Envie Pressante
Récit érotique écrit par Patricia rousse et pulpeuse [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-09-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Envie Pressante
Nous revenions de ce vernissage avec Sébastien. J’étais très élégante, habillée d’un tailleur beige composé d’une jupe cintrée avec une coupe très moulante au niveau des cuisses et maintenue par une ceinture. Un pull blanc col en V très moulant mettait ma généreuse poitrine à son avantage et une grande veste me tombant sur les hanches, me galbait la silhouette. L’ensemble mettait en valeur mes formes et comme j’avais pu le constater pendant le vernissage faisait beaucoup d’effet.
Plutôt que de me déposer chez moi, il décida de faire un crochet par ses bureaux pour récupérer des dossiers à compléter pendant le weekend. Nous entrâmes par les locaux techniques et en traversant les ateliers, il voulut s’arrêter aux toilettes. Je l’attendais. Je commençais à m’impatienter, attendant maintenant depuis plusieurs minutes, et lui demandais de se dépêcher au travers de la porte. Comme il ne me répondait pas, j’entrais dans les toilettes des hommes. La porte se referma derrière moi. Il se trouvait devant un urinoir, me regardant et me demanda de me rapprocher.
- Approche toi Tata, ça veut pas venir j’ai besoin d’aide
- Séb, je t’en prie pas ici, et c’est totalement dégoutant.
Il insista vigoureusement, ne me laissant pas d’autres options. Je m’approchais de lui me tenant sur sa droite, pouvant voir son sexe flasque pendre au dessus de l’urinoir.
- Tiens-le, tu sais bien qu’il n’obéit qu’à toi, tantine !
- Seb, vraiment c’est dégoutant.
Je m’exécutais, tenant son sexe dans ma main gauche et attendant qu’il urine. Comme cela ne venait toujours pas, il me prit par les cheveux et d’autorité me baissa la tête vers son sexe, me plaçant ainsi dans l’urinoir.
- Puisque ca veut pas venir tu vas me sucer un peu pour me motiver !
D’autorité il m’enfonça son sexe dans la bouche, qui se durcit rapidement. Me tenant par les cheveux il fit alors coulisser son membre entre mes lèvres peintes pendant de longues minutes. L’odeur de l’urine était répugnante, mais cela amusait énormément Sébastien, qui prenait un vrai plaisir à se faire sucer par sa bourgeoise de tante la tête maintenue dans l’urinoir. Je lui mangeais son sexe jusqu’au fond de la gorge telle une vorace avide de nourriture. J’aspirais ensuite son gland en donnant de petit coup de langue sur l’orifice de son sexe. Je sentais Sébastien se concentrer pour maitriser la montée de son plaisir et ne pas éjaculer trop vite. Ma langue papillonnant autour de sa queue lui procurait surement un plaisir immense. Il m’ordonna de lui lécher les couilles passant ainsi la langue de haut en bas. Je ne pouvais dissimuler mon plaisir d’être souillée, dominée et humiliée de la sorte. Au bout de quelques minutes, il me sorti son sexe de ma bouche ….
- Bouge pas ca vient, je fais pisser sur ta face de grosse pute.
Il me maintenait la tête énergiquement par les cheveux dans l’urinoir. De puissants jets d’urine giclèrent. Par jeu il visait à quelques centimètres de mon visage, en m’ordonnant de sortir ma langue comme si je voulais le boire. Quelques jets mouillèrent mes cheveux ainsi que les éclaboussures sur mon visage me salirent un peu plus. C’était immonde, il m’humiliait moi qui m’était habillée avec tellement de classe pour ce vernissage, je me retrouvais la tête dans des pissotières entrain de sucer sa grosse bite et me faire pisser dessus. Une fois soulagé, il m’ordonna de le sucer à nouveau afin de le nettoyer. L’odeur de l’urine était insupportable, mais son sexe se gonflant à nouveau rapidement dans ma bouche, j’en oubliais vite l’odeur. Il parlait en même temps m’insultant et m’humiliant, me promettant de me souiller par tous les trous.
Au bout d’un certain temps, il sorti son sexe de ma bouche, et me plaça la tête entièrement dans le WC. Il me plaqua les mains derrière le dos, me forçant à me cambrer légèrement pour m’offrir. Il se plaça ensuite derrière moi et me redressa ma jupe, laissant apparaitre mes porte jarretelles ainsi que mon string. Il joua avec la lanière de mon string qu’il s’amusa à faire coulisser entre mes fesses. Son doigt s’enfonça ensuite entre mes cuisses me préparant à une pénétration imminente. Ces attouchements accrurent mon excitation. Une chaleur s’emparait de moi. Je sentais mes seins gonfler et mon entre jambe devenant des plus en plus humide. Je vacillais et écartais les cuisses pour offrir ma fente. Son sexe entièrement décalotté saillait devant mon orifice. Je fus enfin empalé par son gros membre, vigoureusement. La secousse m’ébranla. J’ouvris la bouche pour crier mais les coups de sa bite me firent taire. Il s’agrippa à mes sous vêtements et me pilonna me secouant de toute part. Mes cheveux trainés dans son urine pendant que mes mains s’agrippaient au rebord des WC. Il s’amusa à sortir et entrer son sexe plusieurs fois de suite, en enchainant les claques virulentes sur ma croupe rouge. Il me baisa longtemps dans cette position odieuse, me sortant mes gros seins de mon décolleté afin qu’ils puissent les admirer ce balancer au rythme de ses coups de reins. Il me baisait comme un taureau qui charge, j’étais accablée mais affreusement excitée. Pénétrait sans douceur avec des mouvements mécaniques, il me baisait rageusement me faisant crier, la tête dans toilettes
Il me redressa la figure afin de faire passer son sexe dans l’urinoir, m’ordonnant de le masturber. Il allait enfin jouir, mettant fin a cette répugnante expérience. Il joui … Son sperme se rependait dans l’urinoir ainsi que sur mon visage. Une fois vidé, il poussa ma tête dans l’urinoir me demandant de tout nettoyer. Je m’exécutais une fois de plus, me promettant de me venger rapidement de cette ultime humiliation.
Plutôt que de me déposer chez moi, il décida de faire un crochet par ses bureaux pour récupérer des dossiers à compléter pendant le weekend. Nous entrâmes par les locaux techniques et en traversant les ateliers, il voulut s’arrêter aux toilettes. Je l’attendais. Je commençais à m’impatienter, attendant maintenant depuis plusieurs minutes, et lui demandais de se dépêcher au travers de la porte. Comme il ne me répondait pas, j’entrais dans les toilettes des hommes. La porte se referma derrière moi. Il se trouvait devant un urinoir, me regardant et me demanda de me rapprocher.
- Approche toi Tata, ça veut pas venir j’ai besoin d’aide
- Séb, je t’en prie pas ici, et c’est totalement dégoutant.
Il insista vigoureusement, ne me laissant pas d’autres options. Je m’approchais de lui me tenant sur sa droite, pouvant voir son sexe flasque pendre au dessus de l’urinoir.
- Tiens-le, tu sais bien qu’il n’obéit qu’à toi, tantine !
- Seb, vraiment c’est dégoutant.
Je m’exécutais, tenant son sexe dans ma main gauche et attendant qu’il urine. Comme cela ne venait toujours pas, il me prit par les cheveux et d’autorité me baissa la tête vers son sexe, me plaçant ainsi dans l’urinoir.
- Puisque ca veut pas venir tu vas me sucer un peu pour me motiver !
D’autorité il m’enfonça son sexe dans la bouche, qui se durcit rapidement. Me tenant par les cheveux il fit alors coulisser son membre entre mes lèvres peintes pendant de longues minutes. L’odeur de l’urine était répugnante, mais cela amusait énormément Sébastien, qui prenait un vrai plaisir à se faire sucer par sa bourgeoise de tante la tête maintenue dans l’urinoir. Je lui mangeais son sexe jusqu’au fond de la gorge telle une vorace avide de nourriture. J’aspirais ensuite son gland en donnant de petit coup de langue sur l’orifice de son sexe. Je sentais Sébastien se concentrer pour maitriser la montée de son plaisir et ne pas éjaculer trop vite. Ma langue papillonnant autour de sa queue lui procurait surement un plaisir immense. Il m’ordonna de lui lécher les couilles passant ainsi la langue de haut en bas. Je ne pouvais dissimuler mon plaisir d’être souillée, dominée et humiliée de la sorte. Au bout de quelques minutes, il me sorti son sexe de ma bouche ….
- Bouge pas ca vient, je fais pisser sur ta face de grosse pute.
Il me maintenait la tête énergiquement par les cheveux dans l’urinoir. De puissants jets d’urine giclèrent. Par jeu il visait à quelques centimètres de mon visage, en m’ordonnant de sortir ma langue comme si je voulais le boire. Quelques jets mouillèrent mes cheveux ainsi que les éclaboussures sur mon visage me salirent un peu plus. C’était immonde, il m’humiliait moi qui m’était habillée avec tellement de classe pour ce vernissage, je me retrouvais la tête dans des pissotières entrain de sucer sa grosse bite et me faire pisser dessus. Une fois soulagé, il m’ordonna de le sucer à nouveau afin de le nettoyer. L’odeur de l’urine était insupportable, mais son sexe se gonflant à nouveau rapidement dans ma bouche, j’en oubliais vite l’odeur. Il parlait en même temps m’insultant et m’humiliant, me promettant de me souiller par tous les trous.
Au bout d’un certain temps, il sorti son sexe de ma bouche, et me plaça la tête entièrement dans le WC. Il me plaqua les mains derrière le dos, me forçant à me cambrer légèrement pour m’offrir. Il se plaça ensuite derrière moi et me redressa ma jupe, laissant apparaitre mes porte jarretelles ainsi que mon string. Il joua avec la lanière de mon string qu’il s’amusa à faire coulisser entre mes fesses. Son doigt s’enfonça ensuite entre mes cuisses me préparant à une pénétration imminente. Ces attouchements accrurent mon excitation. Une chaleur s’emparait de moi. Je sentais mes seins gonfler et mon entre jambe devenant des plus en plus humide. Je vacillais et écartais les cuisses pour offrir ma fente. Son sexe entièrement décalotté saillait devant mon orifice. Je fus enfin empalé par son gros membre, vigoureusement. La secousse m’ébranla. J’ouvris la bouche pour crier mais les coups de sa bite me firent taire. Il s’agrippa à mes sous vêtements et me pilonna me secouant de toute part. Mes cheveux trainés dans son urine pendant que mes mains s’agrippaient au rebord des WC. Il s’amusa à sortir et entrer son sexe plusieurs fois de suite, en enchainant les claques virulentes sur ma croupe rouge. Il me baisa longtemps dans cette position odieuse, me sortant mes gros seins de mon décolleté afin qu’ils puissent les admirer ce balancer au rythme de ses coups de reins. Il me baisait comme un taureau qui charge, j’étais accablée mais affreusement excitée. Pénétrait sans douceur avec des mouvements mécaniques, il me baisait rageusement me faisant crier, la tête dans toilettes
Il me redressa la figure afin de faire passer son sexe dans l’urinoir, m’ordonnant de le masturber. Il allait enfin jouir, mettant fin a cette répugnante expérience. Il joui … Son sperme se rependait dans l’urinoir ainsi que sur mon visage. Une fois vidé, il poussa ma tête dans l’urinoir me demandant de tout nettoyer. Je m’exécutais une fois de plus, me promettant de me venger rapidement de cette ultime humiliation.
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