Entrevue chez le directeur
Récit érotique écrit par Pasham35 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Entrevue chez le directeur
Charlotte ne savait pas pourquoi elle avait été convoquée par le directeur de l’usine, mais était relativement inquiète car elle savait que la situation de l’entreprise n’était pas bonne depuis plusieurs mois.
Elle fût introduite dans le bureau du directeur par Emilie, la jeune secrétaire de direction. Cette dernière était pour Charlotte la femme parfaite. Toujours gentille, souriante, drôle. Tout ce qu’elle portait lui allait à la perfection. Elle avait toujours de profonds décolletés qui attiraient les regards masculins et la rendait belle. Elle ne connaissait pas beaucoup Emilie mais appréciait toujours d’échanger avec elle autour d’un café.
Dans le bureau, M. Georgelin, un homme d’une petite cinquantaine d’années, plutôt bel homme se trouvait derrière son bureau, sur la droite de l’entrée. Face au bureau était disposé un canapé devant lequel se trouvait une table basse, accueillant une pile de dossiers. M. Loret, le responsable RH, assis là, feuilletait l’un d’eux. Autant M. Georgelin était avenant et souriant, autant son DRH était austère et n’inspirait pas confiance. Charlotte ne l’aimait pas trop, comme la plupart des employés.
Un peu stressée, Charlotte se tenait debout devant le bureau, les mains jointes devant elle.
C’était une femme plutôt jolie, sans être magnifique. Ses yeux bleus-verts pétillants lui conféraient beaucoup de son charme. Elle avait une belle poitrine qu’elle aimait mettre un peu en valeur, quoi que moins qu’Emilie.
M. Georgelin, engagea enfin la conversation :
- Mme Marty, merci d’être venue.
Charlotte n’avait pas senti qu’elle avait le choix. Comme elle n’avait rien dit, le directeur poursuivit.
- Vous n’êtes pas sans savoir que la société est en difficulté depuis plusieurs mois. Nous allons présenter un plan social dans les prochaines semaines.
Charlotte fût anéantie, une vague d’anxiété la parcourue. Un plan de licenciement et sa présence dans ce bureau ne laissait que peu de doute sur son avenir. Les larmes lui montèrent aux yeux.
Voyant le choc provoqué, le directeur s’empressa de la rassurer.
- Ne vous inquiétez pas, vous n’êtes pas concernée par le plan social. Nous n’avons pas de projet de restructuration au service compta. C’est à l’usine que nous devons réduire principalement nos effectifs. Notamment au service logistique. Je crois savoir que votre mari travaille là-bas...
Le coeur de Charlotte venait de faire un bon dans sa poitrine. Un silence pesant s’installa.
- Nous ne savons pas de qui nous devrons nous séparer du service logistique, repris le directeur.
- Mon mari travaille ici depuis près de 10 ans, il a toujours été exemplaire, argumenta Charlotte.
- Oui, c’est vrai et nous le prenons en compte. Mais c’est le cas de ses collègues aussi. Le choix n’est pas simple. Mais il y a peut-être quelque chose que vous pourriez faire pour aider à la décision, ajouta le directeur avec de la perversion dans le regard.
Charlotte ne comprenait pas.
- Vous êtes une belle femme, précisa le directeur. Je suis certain que vous sauriez nous convaincre M. Loret et moi-même.
- Que voulez-vous dire ? demanda Charlotte qui avait maintenant peur de comprendre.
- Je pense que vous savez…
- Je ne peux pas faire ça enfin ! s’indigna Charlotte. Je n’en ai pas envie et j’aime mon mari !
- Justement, c’est pour votre mari qu’il faut le faire. Pour sauver son emploi. Vous avez 2 enfants je crois. Et des emprunts j’imagine.
Devant le silence de la jeune femme, le directeur repris :
- Mais n’en parlons plus ! Je ne vous force à rien. Vous pouvez vous retirer, conclua-t-il avec perfidie.
Charlotte fit demi-tour puis quelques pas mais avant la porte s’arrêta. Elle se retourna puis demanda :
- Que voulez que je fasse ?
- Ce qu’il faut pour sauvez votre famille. Commencez par vous déshabiller pour que nous puissions vous admirer et nous jugerons quand le jeu s’arrêtera, que vous aurez fait ce qu’il faut.
Charlotte ne savait plus quoi faire. Mais le bassin d’emploi de la région était périclitant et ce travail était indispensable à leur famille. Et comme l’avait dit le directeur, ils avaient à charge 2 enfants et le crédit de leur maison à rembourser. Ce n’était qu’un mauvais moment à passer et ce soir l’avenir resterait éclaircit. Il serait durablement sombre si elle sortait tout de suite.
Charlotte soupira et se replaça devant le bureau du directeur.
- Déshabillez-vous redit le directeur. Si je dois me répéter, le sort de votre mari sera réglé.
La jeune femme trentenaire ôta son top noir. Elle fit ensuite glisser sa jupe à ses pieds. Elle se retrouva alors en sous-vêtements devant les regards lubriques de ces 2 hommes. Machinalement elle plaça ses mains devant sa poitrine et son pubis.
- Enlevez vos mains et tournez sur vous-même, ordonna le directeur.
Charlotte s’exécuta.
Elle portait un ensemble en dentelle fushia du plus bel effet. Le soutien-gorge épousait parfaitement sa belle poitrine tandis que le tanga mettait en valeur ses fesses. Elle était plutôt mince, et même si elle avait quelques kilos en trop, elle était très désirable.
- Enlevez votre soutien-gorge.
Devant l’hésitation de la jeune femme, il ajouta :
- Pensez à votre mari, à votre famille.
Charlotte s’exécuta finalement et laissa tomber au sol le soutien-gorge. Il libéra deux beaux seins volumineux avec une large aréole. Sentir le regard de ces hommes sur son corps, ne la troublait finalement pas autant qu’elle le montrait.
Les deux hommes se levèrent enfin et vinrent se placer de part et d’autre de la jeune femme. Elle sentait leur respiration dans son cou. Ils commencèrent à lui caresser les seins, les malaxer, titiller les tétons. Le DRH se pencha alors pour lécher le téton droit. Il joua avec à l’aide de sa langue, mordilla le téton qui durcissait.
Le directeur qui caressait les fesses de la jeune femme en l’embrassant dans le cou, fit glisser sa main gauche le long de son ventre et s’arrêta sur le dentelle de sa lingerie.
Il se plaça derrière. Elle sentait son sexe gonflé sur ses fesses. Sa main gauche remonta sur son sein pour le caresser vigoureusement. Il la redescendit et l’insinua dans la culotte de Charlotte pour atteindre son clitoris avec lequel il se mit à jouer.
La respiration de la jeune femme se faisait plus forte. Un doigt glissa le long de sa fente et s’insinua en elle. Elle commençait à mouiller et ne comprenait pas pourquoi elle aimait cette situation malgré elle. Se faire caresser les seins et doigter en même temps provoquait une vague de chaleur dans son ventre.
- A genoux ! ordonna M. Georgelin.
Elle obéit alors que les deux hommes reculèrent en défaisant leur pantalon. Ils libérèrent leur sexe qui se dressait fièrement devant le visage de Charlotte.
- Sucez, intima le directeur.
Elle s’empara des 2 queues et commença à les branler. Les premiers instants furent timides mais rapidement elle s’y appliqua avec gourmandise. Les deux hommes poussaient de petits soupirs de plaisir.
La queue du directeur dans la bouche, une main qui caressait ses couilles et l’autre main qui branlait le DRH. Et puis elle changeait de position pour satisfaire de la même façon les 2 hommes.
Ses caresses buccales se prolongèrent un bon moment.
- Remets ma queue dans ta bouche je vais jouir, s’empressa de dire le directeur.
Charlotte repris sa verge en bouche, lécha le gland avec sa langue, fît des va-et-vient sur le membre de chair avec sa main et caressa les couilles de son autre main.
L’homme se tendit, poussa un gémissement de plaisir et se vida dans la bouche de Charlotte. La jeune femme reçu plusieurs jets de sperme dans la bouche, qu’elle avala. Elle n’aimait pas trop le goût et la consistance du sperme et le pratiquait peu avec son mari, mais aujourd’hui cela l’avait excité de goûter au foutre de cet homme. Elle se tourna vers le DRH et pratiqua les mêmes gestes. Il ne fallu pas longtemps pour que lui aussi décharge dans la bouche de Charlotte qui recueillit et avala avec plaisir le sperme de cet homme.
Satisfait, M Georgelin proposa à la jeune femme :
- Vous vous êtes bien débrouillée. Vous pouvez vous rhabiller et rentrer chez vous. Votre mari sera conserver dans les effectifs grâce à vous.
Après un silence, il ajouta :
- Ou alors, vous pouvez reste pour prolonger l’entrevue...
Elle ne l’aurait pas cru il y a 20 minutes si elle s’était entendu répondre ça :
- Je veux rester. J’ai la chatte en feu. Baisez-moi, je veux sentir vos queues en moi.
Elle repris alors en main les deux queues auxquelles ses caresses rendirent leur vigueur.
Le directeur s’assit sur le canapé et fit signe à la jeune femme de s’approcher. Elle s’assit sur lui et s’empala sur sa queue qui pénétra son sexe trempé sans aucun effort. Elle poussait maintenant des gémissements de plaisir à chaque mouvement de va-et-vient qu’elle provoquait.
- Tu aimes sentir la queue de ton patron dans ta chatte ?
- Ho oui Monsieur, c’est bon, faites-moi jouir !
- Et la queue de ton DRH dans ton cul ? ajouta M. Loret en approchant dans le dos de la jeune femme.
- Je ne sais pas… je ne l’ai jamais fait par là…
- Tu va voir, tu va prendre ton pieds.
Charlotte senti alors un liquide froid couler le long sa raie puis un doigt caresser son petit trou. Il le pénétra et entama des mouvements de va-et-vient. La sensation fût étrange au début mais rapidement agréable. Plusieurs doigts s’insinuèrent un à un dans son anus. Puis elle senti le gland s’approcher et la pénétrer. Doucement, la longue queue s’enfonça dans son cul jusqu’à sentir ses couilles sur ses fesses. Il entama des mouvements au même rythme que son directeur.
Sentir ces deux bites la baiser avec vigueur lui procura beaucoup de plaisir.
- T’aime te faire baiser par tous les trous petite garce, grogna le DRH.
Elle gémissait de plus en plus fort puis un plaisir intense s’empara d’elle. Des spasmes déferlèrent dans son ventre pendant un long moment. Jamais elle n’avait eu un orgasme aussi fort.
Charlotte s’allongea à son tour sur le canapé. M. Loret lui fit relever les jambes serrées jusqu’au épaules, se plaça au dessus d’elle et enfonça sa queue dans sa chatte, presque à la verticale. Le directeur vint se positionner derrière et la pénétra dans le cul.
Ils reprirent leur pilonnage.
- T’aime te faire défoncer la chatte ? demanda la DRH
- Oui, j’aime sentir vos queues au fond de ma chatte et de mon cul. Baisez-moi fort.
- T’es notre petite salope, hein ?
- Oui, je suis votre salope.
Au bout de plusieurs minutes, le trio changea de position. La jeune femme s’allongea sur la table basse. Le DRH se plaça devant le visage de la jeune femme pour se faire sucer tandis que M. Georgelin vint mettre son visage entre les jambes de Charlotte et lécha son clitoris, l’aspira et le caressa avec sa langue. Il descendit la fente pour insérer sa langue dans le vagin. Cette langue provoqua beaucoup de frissons à la jeune femme.
Finalement il se releva et inséra son sexe dans celui de sa partenaire. Tout en la besognant, le directeur jouait avec le clitoris de la jeune femme. Il le décalotta, le caressa après avoir lubrifié ses doigts avec sa mouille, le pinça, lui fît subir toutes sortes de mouvements. Ce traitement provoqua très vite le deuxième orgasme de la jeune femme dont les gémissements de plaisirs étaient étouffés par la présence d’une verge dans sa bouche.
C’est alors qu’elle senti le DRH se raidir et décharger à nouveau sur sa langue. Elle éprouva encore plus de plaisir que la première fois à recevoir le foutre de cet homme. Elle garda un peu le sperme en bouche avant de l’avaler.
Le directeur approcha à son tour de l’orgasme. Il sorti sa queue de la chatte de sa jeune comptable pour jouir sur sa vulve. Le sperme était abondant et sa chatte devint presque blanche.
L’entretien touchait à sa fin, aussi chacun se rhabilla.
Comme Charlotte n’avait rien pour s’essuyer, elle remit son tanga directement. Le contact du tissus sur sa chatte pleine de sperme la fît frémir et elle trouva ça terriblement excitant. Qui était-elle devenue ? Elle si réservée et pas spécialement portée sur le sexe. Cette journée avait fait ressortir une partie d’elle-même qu’elle ne se connaissait pas. Mais elle était heureuse de l’avoir trouvée.
- Merci d’être venue, vous avez été parfaite, dit le directeur avec un regard lubrique en rangeant le dossier du logisticien dans une armoire.
Charlotte se contenta d’un sourire qui voulait presque dire merci et s’apprêta à sortir quand elle demanda :
- Je peux prendre mon après-midi ?
- Bien sûr, vous l’avez bien mérité.
Elle avait hâte de rentrer chez elle pour prendre une douche, moins pour se laver que pour se caresser en revivant cette folle journée et rêver d’une nouvelle convocation chez ses patrons.
Elle fût introduite dans le bureau du directeur par Emilie, la jeune secrétaire de direction. Cette dernière était pour Charlotte la femme parfaite. Toujours gentille, souriante, drôle. Tout ce qu’elle portait lui allait à la perfection. Elle avait toujours de profonds décolletés qui attiraient les regards masculins et la rendait belle. Elle ne connaissait pas beaucoup Emilie mais appréciait toujours d’échanger avec elle autour d’un café.
Dans le bureau, M. Georgelin, un homme d’une petite cinquantaine d’années, plutôt bel homme se trouvait derrière son bureau, sur la droite de l’entrée. Face au bureau était disposé un canapé devant lequel se trouvait une table basse, accueillant une pile de dossiers. M. Loret, le responsable RH, assis là, feuilletait l’un d’eux. Autant M. Georgelin était avenant et souriant, autant son DRH était austère et n’inspirait pas confiance. Charlotte ne l’aimait pas trop, comme la plupart des employés.
Un peu stressée, Charlotte se tenait debout devant le bureau, les mains jointes devant elle.
C’était une femme plutôt jolie, sans être magnifique. Ses yeux bleus-verts pétillants lui conféraient beaucoup de son charme. Elle avait une belle poitrine qu’elle aimait mettre un peu en valeur, quoi que moins qu’Emilie.
M. Georgelin, engagea enfin la conversation :
- Mme Marty, merci d’être venue.
Charlotte n’avait pas senti qu’elle avait le choix. Comme elle n’avait rien dit, le directeur poursuivit.
- Vous n’êtes pas sans savoir que la société est en difficulté depuis plusieurs mois. Nous allons présenter un plan social dans les prochaines semaines.
Charlotte fût anéantie, une vague d’anxiété la parcourue. Un plan de licenciement et sa présence dans ce bureau ne laissait que peu de doute sur son avenir. Les larmes lui montèrent aux yeux.
Voyant le choc provoqué, le directeur s’empressa de la rassurer.
- Ne vous inquiétez pas, vous n’êtes pas concernée par le plan social. Nous n’avons pas de projet de restructuration au service compta. C’est à l’usine que nous devons réduire principalement nos effectifs. Notamment au service logistique. Je crois savoir que votre mari travaille là-bas...
Le coeur de Charlotte venait de faire un bon dans sa poitrine. Un silence pesant s’installa.
- Nous ne savons pas de qui nous devrons nous séparer du service logistique, repris le directeur.
- Mon mari travaille ici depuis près de 10 ans, il a toujours été exemplaire, argumenta Charlotte.
- Oui, c’est vrai et nous le prenons en compte. Mais c’est le cas de ses collègues aussi. Le choix n’est pas simple. Mais il y a peut-être quelque chose que vous pourriez faire pour aider à la décision, ajouta le directeur avec de la perversion dans le regard.
Charlotte ne comprenait pas.
- Vous êtes une belle femme, précisa le directeur. Je suis certain que vous sauriez nous convaincre M. Loret et moi-même.
- Que voulez-vous dire ? demanda Charlotte qui avait maintenant peur de comprendre.
- Je pense que vous savez…
- Je ne peux pas faire ça enfin ! s’indigna Charlotte. Je n’en ai pas envie et j’aime mon mari !
- Justement, c’est pour votre mari qu’il faut le faire. Pour sauver son emploi. Vous avez 2 enfants je crois. Et des emprunts j’imagine.
Devant le silence de la jeune femme, le directeur repris :
- Mais n’en parlons plus ! Je ne vous force à rien. Vous pouvez vous retirer, conclua-t-il avec perfidie.
Charlotte fit demi-tour puis quelques pas mais avant la porte s’arrêta. Elle se retourna puis demanda :
- Que voulez que je fasse ?
- Ce qu’il faut pour sauvez votre famille. Commencez par vous déshabiller pour que nous puissions vous admirer et nous jugerons quand le jeu s’arrêtera, que vous aurez fait ce qu’il faut.
Charlotte ne savait plus quoi faire. Mais le bassin d’emploi de la région était périclitant et ce travail était indispensable à leur famille. Et comme l’avait dit le directeur, ils avaient à charge 2 enfants et le crédit de leur maison à rembourser. Ce n’était qu’un mauvais moment à passer et ce soir l’avenir resterait éclaircit. Il serait durablement sombre si elle sortait tout de suite.
Charlotte soupira et se replaça devant le bureau du directeur.
- Déshabillez-vous redit le directeur. Si je dois me répéter, le sort de votre mari sera réglé.
La jeune femme trentenaire ôta son top noir. Elle fit ensuite glisser sa jupe à ses pieds. Elle se retrouva alors en sous-vêtements devant les regards lubriques de ces 2 hommes. Machinalement elle plaça ses mains devant sa poitrine et son pubis.
- Enlevez vos mains et tournez sur vous-même, ordonna le directeur.
Charlotte s’exécuta.
Elle portait un ensemble en dentelle fushia du plus bel effet. Le soutien-gorge épousait parfaitement sa belle poitrine tandis que le tanga mettait en valeur ses fesses. Elle était plutôt mince, et même si elle avait quelques kilos en trop, elle était très désirable.
- Enlevez votre soutien-gorge.
Devant l’hésitation de la jeune femme, il ajouta :
- Pensez à votre mari, à votre famille.
Charlotte s’exécuta finalement et laissa tomber au sol le soutien-gorge. Il libéra deux beaux seins volumineux avec une large aréole. Sentir le regard de ces hommes sur son corps, ne la troublait finalement pas autant qu’elle le montrait.
Les deux hommes se levèrent enfin et vinrent se placer de part et d’autre de la jeune femme. Elle sentait leur respiration dans son cou. Ils commencèrent à lui caresser les seins, les malaxer, titiller les tétons. Le DRH se pencha alors pour lécher le téton droit. Il joua avec à l’aide de sa langue, mordilla le téton qui durcissait.
Le directeur qui caressait les fesses de la jeune femme en l’embrassant dans le cou, fit glisser sa main gauche le long de son ventre et s’arrêta sur le dentelle de sa lingerie.
Il se plaça derrière. Elle sentait son sexe gonflé sur ses fesses. Sa main gauche remonta sur son sein pour le caresser vigoureusement. Il la redescendit et l’insinua dans la culotte de Charlotte pour atteindre son clitoris avec lequel il se mit à jouer.
La respiration de la jeune femme se faisait plus forte. Un doigt glissa le long de sa fente et s’insinua en elle. Elle commençait à mouiller et ne comprenait pas pourquoi elle aimait cette situation malgré elle. Se faire caresser les seins et doigter en même temps provoquait une vague de chaleur dans son ventre.
- A genoux ! ordonna M. Georgelin.
Elle obéit alors que les deux hommes reculèrent en défaisant leur pantalon. Ils libérèrent leur sexe qui se dressait fièrement devant le visage de Charlotte.
- Sucez, intima le directeur.
Elle s’empara des 2 queues et commença à les branler. Les premiers instants furent timides mais rapidement elle s’y appliqua avec gourmandise. Les deux hommes poussaient de petits soupirs de plaisir.
La queue du directeur dans la bouche, une main qui caressait ses couilles et l’autre main qui branlait le DRH. Et puis elle changeait de position pour satisfaire de la même façon les 2 hommes.
Ses caresses buccales se prolongèrent un bon moment.
- Remets ma queue dans ta bouche je vais jouir, s’empressa de dire le directeur.
Charlotte repris sa verge en bouche, lécha le gland avec sa langue, fît des va-et-vient sur le membre de chair avec sa main et caressa les couilles de son autre main.
L’homme se tendit, poussa un gémissement de plaisir et se vida dans la bouche de Charlotte. La jeune femme reçu plusieurs jets de sperme dans la bouche, qu’elle avala. Elle n’aimait pas trop le goût et la consistance du sperme et le pratiquait peu avec son mari, mais aujourd’hui cela l’avait excité de goûter au foutre de cet homme. Elle se tourna vers le DRH et pratiqua les mêmes gestes. Il ne fallu pas longtemps pour que lui aussi décharge dans la bouche de Charlotte qui recueillit et avala avec plaisir le sperme de cet homme.
Satisfait, M Georgelin proposa à la jeune femme :
- Vous vous êtes bien débrouillée. Vous pouvez vous rhabiller et rentrer chez vous. Votre mari sera conserver dans les effectifs grâce à vous.
Après un silence, il ajouta :
- Ou alors, vous pouvez reste pour prolonger l’entrevue...
Elle ne l’aurait pas cru il y a 20 minutes si elle s’était entendu répondre ça :
- Je veux rester. J’ai la chatte en feu. Baisez-moi, je veux sentir vos queues en moi.
Elle repris alors en main les deux queues auxquelles ses caresses rendirent leur vigueur.
Le directeur s’assit sur le canapé et fit signe à la jeune femme de s’approcher. Elle s’assit sur lui et s’empala sur sa queue qui pénétra son sexe trempé sans aucun effort. Elle poussait maintenant des gémissements de plaisir à chaque mouvement de va-et-vient qu’elle provoquait.
- Tu aimes sentir la queue de ton patron dans ta chatte ?
- Ho oui Monsieur, c’est bon, faites-moi jouir !
- Et la queue de ton DRH dans ton cul ? ajouta M. Loret en approchant dans le dos de la jeune femme.
- Je ne sais pas… je ne l’ai jamais fait par là…
- Tu va voir, tu va prendre ton pieds.
Charlotte senti alors un liquide froid couler le long sa raie puis un doigt caresser son petit trou. Il le pénétra et entama des mouvements de va-et-vient. La sensation fût étrange au début mais rapidement agréable. Plusieurs doigts s’insinuèrent un à un dans son anus. Puis elle senti le gland s’approcher et la pénétrer. Doucement, la longue queue s’enfonça dans son cul jusqu’à sentir ses couilles sur ses fesses. Il entama des mouvements au même rythme que son directeur.
Sentir ces deux bites la baiser avec vigueur lui procura beaucoup de plaisir.
- T’aime te faire baiser par tous les trous petite garce, grogna le DRH.
Elle gémissait de plus en plus fort puis un plaisir intense s’empara d’elle. Des spasmes déferlèrent dans son ventre pendant un long moment. Jamais elle n’avait eu un orgasme aussi fort.
Charlotte s’allongea à son tour sur le canapé. M. Loret lui fit relever les jambes serrées jusqu’au épaules, se plaça au dessus d’elle et enfonça sa queue dans sa chatte, presque à la verticale. Le directeur vint se positionner derrière et la pénétra dans le cul.
Ils reprirent leur pilonnage.
- T’aime te faire défoncer la chatte ? demanda la DRH
- Oui, j’aime sentir vos queues au fond de ma chatte et de mon cul. Baisez-moi fort.
- T’es notre petite salope, hein ?
- Oui, je suis votre salope.
Au bout de plusieurs minutes, le trio changea de position. La jeune femme s’allongea sur la table basse. Le DRH se plaça devant le visage de la jeune femme pour se faire sucer tandis que M. Georgelin vint mettre son visage entre les jambes de Charlotte et lécha son clitoris, l’aspira et le caressa avec sa langue. Il descendit la fente pour insérer sa langue dans le vagin. Cette langue provoqua beaucoup de frissons à la jeune femme.
Finalement il se releva et inséra son sexe dans celui de sa partenaire. Tout en la besognant, le directeur jouait avec le clitoris de la jeune femme. Il le décalotta, le caressa après avoir lubrifié ses doigts avec sa mouille, le pinça, lui fît subir toutes sortes de mouvements. Ce traitement provoqua très vite le deuxième orgasme de la jeune femme dont les gémissements de plaisirs étaient étouffés par la présence d’une verge dans sa bouche.
C’est alors qu’elle senti le DRH se raidir et décharger à nouveau sur sa langue. Elle éprouva encore plus de plaisir que la première fois à recevoir le foutre de cet homme. Elle garda un peu le sperme en bouche avant de l’avaler.
Le directeur approcha à son tour de l’orgasme. Il sorti sa queue de la chatte de sa jeune comptable pour jouir sur sa vulve. Le sperme était abondant et sa chatte devint presque blanche.
L’entretien touchait à sa fin, aussi chacun se rhabilla.
Comme Charlotte n’avait rien pour s’essuyer, elle remit son tanga directement. Le contact du tissus sur sa chatte pleine de sperme la fît frémir et elle trouva ça terriblement excitant. Qui était-elle devenue ? Elle si réservée et pas spécialement portée sur le sexe. Cette journée avait fait ressortir une partie d’elle-même qu’elle ne se connaissait pas. Mais elle était heureuse de l’avoir trouvée.
- Merci d’être venue, vous avez été parfaite, dit le directeur avec un regard lubrique en rangeant le dossier du logisticien dans une armoire.
Charlotte se contenta d’un sourire qui voulait presque dire merci et s’apprêta à sortir quand elle demanda :
- Je peux prendre mon après-midi ?
- Bien sûr, vous l’avez bien mérité.
Elle avait hâte de rentrer chez elle pour prendre une douche, moins pour se laver que pour se caresser en revivant cette folle journée et rêver d’une nouvelle convocation chez ses patrons.
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Belle histoire qu'on aimerait poursuivre
Bonne histoire qui mérite une suite