Enzo me prête à ses collègues dans un club libertin

- Par l'auteur HDS Gourmande_24 -
Auteur femme.
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Récit libertin : Enzo me prête à ses collègues dans un club libertin Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2013 dans la catégorie Plus on est
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Enzo me prête à ses collègues dans un club libertin
J’étais une pucelle d’à peine 17 ans quand j’ai rencontré Enzo qui a 12 ans de plus
que moi. C’est un Italien, grand, la peau mate et les yeux clairs, des cheveux noirs
et beaucoup de charme. J’ai été folle de lui au premier regard et, lui, avait
apparemment complètement flashé sur mon physique surtout sur mes longs cheveux blonds.
J’avoue être pas mal faite : 1,72 cm, mince, les yeux bleus, une belle poitrine et des
fesses rebondies. Enzo a un poste élevé dans une avait un poste grosse boîte. À19 ans
j’ai insisté pour venir vivre chez lui. Le contrat entre nous était simple: il payait
absolument tout, je vivais dans le luxe, m’achetais ce que je voulais mais en échange
je devais me soumettre à tout ce qu’il demandait y compris (et surtout) sexuellement.
Il était écrit noir sur blanc que dès lors que je vivais chez lui, je lui appartenais
et serait sa petite salope soumise. C’était très différent de la façon assez élégante
dont il m’avait traitée jusque-là mais par amour, j’aurais tout accepté de lui. Enzo
adorait m’exhiber à ses collègues tous plus âgés que lui (il avait fait carrière à
vitesse grand V), des hommes mariés depuis des années, avec des gosses, bobonne à la
maison, bref une vie pépère.
Souvent, en début d’après-midi, il m’envoyait un mail pour me donner ses instructions
pour le soir : réservation d’un restaurant, commande chez le traiteur et surtout
comment il voulait me trouver habillée quand il rentrerait. Souvent, en rentrant il ne
souhaitait rien de plus qu’un whisky à bonne température et une bonne pipe pendant
qu’il le dégustait. Ce jour-là, je reçu un message laconique : mini-jupe stretch noire
; bustier velours noir ; bas. Manteau long. Talons hauts. AUCUN sous-vêtement. 19h30
au bas de l’immeuble.
À l’heure dite devant la porte de notre immeuble, je vis son Audi s’arrêter. Il me fit
signe de monter. Je me penchais pour l’embrasser, mais il m’arrêta d’un geste de la
main. Il me toisa du regard et glissa direct sa main entre mes cuisses.
- Tu as fait ce que j’ai dit, c’est bien, petite salope.
Rien que d’entendre ces mots et je mouillais déjà.
- Oui, Enzo, tu sais que je t’obéis toujours. Demande-moi ce que tu veux, je le ferai.
- Super. J’ai des projets pour toi ce soir.
- Oui, chéri. Répondis-je bien que je ne savais pas où nous allions mais devinais que
j’allais être baisée et pas que par lui.
Il démarra la voiture. Il se gara dans le parking souterrain d’un immeuble
Haussmannien. Nous montâmes dans un ascenseur donc je découvrais qu’il menait non pas
à un étage mais directement à un appartement. Pendant la montée il m’embrassa
profondément, érotiquement, sa langue entourant la mienne et me glissa son majeur sur
ma fente. La porte de l’ascenseur s’ouvrit et nous fûmes salués par un portier « M.
Vecchio, Madame, soyez les bienvenus». Nous fûmes guidés par une hôtesses ultra-sexy
jusqu’à un box où un canapé en velours rouge foncé en demi-cercle entourait une petite
table basse sur laquelle on trouvait un petit panier avec des godes, des préservatifs,
du lubrifiant, des menottes, un fouet, etc... En fait la pièce où nous étions était
tapissée de ces box (il devait y en avoir 6 ou 8) et au centre était une scène vide –
pour le moment. Les autres box commençaient à se remplir, les invités arrivaient.
Beaucoup de jolies femmes et quelques hommes dont on devinait à leur tenue qu’ils
étaient riches. Enzo nous commanda deux whiskys. Je n’osais pas objecter mais je
n’aime pas et surtout ne supporte pas bien les alcools forts.
- Bois-le, cul-sec!
Je m’exécutais et faillis m’étouffer avec tant s’était fort ce qui le fit rire
joyeusement. Enzo me montra du doigt le box en face du nôtre de l’autre côté de la
pièce. La jeune femme était à genoux en train de sucer en alternance deux hommes avec
lesquels elle était arrivée il y avait 3 minutes à peine.
Enzo fit courir son pouce sur mes lèvres et m’indiqua du regard son entrejambe. Je
m’agenouillais et dégrafais son pantalon. Je pris sa bite déjà tendue dans ma main. Je
commençais par lui lécher délicatement les bourses et le scrotum en le branlant
doucement comme il me l’avait enseigné. Puis laissais glisser ma langue sur sa verge
gonflée avant d’enfourner le gland dans ma bouche sur lequel je faisais jouer ma
langue. Il m’incitait à le prendre plus profond par de petits coups de rein. Je le
pris en gorge profonde et il me fit part de son plaisir par un gémissement. Ce qui eut
pour effet de me faire mouiller le fond de mon string. Il prit alors ma tête dans ses
mains pour diriger l’exercice. Ma langue lui parcourait le gland lorsqu’il me relevait
la tête et ma bouche l’avalait goulument quand il me poussait les lèvres jusqu’à la
garde.
- Hum, Enzo, c’est une bonne suceuse on dirait ! Elle me donne déjà la trique.
Surprise par l’intrusion de cet homme, j’essayais de me relever mais Enzo me maintint
fermement enfoncée sur son pieu.
- Elle te plait, hein ? C’est pas une beauté ? Tu permets qu’elle me finisse ?
- Bien sûr ! dit-il avant de s’asseoir à côté d’Enzo.
Au moment de gicler, Enzo me releva la tête, je tendis la langue afin recevoir son
sperme chaud au su et au vu du nouvel arrivant et je lui montrais bien que je me
régalais de sa semence. J’étais bien un peu gênée de le faire devant un témoin mais,
vu qu’Enzo n’avait pas été le moins surpris par l’arrivée de cet homme, j’ai supposé
que tout cela était voulu et prévu. J’ai voulu me montrer à la hauteur.
- Alice, je te présente Patrick. Nous attendons encore un ami et nous serons au
complet pour la soirée. J’ai très envie de te voir te faire baiser par eux. Tu vas
beaucoup aimer qu’ils te baisent et je crois que ce sera réciproque.
Il m’avait parlé de me faire prendre par ses collègues un jour, ça allait donc être ce
soir. Mon cœur palpitait sous l’effet de l’angoisse mais bizarrement, ma chatte déjà
émoustillée par la pipe à Enzo, recommençait à mouiller à cette pensée.
Sans rien dire mais avec un regard vicieux, Patrick m’intima de me relever et alors
que j’étais debout devant lui, glissa ses deux mains dans mon bustier. Il commença à
me peloter et mes seins se dressèrent. Il fit alors glisser le bustier, exposant ma
poitrine qu’il commença à embrasser, malaxer et pincer. Enzo avait l’air satisfait.
Derrière moi, j’entendis qu’il y avait de l’agitation. Patrick me fit asseoir à côté
de lui et j’observais que des acteurs venaient d’entrer en scène. Ils portaient des
loups ces masques de carnaval vénitien mais autrement étaient nus. Il y avait une
femme et deux hommes. Ils avaient tous les deux leurs queues dressées devant la femme
agenouillée. Elle les branlait et les suçait alternativement. Patrick me glissa la
main sur la chatte et constatant que j’étais bien mouillée commença à me fourrager
d’un puis deux puis trois doigts. J’écartais les jambes pour mieux le laisser faire et
me laissais aller à mon plaisir. Enzo se branlait absorbé par le spectacle sur la
scène. Constatant que Patrick bandait, j’entrepris de le caresser par-dessus son
pantalon. Il était apparemment très bien monté. Il dégrafa alors d’une main la
ceinture, baissa sa braguette et je glissais ma main sous son slip pour le branler. Il
avait décidément un très beau membre. Au bout de quelques minutes, il me demanda de
m’empaler sur son gros chibre. Il me fit asseoir dos à lui pour que je puisse
continuer à voir le spectacle. L’un des hommes sur scène prenait la femme par
derrière, pendant qu’à quatre pattes elle continuait de sucer leur compagnon.
Soulevant ma jupe, j’écartais les lèvres de ma vulve d’une main et dirigeait la bite
de Patrick dans ma chatte de l’autre. J’étais en transe tellement j’avais envie d’une
bite en moi. Mes seins durs et gonflés ballottaient au-dessus de mon bustier pendant
que je rebondissais sur le sexe Patrick. Il me serra les tétons entre ses pouces et
index ; la douleur ne fit qu’ajouter au plaisir que j’étais en train de prendre. Enzo
fit rouler ses doigts sur mon clitoris et pour le remercier je pris sa bite dans ma
main droite pour le branler. Patrick et Enzo me firent jouir deux fois avant que je
sente le sperme de Patrick couler dans ma chatte. Je me dépêchais de m’agenouiller
devant Enzo et reçu bientôt à nouveau ses giclées dans ma bouche et sur mon visage.
C’est à ce moment-là que je remarquais qu’un homme s’était assis à la droite d’Enzo.
Il me maintint le visage d’une main par le menton et de l’autre, racla de le sperme
qui avait atterrit sur ma joue, puis me le fit lécher de son doigt.
-Bonjour, beauté, je suis Didier. Je vois que vous avez commencé les festivités sans
m’attendre.
Sur ce il me tira de son côté, me retourna à quatre pattes sur la table et fourrant
ses doigts dans ma chatte, en retira la cyprine mêlée de sperme et l’étala sur mon
anus avant de m’enfoncer un doigt dans le cul. Il fit quelques petits va-et-vient et
je sentis ma rondelle se détendre. Il me mit un deuxième doigt mais Enzo lui glissa :
- C’est meilleur quand elle est bien serrée. Elle a l’habitude de se faire enculer.
C’était vrai, Enzo ne concluait généralement pas une baise sans me prendre aussi le
cul.
- Non, lui répondit Didier, je veux qu’elle me le demande, qu’elle me supplie de
défoncer.
Je mouillais comme pas permis, je me sentais salope au possible et je voulais être
souillée de sa bite. Alors je murmurais :
- Didier prends-moi.
- Plus fort, salope. Supplie-moi. Et il me mit une grosse claque sur la fesse.
- Encule-moi ! S’il te plait, Didier. Comme une grosse salope, Didier, prend-moi le
cul !
Je sentis son pieu à l’entrée de mon trou et il me défonça avant même la fin de ma
phrase. Je gémis de douleur et de plaisir en même temps. Mon cul se dilatait sous ses
coups de butoir. Il me la mettait jusqu’à la garde, ses couilles battaient contre ma
chatte, le rythme était rapide. Je jouissais et j’étais fière de faire honneur à Enzo.
Patrick n’y tenant plus, il vint se placer devant moi, la bite à nouveau dure et je la
léchais. Elle avait le goût de cyprine et de sperme. Sous les coups de boutoir de
Didier, j’avais du mal à le faire correctement alors Patrick m’agrippa par les cheveux
et me baisa la bouche sans que je puisse plus rien contrôler. Il m’éjacula longuement
dans le fond de la gorge. Puis je sentis le liquide chaud de Didier s’échapper de mon
cul. Il se retira et laissa la place à un Enzo super excité qui me bourra la chatte
comme un sauvage avant d’éjaculer dans mon ventre en à peine trois coups. Décidément,
il appréciait de voir ses amis me baiser.
Je me rassis entre Didier et Enzo, lequel ne me laissa pas remettre mon bustier en
place. Je restais donc assise la jupe relevée dévoilant ma chatte qui dégoulinait et
les seins dressés. Nous regardâmes la fin du spectacle. La femme sur scène se faisait
à présent prendre en sandwich. J’avais bien envie de profiter de la présence de Didier
et Patrick pour offrir le même spectacle à Enzo.
Je me penchais alors par-dessus Enzo pour parler à Patrick :
-Je veux que Didier et toi me fassiez ça aussi.
- Tu veux que je t’encule ?
- Oui, encule-moi pendant que je baise Didier.
Je m’agenouillais devant Didier et lui caressait la bite pour le refaire bander. Je
glissais sa bite entre mes gros seins en lui titillant le gland du bout de la langue
quand il en émergeait. Le résultat ne fut pas long à se faire attendre. Son membre
durcît à nouveau très vite. Je fis alors signe à Patrick dont l’énorme bite était déjà
toute raide de s’approcher et tournant la tête, je la lui mouillais de salive puis lui
crachais sur le gland avant de m’empaler sur Didier puis d’écraser mes seins sur son
torse me penchant bien en avant pour faciliter l’accès à mon petit trou. Patrick me
pris le cul sans ménagement, il s’enfonça d’un coup. Bien que Didier vienne juste de
me défoncer, le diamètre hors norme de la bite de Patrick m’arracha tout de même un
cri de douleur. Par contre, lui, il geignait et soufflait de plaisir dans mon dos. La
chatte et le cul plein, j’eus plusieurs orgasmes d’affilée. Enzo à côté de nous se
masturbait en me voyant prise par ses collègues. Alors que les deux autres
continuaient de fourailler en moi à la recherche de leur orgasme, Enzo me tourna le
visage de côté et me fourra sa bite dans la bouche où il éjacula en gémissant. Je
jouis encore, comblée de ces trois bites dans mes orifices et pendant que je nettoyais
la queue de mon homme je sentis Didier puis Patrick se lâcher en moi.
Le spectacle sur scène était fini mais pas dans les box, on voyait des couples, des
trios, etc. qui baisaient. Je me levais, glissais ma jupe pour couvrir le haut de mes
cuisses, rangeais mes seins dans les coques du bustier et me dirigeais vers les
toilettes pour me rafraîchir. Je me rinçais le visage au-dessus du lavabo et me
nettoyais comme je pouvais la chatte et les cuisses des coulées de sperme pendant que
appuyée sur la vasque d’à côté une femme se faisait troncher tout debout par un homme.
La pauvre, elle n’a qu’un seul amant, pensais-je le cul encore dilaté et la chatte
encore brûlante de ma dernière baise.
Nous prîmes congé de Didier et Patrick, qui me roulèrent chacun un patin monumental et
Enzo et moi prîmes congé. Dans la voiture Enzo n’eut qu’un commentaire :
- Parfaite. Tu as été une putain de petite salope parfaite !
Et moi, toute souillée du sperme de deux autres hommes, j’étais super fière.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
sympa et plutot bien écrit

Histoire Erotique
Une seule envie essayer ! Ma salope de femme n'attend plus que ca

j'ai adoré bravo,j'ai hâte de lire la suite... en espérant qu'il y en ai une de prévue

Histoire Erotique
Histoire très sympa même si je doute qu'elle soit vraie

Une histoire très spéciale... Une suite?



Texte coquin : Enzo me prête à ses collègues dans un club libertin
Histoire sexe : Une rose rouge
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