Envie de Star ( suite et fin)
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Envie de Star ( suite et fin)
Sans doute pour me tester,celui que je nommerais le réalisateur me convoque à son
bureau. Une secrétaire sexy assez peu habillée me faisait entrer dans un vaste bureau.
Il m'attendait, assis derrière un grand bureau digne d'Hollywood.
- Assieds toi.
Je m'assoies comme une débutante que je suis.
- Déshabille toi. Sois totalement nue que je vois ta foufoune.
J'étais vite nue devant lui : après tout il m'avait enculée il y a huit jours.
J'ouvrais ma chatte pour qu'il voit bien ce que je suis. Il doit se rendre compte que
je mouille terriblement.
- Branles toi.
Sans soucis de pudeur, étant très excitée je me masturbais pour arriver à un bel
orgasme. Il me regardait jouir avant de parler. Je suis toujours nue devant lui :
C'est bon, je vais te prendre pour le moment pour des petits rôles. Si tu es d'accord,
tu signe avec moi ton engagement comme actrice. Tu commence lundi en huit. N'oublie
surtout pas de porter tes certificats médicaux montrant que tu n'as aucune MTS. Tu
seras la bonne d'un obsédé que tu suceras, qui te baisera ou t'enculera, comme tu
voudras.
Il me tardait d'être sur le plateau. Je sentais déjà une bite entrer dans mon corps,
la bite d'un inconnu. Quand j'en parlais à Piotr, il me félicitait d'avoir enfin une
occupation qui me rapporte de l'argent. Nous passions en revue tous ce que nous
connaissions, et nous en connaissions beaucoup, pour une nuit consacrée uniquement à
nos plaisirs. Il commençait par me lécher le con partout. Il entrait aussi sa langue
dans l'anus. Avant qu'il jouisse il me faisait partir plusieurs fois. J'étais
déchaînée, j'avais envie sans cesse. Il satisfaisait tous mes besoins en me baisant
comme un dingue, sans vérifier si j'étais mouillée. Il me faisait presque mal en
entrant dans le con. Je sentais vite monter mon excitation quand il allait et venait
dans ma gaine.
C'est tellement bon que je soupirais de plus en plus fort pour arriver à crier au
moment des orgasmes. Pendant que je jouissais, je sentais sa queue qui continuait ses
ravages pour m'envoyer au ciel encore une fois.
Enfin le grand jour arrivait. Je me pointais là où je devait tourner. Il y a pas mal
de monde dont Sylvie, qui d'après ce qu'elle me disait est une ancienne actrice de
porno qui après avoir raccroché à cause de son âge, à 35 ans est devenue maquilleuse.
Sylvie me demandait d'abord qu'elle rôle je devait tenir. Elle me félicitait sur mon
allure, mon âge :
Attention, ne te laisse pas marcher sur les pieds. Si tu aime baiser, tu seras vite
satisfaite, sinon, tu me le dira, je saurais te passer des crèmes qui te feront du
bien. Bonne chance.
Je me trouvais donc dans un bureau où je portais une boisson à mon patron qui me
demandait de le sucer. Je sortais la bite du pantalon : il ne bandait pas encore. Je
le branlais un peu pour qu'il grossisse.
Je remarquais quand même les caméras autour de moi. J'en étais toujours plus excitée.
Quand mon partenaire bandait normalement, je le prenait en bouche. J'y mettais
tellement à cœur que je le faisais jouir avant la suite. Je le gardais dans la bouche
jusqu'à sa dernière goutte. Je me léchais les lèvres pour ne pas perdre une parcelle
de sa semence.
Le réalisateur commençait à râler. Je n'aurais pas du le faire jouir. Il fallait qu'il
prenne du viagra pour être à nouveau en forme. J'attendais patiemment la suite en me
touchant le bouton, sans me masturber. Sans doute un quart d'heure plus tard, mon
« amant » revenait ragaillardi, bandant presque normalement.
Quand nous commencions à tourner, il me demandais où je voulais sa queue. Ma
préférence du moment était la sodomie.
Je la voulais dans le cul. Il me faisait mettre en levrette, les fesses bien exposées.
C'est lui qui se chargeait de prendre un peu de cyprine sur mon sexe avant de
doucement entrer dans l'anus. Il était tellement doux que je commençais à gémir. Je ne
sais combien de temps il m'enculait : moi je jouissais souvent. Je me fichais bien des
techniciens dont certains, blasés bandaient. Une fille professionnelle aussi passait
une main sous son jean.
- Bon tu revient la semaine prochaine. Cette fois tu seras une femme mariée, vous vous
baiserais, comme les hommes bavardent entre eux, tu feras l'amour avec une femme,
celle de l'invité.
Je me sentais fière d'être retenue si vite. Mq soirée était aussi tumultueuse que la
dernière. Piotr me la mettait partout. Je passais ma nuit à jouir, et le matin, quand
Piotr partait je me branlais encore pour jouir toujours.
Mon film suivant me permettait de montrer tout mon talent de baiseuse. Je me donnais
avec un nouvel amant à mon labeur qui me faisant tant jouir. Nous avons baisé plus
d'un heure ensemble. J'en voulais encore un peu plus : lui n'en pouvait plus.
Mauviette !
L'après midi je devait baiser avec une fille. C'était la première fois pour moi, pas
pour elle. Bab, son surnom était belle, bien faite, au moins aussi bien que moi. Bien
sur elle me demandait si j'avais déjà baisé avec une fille. Devant mon aveu qu'elle
serait la première, elle me disais qu'elle me donnerait le goût des filles.
Nous nous déshabillons devant les caméras, j'avais un peu le trac. Elle m'embrassait
la première sur la bouche et pourtant c'est ma langue qui la première partait à la
recherche de la sienne. Elle me léchait les lèvres, les seins avant de mettre sa main
sur ma chatte. Je n'osais pas trop l'imiter. Elle me forçait presque. Quand elle m'a
branlé, je me laissais aller vers ce nouveau plaisir féminin. C'était nouveau, doux,
jouissif plus que la main d'un homme. Je lui rendais la branlette en la faisant aussi
jouir. Sans nous concerter, nous étions vite en 69 à nous lécher les cons. Nous
n'arrêtions pas. C'est le réalisateur qui a arrêtait nos effusions.
La journée se terminait ainsi. Bap, m'invitait à passer la nuit chez elle. Je savait
d'avance ce que nous allions faire. Vers 19 heures j'étais chez elle. C'est totalement
nue qu'elle ouvrait la porte. Nous nous sommes embrassées comme des folles. Bab
m'offrait un léger en-cas. Elle m'embrassait sans cesse jusqu'au moment où sa tête
venait sur la chatte. Je posais mes mains sur sa tête, un peu comme me faisait mes
divers amants. Sa langue me faisait du bien partout où elle passait. Je la voulais
aussi. En restant debout, elle écartait les cuisses, me donnait toute sa chatte. Mes
mains d'abord puis ma langue aller lui donner ce qu'elle cherchait. Je la faisais
jouir le plus possible. Ma langue caressait son bouton pendant que je lui mettais un
doigt dans le con et deux autre au cul. Elle gémissait sans gêne, pour presque hurler
quand elle jouissait. Elle m'excitait tant que je me masturbais en lui donnant du
plaisir.
Quel autre plaisir de tester avec elle son double gode. Nous étions en levrette, elle
entrait un gland parfaitement imité dans mon vagin, elle le faisait aller et venir
avant de le ficher entièrement pendant qu'elle se le mettait dans le vagin. Nous ne
nous touchions plus que par les fesses qui en bougeant nous permettaient de baiser.
Nous nous tenions une main pendant notre plaisir commun.
En position de 69, elle me demandait de la sucer, elle se servait du gode à sa façon
sur moi : j'avais d'abord un bout dans le con, elle mettait l'autre dans le cul. Elle
maniait avec art ce faux sexe en le faisant alterner les pénétrations. En fermant les
yeux je pouvais facilement imaginer que deux hommes étaient en moi. J'en oubliais de
la lécher tellement c'était délicieux.
Nous nous sommes arrêtées au matin sans jamais recommencer ensemble, sauf sous une
caméra.
Petit à petit je jouissait moins en baisant. Ça m'arrivais quand mon partenaire était
particulièrement efficace et monté normalement. Pour moi le X était un simple gagne
pain qui m'avait apporté pas mal d'argent. J'étais à l'aise financièrement.
Piotr m'en voulait un peu de me détacher du sexe, même si nous vivions toujours des
instant passionnant. Ce qui tardait était notre rupture que je vivait bien.
Seule dans la vie je pouvait reprendre des études en fac, malgré mes 28 ans. Je
réussissais bien au pont de pouvoir prétendre à un poste d'enseignante en fac.
J'attends les résultats du concours. J'ai bon espoir. Je trouverais un gentil garçon
avec qui je vivrais normalement. C'est mon seul désir. J'ai totalement oublié ma vie
antérieure de star.
bureau. Une secrétaire sexy assez peu habillée me faisait entrer dans un vaste bureau.
Il m'attendait, assis derrière un grand bureau digne d'Hollywood.
- Assieds toi.
Je m'assoies comme une débutante que je suis.
- Déshabille toi. Sois totalement nue que je vois ta foufoune.
J'étais vite nue devant lui : après tout il m'avait enculée il y a huit jours.
J'ouvrais ma chatte pour qu'il voit bien ce que je suis. Il doit se rendre compte que
je mouille terriblement.
- Branles toi.
Sans soucis de pudeur, étant très excitée je me masturbais pour arriver à un bel
orgasme. Il me regardait jouir avant de parler. Je suis toujours nue devant lui :
C'est bon, je vais te prendre pour le moment pour des petits rôles. Si tu es d'accord,
tu signe avec moi ton engagement comme actrice. Tu commence lundi en huit. N'oublie
surtout pas de porter tes certificats médicaux montrant que tu n'as aucune MTS. Tu
seras la bonne d'un obsédé que tu suceras, qui te baisera ou t'enculera, comme tu
voudras.
Il me tardait d'être sur le plateau. Je sentais déjà une bite entrer dans mon corps,
la bite d'un inconnu. Quand j'en parlais à Piotr, il me félicitait d'avoir enfin une
occupation qui me rapporte de l'argent. Nous passions en revue tous ce que nous
connaissions, et nous en connaissions beaucoup, pour une nuit consacrée uniquement à
nos plaisirs. Il commençait par me lécher le con partout. Il entrait aussi sa langue
dans l'anus. Avant qu'il jouisse il me faisait partir plusieurs fois. J'étais
déchaînée, j'avais envie sans cesse. Il satisfaisait tous mes besoins en me baisant
comme un dingue, sans vérifier si j'étais mouillée. Il me faisait presque mal en
entrant dans le con. Je sentais vite monter mon excitation quand il allait et venait
dans ma gaine.
C'est tellement bon que je soupirais de plus en plus fort pour arriver à crier au
moment des orgasmes. Pendant que je jouissais, je sentais sa queue qui continuait ses
ravages pour m'envoyer au ciel encore une fois.
Enfin le grand jour arrivait. Je me pointais là où je devait tourner. Il y a pas mal
de monde dont Sylvie, qui d'après ce qu'elle me disait est une ancienne actrice de
porno qui après avoir raccroché à cause de son âge, à 35 ans est devenue maquilleuse.
Sylvie me demandait d'abord qu'elle rôle je devait tenir. Elle me félicitait sur mon
allure, mon âge :
Attention, ne te laisse pas marcher sur les pieds. Si tu aime baiser, tu seras vite
satisfaite, sinon, tu me le dira, je saurais te passer des crèmes qui te feront du
bien. Bonne chance.
Je me trouvais donc dans un bureau où je portais une boisson à mon patron qui me
demandait de le sucer. Je sortais la bite du pantalon : il ne bandait pas encore. Je
le branlais un peu pour qu'il grossisse.
Je remarquais quand même les caméras autour de moi. J'en étais toujours plus excitée.
Quand mon partenaire bandait normalement, je le prenait en bouche. J'y mettais
tellement à cœur que je le faisais jouir avant la suite. Je le gardais dans la bouche
jusqu'à sa dernière goutte. Je me léchais les lèvres pour ne pas perdre une parcelle
de sa semence.
Le réalisateur commençait à râler. Je n'aurais pas du le faire jouir. Il fallait qu'il
prenne du viagra pour être à nouveau en forme. J'attendais patiemment la suite en me
touchant le bouton, sans me masturber. Sans doute un quart d'heure plus tard, mon
« amant » revenait ragaillardi, bandant presque normalement.
Quand nous commencions à tourner, il me demandais où je voulais sa queue. Ma
préférence du moment était la sodomie.
Je la voulais dans le cul. Il me faisait mettre en levrette, les fesses bien exposées.
C'est lui qui se chargeait de prendre un peu de cyprine sur mon sexe avant de
doucement entrer dans l'anus. Il était tellement doux que je commençais à gémir. Je ne
sais combien de temps il m'enculait : moi je jouissais souvent. Je me fichais bien des
techniciens dont certains, blasés bandaient. Une fille professionnelle aussi passait
une main sous son jean.
- Bon tu revient la semaine prochaine. Cette fois tu seras une femme mariée, vous vous
baiserais, comme les hommes bavardent entre eux, tu feras l'amour avec une femme,
celle de l'invité.
Je me sentais fière d'être retenue si vite. Mq soirée était aussi tumultueuse que la
dernière. Piotr me la mettait partout. Je passais ma nuit à jouir, et le matin, quand
Piotr partait je me branlais encore pour jouir toujours.
Mon film suivant me permettait de montrer tout mon talent de baiseuse. Je me donnais
avec un nouvel amant à mon labeur qui me faisant tant jouir. Nous avons baisé plus
d'un heure ensemble. J'en voulais encore un peu plus : lui n'en pouvait plus.
Mauviette !
L'après midi je devait baiser avec une fille. C'était la première fois pour moi, pas
pour elle. Bab, son surnom était belle, bien faite, au moins aussi bien que moi. Bien
sur elle me demandait si j'avais déjà baisé avec une fille. Devant mon aveu qu'elle
serait la première, elle me disais qu'elle me donnerait le goût des filles.
Nous nous déshabillons devant les caméras, j'avais un peu le trac. Elle m'embrassait
la première sur la bouche et pourtant c'est ma langue qui la première partait à la
recherche de la sienne. Elle me léchait les lèvres, les seins avant de mettre sa main
sur ma chatte. Je n'osais pas trop l'imiter. Elle me forçait presque. Quand elle m'a
branlé, je me laissais aller vers ce nouveau plaisir féminin. C'était nouveau, doux,
jouissif plus que la main d'un homme. Je lui rendais la branlette en la faisant aussi
jouir. Sans nous concerter, nous étions vite en 69 à nous lécher les cons. Nous
n'arrêtions pas. C'est le réalisateur qui a arrêtait nos effusions.
La journée se terminait ainsi. Bap, m'invitait à passer la nuit chez elle. Je savait
d'avance ce que nous allions faire. Vers 19 heures j'étais chez elle. C'est totalement
nue qu'elle ouvrait la porte. Nous nous sommes embrassées comme des folles. Bab
m'offrait un léger en-cas. Elle m'embrassait sans cesse jusqu'au moment où sa tête
venait sur la chatte. Je posais mes mains sur sa tête, un peu comme me faisait mes
divers amants. Sa langue me faisait du bien partout où elle passait. Je la voulais
aussi. En restant debout, elle écartait les cuisses, me donnait toute sa chatte. Mes
mains d'abord puis ma langue aller lui donner ce qu'elle cherchait. Je la faisais
jouir le plus possible. Ma langue caressait son bouton pendant que je lui mettais un
doigt dans le con et deux autre au cul. Elle gémissait sans gêne, pour presque hurler
quand elle jouissait. Elle m'excitait tant que je me masturbais en lui donnant du
plaisir.
Quel autre plaisir de tester avec elle son double gode. Nous étions en levrette, elle
entrait un gland parfaitement imité dans mon vagin, elle le faisait aller et venir
avant de le ficher entièrement pendant qu'elle se le mettait dans le vagin. Nous ne
nous touchions plus que par les fesses qui en bougeant nous permettaient de baiser.
Nous nous tenions une main pendant notre plaisir commun.
En position de 69, elle me demandait de la sucer, elle se servait du gode à sa façon
sur moi : j'avais d'abord un bout dans le con, elle mettait l'autre dans le cul. Elle
maniait avec art ce faux sexe en le faisant alterner les pénétrations. En fermant les
yeux je pouvais facilement imaginer que deux hommes étaient en moi. J'en oubliais de
la lécher tellement c'était délicieux.
Nous nous sommes arrêtées au matin sans jamais recommencer ensemble, sauf sous une
caméra.
Petit à petit je jouissait moins en baisant. Ça m'arrivais quand mon partenaire était
particulièrement efficace et monté normalement. Pour moi le X était un simple gagne
pain qui m'avait apporté pas mal d'argent. J'étais à l'aise financièrement.
Piotr m'en voulait un peu de me détacher du sexe, même si nous vivions toujours des
instant passionnant. Ce qui tardait était notre rupture que je vivait bien.
Seule dans la vie je pouvait reprendre des études en fac, malgré mes 28 ans. Je
réussissais bien au pont de pouvoir prétendre à un poste d'enseignante en fac.
J'attends les résultats du concours. J'ai bon espoir. Je trouverais un gentil garçon
avec qui je vivrais normalement. C'est mon seul désir. J'ai totalement oublié ma vie
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