Enzo me prête à son (vieux) patron pour avoir le contrat
Récit érotique écrit par Gourmande_24 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2013 dans la catégorie Plus on est
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Enzo me prête à son (vieux) patron pour avoir le contrat
Agenouillée sous le bureau, vêtue seulement de bas auto-fixant, je suis en train
d’essayer de faire la meilleure pipe du monde à un homme que je ne connais pas et à
qui je viens de faire un strip-tease.
20h. Enzo a invité le grand patron de sa boîte après les heures de bureau pour
négocier discrètement avec lui un contrat d’associé. Disons que je suis son petit truc
en plus pour lui faire conclure le contrat. Il m’a demandée de le rejoindre au bureau
avec des instructions très précises. Je devais porter ma robe rouge courte qui trace à
merveille le contour de ma poitrine généreuse et met en valeur la cambrure de mon dos
et le rebondi de mes fesses. Elle a la particularité de se boutonner devant sur toute
la longueur. Je devais porter mon string et mon soutien-gorge de dentelle rouge et,
pour finir mes Louboutins à talons de 12 cm. Mes longs cheveux bonds devraient être
relevés. Enzo m’avait expliqué ce qu’il attendait de moi.
M. Rossi arrive pile à l’heure du rendez-vous, il frappe sur la porte du bureau qui
nous avions laissée ouverte exprès. Je suis à genoux la bite d’Enzo à la bouche. Je me
relève en catastrophe et Enzo se reboutonne rapidement. Si M. Rossi a feint de ne rien
avoir remarqué, son sourire en coin en dit long. Il n’est pas tout jeune mais avec
ses tempes grisonnantes, sa peau mate et ses yeux malicieux, il n’est pas sans me
rappeler George Clooney même s’il est légèrement bedonnant et une dizaine d’années de
plus au compteur. Enzo me présente :
- M. Rossi, voici Alice, mon amie, dont je vous ai parlé.
Ils prennent place chacun d’un côté du bureau et commencent les parlottes d’usage :
avait-il fait bon voyage, comment était l’hôtel ? Moi, je vais chercher des boissons
sur la desserte. J’apporte son verre à M. Rossi puis à Enzo qui me caresse les fesses
et glisse ostensiblement sa main entre mes cuisses. Les yeux de Rossi ne quittent plus
ma croupe. Enzo m’interpelle alors :
- Alice, M. Rossi a eu un long voyage, aurais-tu la gentillesse de l’aider à se
détendre un peu ?
Je me postais devant Rossi, appuyée contre le bureau et commençais par lâcher mes
longs cheveux blonds qui tombèrent en cascade sur mes épaules et ma poitrine. Je
dégrafais un à un les boutons de ma robe en le regardant droit dans les yeux puis me
mordais la lèvre en dirigeant mon regard sur son entrejambe. Alors que ma robe était
déboutonnée jusqu’à la taille, et que ses yeux fixaient ma poitrine, je lui pris les
mains et les posais sur mes seins. Je laissais glisser le reste de la robe au sol
pendant qu’il me pelotait. Je me penchais en avant et lorsque je défis mon soutien-
gorge, mes seins lui explosèrent au visage. Il n’hésita pas à les embrasser, les
malaxer et à y enfouir son visage en marmonnant des trucs salaces en italien. Je
commençais à être passablement excitée. Enfin, je me relevais et descendais mon string
à mi-cuisses avant de m’asseoir sur le bord du bureau pour lui présenter mes jambes
afin que ce soit lui qui finisse de faire glisser mon string à mes pieds. Il retira
mes escarpins puis tira mon string et l’approcha de son nez pour renifler l’odeur de
ma chatte en rut. J’écartais alors mes jambes et me mis un le majeur dans la chatte.
Je le retirais presque immédiatement et le suçais avec gourmandise pendant que je
caressais doucement son entrejambe bombé avec mon pied. Je me mis donc - comme je l’ai
dit au début de ce récit - sorti la bite de M. Rossi de son carcan et la pris
goulûment en bouche pour une pipe d’anthologie.
Il appréciait visiblement le traitement puisqu’il me gratifia de soupirs langoureux et
d’un « si bella, cosi è buono ». Je m’applique, le prend alternativement en gorge
profonde avant de relever ma tête prenant soin de laisser glisser sa queue de toute sa
longueur sur ma langue que j’enroule autour du gland avant de le suçoter du bout des
lèvres. Je bouge la tête de façon à ce que mes cheveux ondulent. Mes mains ne sont
pas en reste, je lui caresse le scrotum et les boules, et le branle doucement mais
fermement. Il me caresse tendrement les cheveux. Il a une très belle bite, d’une belle
taille, bien raide et j’avoue prendre beaucoup plaisir. Ma chatte est déjà toute
humide. J’ai très envie de me faire mettre. Je me sens tellement salope de sucer avec
gourmandise la bite d’un homme de cet âge et devant mon mec. Je suis une salope telle
qu’Enzo les aime. Je sais qu’il me regarde et qu’il bande. Je suis très heureuse et
très, très excitée.
Ils parlent de moi, l’accent de M. Rossi est charmant. Il dit que je lui fais une
forte et bonne impression. Il demande mon âge et Enzo, qui est assis en face de lui,
de l’autre côté de la table, répond 20.
- Elle est douée, les jeunes de mon époque n’étaient pas aussi … gourmandes.
- Je l’ai dépucelée à 17 ans et initiée au sexe à plusieurs. Maintenant, elle aime
tellement ça qu’elle se comporte comme une petite salope et satisfait absolument
toutes mes désirs.
- Excellent travail, Enzo. Une très belle femme, sans tabous et douée. Vous êtes un
homme chanceux.
- Faites de moi votre associé et vous aussi profiterez de cette chance.
Rossi me serre alors doucement la tête entre ses deux mains et en deux coups de bassin
prend son plaisir au fond de ma gorge. J’avale avidement son offrande séminale et
lèche consciencieusement sa bite et son gland pour en éliminer toute trace de sperme.
Je lève les yeux, il me sourit. Je lui rends son sourire :
- M. Rossi ? Y-a-t-il autre chose que je puisse faire pour vous satisfaire ? S’il vous
plait, laissez-moi vous donner encore du plaisir…
Il jette un coup d’œil à Enzo qui acquiesce de la tête. Il me fait assoir sur le bord
du bureau écarte mes jambes, et commence à me titiller le clito. Il glisse sa tête
entre mes jambes et prend ma chatte à pleine bouche. Il me doigte, un, deux doigts,
j’en veux plus. Je m’allonge en appui sur mes coudes, la tête rejetée en arrière, les
cheveux en cascade. J’ai les jambes pliées au maximum, mes pieds reposent sur bord du
bureau et je lève mon bassin pour offrir plus encore mon antre à son bourreau de
plaisir. J’ondule de la croupe au rythme de ses doigts. J’attrape sa main pour
m’enfoncer ses doigts plus profond encore. Enzo prend alors les choses en main et
propose alors un gode de bonne taille. Dans les yeux de Rossi passent des pensées
lubriques. Il m’enfonce le gode qui entre facilement malgré sa taille dans ma chatte
mouillée et me laboure la chatte. Je l’incite par mes gémissements et mes ondulations
du bassin et bientôt je jouis comme une folle, de la cyprine coule le long du gode
jusque sur le bureau. Enzo s’approche et me glisse autour de la taille une ceinture en
cuir qui possède un dispositif pour de maintenir le gode en place quels que soient mes
mouvements. Il me fait remettre à genoux devant Rossi qui bande à nouveau bien dur. Le
gode me défonce le vagin à chaque mouvement, à mon grand contentement. Enzo m’ordonne
d’enduire de salive le gland de Rossi. Puis il m’empoigne ferment par les cheveux et
me retourne à plat ventre sur le bureau. Rossi a une vue de rêve sur ma chatte godée
et ma rondelle serrée. Enzo me doigte le cul devant le patron puis il m’ordonne de
m’empaler sur la bite de Rossi qui est assis dans le fauteuil. Je sens le gland de
Rossi me forcer l’anus, j’appuie doucement, tortille mon cul et le bout de son gland
me pénètre. Quelle sensation divine ! D’autant plus avec un gode dans la chatte ! Je
me concentre à laisser mon petit trou se dilate petit à petit autour de la queue. Je
me l’enfonce enfin au plus profond dans un cri de joie. Plus salope que moi tu meurs !
Je sens venir le plaisir. Le vieux gémit, moi aussi. Il m’agrippe les seins, y
enfonce ses doigts pendant que je monte et descend sur son dard de plus en plus vite.
Il me fait mal mais cette douleur ajoute à mon excitation. Il me crie des choses
salaces en italien et j’aime ça. Enzo vient se placer au bord du bureau devant moi la
bite à la main. Tel que je le connais il s’est branlé pendant toute la scène. Je le
pompe comme une salope sans attendre. Excitée comme je suis, je n’attendais que ça,
que tous mes orifices soient pris en même temps. Enzo m’empoigne par les cheveux pour
me baiser la bouche un peu violemment comme il aime. Je suis sa salope. Il me baise la
gorge et je lui caresse les boules. Le vieux continue de souffler derrière moi en
m’arrachant les seins. Enfin, je le sens qui me remplit le cul de sa semence chaude.
Il jouit très fort en criant. Il va le signer le contrat ! Il m’empêche de me retirer
en me tenant par les hanches et donc je finis de sucer Enzo tout en ayant la bite de
Rossi qui débande dans mon cul alors que ce vieux vicieux me titille le clito et me
bouge le cul peut-être dans l’espoir de rebander. Enzo me gicle en plein visage. Je
suis souillée de sperme sur la bouche, la joue, les yeux, le front et certainement
aussi les cheveux. Comme une salope que je suis, je me délecte dans cette sensation.
Enfin, Rossi se retire de mon cul et me penche sur le bureau. Il détache le gode de la
ceinture et le glisse hors de ma chatte. Il ramasse mon string et me le donne. Je
ramasse le reste de mes vêtements et vais me rhabiller et me débarbouiller aux
toilettes.
Quand je reviens, Enzo est seul. Il a un grand sourire et me montre le contrat signé.
- Ma petite salope chérie, il y a une annexe au contrat… J’espère que tu aimes
l’Italie car tu es invitée dans la maison d’été de M. Rossi pour les vacances.
J’en mouille déjà !
d’essayer de faire la meilleure pipe du monde à un homme que je ne connais pas et à
qui je viens de faire un strip-tease.
20h. Enzo a invité le grand patron de sa boîte après les heures de bureau pour
négocier discrètement avec lui un contrat d’associé. Disons que je suis son petit truc
en plus pour lui faire conclure le contrat. Il m’a demandée de le rejoindre au bureau
avec des instructions très précises. Je devais porter ma robe rouge courte qui trace à
merveille le contour de ma poitrine généreuse et met en valeur la cambrure de mon dos
et le rebondi de mes fesses. Elle a la particularité de se boutonner devant sur toute
la longueur. Je devais porter mon string et mon soutien-gorge de dentelle rouge et,
pour finir mes Louboutins à talons de 12 cm. Mes longs cheveux bonds devraient être
relevés. Enzo m’avait expliqué ce qu’il attendait de moi.
M. Rossi arrive pile à l’heure du rendez-vous, il frappe sur la porte du bureau qui
nous avions laissée ouverte exprès. Je suis à genoux la bite d’Enzo à la bouche. Je me
relève en catastrophe et Enzo se reboutonne rapidement. Si M. Rossi a feint de ne rien
avoir remarqué, son sourire en coin en dit long. Il n’est pas tout jeune mais avec
ses tempes grisonnantes, sa peau mate et ses yeux malicieux, il n’est pas sans me
rappeler George Clooney même s’il est légèrement bedonnant et une dizaine d’années de
plus au compteur. Enzo me présente :
- M. Rossi, voici Alice, mon amie, dont je vous ai parlé.
Ils prennent place chacun d’un côté du bureau et commencent les parlottes d’usage :
avait-il fait bon voyage, comment était l’hôtel ? Moi, je vais chercher des boissons
sur la desserte. J’apporte son verre à M. Rossi puis à Enzo qui me caresse les fesses
et glisse ostensiblement sa main entre mes cuisses. Les yeux de Rossi ne quittent plus
ma croupe. Enzo m’interpelle alors :
- Alice, M. Rossi a eu un long voyage, aurais-tu la gentillesse de l’aider à se
détendre un peu ?
Je me postais devant Rossi, appuyée contre le bureau et commençais par lâcher mes
longs cheveux blonds qui tombèrent en cascade sur mes épaules et ma poitrine. Je
dégrafais un à un les boutons de ma robe en le regardant droit dans les yeux puis me
mordais la lèvre en dirigeant mon regard sur son entrejambe. Alors que ma robe était
déboutonnée jusqu’à la taille, et que ses yeux fixaient ma poitrine, je lui pris les
mains et les posais sur mes seins. Je laissais glisser le reste de la robe au sol
pendant qu’il me pelotait. Je me penchais en avant et lorsque je défis mon soutien-
gorge, mes seins lui explosèrent au visage. Il n’hésita pas à les embrasser, les
malaxer et à y enfouir son visage en marmonnant des trucs salaces en italien. Je
commençais à être passablement excitée. Enfin, je me relevais et descendais mon string
à mi-cuisses avant de m’asseoir sur le bord du bureau pour lui présenter mes jambes
afin que ce soit lui qui finisse de faire glisser mon string à mes pieds. Il retira
mes escarpins puis tira mon string et l’approcha de son nez pour renifler l’odeur de
ma chatte en rut. J’écartais alors mes jambes et me mis un le majeur dans la chatte.
Je le retirais presque immédiatement et le suçais avec gourmandise pendant que je
caressais doucement son entrejambe bombé avec mon pied. Je me mis donc - comme je l’ai
dit au début de ce récit - sorti la bite de M. Rossi de son carcan et la pris
goulûment en bouche pour une pipe d’anthologie.
Il appréciait visiblement le traitement puisqu’il me gratifia de soupirs langoureux et
d’un « si bella, cosi è buono ». Je m’applique, le prend alternativement en gorge
profonde avant de relever ma tête prenant soin de laisser glisser sa queue de toute sa
longueur sur ma langue que j’enroule autour du gland avant de le suçoter du bout des
lèvres. Je bouge la tête de façon à ce que mes cheveux ondulent. Mes mains ne sont
pas en reste, je lui caresse le scrotum et les boules, et le branle doucement mais
fermement. Il me caresse tendrement les cheveux. Il a une très belle bite, d’une belle
taille, bien raide et j’avoue prendre beaucoup plaisir. Ma chatte est déjà toute
humide. J’ai très envie de me faire mettre. Je me sens tellement salope de sucer avec
gourmandise la bite d’un homme de cet âge et devant mon mec. Je suis une salope telle
qu’Enzo les aime. Je sais qu’il me regarde et qu’il bande. Je suis très heureuse et
très, très excitée.
Ils parlent de moi, l’accent de M. Rossi est charmant. Il dit que je lui fais une
forte et bonne impression. Il demande mon âge et Enzo, qui est assis en face de lui,
de l’autre côté de la table, répond 20.
- Elle est douée, les jeunes de mon époque n’étaient pas aussi … gourmandes.
- Je l’ai dépucelée à 17 ans et initiée au sexe à plusieurs. Maintenant, elle aime
tellement ça qu’elle se comporte comme une petite salope et satisfait absolument
toutes mes désirs.
- Excellent travail, Enzo. Une très belle femme, sans tabous et douée. Vous êtes un
homme chanceux.
- Faites de moi votre associé et vous aussi profiterez de cette chance.
Rossi me serre alors doucement la tête entre ses deux mains et en deux coups de bassin
prend son plaisir au fond de ma gorge. J’avale avidement son offrande séminale et
lèche consciencieusement sa bite et son gland pour en éliminer toute trace de sperme.
Je lève les yeux, il me sourit. Je lui rends son sourire :
- M. Rossi ? Y-a-t-il autre chose que je puisse faire pour vous satisfaire ? S’il vous
plait, laissez-moi vous donner encore du plaisir…
Il jette un coup d’œil à Enzo qui acquiesce de la tête. Il me fait assoir sur le bord
du bureau écarte mes jambes, et commence à me titiller le clito. Il glisse sa tête
entre mes jambes et prend ma chatte à pleine bouche. Il me doigte, un, deux doigts,
j’en veux plus. Je m’allonge en appui sur mes coudes, la tête rejetée en arrière, les
cheveux en cascade. J’ai les jambes pliées au maximum, mes pieds reposent sur bord du
bureau et je lève mon bassin pour offrir plus encore mon antre à son bourreau de
plaisir. J’ondule de la croupe au rythme de ses doigts. J’attrape sa main pour
m’enfoncer ses doigts plus profond encore. Enzo prend alors les choses en main et
propose alors un gode de bonne taille. Dans les yeux de Rossi passent des pensées
lubriques. Il m’enfonce le gode qui entre facilement malgré sa taille dans ma chatte
mouillée et me laboure la chatte. Je l’incite par mes gémissements et mes ondulations
du bassin et bientôt je jouis comme une folle, de la cyprine coule le long du gode
jusque sur le bureau. Enzo s’approche et me glisse autour de la taille une ceinture en
cuir qui possède un dispositif pour de maintenir le gode en place quels que soient mes
mouvements. Il me fait remettre à genoux devant Rossi qui bande à nouveau bien dur. Le
gode me défonce le vagin à chaque mouvement, à mon grand contentement. Enzo m’ordonne
d’enduire de salive le gland de Rossi. Puis il m’empoigne ferment par les cheveux et
me retourne à plat ventre sur le bureau. Rossi a une vue de rêve sur ma chatte godée
et ma rondelle serrée. Enzo me doigte le cul devant le patron puis il m’ordonne de
m’empaler sur la bite de Rossi qui est assis dans le fauteuil. Je sens le gland de
Rossi me forcer l’anus, j’appuie doucement, tortille mon cul et le bout de son gland
me pénètre. Quelle sensation divine ! D’autant plus avec un gode dans la chatte ! Je
me concentre à laisser mon petit trou se dilate petit à petit autour de la queue. Je
me l’enfonce enfin au plus profond dans un cri de joie. Plus salope que moi tu meurs !
Je sens venir le plaisir. Le vieux gémit, moi aussi. Il m’agrippe les seins, y
enfonce ses doigts pendant que je monte et descend sur son dard de plus en plus vite.
Il me fait mal mais cette douleur ajoute à mon excitation. Il me crie des choses
salaces en italien et j’aime ça. Enzo vient se placer au bord du bureau devant moi la
bite à la main. Tel que je le connais il s’est branlé pendant toute la scène. Je le
pompe comme une salope sans attendre. Excitée comme je suis, je n’attendais que ça,
que tous mes orifices soient pris en même temps. Enzo m’empoigne par les cheveux pour
me baiser la bouche un peu violemment comme il aime. Je suis sa salope. Il me baise la
gorge et je lui caresse les boules. Le vieux continue de souffler derrière moi en
m’arrachant les seins. Enfin, je le sens qui me remplit le cul de sa semence chaude.
Il jouit très fort en criant. Il va le signer le contrat ! Il m’empêche de me retirer
en me tenant par les hanches et donc je finis de sucer Enzo tout en ayant la bite de
Rossi qui débande dans mon cul alors que ce vieux vicieux me titille le clito et me
bouge le cul peut-être dans l’espoir de rebander. Enzo me gicle en plein visage. Je
suis souillée de sperme sur la bouche, la joue, les yeux, le front et certainement
aussi les cheveux. Comme une salope que je suis, je me délecte dans cette sensation.
Enfin, Rossi se retire de mon cul et me penche sur le bureau. Il détache le gode de la
ceinture et le glisse hors de ma chatte. Il ramasse mon string et me le donne. Je
ramasse le reste de mes vêtements et vais me rhabiller et me débarbouiller aux
toilettes.
Quand je reviens, Enzo est seul. Il a un grand sourire et me montre le contrat signé.
- Ma petite salope chérie, il y a une annexe au contrat… J’espère que tu aimes
l’Italie car tu es invitée dans la maison d’été de M. Rossi pour les vacances.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'ai adorée mouillée mon lit en lisant cette histoire j'ai hâte de lire la suite, bravo
HOUA HOUA HOUA ! SUPER RÉCIT, MERCI, moi aussi j'adore l'Italie...
Voila une affaire rondement menée !!!!