une première avec une fille
c’était cru, brutal, et délicieux. Elle poussa un cri lors de son premier orgasme,
m’attrapas par les cheveux et me plaqua la tête contre sa poitrine. «Si tu jouis et
débande je te tue» me dit-elle avant de se lever. Elle releva sa jupe, s’appuya contre
la porte et m’intima de la baiser de nouveau. Je m'exécutais, regrettant un peu malgré
tout qu’elle ne m’offre pas son cul. Je suis sûr qu’elle n’aurait pas dit non, mais
pour le moment elle enroula ses jambes autour de mes hanches, s'agrippa au parois de
la cabine et le baisa autant que je la baisais. Je tentais de retarder au maximum mais
une fois qu’elle eu son second orgasme, j’éjaculais en poussant un petit cri.
Elle remit sa culotte, déposa un baiser sur mon front et quitta la pièce. Je restais
un moment assis sur la cuvette avant de sortir et de rejoindre mes amis. Emilie était
partie. Elle me dira plus tard qu’elle avait été déçue de me voir partir avec cette
pouf. Sur le moment je n’en avais rien à faire. Je quittais la boite et rentrais chez
moi en pensant à cette expérience unique.
En me couchant j’eu envie de tout raconter à Marc. Partager ce moment avec lui. Je
commençais à lui écrire, mais ne sachant pas comment il réagirais je décidais de jeter
cette lettre.
considérer que ce que j’avais vécu avec Marc était une expérience unique. Je n’avais
pas honte mais je ne pensais pas être homo, et je n’étais pas attiré par d’autres
hommes.
Bien au contraire lors de ma rentrée en Terminale c’est sur une fille de ma classe que
je flashais: Emilie. Il me fallut de longues semaines avant d’oser lui parler, et de
longs mois avant d’enfin poser mes lèvres sur les siennes.
Avant Emilie je prenais mon mal en patience en me branlant dans mon lit. Bien que
déprimante cette pratique me permettais de faire retomber la pression. Tout comme le
fit une quasi inconnue dans les toilettes d’une boite.
Nous fêtions... rien de particulier. C’était une soirée entre camarades de classe. Le
soir des vacances de Noël. Nous avions dîné dans une pizzeria, et si certains bien
sage étaient rentrés, une petite poignée, dont je faisais partie avait décidé d’aller
boire un verre puis de prolonger la soirée.
La boite était bondée, des jeunes comme nous, dansant sur les tubes du moment, buvant,
riant, profitant de nos belles années. J’avais bu, mais n’était pas ivre. Un peu
grisé. Ce soir à, avec un verre de plus j’aurais pu abordé Emilie. Mais je n’eu pas le
temps de boire un verre de plus. Je fus abordé par un nana alors que je me
trémoussais, sans doute de façon tout à fait ridicule. Elle se colla à moi, se frotta,
et sentant qu’elle ne me laissait pas indifférent, me pris par la main et m’attira
vers les toilettes. D’autres filles étaient là, elle nous regardèrent entrer dans une
cabine, et je suis certain qu’elles ne se genèrent pas pour commenter la scène dont
elle venait d’être les témoins. Je m’en foutais complètement.
La nana me fit asseoir sur la cuvette et sorti ma bite de sa prison de tissu. Dressée,
gonflée, prête à exploser elle l’a pris en bouche et me suça. Première fellation
féminine pour moi, pour elle, vu la façon dont elle s’y prenait c’était loin d’être
une première. J’essayais de chercher les différences entre sa bouche et celle de Marc,
mais très vite je me laissais aller au plaisir et lui inondais la bouche de mon
sperme. Elle recracha le tout sur le sol.
Après cette superbe pipe, elle me branla pour me refaire bander, fit glisser sa
culotte et vint s’empaler sur moi. Sans se soucier le moins du monde de moi, elle me
baisa. Sauvagement. Elle lâchait des phrases comme «Défonce moi», «Baise moi comme une
chienne» et autre «Fout moi ta bite bien profond». Pour une première avec une fille
c’était cru, brutal, et délicieux. Elle poussa un cri lors de son premier orgasme,
m’attrapas par les cheveux et me plaqua la tête contre sa poitrine. «Si tu jouis et
débande je te tue» me dit-elle avant de se lever. Elle releva sa jupe, s’appuya contre
la porte et m’intima de la baiser de nouveau. Je m'exécutais, regrettant un peu malgré
tout qu’elle ne m’offre pas son cul. Je suis sûr qu’elle n’aurait pas dit non, mais
pour le moment elle enroula ses jambes autour de mes hanches, s'agrippa au parois de
la cabine et le baisa autant que je la baisais. Je tentais de retarder au maximum mais
une fois qu’elle eu son second orgasme, j’éjaculais en poussant un petit cri.
Elle remit sa culotte, déposa un baiser sur mon front et quitta la pièce. Je restais
un moment assis sur la cuvette avant de sortir et de rejoindre mes amis. Emilie était
partie. Elle me dira plus tard qu’elle avait été déçue de me voir partir avec cette
pouf. Sur le moment je n’en avais rien à faire. Je quittais la boite et rentrais chez
moi en pensant à cette expérience unique.
En me couchant j’eu envie de tout raconter à Marc. Partager ce moment avec lui. Je
commençais à lui écrire, mais ne sachant pas comment il réagirais je décidais de jeter
cette lettre.
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