Entre rêve et réalité...
Récit érotique écrit par Ikebana [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Entre rêve et réalité...
Enfin !...
Je glisse la clé dans la serrure et entre dans l'appartement. Le retour du travail a été fatiguant. Avec les grèves et la chaleur, les trajets sont toujours plus pénibles.
J'attrape la carafe et un verre avant de m'affale sur le canapé.
Encore une journée éreintante. Mon esprit s'éparpille, repensant aux dernières heures. Le réveil a été difficile, je n'ai pas beaucoup dormi. Et comme d'habitude mon travail a été plus compliqué. Je sais que ma patience est plus réduite quand je suis fatigué.
Je me lève et file à la salle de bain. J'ouvre le robinet.
Rafraîchi, je repars me rasseoir. J'ai peu dormi car j'ai beaucoup pensé. La veille,je me suis couché seul. Elle avait une soirée avec ses collègues et avait prévu de dormir chez l'un d'eux. Notre départ de la région parisienne est proche et elle veut profiter de moments avec eux. Et comme à son habitude elle ne m'a pas écrit de la soirée. Au moment de m'endormir, j'imaginais ce qu'elle faisait. Avec le retour des beaux jours, elle était partie au travail en robe. Cette petite robe noire qui la met tellement en valeur, moulant avec élégance sa silhouette dans ce tissu proche de son corps, moulant avec pudeur sa petite poitrine et ses fesses . J'adore quand elle la porte et je connais l'effet de cette robe sur la gente masculine. Déjà beaucoup regardée au quotidien, elle fait tourner de nombreuses tête quand elle est habillée ainsi. Je l'ai constaté à plusieurs reprises.
Je l'imagine... Elle, au bar, enivrée par ses mojitos ondulant son corps au rythme de la musique. Je sais qu'elle ne laisse pas indifférent certains de ses collègues. Sans aucune nouvelle de sa part, mon esprit divague. Je sens que je deviens jaloux. J'essaie de me raisonner. Mais rien n'y fait. Je vois les mains baladeuses de son collègue frôler ses fesses, caresser ses cuisses ou encore effleurer impunément sa poitrine. Je la considère un peu naïve, feignant de ne pas voir le désir qu'elle peut susciter chez un homme. Pour elle tout ses gestes auront été accidentels ou amicaux.
Je l'imagine toujours. La voilà chez lui. D est également venu y dormir. Ils prennent un dernier verre. D propose de faire un action ou vérité. Elle adore cette idée.
Les vérités ont depuis longtemps laissé place aux actions. Les "bois deux gorgées" ont fait leur effet, elle sent encore quelques cristaux de sels dans son cou. Elle a frissonné quand la langue de G. est venue lécher le sel utilisé pour la tequila et quand ses lèvres ont frôlé cette zone si érogène de son corps.
Nouvelle action : elle doit maintenant enlever ses sous vêtements sous sa robe. Elle hésite, envahie par une vague de chaleur, d'excitation. Et puis après ! Elle ne les reverra sans doute jamais et son homme ne le saura pas. La voila nue sous sa robe. Elle glisse délicatement son string dans la main de D. quand G. hérite de son soutien gorge. Elle les regarde tour à tour. D. semble toucher l'humidité de son string alors que G. a les yeux rivés sur ses tétons qui pointent à travers sa robe.
Ils ont voulu s'amuser, à elle maintenant. Action ! Voilà les 2 hommes en boxer devant elle. Et à ce qu'elle perçoit à travers cette semi obscurité, ils ont l'air en forme !
Mon esprit vagabonde, je sens une chaleur dans mon bas ventre. Il n'y a pas que dans mon imagination que l'excitation est à son comble. Je me rends compte que je bande comme un fou. Ma main commence à caresser mon pénis en érection. Je suis tiraillé, je suis excité en imaginant ma femme avec d'autres hommes. Un sentiment de culpabilité m'envahit. Mais plus j'y pense et plus je me caresse.
Je replonge dans mon imagination.
La voilà maintenant assise sur le canapé entre ses deux collègues, les jambes écartées, une cuisse sur chacun, la robe dévoilant le haut de ces cuisses. Les mains de G. se sont glissées sous le haut de sa robe caressant ses seins, effleurant ses tétons. Elle a le souffle court. D. caresse ses cuisses mais remonte de plus en plus vers son entrejambe. Elle frissonne. Il touche enfin ses lèvres imberbes. Elle voit que sa chatte lisse décuple l'excitation de D.
Elle se laisse aller, bascule la tête en arrière et ferme les yeux. Elle sent les doigts de l'un jouer avec ses tétons pendant que ceux de l'autre semble se délecter de jouer avec son sexe dégoulinant d'excitation. Quelle sensation de sentir 4 mains s'occuper de soi. Chacune d'elles lui apportant du plaisir. Elle n'a jamais connu cela mais n'espère qu'une chose : que cela dure encore et encore. Les yeux fermés, elle cherche les boxers de ces camarades de jeu. Elle sent leurs sexes raides à travers le tissu et les invite par un geste de la main à les retirer.Les voilà nus en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire. Chacune de ses mains caresse maintenant le pénis d'un de ses collègues. Elle qui adore sentir l'excitation d'un homme à la dureté de son érection, la voilà qui étreint deux pénis. Celui de D est d'une belle longueur alors que celui de G semble moins long mais elle a du mal à l' empoigner d'une main à cause de son diamètre appréciable semble t il. Elle aime ce sentiment de contrôle qu'elle a sur eux rien que les tenant par la bite ! Elle est aux anges, elle sent le désir monter chez ses partenaires. Sa robe n'a plus beaucoup d'utilité. Le tissu ne masque plus ni le haut ni le bas de son corps. Seul son nombril est encore caché. Chacune de leur bouche est maintenant occupée à suçoter ses tétons, les mordillant à l'occasion. Avec ses mains, elle commence un lent mouvement ample de va et viens. Elle avait oublié l'effet d'avoir de tels engins dans les mains. Bien sûr qu'elle aime le sexe de son homme mais ce soir ce n'est pas pareil. Elle sent son bas ventre se remplir de plaisir et de désir. La main gauche de D caresse doucement son clitoris. La droite de G, sa vulve. Elle lâche un râle lorsqu'il introduit son majeur. Il le ressort et lui glisse dans la bouche. D'habitude, elle n'aime pas quand son homme le lui fait mais elle ne se reconnaît plus, elle le lèche avec envie sous l'effet de l'excitation. Elle ne se contrôle plus, semblant découvrir une nouvelle facette de sa personnalité. D glisse à son tour un doigt et commence des aller retours de plus en plus profonds. Elle sent de nouveau la main de G, de nouveau un doigt la pénètre. G ET D l'explorent, ensemble. Elle sent le rythme du mouvement de leur doigts s'intensifiant. Inconsciemment elle synchronise ses masturbations avec la leur. Elle lâche prise... Tout deux lui lèchent les seins et la doigtent avec passion. Elle ondule le bassin de plus en plus, gémissant doucement. L'intensité augmente, elle sent qu'elle ne contrôle plus rien. Leurs doigts glissent en elle, sans difficulté ils en ont rentré chacun un second. Elle se laisse aller totalement. Elle sent qu'elle va...
Jouir en imaginant pareil scénario. Je ne l'aurais pas cru. Le torse couvert de sperme encore chaud, l'excitation laisse place à un sentiment de malaise, de honte... Je me lève pour aller me rincer et retourne me coucher... Mon sommeil est agité.
Le soleil passe à travers les volets légèrement entrouvert, la rue bourdonne mais il est encore tôt. Le réveil n'a pas encore sonné. Toujours aucun message lorsque j'allume mon téléphone. L'inquiétude revient. Je sens mon estomac se nouer. Et si ce que j'ai imaginé s'était vraiment passé. Et si , elle s'était laissé aller avec eux. Il est l'heure de partir travailler...
Un coup de klaxon me sort de ses songes. Je me relève, me prépare pour aller courir. J'ai besoin de me vider l'esprit. La température est douce et il fait encore jour.
A mon retour, je trouve un mot sur la table. Ça y est elle est rentrée, enfin... Je ressens de nouveau de l'anxiété.
"Coucou n***u, prends une douche et rejoints moi dans la chambre."
Je prend le temps de m'étirer et part me doucher. Je repense à ma nuit, à la fois inquiétante mais aussi très excitante.
Elle l'a entendu ouvrir la porte et lire le mot qu'elle a laissé sur la table de la cuisine. En se levant ce matin, elle avait une migraine. Pas une migraine ophtalmique mais plutôt une gueule de bois. Encore peu réveillée, elle avait mis du temps à comprendre où elle était. La soirée avait été alcoolisée et elle avait dormi chez un collègue, sur un canapé du salon. D'ailleurs, au vu de la forme sur l'autre canapé, elle n'était pas la seule à être tombé dans les bras de Bacchus et à ne pas être apte à conduire. Comme souvent le matin suivant une soirée alcoolisée, elle a très envie de faire l'amour. La forme du canapé se soulève et s'abaisse de manière régulière. Qui que ce soit, "ça" dort. Elle commence à se caresser la poitrine afin d'assouvir son désir. Elle est pudique et a peur de se faire surprendre. Elle halète et poursuit les mouvements circulaires qu'elle prodigue à ses seins. L'effet est immédiat. Elle sent son entrejambe s'humidifier, elle se mord les lèvres pour rester la plus silencieuse. Elle continue son massage imaginant se faire pénétrer. Soudain la forme expire un grand coup et se retourne. Elle est pétrifiée, persuadée d'être découverte. Elle cesse tout mouvement et attend. Le rythme lent de la respiration de la chose reprend. Elle doit partir au travail. Avant de quitter l'appartement de son collègue, elle tente d'identifier la forme en soulevant la couette. Elle reconnait D...
L'eau de la douche coule. Il vient de rentrer dedans. Elle a encore un peu de temps. Elle se sent bien, elle a envie de lui, elle a envie de le sentir en elle, elle a envie de sexe, elle a envie de jouir. Elle a réfléchi à un petit scenario pendant qu'il était parti courir.
Elle a mis le body qu'il lui avait offert, celui dans lequel sa poitrine et son sexe sont accessibles sans avoir à l'enlever. Elle veut une sexualité sauvage, elle pense à cela depuis qu'elle a commencé à se caresser ce matin chez son collègue.
L'eau tiède de la douche me rafraîchi. Je prend le temps de me rincer. J'attrape le savon et passe du temps à me laver, notamment le pénis. Je n'ai pas envie qu'elle refuse une éventuelle fellation. Mais mon lavage ressemble plutôt à des caresses. Je reprend le fil de mes pensées de la nuit dernière. Je commence à être en érection. Hors de question de m'exciter davantage et de jouir prématurément en la laissant sur sa fin. J'ai envie de la prendre sauvagement.
Je rentre dans la chambre. Les volets sont baissés mais elle a laissé l'espace entre chaque lame pour éclairer la chambre. Je la vois allongée sur le lit, dans un body noir. Elle se lève sans un mot s'approche de lui et m'embrasse à pleine bouche, saisissant mon sexe par la main.
"Allonge toi sur le lit" Ce soir, c'est elle qui donne les ordres. Elle veut qu'il soit son objet. Elle lui attache les poignets derrière la tête. Elle a prévu des coussins pour qu'il soit relevé. Elle s'installe sur une chaise face à lui, les jambes écartées. Elle se caresse les seins, le corps, les cuisses. Elle sent l'excitation monter, chez elle comme chez lui. Son sexe se dresse petit à petit. Elle se pince légèrement le téton et glisse sa main dans l'ouverture basse de son body. Elle y trouve son clitoris gonflé d'excitation. Elle passe son doigt dessus, elle sent rapidement sa cyprine le recouvrir. Elle se caresse doucement le regardant bander sans qu'il ne puisse rien faire. Son doigt finit par s'introduire dans son sexe humide. Elle le ressort et l'essuie sur ses tétons. Elle reprend sa lente mais excitante masturbation. Elle aime se montrer comme ça à son homme, elle aime lui montrer son côté coquin voire même un peu salope. Ce n'est plus un mais deux doigts qui la pénètre sans aucune difficulté à plusieurs reprises. Elle se lève et se dirige vers lui lentement. Il est nu. Elle lui attrape la bouche avec sa main gauche et l'oblige à lécher ses doigts. Il semble adorer la situation à ce qu'elle voit. Alors elle lui fait laper ses tétons et, afin de le soumettre totalement, finit par lui prendre la tête dans ses mains. Elle s'assoit sur son visage, elle le force à nettoyer le jus qui sort de son sexe lisse. Elle se sent toute puissante, elle sait qu'elle peut faire ce qu'elle veut de lui. Elle joue avec son pénis, d'abord avec ses mains puis lui lèche de la base au gland. Une goutte de sperme perle déjà. Elle a peur qu'il jouisse.
Je suis au comble de l'excitation. Son seul coup de langue pourrait me faire jouir. Elle sait exactement comment m'exciter.
Elle se redresse et attrape notre boite à plaisirs. Elle en sort un sextoy noir. Son préféré... Elle se rassoit sur sa chaise, m'offrant une vision parfaite de son entrejambe. Elle recommence ses caresses et, comble de l'excitation me regarde droit dans les yeux lorsqu'elle met le jouet dans sa bouche pour l'humidifier, si tant est que ce soit nécessaire, en mimant une fellation. Je la regarde, je suis au bord de la rupture. J’entends les vibrations produites par l'engin qu'elle dirige vers son sexe ouvert. Elle joue d'abord avec son clitoris puis se l'enfonce entre les jambes sans le lâcher des yeux. Il rentre avec une facilité déconcertante. Ses gémissements sont de plus en plus forts. "Ça te plaît?!" Je hoche la tête en guise de réponse. "Je n'en ai pas encore fini avec toi" lui lance-t-elle. Elle remonte sur le lit et reprend son pénis en main. De sa main libre, elle saisit la boite et en sort un autre jouet. Celui ci est plus long, plus gros. Mon préféré... Elle le pose sur le lit et se glisse délicatement dessus. Les gémissements précédents sont maintenant beaucoup plus forts et le deviennent de plus en plus à chaque mouvement de son bassin. Je vois le sextoy disparaître un peu plus à chaque fois qu'elle effectue un mouvement vers le bas. Une nouvelle fois, je repense à mon "rêve" de la nuit passée. Je la revois s'abandonner avec ses collègues. Le jouet est devenu un corps masculin qu'elle chevauche avec passion, prenant un plaisir intense lorsqu'il est en elle. Je sens que ma propre jouissance est proche.
Elle calque son rythme de masturbation sur le rythme de ses ondulations. Tout s'accélère, elle est de plus en plus bruyante. Elle resserre son étreinte autour de son pénis. Son extase est proche, son regard est dans le vague.
A la voir ainsi je n'en peux plus. Le fait de la voir si excitée cumulé à mon imagination débordante me fait jouir. En moins de 24h, mon propre sperme recouvre mon corps pour la deuxième fois. On dirait un signal, elle jouit à son tour. L'orgasme est puissant.
Elle a rarement joui avec une telle intensité. Elle s'écroule à ses côtés. Elle se sent épuisée. Elle le détache et l'embrasse tendrement.
Lorsque je reviens de la salle de bain, je la trouve nue, paisiblement endormie. Lui livrerai-je un jour mes pensées intimes?
Elle s'est endormie avant qu'il n'ait eu le temps de finir de se nettoyer tellement cela avait été intense. Un message reçu la réveille. Il est tard, la nuit est tombée. Elle est seule dans le lit mais reste étendue encore un peu. Elle le retrouve dans le salon calmement installé sur le canapé. Elle lui raconte brièvement sa soirée de la veille et part ranger son sac de voyage. Il lui semble que quelque chose manque mais elle ne sait pas quoi. Assise sur le lit, elle prend son téléphone et lit le message. C'est G. qui lui a écrit. Elle l'ouvre et voit une photo. C'est G et D, les deux sont souriants. L'un tient un string et l'autre un soutien gorge. Elle vient de comprendre ce qui lui manque. Elle panique.Mais que s'est-il passé la veille?
Je glisse la clé dans la serrure et entre dans l'appartement. Le retour du travail a été fatiguant. Avec les grèves et la chaleur, les trajets sont toujours plus pénibles.
J'attrape la carafe et un verre avant de m'affale sur le canapé.
Encore une journée éreintante. Mon esprit s'éparpille, repensant aux dernières heures. Le réveil a été difficile, je n'ai pas beaucoup dormi. Et comme d'habitude mon travail a été plus compliqué. Je sais que ma patience est plus réduite quand je suis fatigué.
Je me lève et file à la salle de bain. J'ouvre le robinet.
Rafraîchi, je repars me rasseoir. J'ai peu dormi car j'ai beaucoup pensé. La veille,je me suis couché seul. Elle avait une soirée avec ses collègues et avait prévu de dormir chez l'un d'eux. Notre départ de la région parisienne est proche et elle veut profiter de moments avec eux. Et comme à son habitude elle ne m'a pas écrit de la soirée. Au moment de m'endormir, j'imaginais ce qu'elle faisait. Avec le retour des beaux jours, elle était partie au travail en robe. Cette petite robe noire qui la met tellement en valeur, moulant avec élégance sa silhouette dans ce tissu proche de son corps, moulant avec pudeur sa petite poitrine et ses fesses . J'adore quand elle la porte et je connais l'effet de cette robe sur la gente masculine. Déjà beaucoup regardée au quotidien, elle fait tourner de nombreuses tête quand elle est habillée ainsi. Je l'ai constaté à plusieurs reprises.
Je l'imagine... Elle, au bar, enivrée par ses mojitos ondulant son corps au rythme de la musique. Je sais qu'elle ne laisse pas indifférent certains de ses collègues. Sans aucune nouvelle de sa part, mon esprit divague. Je sens que je deviens jaloux. J'essaie de me raisonner. Mais rien n'y fait. Je vois les mains baladeuses de son collègue frôler ses fesses, caresser ses cuisses ou encore effleurer impunément sa poitrine. Je la considère un peu naïve, feignant de ne pas voir le désir qu'elle peut susciter chez un homme. Pour elle tout ses gestes auront été accidentels ou amicaux.
Je l'imagine toujours. La voilà chez lui. D est également venu y dormir. Ils prennent un dernier verre. D propose de faire un action ou vérité. Elle adore cette idée.
Les vérités ont depuis longtemps laissé place aux actions. Les "bois deux gorgées" ont fait leur effet, elle sent encore quelques cristaux de sels dans son cou. Elle a frissonné quand la langue de G. est venue lécher le sel utilisé pour la tequila et quand ses lèvres ont frôlé cette zone si érogène de son corps.
Nouvelle action : elle doit maintenant enlever ses sous vêtements sous sa robe. Elle hésite, envahie par une vague de chaleur, d'excitation. Et puis après ! Elle ne les reverra sans doute jamais et son homme ne le saura pas. La voila nue sous sa robe. Elle glisse délicatement son string dans la main de D. quand G. hérite de son soutien gorge. Elle les regarde tour à tour. D. semble toucher l'humidité de son string alors que G. a les yeux rivés sur ses tétons qui pointent à travers sa robe.
Ils ont voulu s'amuser, à elle maintenant. Action ! Voilà les 2 hommes en boxer devant elle. Et à ce qu'elle perçoit à travers cette semi obscurité, ils ont l'air en forme !
Mon esprit vagabonde, je sens une chaleur dans mon bas ventre. Il n'y a pas que dans mon imagination que l'excitation est à son comble. Je me rends compte que je bande comme un fou. Ma main commence à caresser mon pénis en érection. Je suis tiraillé, je suis excité en imaginant ma femme avec d'autres hommes. Un sentiment de culpabilité m'envahit. Mais plus j'y pense et plus je me caresse.
Je replonge dans mon imagination.
La voilà maintenant assise sur le canapé entre ses deux collègues, les jambes écartées, une cuisse sur chacun, la robe dévoilant le haut de ces cuisses. Les mains de G. se sont glissées sous le haut de sa robe caressant ses seins, effleurant ses tétons. Elle a le souffle court. D. caresse ses cuisses mais remonte de plus en plus vers son entrejambe. Elle frissonne. Il touche enfin ses lèvres imberbes. Elle voit que sa chatte lisse décuple l'excitation de D.
Elle se laisse aller, bascule la tête en arrière et ferme les yeux. Elle sent les doigts de l'un jouer avec ses tétons pendant que ceux de l'autre semble se délecter de jouer avec son sexe dégoulinant d'excitation. Quelle sensation de sentir 4 mains s'occuper de soi. Chacune d'elles lui apportant du plaisir. Elle n'a jamais connu cela mais n'espère qu'une chose : que cela dure encore et encore. Les yeux fermés, elle cherche les boxers de ces camarades de jeu. Elle sent leurs sexes raides à travers le tissu et les invite par un geste de la main à les retirer.Les voilà nus en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire. Chacune de ses mains caresse maintenant le pénis d'un de ses collègues. Elle qui adore sentir l'excitation d'un homme à la dureté de son érection, la voilà qui étreint deux pénis. Celui de D est d'une belle longueur alors que celui de G semble moins long mais elle a du mal à l' empoigner d'une main à cause de son diamètre appréciable semble t il. Elle aime ce sentiment de contrôle qu'elle a sur eux rien que les tenant par la bite ! Elle est aux anges, elle sent le désir monter chez ses partenaires. Sa robe n'a plus beaucoup d'utilité. Le tissu ne masque plus ni le haut ni le bas de son corps. Seul son nombril est encore caché. Chacune de leur bouche est maintenant occupée à suçoter ses tétons, les mordillant à l'occasion. Avec ses mains, elle commence un lent mouvement ample de va et viens. Elle avait oublié l'effet d'avoir de tels engins dans les mains. Bien sûr qu'elle aime le sexe de son homme mais ce soir ce n'est pas pareil. Elle sent son bas ventre se remplir de plaisir et de désir. La main gauche de D caresse doucement son clitoris. La droite de G, sa vulve. Elle lâche un râle lorsqu'il introduit son majeur. Il le ressort et lui glisse dans la bouche. D'habitude, elle n'aime pas quand son homme le lui fait mais elle ne se reconnaît plus, elle le lèche avec envie sous l'effet de l'excitation. Elle ne se contrôle plus, semblant découvrir une nouvelle facette de sa personnalité. D glisse à son tour un doigt et commence des aller retours de plus en plus profonds. Elle sent de nouveau la main de G, de nouveau un doigt la pénètre. G ET D l'explorent, ensemble. Elle sent le rythme du mouvement de leur doigts s'intensifiant. Inconsciemment elle synchronise ses masturbations avec la leur. Elle lâche prise... Tout deux lui lèchent les seins et la doigtent avec passion. Elle ondule le bassin de plus en plus, gémissant doucement. L'intensité augmente, elle sent qu'elle ne contrôle plus rien. Leurs doigts glissent en elle, sans difficulté ils en ont rentré chacun un second. Elle se laisse aller totalement. Elle sent qu'elle va...
Jouir en imaginant pareil scénario. Je ne l'aurais pas cru. Le torse couvert de sperme encore chaud, l'excitation laisse place à un sentiment de malaise, de honte... Je me lève pour aller me rincer et retourne me coucher... Mon sommeil est agité.
Le soleil passe à travers les volets légèrement entrouvert, la rue bourdonne mais il est encore tôt. Le réveil n'a pas encore sonné. Toujours aucun message lorsque j'allume mon téléphone. L'inquiétude revient. Je sens mon estomac se nouer. Et si ce que j'ai imaginé s'était vraiment passé. Et si , elle s'était laissé aller avec eux. Il est l'heure de partir travailler...
Un coup de klaxon me sort de ses songes. Je me relève, me prépare pour aller courir. J'ai besoin de me vider l'esprit. La température est douce et il fait encore jour.
A mon retour, je trouve un mot sur la table. Ça y est elle est rentrée, enfin... Je ressens de nouveau de l'anxiété.
"Coucou n***u, prends une douche et rejoints moi dans la chambre."
Je prend le temps de m'étirer et part me doucher. Je repense à ma nuit, à la fois inquiétante mais aussi très excitante.
Elle l'a entendu ouvrir la porte et lire le mot qu'elle a laissé sur la table de la cuisine. En se levant ce matin, elle avait une migraine. Pas une migraine ophtalmique mais plutôt une gueule de bois. Encore peu réveillée, elle avait mis du temps à comprendre où elle était. La soirée avait été alcoolisée et elle avait dormi chez un collègue, sur un canapé du salon. D'ailleurs, au vu de la forme sur l'autre canapé, elle n'était pas la seule à être tombé dans les bras de Bacchus et à ne pas être apte à conduire. Comme souvent le matin suivant une soirée alcoolisée, elle a très envie de faire l'amour. La forme du canapé se soulève et s'abaisse de manière régulière. Qui que ce soit, "ça" dort. Elle commence à se caresser la poitrine afin d'assouvir son désir. Elle est pudique et a peur de se faire surprendre. Elle halète et poursuit les mouvements circulaires qu'elle prodigue à ses seins. L'effet est immédiat. Elle sent son entrejambe s'humidifier, elle se mord les lèvres pour rester la plus silencieuse. Elle continue son massage imaginant se faire pénétrer. Soudain la forme expire un grand coup et se retourne. Elle est pétrifiée, persuadée d'être découverte. Elle cesse tout mouvement et attend. Le rythme lent de la respiration de la chose reprend. Elle doit partir au travail. Avant de quitter l'appartement de son collègue, elle tente d'identifier la forme en soulevant la couette. Elle reconnait D...
L'eau de la douche coule. Il vient de rentrer dedans. Elle a encore un peu de temps. Elle se sent bien, elle a envie de lui, elle a envie de le sentir en elle, elle a envie de sexe, elle a envie de jouir. Elle a réfléchi à un petit scenario pendant qu'il était parti courir.
Elle a mis le body qu'il lui avait offert, celui dans lequel sa poitrine et son sexe sont accessibles sans avoir à l'enlever. Elle veut une sexualité sauvage, elle pense à cela depuis qu'elle a commencé à se caresser ce matin chez son collègue.
L'eau tiède de la douche me rafraîchi. Je prend le temps de me rincer. J'attrape le savon et passe du temps à me laver, notamment le pénis. Je n'ai pas envie qu'elle refuse une éventuelle fellation. Mais mon lavage ressemble plutôt à des caresses. Je reprend le fil de mes pensées de la nuit dernière. Je commence à être en érection. Hors de question de m'exciter davantage et de jouir prématurément en la laissant sur sa fin. J'ai envie de la prendre sauvagement.
Je rentre dans la chambre. Les volets sont baissés mais elle a laissé l'espace entre chaque lame pour éclairer la chambre. Je la vois allongée sur le lit, dans un body noir. Elle se lève sans un mot s'approche de lui et m'embrasse à pleine bouche, saisissant mon sexe par la main.
"Allonge toi sur le lit" Ce soir, c'est elle qui donne les ordres. Elle veut qu'il soit son objet. Elle lui attache les poignets derrière la tête. Elle a prévu des coussins pour qu'il soit relevé. Elle s'installe sur une chaise face à lui, les jambes écartées. Elle se caresse les seins, le corps, les cuisses. Elle sent l'excitation monter, chez elle comme chez lui. Son sexe se dresse petit à petit. Elle se pince légèrement le téton et glisse sa main dans l'ouverture basse de son body. Elle y trouve son clitoris gonflé d'excitation. Elle passe son doigt dessus, elle sent rapidement sa cyprine le recouvrir. Elle se caresse doucement le regardant bander sans qu'il ne puisse rien faire. Son doigt finit par s'introduire dans son sexe humide. Elle le ressort et l'essuie sur ses tétons. Elle reprend sa lente mais excitante masturbation. Elle aime se montrer comme ça à son homme, elle aime lui montrer son côté coquin voire même un peu salope. Ce n'est plus un mais deux doigts qui la pénètre sans aucune difficulté à plusieurs reprises. Elle se lève et se dirige vers lui lentement. Il est nu. Elle lui attrape la bouche avec sa main gauche et l'oblige à lécher ses doigts. Il semble adorer la situation à ce qu'elle voit. Alors elle lui fait laper ses tétons et, afin de le soumettre totalement, finit par lui prendre la tête dans ses mains. Elle s'assoit sur son visage, elle le force à nettoyer le jus qui sort de son sexe lisse. Elle se sent toute puissante, elle sait qu'elle peut faire ce qu'elle veut de lui. Elle joue avec son pénis, d'abord avec ses mains puis lui lèche de la base au gland. Une goutte de sperme perle déjà. Elle a peur qu'il jouisse.
Je suis au comble de l'excitation. Son seul coup de langue pourrait me faire jouir. Elle sait exactement comment m'exciter.
Elle se redresse et attrape notre boite à plaisirs. Elle en sort un sextoy noir. Son préféré... Elle se rassoit sur sa chaise, m'offrant une vision parfaite de son entrejambe. Elle recommence ses caresses et, comble de l'excitation me regarde droit dans les yeux lorsqu'elle met le jouet dans sa bouche pour l'humidifier, si tant est que ce soit nécessaire, en mimant une fellation. Je la regarde, je suis au bord de la rupture. J’entends les vibrations produites par l'engin qu'elle dirige vers son sexe ouvert. Elle joue d'abord avec son clitoris puis se l'enfonce entre les jambes sans le lâcher des yeux. Il rentre avec une facilité déconcertante. Ses gémissements sont de plus en plus forts. "Ça te plaît?!" Je hoche la tête en guise de réponse. "Je n'en ai pas encore fini avec toi" lui lance-t-elle. Elle remonte sur le lit et reprend son pénis en main. De sa main libre, elle saisit la boite et en sort un autre jouet. Celui ci est plus long, plus gros. Mon préféré... Elle le pose sur le lit et se glisse délicatement dessus. Les gémissements précédents sont maintenant beaucoup plus forts et le deviennent de plus en plus à chaque mouvement de son bassin. Je vois le sextoy disparaître un peu plus à chaque fois qu'elle effectue un mouvement vers le bas. Une nouvelle fois, je repense à mon "rêve" de la nuit passée. Je la revois s'abandonner avec ses collègues. Le jouet est devenu un corps masculin qu'elle chevauche avec passion, prenant un plaisir intense lorsqu'il est en elle. Je sens que ma propre jouissance est proche.
Elle calque son rythme de masturbation sur le rythme de ses ondulations. Tout s'accélère, elle est de plus en plus bruyante. Elle resserre son étreinte autour de son pénis. Son extase est proche, son regard est dans le vague.
A la voir ainsi je n'en peux plus. Le fait de la voir si excitée cumulé à mon imagination débordante me fait jouir. En moins de 24h, mon propre sperme recouvre mon corps pour la deuxième fois. On dirait un signal, elle jouit à son tour. L'orgasme est puissant.
Elle a rarement joui avec une telle intensité. Elle s'écroule à ses côtés. Elle se sent épuisée. Elle le détache et l'embrasse tendrement.
Lorsque je reviens de la salle de bain, je la trouve nue, paisiblement endormie. Lui livrerai-je un jour mes pensées intimes?
Elle s'est endormie avant qu'il n'ait eu le temps de finir de se nettoyer tellement cela avait été intense. Un message reçu la réveille. Il est tard, la nuit est tombée. Elle est seule dans le lit mais reste étendue encore un peu. Elle le retrouve dans le salon calmement installé sur le canapé. Elle lui raconte brièvement sa soirée de la veille et part ranger son sac de voyage. Il lui semble que quelque chose manque mais elle ne sait pas quoi. Assise sur le lit, elle prend son téléphone et lit le message. C'est G. qui lui a écrit. Elle l'ouvre et voit une photo. C'est G et D, les deux sont souriants. L'un tient un string et l'autre un soutien gorge. Elle vient de comprendre ce qui lui manque. Elle panique.Mais que s'est-il passé la veille?
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Récit incompréhensible entre rêve et réalité le lecteur ne sait pas si c est du lard ou du cochon.Que c est il passé en réalité on ne le saura jamais et on s en fout.
Bon récit, j'ai aimé cette histoire. il manque toutefois de vie lorsque que l'auteur parle de lui en disant l'homme ou en utilisant la troisième personne.
terriblement excitant ce récit !!!!!
j'ai adoré !!!!
j'ai adoré !!!!