Envie tout de suite

- Par l'auteur HDS EricDeFrance -
Auteur .
  • • 60 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de EricDeFrance ont reçu un total de 138 283 visites.
Récit libertin : Envie tout de suite Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 883 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Envie tout de suite
C’était un dimanche soir, Eric était accroupi dans la salle de bains, en train de briquer le sol, un seau posé à côté de lui. Bref, la corvée ménage habituelle en cette fin de week-end.
Il avait enlevé son pantalon de jogging, mais avait gardé son haut, une vieille chemise réservée aux travaux d’intérieur, et qu’il avait entrouverte.

Il n’avait pas entendu approcher Samir qui, comme pour marquer sa présence, renversa le seau d’eau d’un geste du bras.
Eric releva la tête, mais ne dit rien, habitué à ce genre d’attitude de son compagnon, qui, prenant alors ses airs de caïd de cité, aimait bien le taquiner.
Mais Samir n’était visiblement pas venu pour le taquiner, puisqu’il s’approcha de lui, et posa sa main droite au niveau de sa pommette gauche.

Un peu décontenancé, Eric détourna le regard et, dans le même temps, Samir s’était approché. Il était vêtu comme il l’avait quitté, avec un jeans noir et un tee shirt blanc, une tenue d’intérieur bien sexy qui plaisait à Eric, qui voulut se lever, mais Samir l’en empêcha, le guida avec sa main droite toujours sur sa joue gauche, et le fit mettre à genoux, juste face à lui.

Eric savait très bien ce que signifiait cette gestuelle, d’autant que, dans le même temps, Samir avait commencé à dégrafer sa ceinture et à déboutonner son pantalon.
L’heure n’était pas à la rigolade, elle était au sexe, Samir en avait visiblement envie, et ne se souciait guère de savoir si c’était réciproque.
Il avait envie, point, et son compagnon était là pour le satisfaire.

Ça tombait bien, Eric avait toujours envie, c’était le propre d’un passif. Samir s’était habitué, et, finalement, ils ne baisaient que quand Samir en avait envie.
Il faut dire qu’autant un actif a besoin de se ressourcer après avoir joui, de reconstituer la virilité de ses boules, autant un passif a tout le temps envie, c’est plus simple, il n’a qu’à ouvrir la bouche ou écarter les fesses, c’est, à l’inverse d’une bite, tout le temps opérationnel.
Cette répartition des rôles lui convenait parfaitement, et convenait aussi à Eric qui aimait baiser quand Samir en avait envie, c’était quand même assez souvent.
C’était l’époque où Eric n’était “que” passif, et Samir n’était “que” actif, leur relation n’avait pas encore évolué, et était à ce moment-là très binaire : un actif, un passif, point.

Ce soir-là, alors qu’Eric pensait ne faire que du ménage, il sentait, il savait que Samir, une fois de plus, allait mettre du piment dans leur relation qui, en ces temps-là, en manquait un peu.
Samir dégrafa son pantalon, Eric était à genoux face à lui, il laissa faire Samir, qui pouvait s’irriter facilement lorsque les choses ne se déroulaient pas comme il l’avait décidé.
Samir se déboutonna, le pantalon tomba, et le laissa en caleçon, entièrement noir, il le baissa, et sortit sa queue, encore flasque.
Eric approcha sa bouche et engloutit le membre.

Habituellement, Samir bandait déjà quand il lui proposait son sexe à avaler. Ce soir-là, ce n’était pas le cas, et Eric ressentait la sensation curieuse, et insolite, d’un membre mou, qui, toutefois, c’est du moins ce qu’il escomptait, devait durcir sous sa sucée.
Il se mit en tout cas à le dévorer, il était, du fait de son absence d’érection, entièrement dans sa bouche, et, ça y est, il le sentit tout doucement durcir.
Samir se laissait faire, et commençait à ressentir du plaisir, c’est pour cela qu’il était venu, et Eric savait lui en donner comme pas un.

Il savait qu’Eric était expert ès fellation, et il se contenta donc de lui caresser l’arrière de la tête avec sa main droite, tandis que la gauche tenait le caleçon pour laisser passer la queue, puisqu’il ne l’avait pas encore baissé.
Il sentait le plaisir monter et, comme d’habitude, il aimait ça.
Eric de son côté suçait et léchait le membre, il avait l’impression qu’il lui appartenait, tellement il avait l’habitude de l’avoir en bouche.

Enfin, Samir empoigna son caleçon et le fit descendre sur ses jambes, afin de bien dégager ses fesses.
Hum... sentir son cul à l’air procura à Samir une sensation de plaisir et de fraîcheur qui se traduisit par une érection supplémentaire de sa queue, qu’Eric n’arrivait plus désormais à prendre entière dans la bouche.

Cette fois, c’est la main gauche de Samir qui maintenait la nuque d’Eric qui s’appliquait à continuer à sucer le membre désormais bien dur.
Samir s’appuya contre le mur de la douche, et, tant la chaleur que l’humidité le conduisirent à enlever son tee-shirt blanc et à bien dégager son torse imberbe et musclé, qui plaisait tant à Eric.
Sa queue s’était à la fois durcie et allongée, et Eric s’en régalait.

Pour rythmer le mouvement qui commençait à bien l’exciter, Samir avait d’abord penché puis empoigné la tête d’Eric, qui continuait à sucer la queue raide de son compagnon.
Il la faisait aller et venir dans sa bouche, sans la quitter un instant, puisque, quand il en était au gland, il y passait sa langue, et léchait le petit liquide transparent qui commençait à en sortir.
Hum... cette queue... ce gland... il les avait sucés des dizaines, des centaines de fois, et il s’en régalait comme si c’était la première fois.

Samir transpirait très peu, sa queue était donc toujours propre, Eric avait même l’impression qu’il ne pissait jamais puisqu’elle n’avait jamais ce goût qui chez certains était de nature à décourager la plus salope des passives.
Elle était bonne, la queue de Samir, tout simplement, Eric l’aimait, il en était même raide dingue, et chaque nouvelle fellation était comme un éternel recommencement.

Ce soir-là, en tout cas, il se régalait, comme souvent bien sûr, mais ce soir particulièrement.
En plus, il sentait Samir bien chaud, et il savait que dans ces cas-là la baise pouvait aller jusqu’à la totale. De toute façon Eric aimait ça, et il aimait encore plus se donner, donner son corps à son amant.

Hum... pour l’instant il continuait à bouffer cette queue qu’il aimait tant, et il se régalait.
Il la dévorait, carrément, et Samir, tout à son extase, se laissait totalement faire.
Eric aimait l’avoir en bouche, la sucer, la lécher, la savourer, la posséder, l’avoir en lui.
Il avait l’impression qu’elle lui appartenait.

A un moment Samir le releva, et approcha son visage du sien, pour lui rouler une bonne pelle, ce qui était également un bon moment de plaisir.
Eric aimait sa bouche, et Samir, aussi car en plus il se disait que cette bouche venait de sucer sa queue, que celle langue venait de la lécher, et il aimait se dire cela.

Une fois debout, Eric en profita pour retirer sa chemise et offrir son torse nu à son compagnon.
Ils continuèrent à s’embrasser, et leurs baisers prenaient l’allure d’un espèce de corps à corps, entre deux mâles, qui ressentaient un profond désir l’un pour l’autre.
Eric ne put s’empêcher d’empoigner la nuque de Samir pour rapprocher son visage du sien, et lui montrer à quel point il avait envie de lui.
Pendant ce temps, Samir lui avait baissé le caleçon et avait commencé à prendre possession de ses fesses à pleine main (gauche).
Eric, qui aimait beaucoup se faire doigter, se mit à gigoter et à se dandiner de plaisir.

Les deux hommes se faisaient face, donc, avant que Samir, qui était loin d’être rassasié, ne baisse à nouveau la tête d’Eric pour la ramener à hauteur de son sexe qui avait légèrement débandé.
Pas pour longtemps.
Eric l’empoigna à nouveau, et il le sentit à nouveau durcir sous l’effet de sa sucée.

Il releva la tête, pour bien mater le torse imberbe et musclé qui lui faisait tant d’effet. Il ne put s’empêcher d’y passer ses mains, de le caresser, et de ressentir la sensation que lui procurait cette peau douce et cuivrée. Hum...

Eric pourrait passer des heures à sucer son amant, tellement il aimait ça. Samir aussi adorait se faire sucer, et se disait qu’il avait de la chance de vivre avec le meilleur suceur du monde.

Pendant qu’il se faisait sucer, appuyé contre le mur de la douche, Samir se laissa aller à ses pensées. Il savourait le moment, et prenait vraiment son pied à se faire sucer par son compagnon, son amant, son mec, sa salope, son mari, sa femme... A cette époque là (c’était avant le plan à trois avec Arnaud, qui allait signer comme le début de la fin...) leur relation était des plus classique : deux amants, l’un actif, l’autre passif, deux compagnons, qui s’aimaient profondément, s’entendaient plutôt bien dans le quotidien, qui, comme on dit regardaient ensemble dans la même direction... mais qui, sur le plan sexuel, avaient quelque peu sombré dans une forme de routine.

Samir se demandait pourquoi - c’était son obsession - deux pédés avaient tout le temps besoin d’aller voir ailleurs, comme si les bites des autres pouvaient être meilleures. Sous des dehors cool, du style “tu fais ce que tu veux je m’en fous”, Samir enrageait de savoir qu’Eric allait (souvent en plus !) voir ailleurs, allait sucer d’autres bites, bouffer d’autres culs, et aimait se faire tringler par des inconnus.
Lui le faisait aussi, mais plus par dépit, ou pour faire pareil, que par réelle envie.
Samir était alors très heureux avec Eric, il n’avait pas encore “vrillé”, il n’avait pas envie d’aller voir ailleurs puisque, chaque fois qu’il avait envie de baiser, Eric était partant. Il trouvait en plus qu’il n’y avait pas meilleur suceur que son compagnon, et il aimait le sodomiser, même s’il ne le faisait pas trop souvent.

Ce fut la sensation qu’il allait jouir, tellement il était bien, tellement Eric suçait bien, qui réveilla Samir de sa torpeur, et de ses pensées.

Non, pas jouir maintenant, pas jouir encore...
Il avait envie de la totale, et sentait qu’Eric était dans les mêmes dispositions. Il n’aurait pas aimé jouir comme ça, si vite, alors qu’il avait envie de passer la vitesse supérieure...
Samir se concentra donc sur ce qui était en train de se passer, baissa la tête et regarda sa bite aller et venir dans la bouche d’Eric, ce spectacle l’excitait, il avait empoigné la nuque d’Eric avec son tee-shirt blanc qu’il avait gardé en main, et pilonnait la bouche de son compagnon de coups de boutoir de sa queue, qui était devenue vraiment très dure.

Samir finit par se calmer, ce qui procura à Eric un moment de répit, qui lui permit de bien lécher le manche, de s’attarder sur les boules, et de venir passer sa langue sur l’anus de Samir, sa pratique favorite...
Eric avait réussi à passer sa tête derrière l’entrejambes de Samir, et entreprit de bien lui lécher le cul.
Samir, qui n’aimait pas des masses cette pratique, cette fois apprécia, se laissa aller à savourer l’instant, ferma les yeux, et se branla frénétiquement, tellement il était excité.

Il lui fallut arrêter, car, pour la deuxième fois, la jouissance venait...
Pas encore, pas tout de suite... mais il lui fallait hâter le mouvement, de peur de cracher sans avoir pénétré le cul d’Eric de son membre turgescent.
Celui-ci de son côté se rendait compte que, pour la première fois, Samir semblait prendre du plaisir à se faire bouffer le cul.
Jusque là, il avait vraiment l’impression que son compagnon se laissait faire pour lui faire plaisir, mais que ça ne lui procurait aucun effet...
Ce soir-là, pour la première fois, il eut la sensation que Samir aimait ça, il avait gémi, s’était dandiné du fion, pour mieux accompagner sa sucée et, surtout, cela s’était traduit par une érection maximale, signe évident du plaisir que prenait Samir.
Et ça faisait plaisir à Eric, lui qui aimait tellement bouffer le cul d’un mec, en général, le cul de son mec en particulier.
Eric s’était rendu compte que Samir avait failli jouir, et il avait ralenti puis arrêté son anulingus, il était revenu à l’avant du corps de Samir, et avait à nouveau empoigné sa queue, pour reprendre la fellation interrompue.
Hum... après le cul, à nouveau la bite... Eric se régalait, il connaissait par coeur l’intimité de Samir, pour l’avoir explorée maintes fois, mais il se régalait à chaque fois, comme si c’était la première...

Samir, après deux moments de très forte intensité, avait quelque peu débandé, et c’était un sexe mollasson qu’Eric continuait à sucer.
Pour retrouver l’excitation, Samir avait empoigné la tête de son mec, et la faisait aller contre sa queue, de plus en plus brutalement.
L’érection était revenue, et la sucée avait repris de plus belle, mais, cette fois, Samir maîtrisait mieux.
Il laissait sa bite bien durcir, pour passer, enfin à la phase suivante, celle qu’il kiffait le plus, le moment où il entrait en possession du cul de son mec.

Eric s’était penché en avant, dans la position prête pour se faire baiser, même s’il continuait à sucer la queue de Samir avec application.
Cette position permettait à Samir, en étendant les bras, de toucher les fesses d’Eric, et de lui titiller l’anus, comme pour lui signifier que, dans quelques instants, il allait lui appartenir.
En attendant, il lui baisait la bouche de plus belle, sans aucun répit, Eric commençait à avoir du mal à respirer... que ne fait-on pas pour satisfaire son amant...

L’excitation entre les deux hommes était à son paroxysme.
Dans la position qui était la sienne, Eric sentait sa queue balloter, il l’empoigna pour se branler, puis se redressa, enleva enfin la bite de Samir de sa bouche, s’approcha de son amant, et le regarda dans les yeux.
Les deux hommes se faisaient face, la queue dressée, ils se dévoraient de désir, et se toisaient du regard, comme deux coqs en chaleur.

Pendant un instant, Eric eut envie de le posséder, mais il sentit que ce n’était pas le moment, que Samir n’était pas prêt, mais dans ces moments-là, Eric ne pouvait pas s’empêcher de se dire qu’un jour peut-être ... un jour sûrement...
Eric avait trop envie de lui, il approcha d’un coup son visage du sien, et l’embrassa à pleine bouche.
Samir fut un peu surpris, mais se laissa faire, et répondit volontiers à son baiser, il savait qu’Eric aimait les pelles, lui un peu moins, mais il était là aussi pour le satisfaire, et il le faisait de bonne grâce.

Dans de tels moments, rares, précieux, les deux amants ressentaient au plus haut point leur amour, leur désir l’un pour l’autre, leur proximité, c’était vraiment une sensation des plus agréable.
C’était un moment d’extase, qui précédait le moment plus bestial.
Eric laissa la bouche de son compagnon, qui le fit pivoter, pour le mettre, debout, juste devant lui.
Eric savait ce qui allait se passer, et ça l’excitait. Il bandait maintenant bien à fond, et se branlait doucement.
Samir avait collé son corps au sien, son torse contre son dos (il était légèrement plus petit), et il frottait sa bite dressée, à la verticale, à la fois contre son bas-ventre et contre le fessier d’Eric. Hum... le pied...

Samir, qui avait empoigné Eric au niveau des hanches, le fit pivoter, de façon à ce que les deux hommes se retrouvent en parallèle par rapport au mur de la douche.
Sans que Samir ait eu besoin de lui dire quelque chose, Eric se jeta au sol, et se mit à quatre pattes.
Samir resta quelques instants, pensif, le dos collé au mur, la bite dressée, prête à entrer en scène.
Il l’empoigna, se branla doucement, puis s’agenouilla derrière le cul d’Eric, qui lui était donc offert.

Il lui écarta les fesses, et vint lui bouffer la rondelle, pour l’assouplir et la préparer à l’assaut qu’elle allait subir.
Puis il le doigta, avec trois doigts d’un coup, ce qui fit gémir Eric, qui se dandina du fion et commençait à n’en plus pouvoir d’attendre.
Samir acheva le travail de préparation avec son pouce, tout en continuant de se branler et de regarder les fesses d’Eric qui lui faisaient beaucoup d’effet, notamment lorsque la pénétration était imminente.

Samir vint à nouveau coller son corps contre celui d’Eric, avec sa langue, il lui lécha et lui parcourut le dos, Eric se redressa, les deux hommes étaient à nouveau à la verticale, même s’ils étaient restés à genoux.
L’un derrière l’autre, Samir derrière Eric, la bite dressée au niveau de ses fesses, prête à l’assaut.

Les deux hommes continuaient à se branler, histoire de ne pas perdre l’excitation du moment qui précède le coït, chacun d’eux caressait de sa main libre la hanche et les fesses de l’autre.
Enfin Samir releva le fessier d’Eric, dont le tronc bascula en avant, à nouveau offert aux assauts de son compagnon.
Ça y est, le moment tant attendu approchait. Eric était penché complètement en avant, prêt à recevoir l’estocade. Samir vint coller sa bite à l’intérieur du fessier de son homme, appuya sa main gauche sur le dos d’Eric, et, avec sa main droite, guida sa queue pour l’introduire dans le trou, ouvert et offert, de son homme.

Il s’enfonça lentement, mais complètement, Eric ouvrit la bouche, et laissa échapper de petits soupirs.
Samir ferma les yeux, et savoura le moment où sa bite était entièrement à l’intérieur du cul d’Eric.
Il s’attarda quelque peu, et se redressa, avant d’aggriper ses mains autour du corps d’Eric, et de commencer ses mouvements de va-et-vient.

Il était accroupi, mais pas à genoux, ça lui permettait de donner plus de force à ses assauts.
Eric était passé du soupir au cri, un cri rauque, et saccadé, qui accompagnait les coups de boutoir de Samir dans ses entrailles.
Ça y est, Samir l’enculait de toutes ses forces, ses couilles battaient contre ses fesses, et sa bite explorait une fois de plus le fondement d’Eric, qui encaissait de mieux en mieux les assauts peu délicats de son compagnon, qu’il continuait d’accompagner de son cri rauque et régulier.

Samir avait bien repris le contrôle de son plaisir, et il en gardait la totale maîtrise. Il prenait vraiment son pied à baiser bien à fond son compagnon, dans sa position favorite.
Eric de son côté prenait également son pied, et savourait le plaisir de ressentir la bonne bite de Samir au fond de lui.
Comme d’habitude Samir alternait les moments de pure bestialité, avec les moments plus doux, presque tendres, ça lui permettait aussi d’éviter que la sauce ne monte trop rapidement.

Il alternait les positions et, dans les moments plus relâchés, il venait s’affaler sur le corps d’Eric, et même le pousser de son poids, comme s’il l’étouffait, et l’empêchait de bouger et, évidemment, de s’échapper. Comme s’il en avait eu l’idée, et l’envie.
Eric était trop bien dans ces moments où Samir l’enculait bien à fond.
Contrairement aux débuts de leur relation, Eric ne ressentait plus de douleurs, mais uniquement du plaisir.

Le corps collé contre le sien, Samir avait repris ses va-et-vient, et les cris d’Eric en étaient devenus plus nombreux et plus rapprochés.
Jusqu’à ce que Samir se recule contre le mur de la douche, entraîne le corps d’Eric, qui bascula contre lui.
La position de Samir était un peu acrobatique, mais il était sportif et souple.
Il avait pris appui de sa main droite contre le sol de la douche, et continuait à enculer Eric, qui était toujours accroupi contre sa queue, lui aussi les mains posées au sol.

Dans cette position, Eric sentait bien passer la bite de Samir, qui n’était ni trop longue ni trop grosse (la taille idéale...), mais toujours très dure (comme du béton...) dans ce genre de circonstances.
Samir finit par asseoir son postérieur au niveau du sol de la douche, il s’adossa au mur, et, après avoir retiré puis réintroduit sa bite, continua, dans cette position, à pilonner les entrailles d’Eric, qui continuait à encaisser et à gémir, et commençait à avoir envie de demander grâce.

Dans cette position, où le cul d’Eric s’était empalé sur la bite de Samir, c’était quand même Eric qui maîtrisait les mouvements, et il en profita pour ralentir quelque peu la cadense.
Le plaisir n’en était pas moins intense, la bite de Samir était toujours aussi dure, et les deux hommes, qui s’approchaient doucement du paroxysme, étaient toujours aussi excités.
Samir avait posé ses deux mains contre le sol de la douche, avait relevé son bassin, et continuait ainsi à pilonner Eric.

Il arriva même à reprendre le dessus, et à accélérer à nouveau le mouvement, pour mieux asseoir sa domination, il arriva à se redresser, à faire à nouveau basculer le corps d’Eric vers l’avant, et à retrouver ainsi la position initiale : Eric, les mains en avant, posées sur le sol de la douche, à genoux comme s’il faisait une prière, Samir derrière lui, et en lui.

Samir reprit de plus belle ses mouvements de va-et-vient, qu’il rythmait en adressant de petites tapes sur les fesses d’Eric, tantôt l’une, tantôt l’autre, tantôt les deux en même temps.
Eric cette fois n’en pouvait plus. Il essaya même de se redresser et d’échapper aux assauts de Samir, mais en vain. Celui-ci empoigna sa tête avec sa main gauche, pour le rabaisser vers le sol, et continua à le baiser de toutes ses forces.
Eric cessa de combattre, il savait que lorsque Samir était excité comme ça, il ne pouvait avoir le dessus.
Il cessa même de bouger, et laissa Samir achever l’ouvrage entrepris.

Quelques mouvements de va-et-vient particulièrement brutaux, Samir le corps à la verticale, les mains de part et d’autre des hanches d’Eric, qui sentait que l’orgasme n’était pas loin, même si Samir savait se montrer particulièrement endurant.
L’éjaculation fut particulièrement longue à venir, Eric n’en pouvait vraiment plus, il aurait aimé que son compagnon se retire et se finisse à la main, mais ça n’avait pas l’air d’être les intentions de Samir, qui continuait ses mouvements de va-et-vient à l’intérieur d’Eric.

Cela dura ainsi encore de longues secondes, avant que Samir ne finisse par ralentir le mouvement et à se laisser aller.
Il s’arrêta un petit moment, ferma les yeux, et, enfin, lança l’assaut final.
Ses mouvements devinrent alors brutaux, désordonnés même, saccadés, jusqu’à ce qu’il pousse un cri rauque et puissant, comme un hurlement, au moment précis où il lachait la semence.

Samir gueula un long moment, à l’instant précis où son sperme inonda le fondement d’Eric, celui-ci éjacula également, et se vida dans la douche.
Pour atténuer la brûlure qu’il ressentait, Samir continua ses mouvements de va-et-vient et accompagna ainsi ses giclées, jusqu’à ce que les soubresauts qui parcouraient son corps ne s’arrêtent, et que la dernière goutte ne sorte.

Quand il eut assez débandé Samir se retira, et ressentit, enfin, une douce sensation de bien-être.
Eric s’approcha de son compagnon, et les deux hommes échangèrent un baiser particulièrement sensuel et langoureux.
Une fois de plus, ils étaient bien.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Envie tout de suite
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par EricDeFrance

Envie tout de suite - Récit érotique publié le 10-04-2025
L’auxiliaire - Récit érotique publié le 12-01-2025
La nuit où Samir s’est fait défoncer - Récit érotique publié le 10-01-2025
HICHAM - 1 - La double bascule - Récit érotique publié le 04-09-2024
LES COMMANDES DE NASSIR - 5 - Une commande à distance - Récit érotique publié le 02-08-2024
Mattéo arrive à Rome (4) - Récit érotique publié le 22-07-2024
BAC 93 - 2 - Jason découvre Sophiane (1) - Récit érotique publié le 07-06-2024
Gaëtan et Jonathan, l’histoire impossible (1) - Récit érotique publié le 02-06-2024
WAHID V - 3 - La double découverte - Récit érotique publié le 25-05-2024
Julien venait d’avoir 18 ans (5) - Récit érotique publié le 18-05-2024