Enzo et moi : vacances chez son (vieux) patron (partie 1)
Récit érotique écrit par Gourmande_24 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Enzo et moi : vacances chez son (vieux) patron (partie 1)
Cette histoire fait suite à « Enzo me prête à son (vieux) patron pour avoir le contrat » http://www.histoires-de-sexe.net/sexe.php?histoire=14960]
La voiture ralentit enfin devant un portail automatique qui s’ouvrit sur l’instant pour dévoiler un jardin luxuriant. De grands arbres abritaient des buissons en fleur de toutes les couleurs autour de l’allée qui serpentait au milieu de cet océan vert et bleu. En effet, la pelouse d’un vert radieux formait un camaïeu avec le bleu-vert du lac en toile de fond. Au sortir d’un dernier virage nous pûmes découvrir l’immense bâtisse : une maison de maître jaune clair qui se dressait fièrement sur trois étages, parcourue de grandes fenêtres bordées de volets bleus-gris. Cet endroit ressemblait complètement à notre hôte : sans ostentation, mais beau, classe et élégant. Passer les prochains jours ici promettait d’être très agréable !
La limousine s’arrêta devant la demeure. Enzo en sortit en premier et monta sans (m’) attendre saluer son patron en haut du perron. Vêtue d’un chemisier de soie transparente couleur crème sur une mini-jupe de tailleur assortie, je glissais mes fesses au bord de la banquette tandis que le chauffeur ouvrait ma portière, puis je me tournais de côté, face au perron, étendais la jambe droite hors du véhicule laissant la gauche à l’intérieur, dévoilant au gré de mes jambes ainsi écartées ma toison découverte. Le chauffeur n’en manqua pas une miette mais ce qui m’intéressait c’était Mario Rossi dont le regard et le sourire m’assurèrent que lui non plus n’avait rien raté du spectacle. Je montais les marches en quelques rapides enjambées pour rejoindre « mes » hommes. Mario me gratifia d’un baisemain d’une galanterie qui tranchait résolument avec le regard lubrique qu’il me jetait. Je lui répondis d’un grand sourire.
- Alice, Enzo, soyez les bienvenus. J’espère que vous avez fait bon voyage.
- Excellent, merci. Répondit Enzo.
- Suivez-moi, je vais vous faire visiter la maison et vous montrer vos chambres.
Il avait été convenu avant le voyage que je serais entièrement à Mario pendant notre séjour. Depuis notre dernière « rencontre » avec Mario, Enzo avait été nommé directeur de la branche française et était même devenu membre du conseil d’administration de la société mère avec, bien entendu, une augmentation substantielle de ses revenus. Que notre séjour chez M. Rossi se fasse à ses conditions, n’était qu’un juste retour de bons procédés. Quant à moi, j’avais gardé un excellent souvenir des talents de Rossi, de surcroit un homme galant et séduisant malgré son âge. Il avait donc été décidé qu’Enzo et moi ferions chambre séparée. Mario serait le seul à décider de mes activités pour les trois prochains jours, toutefois Enzo aurait le privilège de pouvoir assister à tous les ébats : il avait accepté de ne pas me toucher mais pourrait satisfaire à satiété ses penchants candaulistes.
Nous fîmes le tour des pièces du rez-de-chaussée de l’immense demeure où nous découvrîmes une bibliothèque de rêve au centre de laquelle trônait un piano, je restais quelques secondes absorbée dans mon fantasme d’être prise sur le piano comme dans « Pretty Woman ». Puis, Mario laissa sa gouvernante guider Enzo à sa chambre, pendant qu’il me faisait l’honneur de la mienne : une pièce magnifique au milieu de laquelle trônait un baldaquin géant recouvert de draps blancs, promesse de fraîcheur alors que l’atmosphère en ce début d’été était étouffante. La pièce était meublée de chevets et d’une armoire ancienne en bois sombre sculpté avec raffinement, et, partout, de grands miroirs dans lesquels se reflétait le lit sous toutes ses coutures. Soudain, je me retrouvais au beau milieu de mes rêves de petite fille avec la chambre de princesse et, en prime, la vue sur le jardin et le lac. Le prince aux cheveux argentés s’approcha de moi par derrière pendant que je regardais à la fenêtre et m’embrassa dans le cou en douceur. Je sentis sa langue explorer ma peau ce qui déclencha une réponse immédiate au creux de mon ventre. Il me retourna et glissa sa langue dans ma bouche pendant que ses mains sous ma jupe caressaient mes fesses nues. Je sentis ma fente s’humidifier mais, à mon grand regret, il me murmura alors à l’oreille de le retrouver au jardin dans dix minutes et il quitta la pièce. Je défis rapidement mes bagages et découvris que, dans l’armoire, pendaient déjà des vêtements à mon intention. J’y découvrais deux magnifiques robes de soirée griffées haute couture ainsi qu’une robe d’été en coton léger jaune pâle à fine bretelles et enfin une tenue qui m’interpela : il s’agissait d’une longue robe chasuble blanche dans un tissu diaphane. Au cintre était également accrochée une couronne de fleurs en tissus qui soutenait un voile transparent. On aurait dit une de robe de mariée si ce n’était pour la simplicité de la forme, en fait non, à y réfléchir il s’agissait plutôt d’une aube de communiante. Je restais interloquée mais consciente du temps qui passait et désireuse d’obéir à Mario, je me glissais rapidement dans la robe d’été et couru le rejoindre au jardin.
Je descendis au jardin baigné du soleil éblouissant de la fin de matinée. Je me fis la remarque que la robe jaune pastel sous laquelle j’étais nue à part pour un soutien-gorge de dentelle blanche devait être bien transparente dans une telle lumière. Mais qui pourrait me voir à part Mario ? Je l’aperçus enfin dans un recoin abrité du soleil sous un arbre fruitier qui semblait être un olivier. Je descendis les marches depuis la terrasse pour le rejoindre. Il était assis sur un banc de pierre, un panier de légumes près de lui. Il venait de ramasser courgettes, carottes et tomates du potager. Quelques gouttes de sueur perlaient sur son front et sa chemise blanche collait légèrement à son torse. Je restais ébahie de constater qu’un homme de son âge – il devait avoir pas loin de 65 ans – pouvait être aussi séduisant. Il me vit et me fit signe de m’approcher. Il me serra dans ses bras, son visage lové contre ma poitrine. Il soupira alors entre mes seins et glissa à nouveau ses mains sur mes fesses sous ma robe. Nous restâmes quelques instants dans cette tendre position avant qu’il relève enfin la tête et me regarde :
-Tu es vraiment très belle. Mon épouse aussi, tu sais, était très belle, mais tout à l’opposé de toi. Sa peau était mate, ses cheveux bruns et ses yeux noirs. Me dit-il tout en continuant de malaxer mes fesses.
- Votre épouse ? Elle… enfin …vous êtes… divorcé ? Tentais-je.
- Non, bella mia, j’ai eu la douleur de la perdre il y a vingt ans. Depuis, je n’ai eu que des aventures purement pour le sexe, jamais rien de sentimental.
- Oh, je suis désolée, dis-je, ça n’a dû être facile à vivre.
Je sentais en moi l’envie de réconforter cet homme meurtri et le serrais à nouveau contre moi en lui caressant les cheveux. Il mit cependant rapidement fin à cet instant de tendresse en glissant un doigt sur ma fente, me faisant comprendre le genre de réconfort qu’il recherchait et que je n’étais pas là pour combler des élans de tendresse. J’écartais un peu mes jambes pour lui faciliter l’accès pendant que ses doigts caressaient doucement mon intimité, frôlant mon clitoris et excitant mon désir.
- Bella, dis-moi, ne fais-tu cela que parce que Enzo te l’a demandé ? Je lui répondis entre deux halètements :
- J’aime Enzo. Il est tout pour moi. Il m’a sorti d’une vie terne, sans avenir, il paye aussi pour mes études et m’offre tout ce que je désire. En échange, je lui donne absolument tout ce qui lui fait plaisir. Je n’aime follement.
- Il te fait baiser par d’autres hommes ça ne te dérange pas ?
- C’est ce qui plait à Enzo, ce qui l’excite. Il dit qu’il m’a eue vierge et ne veut pas être le seul que j’aie connu. Il fait mon éducation sexuelle, c’est pour cela il me donne à d’autres. La première fois, je n’ai pas voulu, Enzo s’est mis très en colère alors j’ai cédé. En fait, la gêne et la honte sont vite passées quand cet homme a commencé à me faire jouir. J’ai même joui encore plus fort du fait de la situation, de me faire baiser par un inconnu comme une salope et puis, le regard d’Enzo, je ne l’oublierai jamais, amoureux et tellement fier. Alors, j’aime ça, oui, confirmais-je.
Ses caresses sur mon sexe humide redoublèrent à cet aveu et je bougeais mon bassin en rythme.
- Et moi, je te plais ?
- Oui, répondis-je dans un souffle, le plaisir provoqué par ses caresses commençant à m’emporter. Oui, Mario, oui, vous me plaisez...- je geignis – beaucoup !
- Et tu veux que j’te baise ?
- Oui, Mario, oui ! Haletais-je …
Je le vis alors choisir une jolie courgette de taille moyenne et bien droite dans son panier. Il m’agrippa par les fesses de façon à me coller tout debout contre lui et une fois qu’il eut la tête entre mes seins, il souleva à nouveau ma jupe et glissa la courgette sur ma fente ce qui eut pour effet immédiat de déclencher une fontaine de cyprine qui vint détremper mon antre. Il roula la courgette sur mon clito et je me mis à gémir. Il glissa ensuite doucement un doigt dans ma vulve et le ressorti pour y constater la présence suffisante de lubrifiant pour la suite de ses projets. Il me fit alors asseoir sur le banc à califourchon puis m’allonger sur le dos. Je me retrouvais avec les jambes qui pendaient de chaque côté du banc. Il vint se placer entre mes cuisses ouvertes. Ce qui m’excitait le plus c’était son regard sombre, il avait basculé dans un état second, rien d’autre ne semblait compter à ses yeux que mon sexe. Il appliqua d’une main la courgette contre ma fente faisant tourner le pouce de son autre main sur mon clitoris. Le gode improvisé, bien rigide, se retrouva bientôt enduit de mouille. Mario écarta alors mes lèvres avant d’enfoncer le légume dans ma chatte. Bien que je fus bien mouillée, l’entrée se fit difficile, le bout de la courgette large et rond - bien plus gros qu’un gland - me forçait les chairs. Je poussais un cri de douleur et d’excitation mêlés mais me cela ne dissuada pas Mario de me limer et de pousser à chaque fois plus fort. Je geignis….
- Tu aimes la baise, hein, jolie salope ? Les joues brûlantes du plaisir qui montait en moi, je ne pus qu’acquiescer.
Peu à peu, je sentis ma vulve s’écarter et mon vagin céda sous la pression et atteint une largeur suffisante au passage du légume qui coulissa librement et il ne me fallut pas plus de quelques aller-retour pour que j’eus un premier orgasme.
- Oh, oui, tu aimes ça… Putana !
- Oui ! Mario, encore !
Il me limait avec la courgette plus vite et plus fort. Je constatais qu’il se masturbait à l’intérieur du pantalon de sa main libre. Je jouis très fort et enfin il libéra mon antre du légume. Sans attendre, je me relevais et allais m’agenouiller entre ses jambes pour prendre le relais dans son pantalon. Je saisis son pieu enflé d’une main et baissais le caleçon de l’autre. Il gémit à la sensation de mes lèvres sur son gland turgescent et presque aussitôt je sentis sa queue se durcir à l’approche de sa libération. Je lui présentais ma langue tendue sur laquelle je battais son sexe et reçu goulument les giclées dont il me gratifia. J’avalais tout ostensiblement. Lorsque je me relevais, j’aperçus Enzo appuyé nonchalamment sur la rambarde au-dessus de nous. La bosse qui gonflait son entrejambe me convainquit qu’il n’avait rien raté de la scène. Il mit son index sur sa bouche pour me faire taire, me fit un clin d’œil avec un grand sourire et quitta discrètement les lieux. Je restais seule avec Mario qui me fit visiter le reste du jardin.
À midi, la gouvernante qui officiait également comme cuisinière nous servit un excellent repas au cours duquel je ne cessais de me demander si la courgette qui m’avait honorée le matin même était au menu ? Nous nous quittâmes le temps d’une sieste. Il faut reconnaître que les températures caniculaires nous rendaient alanguis. Je me glissais nue entre les draps frais et ne m’endormis qu’après m’être masturbée en repensant à la scène du jardin et à Enzo qui nous avait épiés. À mon réveil, simplement vêtue d’un caraco léger et d’une jupe courte en coton sans rien dessous, je descendis à la cuisine et y trouvais Mario qui jouait aux cartes avec deux amis. Ils avaient son âge mais étaient, force était de le constater, beaucoup moins séduisants : des papis quoi ! Autant lui était très beau autant, eux, étaient des vieux typiques : mal habillés, ridés, le genre qui ne prend plus soin de soi depuis longtemps.
- Ah ! Alice ! Approche que je te présente mes amis : voici Gianni et là, Marcello. Ils ne parlent pas bien le français mais je traduirai.
- Bonjour messieurs, lançais-je un peu timide.
Ils me répondirent d’un signe de tête et Mario leur dit quelque chose en italien que je ne compris pas. Par contre je compris très bien quand Gianni recula sa chaise et me fit signe de me placer entre ses jambes. Je regardais Mario d’un air interrogateur et il me répondit :
- Je leur ai raconté comme tu sais si bien utiliser ta bouche, bella. Ils meurent d’envie d’y goûter. Tu veux bien nous sucer, n’est-ce pas, bella mia ?
Je me plaçais donc entre les jambes de Gianni qui baissa son froc et sorti son sexe moitié bandé qui sentait fort. J’étais dégouttée par l’odeur mais je me fis un devoir d’obtempérer surtout que je venais d’apercevoir Enzo tout sourire qui s’était placé discrètement dans le couloir qui menait à la cuisine de façon à pouvoir voir sans être vu. Je le suçais doucement mais très vite il agrippa mes cheveux baisant ma bouche de putain, enfonçant son sexe jusqu’au fond de ma gorge au mépris de mes haut-le-cœur. Heureusement pour moi, il jouit très rapidement même si je dus me résoudre à avaler une dose conséquente de foutre épais et grumeleux. Cela ne devait pas être tous les jours qu’une salope de 21 ans lui suçait la bite à Gianni ! D’ailleurs son regard lubrique et son sourire satisfait me le confirmaient. Je lui rendis son sourire par politesse en m’essuyant la bouche avec le dos de ma main.
Au tour de Marcello : il avait baissé son pantalon et bandait déjà dur, certainement excité par le spectacle de son ami dans ma bouche. Il commença par faire glisser les bretelles de mon caraco de mes épaules afin de découvrir mes seins. Il les caressa, les embrassa, puis en aspira les tétons pendant qu’il glissait une main sous ma jupe. J’espérais qu’il me baise avec sa queue, depuis le matin je n’avais pas eu de queue en moi et le manque en était cuisant. Mais non, il appuya gentiment sur ma tête et j’obéis à son ordre silencieux en m’agenouillant entre ses cuisses. Il prit lentement son plaisir à sentir ma langue autour de son gland, sur sa verge, sur ses boules. Il était non seulement plus propre mais aussi plus endurant que Gianni. Je dus le sucer et le branler longuement avant qu’il ne finisse enfin par me jouir au visage, au bord de mes lèvres. Je regardais comme il fixait ma langue qui léchait son foutre sur le pourtour de ma bouche. Il dit quelque chose en italien dont je ne compris que les mots « bellissima » et « putana ».
Enfin, je m’agenouillais devant Mario mais il ne me laissa pas le sucer bien longtemps : il m’enleva mon caraco puis il me pencha en avant contre la table, releva ma jupe sur mes reins et me pénétra par derrière sans ménagement. Appuyée sur mes avants bras, les seins ballotant dans le vide face à Gianni qui ne cachait pas son excitation en marmonnant ce que je devinais être des mots crus en italien, Mario me baisait enfin à grands coups de butoirs. Ma chatte humide accueillit avec soulagement cet assaut, une onde de plaisir parcouru les muscles de mon vagin lorsqu’un premier orgasme m’emporta. Mario continua de me pilonner. Je montais bien encore deux fois au septième ciel avant qu’il eut fini sa besogne et se retire pour éjaculer sur mes globes fessiers dans un grognement de soulagement. Ils se rhabillèrent et reprirent leur partie de carte comme si de rien était. Je restais interdite quelques instants, à moitié nue et souillée de sperme devant ces hommes qui venaient de me baiser mais me méprisaient comme la pute que je venais d’être. Humiliée, je ramassais en vitesse mon caraco puis sortis en direction de ma chambre. Je fus arrêtée dans mon élan par Enzo, toujours dans le couloir, qui m’agrippa par le bras et me fit mettre à genoux. Il se branla et je sentis rapidement sa décharge de foutre chaud sur mon visage. Il ne dit rien mais me fit signe de filer à ma chambre sans attendre. Une longue douche me permit de me remettre de mes émotions. Autant j’aimais me sentir salope et être traitée comme une putain pendant l’acte, autant après, j’aspirais à un peu de respect voire de tendresse.
Je ressortis de ma chambre propre et changée. Les idées remises en place, j’arpentais la maison. Je ne trouvais plus que la cuisinière qui me servit mon repas que je pris seule dans la salle à manger. Enzo, Mario et ses amis avaient disparus. Après une promenade au jardin pour profiter du coucher de soleil sur le lac, je montais me coucher nue et seule sous les draps. La chaleur n’avait toujours pas rendu les armes mais moi, j’étais épuisée et je m’endormis très vite.
Le lendemain, Mario vint me réveiller à l’aube. Nue, à peine sortie de dessous les draps, il me fit passer l’énigmatique robe diaphane, sans rien en dessous, et posa la couronne sur mes cheveux avec le voile qui me couvrait le visage. La suite tout bientôt !!!
La voiture ralentit enfin devant un portail automatique qui s’ouvrit sur l’instant pour dévoiler un jardin luxuriant. De grands arbres abritaient des buissons en fleur de toutes les couleurs autour de l’allée qui serpentait au milieu de cet océan vert et bleu. En effet, la pelouse d’un vert radieux formait un camaïeu avec le bleu-vert du lac en toile de fond. Au sortir d’un dernier virage nous pûmes découvrir l’immense bâtisse : une maison de maître jaune clair qui se dressait fièrement sur trois étages, parcourue de grandes fenêtres bordées de volets bleus-gris. Cet endroit ressemblait complètement à notre hôte : sans ostentation, mais beau, classe et élégant. Passer les prochains jours ici promettait d’être très agréable !
La limousine s’arrêta devant la demeure. Enzo en sortit en premier et monta sans (m’) attendre saluer son patron en haut du perron. Vêtue d’un chemisier de soie transparente couleur crème sur une mini-jupe de tailleur assortie, je glissais mes fesses au bord de la banquette tandis que le chauffeur ouvrait ma portière, puis je me tournais de côté, face au perron, étendais la jambe droite hors du véhicule laissant la gauche à l’intérieur, dévoilant au gré de mes jambes ainsi écartées ma toison découverte. Le chauffeur n’en manqua pas une miette mais ce qui m’intéressait c’était Mario Rossi dont le regard et le sourire m’assurèrent que lui non plus n’avait rien raté du spectacle. Je montais les marches en quelques rapides enjambées pour rejoindre « mes » hommes. Mario me gratifia d’un baisemain d’une galanterie qui tranchait résolument avec le regard lubrique qu’il me jetait. Je lui répondis d’un grand sourire.
- Alice, Enzo, soyez les bienvenus. J’espère que vous avez fait bon voyage.
- Excellent, merci. Répondit Enzo.
- Suivez-moi, je vais vous faire visiter la maison et vous montrer vos chambres.
Il avait été convenu avant le voyage que je serais entièrement à Mario pendant notre séjour. Depuis notre dernière « rencontre » avec Mario, Enzo avait été nommé directeur de la branche française et était même devenu membre du conseil d’administration de la société mère avec, bien entendu, une augmentation substantielle de ses revenus. Que notre séjour chez M. Rossi se fasse à ses conditions, n’était qu’un juste retour de bons procédés. Quant à moi, j’avais gardé un excellent souvenir des talents de Rossi, de surcroit un homme galant et séduisant malgré son âge. Il avait donc été décidé qu’Enzo et moi ferions chambre séparée. Mario serait le seul à décider de mes activités pour les trois prochains jours, toutefois Enzo aurait le privilège de pouvoir assister à tous les ébats : il avait accepté de ne pas me toucher mais pourrait satisfaire à satiété ses penchants candaulistes.
Nous fîmes le tour des pièces du rez-de-chaussée de l’immense demeure où nous découvrîmes une bibliothèque de rêve au centre de laquelle trônait un piano, je restais quelques secondes absorbée dans mon fantasme d’être prise sur le piano comme dans « Pretty Woman ». Puis, Mario laissa sa gouvernante guider Enzo à sa chambre, pendant qu’il me faisait l’honneur de la mienne : une pièce magnifique au milieu de laquelle trônait un baldaquin géant recouvert de draps blancs, promesse de fraîcheur alors que l’atmosphère en ce début d’été était étouffante. La pièce était meublée de chevets et d’une armoire ancienne en bois sombre sculpté avec raffinement, et, partout, de grands miroirs dans lesquels se reflétait le lit sous toutes ses coutures. Soudain, je me retrouvais au beau milieu de mes rêves de petite fille avec la chambre de princesse et, en prime, la vue sur le jardin et le lac. Le prince aux cheveux argentés s’approcha de moi par derrière pendant que je regardais à la fenêtre et m’embrassa dans le cou en douceur. Je sentis sa langue explorer ma peau ce qui déclencha une réponse immédiate au creux de mon ventre. Il me retourna et glissa sa langue dans ma bouche pendant que ses mains sous ma jupe caressaient mes fesses nues. Je sentis ma fente s’humidifier mais, à mon grand regret, il me murmura alors à l’oreille de le retrouver au jardin dans dix minutes et il quitta la pièce. Je défis rapidement mes bagages et découvris que, dans l’armoire, pendaient déjà des vêtements à mon intention. J’y découvrais deux magnifiques robes de soirée griffées haute couture ainsi qu’une robe d’été en coton léger jaune pâle à fine bretelles et enfin une tenue qui m’interpela : il s’agissait d’une longue robe chasuble blanche dans un tissu diaphane. Au cintre était également accrochée une couronne de fleurs en tissus qui soutenait un voile transparent. On aurait dit une de robe de mariée si ce n’était pour la simplicité de la forme, en fait non, à y réfléchir il s’agissait plutôt d’une aube de communiante. Je restais interloquée mais consciente du temps qui passait et désireuse d’obéir à Mario, je me glissais rapidement dans la robe d’été et couru le rejoindre au jardin.
Je descendis au jardin baigné du soleil éblouissant de la fin de matinée. Je me fis la remarque que la robe jaune pastel sous laquelle j’étais nue à part pour un soutien-gorge de dentelle blanche devait être bien transparente dans une telle lumière. Mais qui pourrait me voir à part Mario ? Je l’aperçus enfin dans un recoin abrité du soleil sous un arbre fruitier qui semblait être un olivier. Je descendis les marches depuis la terrasse pour le rejoindre. Il était assis sur un banc de pierre, un panier de légumes près de lui. Il venait de ramasser courgettes, carottes et tomates du potager. Quelques gouttes de sueur perlaient sur son front et sa chemise blanche collait légèrement à son torse. Je restais ébahie de constater qu’un homme de son âge – il devait avoir pas loin de 65 ans – pouvait être aussi séduisant. Il me vit et me fit signe de m’approcher. Il me serra dans ses bras, son visage lové contre ma poitrine. Il soupira alors entre mes seins et glissa à nouveau ses mains sur mes fesses sous ma robe. Nous restâmes quelques instants dans cette tendre position avant qu’il relève enfin la tête et me regarde :
-Tu es vraiment très belle. Mon épouse aussi, tu sais, était très belle, mais tout à l’opposé de toi. Sa peau était mate, ses cheveux bruns et ses yeux noirs. Me dit-il tout en continuant de malaxer mes fesses.
- Votre épouse ? Elle… enfin …vous êtes… divorcé ? Tentais-je.
- Non, bella mia, j’ai eu la douleur de la perdre il y a vingt ans. Depuis, je n’ai eu que des aventures purement pour le sexe, jamais rien de sentimental.
- Oh, je suis désolée, dis-je, ça n’a dû être facile à vivre.
Je sentais en moi l’envie de réconforter cet homme meurtri et le serrais à nouveau contre moi en lui caressant les cheveux. Il mit cependant rapidement fin à cet instant de tendresse en glissant un doigt sur ma fente, me faisant comprendre le genre de réconfort qu’il recherchait et que je n’étais pas là pour combler des élans de tendresse. J’écartais un peu mes jambes pour lui faciliter l’accès pendant que ses doigts caressaient doucement mon intimité, frôlant mon clitoris et excitant mon désir.
- Bella, dis-moi, ne fais-tu cela que parce que Enzo te l’a demandé ? Je lui répondis entre deux halètements :
- J’aime Enzo. Il est tout pour moi. Il m’a sorti d’une vie terne, sans avenir, il paye aussi pour mes études et m’offre tout ce que je désire. En échange, je lui donne absolument tout ce qui lui fait plaisir. Je n’aime follement.
- Il te fait baiser par d’autres hommes ça ne te dérange pas ?
- C’est ce qui plait à Enzo, ce qui l’excite. Il dit qu’il m’a eue vierge et ne veut pas être le seul que j’aie connu. Il fait mon éducation sexuelle, c’est pour cela il me donne à d’autres. La première fois, je n’ai pas voulu, Enzo s’est mis très en colère alors j’ai cédé. En fait, la gêne et la honte sont vite passées quand cet homme a commencé à me faire jouir. J’ai même joui encore plus fort du fait de la situation, de me faire baiser par un inconnu comme une salope et puis, le regard d’Enzo, je ne l’oublierai jamais, amoureux et tellement fier. Alors, j’aime ça, oui, confirmais-je.
Ses caresses sur mon sexe humide redoublèrent à cet aveu et je bougeais mon bassin en rythme.
- Et moi, je te plais ?
- Oui, répondis-je dans un souffle, le plaisir provoqué par ses caresses commençant à m’emporter. Oui, Mario, oui, vous me plaisez...- je geignis – beaucoup !
- Et tu veux que j’te baise ?
- Oui, Mario, oui ! Haletais-je …
Je le vis alors choisir une jolie courgette de taille moyenne et bien droite dans son panier. Il m’agrippa par les fesses de façon à me coller tout debout contre lui et une fois qu’il eut la tête entre mes seins, il souleva à nouveau ma jupe et glissa la courgette sur ma fente ce qui eut pour effet immédiat de déclencher une fontaine de cyprine qui vint détremper mon antre. Il roula la courgette sur mon clito et je me mis à gémir. Il glissa ensuite doucement un doigt dans ma vulve et le ressorti pour y constater la présence suffisante de lubrifiant pour la suite de ses projets. Il me fit alors asseoir sur le banc à califourchon puis m’allonger sur le dos. Je me retrouvais avec les jambes qui pendaient de chaque côté du banc. Il vint se placer entre mes cuisses ouvertes. Ce qui m’excitait le plus c’était son regard sombre, il avait basculé dans un état second, rien d’autre ne semblait compter à ses yeux que mon sexe. Il appliqua d’une main la courgette contre ma fente faisant tourner le pouce de son autre main sur mon clitoris. Le gode improvisé, bien rigide, se retrouva bientôt enduit de mouille. Mario écarta alors mes lèvres avant d’enfoncer le légume dans ma chatte. Bien que je fus bien mouillée, l’entrée se fit difficile, le bout de la courgette large et rond - bien plus gros qu’un gland - me forçait les chairs. Je poussais un cri de douleur et d’excitation mêlés mais me cela ne dissuada pas Mario de me limer et de pousser à chaque fois plus fort. Je geignis….
- Tu aimes la baise, hein, jolie salope ? Les joues brûlantes du plaisir qui montait en moi, je ne pus qu’acquiescer.
Peu à peu, je sentis ma vulve s’écarter et mon vagin céda sous la pression et atteint une largeur suffisante au passage du légume qui coulissa librement et il ne me fallut pas plus de quelques aller-retour pour que j’eus un premier orgasme.
- Oh, oui, tu aimes ça… Putana !
- Oui ! Mario, encore !
Il me limait avec la courgette plus vite et plus fort. Je constatais qu’il se masturbait à l’intérieur du pantalon de sa main libre. Je jouis très fort et enfin il libéra mon antre du légume. Sans attendre, je me relevais et allais m’agenouiller entre ses jambes pour prendre le relais dans son pantalon. Je saisis son pieu enflé d’une main et baissais le caleçon de l’autre. Il gémit à la sensation de mes lèvres sur son gland turgescent et presque aussitôt je sentis sa queue se durcir à l’approche de sa libération. Je lui présentais ma langue tendue sur laquelle je battais son sexe et reçu goulument les giclées dont il me gratifia. J’avalais tout ostensiblement. Lorsque je me relevais, j’aperçus Enzo appuyé nonchalamment sur la rambarde au-dessus de nous. La bosse qui gonflait son entrejambe me convainquit qu’il n’avait rien raté de la scène. Il mit son index sur sa bouche pour me faire taire, me fit un clin d’œil avec un grand sourire et quitta discrètement les lieux. Je restais seule avec Mario qui me fit visiter le reste du jardin.
À midi, la gouvernante qui officiait également comme cuisinière nous servit un excellent repas au cours duquel je ne cessais de me demander si la courgette qui m’avait honorée le matin même était au menu ? Nous nous quittâmes le temps d’une sieste. Il faut reconnaître que les températures caniculaires nous rendaient alanguis. Je me glissais nue entre les draps frais et ne m’endormis qu’après m’être masturbée en repensant à la scène du jardin et à Enzo qui nous avait épiés. À mon réveil, simplement vêtue d’un caraco léger et d’une jupe courte en coton sans rien dessous, je descendis à la cuisine et y trouvais Mario qui jouait aux cartes avec deux amis. Ils avaient son âge mais étaient, force était de le constater, beaucoup moins séduisants : des papis quoi ! Autant lui était très beau autant, eux, étaient des vieux typiques : mal habillés, ridés, le genre qui ne prend plus soin de soi depuis longtemps.
- Ah ! Alice ! Approche que je te présente mes amis : voici Gianni et là, Marcello. Ils ne parlent pas bien le français mais je traduirai.
- Bonjour messieurs, lançais-je un peu timide.
Ils me répondirent d’un signe de tête et Mario leur dit quelque chose en italien que je ne compris pas. Par contre je compris très bien quand Gianni recula sa chaise et me fit signe de me placer entre ses jambes. Je regardais Mario d’un air interrogateur et il me répondit :
- Je leur ai raconté comme tu sais si bien utiliser ta bouche, bella. Ils meurent d’envie d’y goûter. Tu veux bien nous sucer, n’est-ce pas, bella mia ?
Je me plaçais donc entre les jambes de Gianni qui baissa son froc et sorti son sexe moitié bandé qui sentait fort. J’étais dégouttée par l’odeur mais je me fis un devoir d’obtempérer surtout que je venais d’apercevoir Enzo tout sourire qui s’était placé discrètement dans le couloir qui menait à la cuisine de façon à pouvoir voir sans être vu. Je le suçais doucement mais très vite il agrippa mes cheveux baisant ma bouche de putain, enfonçant son sexe jusqu’au fond de ma gorge au mépris de mes haut-le-cœur. Heureusement pour moi, il jouit très rapidement même si je dus me résoudre à avaler une dose conséquente de foutre épais et grumeleux. Cela ne devait pas être tous les jours qu’une salope de 21 ans lui suçait la bite à Gianni ! D’ailleurs son regard lubrique et son sourire satisfait me le confirmaient. Je lui rendis son sourire par politesse en m’essuyant la bouche avec le dos de ma main.
Au tour de Marcello : il avait baissé son pantalon et bandait déjà dur, certainement excité par le spectacle de son ami dans ma bouche. Il commença par faire glisser les bretelles de mon caraco de mes épaules afin de découvrir mes seins. Il les caressa, les embrassa, puis en aspira les tétons pendant qu’il glissait une main sous ma jupe. J’espérais qu’il me baise avec sa queue, depuis le matin je n’avais pas eu de queue en moi et le manque en était cuisant. Mais non, il appuya gentiment sur ma tête et j’obéis à son ordre silencieux en m’agenouillant entre ses cuisses. Il prit lentement son plaisir à sentir ma langue autour de son gland, sur sa verge, sur ses boules. Il était non seulement plus propre mais aussi plus endurant que Gianni. Je dus le sucer et le branler longuement avant qu’il ne finisse enfin par me jouir au visage, au bord de mes lèvres. Je regardais comme il fixait ma langue qui léchait son foutre sur le pourtour de ma bouche. Il dit quelque chose en italien dont je ne compris que les mots « bellissima » et « putana ».
Enfin, je m’agenouillais devant Mario mais il ne me laissa pas le sucer bien longtemps : il m’enleva mon caraco puis il me pencha en avant contre la table, releva ma jupe sur mes reins et me pénétra par derrière sans ménagement. Appuyée sur mes avants bras, les seins ballotant dans le vide face à Gianni qui ne cachait pas son excitation en marmonnant ce que je devinais être des mots crus en italien, Mario me baisait enfin à grands coups de butoirs. Ma chatte humide accueillit avec soulagement cet assaut, une onde de plaisir parcouru les muscles de mon vagin lorsqu’un premier orgasme m’emporta. Mario continua de me pilonner. Je montais bien encore deux fois au septième ciel avant qu’il eut fini sa besogne et se retire pour éjaculer sur mes globes fessiers dans un grognement de soulagement. Ils se rhabillèrent et reprirent leur partie de carte comme si de rien était. Je restais interdite quelques instants, à moitié nue et souillée de sperme devant ces hommes qui venaient de me baiser mais me méprisaient comme la pute que je venais d’être. Humiliée, je ramassais en vitesse mon caraco puis sortis en direction de ma chambre. Je fus arrêtée dans mon élan par Enzo, toujours dans le couloir, qui m’agrippa par le bras et me fit mettre à genoux. Il se branla et je sentis rapidement sa décharge de foutre chaud sur mon visage. Il ne dit rien mais me fit signe de filer à ma chambre sans attendre. Une longue douche me permit de me remettre de mes émotions. Autant j’aimais me sentir salope et être traitée comme une putain pendant l’acte, autant après, j’aspirais à un peu de respect voire de tendresse.
Je ressortis de ma chambre propre et changée. Les idées remises en place, j’arpentais la maison. Je ne trouvais plus que la cuisinière qui me servit mon repas que je pris seule dans la salle à manger. Enzo, Mario et ses amis avaient disparus. Après une promenade au jardin pour profiter du coucher de soleil sur le lac, je montais me coucher nue et seule sous les draps. La chaleur n’avait toujours pas rendu les armes mais moi, j’étais épuisée et je m’endormis très vite.
Le lendemain, Mario vint me réveiller à l’aube. Nue, à peine sortie de dessous les draps, il me fit passer l’énigmatique robe diaphane, sans rien en dessous, et posa la couronne sur mes cheveux avec le voile qui me couvrait le visage. La suite tout bientôt !!!
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