Episode 1: Une rencontre inattendue
Récit érotique écrit par Lousouleil13 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Episode 1: Une rencontre inattendue
En une belle journée ensoleillée, je vais faire des courses dans le supermarché situé à quelques kilomètres de ma maison, dans la banlieue de la ville toute proche. Moi, c'est Didier, je suis un homme de 50 ans, je mesure 1,78m. et pèse 78kg . Je vis seul dans une grande maison.
J'ai plusieurs passions, dont les femmes. Je les trouve toutes belles et appétissantes.
Devant l’allée des légumes, j’aperçois une femme qui porte un mignon cœur-croisé rouge, relativement décolleté et une jupe courte qui montre ses jolies jambes ornées de sexy bas noirs. Blonde, d'un certain âge, des cheveux mi courts, ses lunettes lui donnent un charme en plus. Elle a un côté coquine qui me convient parfaitement. Mon cœur bascule, mes envies se réveillent. Elle me ravit.
Elle m'attire. Alors, devant le casier des concombres, je plaisante en espérant qu’elle m’entende puisqu’elle est toute proche de moi. « Ces concombres me font penser à des sex toys. »Elle dirige son regard vers moi, elle semble étonnée et me sourit. J'ai capté son intérêt, super.
Heureux qu’elle comprenne mon sous-entendu, je m’avance vers elle.
- Je vois que vous avez compris ma plaisanterie.
- Oui, très bien, surtout que ces objets dont vous avez parlé ne me sont pas étrangers.
- Ah bon, tiens donc ! Venez-vous souvent ici ?
Elle s’approche de mon oreille et me souffle qu’elle y vient régulièrement car il faut bien s'approvisionner si on veut manger mais qu’elle ne pensait jamais y croiser de si belles personnes. Je ne sais pas si le compliment m’est adressé mais il me donne du courage pour tenter de la séduire.
- Quel est votre prénom ?
- Françoise.
- Enchanté Françoise, moi c’est Didier. Je dois vous confier que votre poitrine est très belle, généreuse comme j'aime, elle déborde joliment de votre décolleté.
- Oups ! Excusez moi, je ne veux pas vous choquer.
Rougissant, elle remonte son échancrure pour cacher un peu ses galbes mammaires, à ma grande déception, mais d’une voix mielleuse me demande si cela va mieux, si elle est plus décente.
- J’avoue que je suis troublé, positivement troublé, et je regrette de vous avoir fait ce compliment. Je vous préférais avant que vous ne cachiez vos formes. Mais, si nous sortions. Je vois que votre caddie est plein, je vous aiderai à décharger.
- Merci, c’est gentil de votre part, j'apprécie votre aide.
Nous partons. Elle remue ses fesses pour me montrer sa satisfaction ou bien pour m’exhiber son joli cul ? Nous passons par les caisses et marchons côte à côte jusqu'à sa Clio blanche. Je ne peux m'empêcher de regarder ses seins qui ballottent quand elle marche.
Le coffre de sa voiture rempli, je l’invite chez moi pour boire un pot. Hésitante, l’index sur les lèvres, elle m’explique qu'elle vit seule mais que elle a un ami qui la voit souvent et qu’il est parfois difficile pour elle de se rendre disponible. Puis, elle ajoute qu’elle accepte mon invitation bien volontiers car son "homme" est parti pour la journée chez un ami.
Elle me suit en voiture. Nous arrivons chez moi, sortons de nos véhicules et entrons dans le séjour.Elle se pose sur mon canapé pendant que je lui prépare un café que je lui ai proposé et qu'elle a accepté.
- Vous avez un canapé confortable.
- J'aime me sentir à l'aise chez moi.
Je reviens verse le café dans les tasses et m'assieds dans un fauteuil, face à elle.
Elle s’enfonce vers le dossier, les jambes assez ouvertes et je m’aperçoit qu’elle ne porte pas de culotte ! Je vois le liséré de ses bas et le haut nu de ses cuisses charnues. Je devine sa fente lisse qui gonfle mon nœud. Elle doit apercevoir la bosse qui enfle mon pantalon. Tout en buvant on bavarde. J'apprends qu'elle est une jeune retraitée, que son ami a 73 ans, qu'elle trouve qu'il a vite vieilli ces derniers temps et que la lassitude s'est installée dans leur couple.
Je me lève, prends ma tasse, m’assieds à ses côtés, dépose la tasse sur la petite table, la fixe de mon regard bleuté et promène mes yeux le long de son corps. Ses seins semblent lourds, sa chevelure blonde, ses cuisses interminables décorées de bas noirs me donnent le vertige. Je n’en peux plus. Je ne sais pas si elle est voyante mais elle le sent. Et c'est elle qui me provoque.
- Collez vous à moi, j’ai un peu frais, il n’y a rien de mieux que la chaleur humaine.
C'est ce que je fais avec empressement. Et elle en profite et me pose sa main entre mes jambes en touchant ma bosse.
- Je vois que je vous fais de l’effet non ?
- Oh que oui, je peux vous le prouver.
Et sans attendre sa réponse, je descends ma braguette, dégage mon slip et sors mon sexe pour lui montrer ma bite épaisse qui regorge de sang.
- En effet, waouh quel engin. Qu'il est beau et gros. Une belle sucette.
Elle commence à me caresser doucement.
Je ne reste pas inactif, je m’approche de ses lèvres, lui souffle que le café va être froid et l’embrasse à pleine bouche. Sa langue est chaude, elle valse avec la mienne. Mes mains se perdent dans son décolleté plongeant. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Je lui tire sa poitrine débordante ,je la dégage du coeur-croisé et commence à titiller ses tétons qui durcissent. Sa poitrine est dense, ses nichons sont gonflés et ses tétons sont épais et durs. Elle a de larges aréoles brunes.C’est alors que sa bouche se décolle de la mienne et en se penchant elle vient happer ma tige. Ma bite de 18X6 avec un gland épais se dresse et se plaque contre sa bouche. Ses lents va et vient jusqu’à mes couilles chauffent mes pulsions. Elle suce comme une déesse.
- Je crois que nous devrions aller nous allonger. Tant pis pour le café !
Elle interrompt sa fellation et me suit dans la chambre à coucher. Nous nous mettons sur mon grand lit.
Cette sublime femme me met dans tous mes états. Il faut que je le reconnaisse, je n’ai jamais rencontré une femme qui embrasse et suce aussi bien. Je poursuis nos longs et endiablés baisers.
Ma langue se perd dans sa bouche délicieuse, je veux récolter la moindre de ses saveurs. En même temps que ma bouche lui parcourt le corps, j’ôte son débardeur, je retire sa jupe courte, et admire l’agréable paysage qui se découvre à moi. Elle se retrouve en bas autofixants et en escarpins.
De son côté, elle m’enlève mon tee-shirt ainsi que mon pantalon et mon slip. Elle me caresse de la tête aux pieds. Quel moment délicieux que ce corps brûlant et passionné. Allongée sur le dos, les cuisses écartées, elle m’offre son mont de vénus en pâture, il m’appelle. Je plonge ma tête entre ses jambes et savoure sa chatte lisse et dégoulinante. Ses lèvres sont fines et longues. J’aspire son clitoris dur dans ma bouche, le suce comme si c’était une bite, le mordille légèrement. Ses soupirs montent et ne font qu’accentuer mes désirs. Elle est brûlante, elle est trempée.
Puis, elle m’appelle de son doigt. Je me redresse et m’approche de son visage. Nous recommençons à nous embrasser avec passion et fougue. Elle me retourne. Je me retrouve sur le dos, elle au-dessus de moi. Et la langue vient caresser ma poitrine, descend sur ma queue qu’elle aspire. Sa langue titille mon prépuce, monte et descend sur ma tige ferme, pour l’envelopper de sa bouche.
J’ai envie de lui faire l’amour comme personne ne lui a fait. Mon envie de lui procurer des orgasmes incroyables est plus fort que tout. Je monte sur elle, l’embrasse encore, dirigeant en même temps ma queue dans son orifice trempé. Nous sommes en phase j’ai l’impression. Elle aime le sexe autant que moi. Je la laboure vigoureusement. A ses gémissements, je sens qu'elle aime cela. Nos cris se mélangent et nous jouissons simultanément.
L’extase atteint, nous nous calmons et nous allongeons l’un contre l’autre. Je passe mon bras sous sa tête, et nous discutons calmement. Nous nous apprenons. Nous découvrons notre attirance pour la diversité sexuelle. Elle m'avoue que avec son ami, c'est très classique et que ses nombreux fantasmes n'ont jamais été assouvis à ce jour.
Mais qu’en sera-t-il de notre futur ? J'y pense sans trop le lui dire. Je ne dois pas oublier son ami, Jacques. Je ne sais pas si je pourrais la revoir vu ses indisponibilités lorsqu'elle est avec lui. Peut être que je fantasme trop et qu’il ne s’agit que d’une aventure de passage ? Pourtant, j’aimerais bien découvrir avec elle les plaisirs du sexe, aller jusqu'au bdsm dans une complicité et une confiance si chère à mon cœur.
Elle me sort de mes divagations, de mes rêves en me disant qu'elle a connu avec moi un vrai plaisir, qu'elle trouvera d'autres occasions pour se retrouver et qu'elle osera alors me confier ses envies sexuelles. Puis, en m’empoignant à nouveau le sexe, elle me dit : "Et si nous recommencions ?
J'ai plusieurs passions, dont les femmes. Je les trouve toutes belles et appétissantes.
Devant l’allée des légumes, j’aperçois une femme qui porte un mignon cœur-croisé rouge, relativement décolleté et une jupe courte qui montre ses jolies jambes ornées de sexy bas noirs. Blonde, d'un certain âge, des cheveux mi courts, ses lunettes lui donnent un charme en plus. Elle a un côté coquine qui me convient parfaitement. Mon cœur bascule, mes envies se réveillent. Elle me ravit.
Elle m'attire. Alors, devant le casier des concombres, je plaisante en espérant qu’elle m’entende puisqu’elle est toute proche de moi. « Ces concombres me font penser à des sex toys. »Elle dirige son regard vers moi, elle semble étonnée et me sourit. J'ai capté son intérêt, super.
Heureux qu’elle comprenne mon sous-entendu, je m’avance vers elle.
- Je vois que vous avez compris ma plaisanterie.
- Oui, très bien, surtout que ces objets dont vous avez parlé ne me sont pas étrangers.
- Ah bon, tiens donc ! Venez-vous souvent ici ?
Elle s’approche de mon oreille et me souffle qu’elle y vient régulièrement car il faut bien s'approvisionner si on veut manger mais qu’elle ne pensait jamais y croiser de si belles personnes. Je ne sais pas si le compliment m’est adressé mais il me donne du courage pour tenter de la séduire.
- Quel est votre prénom ?
- Françoise.
- Enchanté Françoise, moi c’est Didier. Je dois vous confier que votre poitrine est très belle, généreuse comme j'aime, elle déborde joliment de votre décolleté.
- Oups ! Excusez moi, je ne veux pas vous choquer.
Rougissant, elle remonte son échancrure pour cacher un peu ses galbes mammaires, à ma grande déception, mais d’une voix mielleuse me demande si cela va mieux, si elle est plus décente.
- J’avoue que je suis troublé, positivement troublé, et je regrette de vous avoir fait ce compliment. Je vous préférais avant que vous ne cachiez vos formes. Mais, si nous sortions. Je vois que votre caddie est plein, je vous aiderai à décharger.
- Merci, c’est gentil de votre part, j'apprécie votre aide.
Nous partons. Elle remue ses fesses pour me montrer sa satisfaction ou bien pour m’exhiber son joli cul ? Nous passons par les caisses et marchons côte à côte jusqu'à sa Clio blanche. Je ne peux m'empêcher de regarder ses seins qui ballottent quand elle marche.
Le coffre de sa voiture rempli, je l’invite chez moi pour boire un pot. Hésitante, l’index sur les lèvres, elle m’explique qu'elle vit seule mais que elle a un ami qui la voit souvent et qu’il est parfois difficile pour elle de se rendre disponible. Puis, elle ajoute qu’elle accepte mon invitation bien volontiers car son "homme" est parti pour la journée chez un ami.
Elle me suit en voiture. Nous arrivons chez moi, sortons de nos véhicules et entrons dans le séjour.Elle se pose sur mon canapé pendant que je lui prépare un café que je lui ai proposé et qu'elle a accepté.
- Vous avez un canapé confortable.
- J'aime me sentir à l'aise chez moi.
Je reviens verse le café dans les tasses et m'assieds dans un fauteuil, face à elle.
Elle s’enfonce vers le dossier, les jambes assez ouvertes et je m’aperçoit qu’elle ne porte pas de culotte ! Je vois le liséré de ses bas et le haut nu de ses cuisses charnues. Je devine sa fente lisse qui gonfle mon nœud. Elle doit apercevoir la bosse qui enfle mon pantalon. Tout en buvant on bavarde. J'apprends qu'elle est une jeune retraitée, que son ami a 73 ans, qu'elle trouve qu'il a vite vieilli ces derniers temps et que la lassitude s'est installée dans leur couple.
Je me lève, prends ma tasse, m’assieds à ses côtés, dépose la tasse sur la petite table, la fixe de mon regard bleuté et promène mes yeux le long de son corps. Ses seins semblent lourds, sa chevelure blonde, ses cuisses interminables décorées de bas noirs me donnent le vertige. Je n’en peux plus. Je ne sais pas si elle est voyante mais elle le sent. Et c'est elle qui me provoque.
- Collez vous à moi, j’ai un peu frais, il n’y a rien de mieux que la chaleur humaine.
C'est ce que je fais avec empressement. Et elle en profite et me pose sa main entre mes jambes en touchant ma bosse.
- Je vois que je vous fais de l’effet non ?
- Oh que oui, je peux vous le prouver.
Et sans attendre sa réponse, je descends ma braguette, dégage mon slip et sors mon sexe pour lui montrer ma bite épaisse qui regorge de sang.
- En effet, waouh quel engin. Qu'il est beau et gros. Une belle sucette.
Elle commence à me caresser doucement.
Je ne reste pas inactif, je m’approche de ses lèvres, lui souffle que le café va être froid et l’embrasse à pleine bouche. Sa langue est chaude, elle valse avec la mienne. Mes mains se perdent dans son décolleté plongeant. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Je lui tire sa poitrine débordante ,je la dégage du coeur-croisé et commence à titiller ses tétons qui durcissent. Sa poitrine est dense, ses nichons sont gonflés et ses tétons sont épais et durs. Elle a de larges aréoles brunes.C’est alors que sa bouche se décolle de la mienne et en se penchant elle vient happer ma tige. Ma bite de 18X6 avec un gland épais se dresse et se plaque contre sa bouche. Ses lents va et vient jusqu’à mes couilles chauffent mes pulsions. Elle suce comme une déesse.
- Je crois que nous devrions aller nous allonger. Tant pis pour le café !
Elle interrompt sa fellation et me suit dans la chambre à coucher. Nous nous mettons sur mon grand lit.
Cette sublime femme me met dans tous mes états. Il faut que je le reconnaisse, je n’ai jamais rencontré une femme qui embrasse et suce aussi bien. Je poursuis nos longs et endiablés baisers.
Ma langue se perd dans sa bouche délicieuse, je veux récolter la moindre de ses saveurs. En même temps que ma bouche lui parcourt le corps, j’ôte son débardeur, je retire sa jupe courte, et admire l’agréable paysage qui se découvre à moi. Elle se retrouve en bas autofixants et en escarpins.
De son côté, elle m’enlève mon tee-shirt ainsi que mon pantalon et mon slip. Elle me caresse de la tête aux pieds. Quel moment délicieux que ce corps brûlant et passionné. Allongée sur le dos, les cuisses écartées, elle m’offre son mont de vénus en pâture, il m’appelle. Je plonge ma tête entre ses jambes et savoure sa chatte lisse et dégoulinante. Ses lèvres sont fines et longues. J’aspire son clitoris dur dans ma bouche, le suce comme si c’était une bite, le mordille légèrement. Ses soupirs montent et ne font qu’accentuer mes désirs. Elle est brûlante, elle est trempée.
Puis, elle m’appelle de son doigt. Je me redresse et m’approche de son visage. Nous recommençons à nous embrasser avec passion et fougue. Elle me retourne. Je me retrouve sur le dos, elle au-dessus de moi. Et la langue vient caresser ma poitrine, descend sur ma queue qu’elle aspire. Sa langue titille mon prépuce, monte et descend sur ma tige ferme, pour l’envelopper de sa bouche.
J’ai envie de lui faire l’amour comme personne ne lui a fait. Mon envie de lui procurer des orgasmes incroyables est plus fort que tout. Je monte sur elle, l’embrasse encore, dirigeant en même temps ma queue dans son orifice trempé. Nous sommes en phase j’ai l’impression. Elle aime le sexe autant que moi. Je la laboure vigoureusement. A ses gémissements, je sens qu'elle aime cela. Nos cris se mélangent et nous jouissons simultanément.
L’extase atteint, nous nous calmons et nous allongeons l’un contre l’autre. Je passe mon bras sous sa tête, et nous discutons calmement. Nous nous apprenons. Nous découvrons notre attirance pour la diversité sexuelle. Elle m'avoue que avec son ami, c'est très classique et que ses nombreux fantasmes n'ont jamais été assouvis à ce jour.
Mais qu’en sera-t-il de notre futur ? J'y pense sans trop le lui dire. Je ne dois pas oublier son ami, Jacques. Je ne sais pas si je pourrais la revoir vu ses indisponibilités lorsqu'elle est avec lui. Peut être que je fantasme trop et qu’il ne s’agit que d’une aventure de passage ? Pourtant, j’aimerais bien découvrir avec elle les plaisirs du sexe, aller jusqu'au bdsm dans une complicité et une confiance si chère à mon cœur.
Elle me sort de mes divagations, de mes rêves en me disant qu'elle a connu avec moi un vrai plaisir, qu'elle trouvera d'autres occasions pour se retrouver et qu'elle osera alors me confier ses envies sexuelles. Puis, en m’empoignant à nouveau le sexe, elle me dit : "Et si nous recommencions ?
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