Episode 4: Initiation légère à la soumission
Récit érotique écrit par Lousouleil13 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Episode 4: Initiation légère à la soumission
Sachant que Françoise, ma maitresse mature, est disponible aujourd’hui, je profite de cette belle après-midi ensoleillée pour l’inviter à la maison. Quand elle tape à ma porte, je suis tout excité.
Elle entre et avec un large sourire, elle m’apprend qu’elle s’est faite toute belle pour moi. Elle tournoie sur elle-même afin que je découvre ses vêtements et son anatomie. Je crois tomber à la renverse ! Exquise Françoise ! Sublime et sexy ! Elle me fait totalement chavirer et pour être vulgaire, elle me fait tout le temps bander.
Elle est habillée d’une jupe courte rouge qui tombe sur des talons aiguilles, ses jolies cuisses sont ornées de bas résille noirs. Une chemise transparente est largement déboutonnée pour laisser apparaître son opulente poitrine sans soutien gorge. Ses nichons denses et lourds lors ballottent quand elle tourne. Elle semble lancer un appel de détresse afin que des mains agiles viennent s’en occuper. D’ailleurs les miennes me grattent. Mais, je ne veux pas paraître pour un sauvage et je l’invite délicatement à s’assoir dans le canapé.
Autour d’un café, face à face, nous bavardons, nous remémorant nos expériences passées. Nous tombons d’accord sur le fait que nous nous amusons beaucoup ensemble et que le sexe sans tabous apporte une distraction du tonnerre pour lutter contre les soucis du quotidien. Elle me redit qu'avec son ami, c'est la routine alors qu'avec moi elle a découvert un début de diversité sexuelle. En abordant l’épisode du cinéma où elle s'est faite caresser par un inconnu tout en regardant un film x, je lui dis que je m’étais aperçu de son excitation devant la femme qui se faisait fouetter. D’un timide oui , elle me regarde intensément et ajoute :- Oui, c’est vrai. Je ne connaissais pas du tout cette pratique du fouet, j’en avais entendu parler.
Je n’aurais jamais cru que cela me fasse un tel effet de voir. J’aimerais bien tester… Elle stoppe subitement sa phrase. Quelques minutes de silence nous séparent. Puis, elle reprend :- J’aimerais bien tester. Mais…doucement…petit à petit…je ne sais pas comment je vais réagir…cela me procure en effet une sensation agréable quand je regarde mais…cela me fait aussi peur en réel.
J’hoche la tête, pour lui faire comprendre que je suis prêt à l'initier.
- Normal. Je te comprends. Nous pouvons avoir énormément de fantasmes. Certains ne se réaliseront peut-être jamais. D’autres peuvent se combler. Ceci dit, l’apprentissage doit s’effectuer doucement, progressivement et avec délicatesse. Après on aime ou pas. Mais je pense que l’essentiel est d’essayer tout ce que nous avons envie pour s’en faire une idée. Nous ne sommes que de passage dans la vie, ce serait idiot de mourir con dis je en riant.
- Tout à fait d’accord avec toi. Soit mon initiateur.
Nos tasses de café étant vides, et j’avoue aussi avoir le corps en ébullition, je lui suggère que nous allions nous allonger un moment dans la chambre.
Elle acquiesce d’emblée.
Au bord du lit, autant se mettre à l’aise, d’un commun accord nous décidons de nous déshabiller. Et nous nous retrouvons nus. Je ne peux m'empêcher de regarder ce corps de femme sexagénaire, avec ses formes épanouies, ses seins en forme de poire, ses fesses attirantes, ses cuisses, ses mollets et sa foufoune lisse.
Elle s’allonge à mes côtés et je sublime son corps, son parfum, tout ce qui émane d’elle. Je fais glisser mes doigts sur sa chevelure courte et blonde s’échouant sur les épaules, ses énormes seins dont les tétons pointent encerclés d’une large alvéole, sa bouche pulpeuse dessinée par de mignonnes lèvres dont le rouge à lèvres met en valeur, et je descends ensuite sur son ventre afin d’atteindre son bijou intime vierge de poil et véritable trésor de jouissance qui en ce jour est déjà un peu humide.
Elle dresse alors sa tête qu’elle repose sur une de ses mains, le coude sur le lit et me fixe. Son regard me parcourt de haut en bas. Elle commence par mon crâne rasé, et poursuit sur mes yeux bleus en amande, mon torse velu. Elle insiste, oui je sais maintenant qu'elle aime les poils chez les hommes. Elle pose son doigt sur mon nombril, fait des ronds autour et doucement atteint ma queue debout qui lui rend honneur. Elle l’entoure de sa main, titille mon prépuce et habille de sa main ma tige raide pour la serrer, la chauffer et…m’exciter !
Difficile dans ces moments de garder le contrôle ! Je veux y aller doucement. Aussi, je me lève subitement, ouvre le tiroir de ma commode et en sort les menottes et le fouet achetés récemment au sex shop :- Petit cœur, je vais te faire goûter aux menottes. Ne t’inquiète pas, si elles te font mal, je te les retire de suite. Nous verrons bien ta réaction. Je lui saisis délicatement les mains et l’attache avec les menottes. Par souci, je lui demande si elle va bien.
- Ca va, c'est surprenant comme impression mais ça va.
- Ok. Laisse-toi faire et détends-toi.
Je lui demande de se lever et l’emmène avec moi dans le séjour. Elle n'est plus libre, ses mains sont collés dans le dos. Sa démarche n'en est que plus "raide", sa poitrine se dresse fièrement.
- Bien, sois gentille je t’en prie. Maintenant, tu vas t’assoir.
Je lui tends mon engin regorgé de sang et dirige sa bouche vers lui. Elle ouvre sa bouche.
- Allez suce. Et suce bien comme tu sais si bien le faire !
Elle se met à gober le nœud sans pouvoir se servir de ses mains. Sa bouche délicieuse offre un gîte chaud et réconfortant à mon sexe qu’elle enfonce le plus loin possible. C’est tellement bon. Mais je ne lui montre pas ma satisfaction. Au contraire, je veux lui apprendre à être une soumise. Alors je la gronde, faisant mine qu’elle me suce très mal.
- Tu es fatiguée ou quoi salope ? Tu perds de tes talents. Je vais devoir te corriger pour t’apprendre. Faut vraiment que tu fasses un effort salope. Mon nœud a vraiment besoin de se vider.
- Allez, mets-toi à quatre pattes sur le sol. Deviens ma chienne.
Avant de lancer les hostilités, je prends des photos de sa position avec mon portable. Elle est vraiment bandante. Ses lourds seins tombent de sa poitrine. La tête baissée, en attente de faire connaissance avec les lanières de mon fouet, elle est cambrée, son dos fléchi, ses belles fesses remontées. J’entrevois sa fente lisse entre ses cuisses dorées. Hum ! Quels excitants clichés je vais prendre. Prêt à la fusiller de mon portable, je me ravise tant elle m’enfièvre. J’enlève le mode photo et le remplace par le mode vidéo. Et je la filme sous toutes les coutures, gravitant autour d’elle lentement, désireux de ne rien rater de sa posture si engageante.
Je l’embrasse un moment en lui chuchotant que tout va bien se dérouler, elle n’a aucune inquiétude à avoir. Et je prends le fouet. Je passe les lanières entre ses cuisses, les fait promener le long de son dos, le pourtour de ses fesses et sans avertissement, très rapidement, je fais claquer le fouet sur ses fesses régulièrement. Elle sursaute à chaque fois, mais elle ne dit rien. Elle serre les dents. Je m’arrête de temps à autre pour lui offrir un peu de répit. Et je continue. Je m’informe alors si je peux continuer.
- Oui, ca m’excite vraiment. J'ai des frissons partout. Ca remue mes tripes et puis, j’ai confiance en toi. J'ai un peu mal, ne sois pas trop brutal.
- Entendu. Je vais poursuivre alors dans l’éducation. Chaque fois que l’on pratiquera nos jeux de soumission tu m’appelleras Maître.
- Oui Maître.
Je poursuis à faire gifler mon fouet contre le postérieur de Françoise qui devient rouge.
Au bout de quelques temps, elle lève la main pour me signaler de stopper.
Je range le fouet dans la commode et la rejoins dans le salon.
Toujours accroupie avec les menottes au poignet dans son dos, son cul ouvert devant moi, je lui enfile doucement ma queue et la fait aller et venir lentement. Elle est trempée, elle est bien ouverte, mon sexe glisse en elle. Mais je sens aussi, et c'est la première fois que je les sens, les contractions de son vagin. Elle arrive à serrer ses parois vaginales contre ma bite et cela est très excitant pour mon sexe. Et elle hurle, elle jouit avant moi, elle tremble, elle est en transe.
Elle se calme et je continue. De temps à autre, je la fesse de mes mains. Quand je sens le jus envahir mon sexe, je le ressors instantanément pour gicler sur son trou du cul.
- Je jouis, c'est bon, je n'ai pas pu me retenir plus longtemps.
Je lui ôte les menottes.
- Alors, tes impressions ?
- Hum délicieuses ! Se sentir entre tes mains, sans pouvoir me servir des miennes, sentir les lanières battre mon corps embrasent mes sens. J’allais presque jouir avec tes coups de fouet, ce sera pour une autre fois. Finalement tu m’as donné l’orgasme tant désiré comme une grâce en m’enfilantavec voluptuosité ton grand vit en moi.
- Bien. Nous dirons alors que c’est un bon début. Comme j’ai pu te punir, je peux aussi te récompenser. Filons dans la chambre, je vais te prodiguer un massage dont tu te souviendras !
Je me munis d’un flacon d’huile essentielle et nous retrouvons le grand lit. Allongée sur le ventre, son ravissant corps est un symbole de plaisirs et aussi de pêchés. Je pose mes mains sur son cou, le caresse. Mes doigts glissent sous l’huile essentielle et sur sa peau si bien offerte. Je descends peu à peu sur son dos, mes gestes sont lents et tendres, je prends soin de n’éviter aucun grain de sa peau allant de droite à gauche de bas en haut. Elle écarter bien ses bras. A l’aube de ses fesses , je joins mon autre main à la première et je malaxe son postérieur rougi, je lui introduis un doigt dans l’anus, le fait coulisser un moment et continue ensuite à assouplir son fessier.
Entièrement dans la détente, je l’entends pousser des petits soupirs de contentement. Je lui demande alors de se retourner et m’occupe avec soin de la face de son corps m’attardant sur son opulente poitrine, agaçant les tétons érigés de ses audacieux seins, et finissant sur cette entre cuisse accueillante, la fente lisse de mon supplice et de ma gourmandise. Quelquefois mes doigts se perdent à l’intérieur de cette profondeur béante, ils en ressortent tout mouillés. Je m’aperçois qu’elle écarte de plus en plus les jambes machinalement ou pas, alors je plonge ma tête au milieu de ses cuisses et goûte, savoure à outrance sa chatte baveuse.
Et elle jouit comme rarement je l’ai vu jouir. Son orgasme est d’une telle ampleur qu’elle me gicle sa cyprine dans la bouche, des jets de cyprine sortent de son sexe, elle hurle, elle crie, elle s'agrippe au drap et ses ongles griffent le tissu. Je sors ma langue pour la faire tourner autour de mes lèvres et me délecter de son goût. Je m’allonge alors auprès d’elle et éprouve l’envie de lui parler un peu plus de moi.
- Tu sais, je me sens bien avec toi. Et comme je me sens bien, j’ai envie de te parler davantage de moi.
- Tu peux, vas-y.
- Je trouve que l’on se rejoint. Comme je te sens ouverte, et enclin au plaisir de la chair comme moi, je voudrais éclaircir ce que je suis et pas ce que je te laisse paraître.
- Hum ! Oui…- Voilà, j’ai connu pas mal d’expériences dures dans ma vie. Entre autres, j’ai frôlé la mort. Après , on voit la vie autrement. Axé sur la paix et les plaisirs de la vie, hédoniste et épicurien, je suis quelqu’un de coquin, de gourmand, mais aussi de sensible, de respectueux.
Je lui attrape la main et continue.
- J’ai été libertin, je ne sais pas si tu connais le monde du libertinage mais quand on aime le cul, que l’on sait séparer les plaisirs du corps et ceux du cœur, je trouve que c’est un principe génial.
J’ai connu les triolismes, le mélangisme, l’échangisme, le naturiste à Cap d’Agde qui est un centre naturiste libertin. Là bas, c’est un autre monde. Je crois que l’on doit connaître ce lieu au moins une fois dans sa vie. Aucun tabou, respect et courtoisie à outrance. Liberté de vivre nu, liberté dans l’amour et dans le sexe. Aucun préjugé. Bon, ce n’est pas le sujet, désolé de ma digression, si un jour tu veux plus d’explications, je t’en donnerais… J’ai connu aussi le bdsm, mais je suis loin d’être un pro. Il y a des choses que j’aime, d’autres pas. Tout cela pour dire que je pense que l’on doit tout essayer dans la vie, tout étant permis et rien obligatoire. Et toujours dans le respect et la compréhension. Voilà, tout ça pour dire que je veux te plonger dans le maximum de plaisirs, que l’on pourra nous communiquer l’ensemble de nos désirs, de nos fantasmes et que si tu es d’accord, nous pourrons tenter de les satisfaire. Voilà. Ah oui, sache aussi que je suis bi. Ignorant des plaisirs entre hommes, j’ai voulu voir. Et je suis devenu bi.
Après un moment de silence, de réflexion qui nous enveloppe dans un total silence, elle me dit, allongée sur le dos dans ce grand lit de ma chambre, passant ses mains sur ses seins :- Tu es bi ? Tiens donc ! Je ne m'attendais pas à cet aveu, tu sais tellement bien t'y prendre avec les femmes. Mais cela me fait penser à une idée !
Je la regarde un peu interloqué mais elle ne m’en dit pas plus. Elle a les joues rouges, les fesses aussi... Nous nous rhabillons et retournons dans le séjour. Nous buvons un dernier coup avant de nous embrasser à pleine langue. Avant de partir, elle s’approche de mon oreille :- A très vite mon amant et mon maître !
Mon visage s’illumine; elle veut me revoir, super, cette première séance lui a donc plu.
- A très vite jolie déesse, tentatrice de mes fantasmes et de leur concrétisation !
Elle entre et avec un large sourire, elle m’apprend qu’elle s’est faite toute belle pour moi. Elle tournoie sur elle-même afin que je découvre ses vêtements et son anatomie. Je crois tomber à la renverse ! Exquise Françoise ! Sublime et sexy ! Elle me fait totalement chavirer et pour être vulgaire, elle me fait tout le temps bander.
Elle est habillée d’une jupe courte rouge qui tombe sur des talons aiguilles, ses jolies cuisses sont ornées de bas résille noirs. Une chemise transparente est largement déboutonnée pour laisser apparaître son opulente poitrine sans soutien gorge. Ses nichons denses et lourds lors ballottent quand elle tourne. Elle semble lancer un appel de détresse afin que des mains agiles viennent s’en occuper. D’ailleurs les miennes me grattent. Mais, je ne veux pas paraître pour un sauvage et je l’invite délicatement à s’assoir dans le canapé.
Autour d’un café, face à face, nous bavardons, nous remémorant nos expériences passées. Nous tombons d’accord sur le fait que nous nous amusons beaucoup ensemble et que le sexe sans tabous apporte une distraction du tonnerre pour lutter contre les soucis du quotidien. Elle me redit qu'avec son ami, c'est la routine alors qu'avec moi elle a découvert un début de diversité sexuelle. En abordant l’épisode du cinéma où elle s'est faite caresser par un inconnu tout en regardant un film x, je lui dis que je m’étais aperçu de son excitation devant la femme qui se faisait fouetter. D’un timide oui , elle me regarde intensément et ajoute :- Oui, c’est vrai. Je ne connaissais pas du tout cette pratique du fouet, j’en avais entendu parler.
Je n’aurais jamais cru que cela me fasse un tel effet de voir. J’aimerais bien tester… Elle stoppe subitement sa phrase. Quelques minutes de silence nous séparent. Puis, elle reprend :- J’aimerais bien tester. Mais…doucement…petit à petit…je ne sais pas comment je vais réagir…cela me procure en effet une sensation agréable quand je regarde mais…cela me fait aussi peur en réel.
J’hoche la tête, pour lui faire comprendre que je suis prêt à l'initier.
- Normal. Je te comprends. Nous pouvons avoir énormément de fantasmes. Certains ne se réaliseront peut-être jamais. D’autres peuvent se combler. Ceci dit, l’apprentissage doit s’effectuer doucement, progressivement et avec délicatesse. Après on aime ou pas. Mais je pense que l’essentiel est d’essayer tout ce que nous avons envie pour s’en faire une idée. Nous ne sommes que de passage dans la vie, ce serait idiot de mourir con dis je en riant.
- Tout à fait d’accord avec toi. Soit mon initiateur.
Nos tasses de café étant vides, et j’avoue aussi avoir le corps en ébullition, je lui suggère que nous allions nous allonger un moment dans la chambre.
Elle acquiesce d’emblée.
Au bord du lit, autant se mettre à l’aise, d’un commun accord nous décidons de nous déshabiller. Et nous nous retrouvons nus. Je ne peux m'empêcher de regarder ce corps de femme sexagénaire, avec ses formes épanouies, ses seins en forme de poire, ses fesses attirantes, ses cuisses, ses mollets et sa foufoune lisse.
Elle s’allonge à mes côtés et je sublime son corps, son parfum, tout ce qui émane d’elle. Je fais glisser mes doigts sur sa chevelure courte et blonde s’échouant sur les épaules, ses énormes seins dont les tétons pointent encerclés d’une large alvéole, sa bouche pulpeuse dessinée par de mignonnes lèvres dont le rouge à lèvres met en valeur, et je descends ensuite sur son ventre afin d’atteindre son bijou intime vierge de poil et véritable trésor de jouissance qui en ce jour est déjà un peu humide.
Elle dresse alors sa tête qu’elle repose sur une de ses mains, le coude sur le lit et me fixe. Son regard me parcourt de haut en bas. Elle commence par mon crâne rasé, et poursuit sur mes yeux bleus en amande, mon torse velu. Elle insiste, oui je sais maintenant qu'elle aime les poils chez les hommes. Elle pose son doigt sur mon nombril, fait des ronds autour et doucement atteint ma queue debout qui lui rend honneur. Elle l’entoure de sa main, titille mon prépuce et habille de sa main ma tige raide pour la serrer, la chauffer et…m’exciter !
Difficile dans ces moments de garder le contrôle ! Je veux y aller doucement. Aussi, je me lève subitement, ouvre le tiroir de ma commode et en sort les menottes et le fouet achetés récemment au sex shop :- Petit cœur, je vais te faire goûter aux menottes. Ne t’inquiète pas, si elles te font mal, je te les retire de suite. Nous verrons bien ta réaction. Je lui saisis délicatement les mains et l’attache avec les menottes. Par souci, je lui demande si elle va bien.
- Ca va, c'est surprenant comme impression mais ça va.
- Ok. Laisse-toi faire et détends-toi.
Je lui demande de se lever et l’emmène avec moi dans le séjour. Elle n'est plus libre, ses mains sont collés dans le dos. Sa démarche n'en est que plus "raide", sa poitrine se dresse fièrement.
- Bien, sois gentille je t’en prie. Maintenant, tu vas t’assoir.
Je lui tends mon engin regorgé de sang et dirige sa bouche vers lui. Elle ouvre sa bouche.
- Allez suce. Et suce bien comme tu sais si bien le faire !
Elle se met à gober le nœud sans pouvoir se servir de ses mains. Sa bouche délicieuse offre un gîte chaud et réconfortant à mon sexe qu’elle enfonce le plus loin possible. C’est tellement bon. Mais je ne lui montre pas ma satisfaction. Au contraire, je veux lui apprendre à être une soumise. Alors je la gronde, faisant mine qu’elle me suce très mal.
- Tu es fatiguée ou quoi salope ? Tu perds de tes talents. Je vais devoir te corriger pour t’apprendre. Faut vraiment que tu fasses un effort salope. Mon nœud a vraiment besoin de se vider.
- Allez, mets-toi à quatre pattes sur le sol. Deviens ma chienne.
Avant de lancer les hostilités, je prends des photos de sa position avec mon portable. Elle est vraiment bandante. Ses lourds seins tombent de sa poitrine. La tête baissée, en attente de faire connaissance avec les lanières de mon fouet, elle est cambrée, son dos fléchi, ses belles fesses remontées. J’entrevois sa fente lisse entre ses cuisses dorées. Hum ! Quels excitants clichés je vais prendre. Prêt à la fusiller de mon portable, je me ravise tant elle m’enfièvre. J’enlève le mode photo et le remplace par le mode vidéo. Et je la filme sous toutes les coutures, gravitant autour d’elle lentement, désireux de ne rien rater de sa posture si engageante.
Je l’embrasse un moment en lui chuchotant que tout va bien se dérouler, elle n’a aucune inquiétude à avoir. Et je prends le fouet. Je passe les lanières entre ses cuisses, les fait promener le long de son dos, le pourtour de ses fesses et sans avertissement, très rapidement, je fais claquer le fouet sur ses fesses régulièrement. Elle sursaute à chaque fois, mais elle ne dit rien. Elle serre les dents. Je m’arrête de temps à autre pour lui offrir un peu de répit. Et je continue. Je m’informe alors si je peux continuer.
- Oui, ca m’excite vraiment. J'ai des frissons partout. Ca remue mes tripes et puis, j’ai confiance en toi. J'ai un peu mal, ne sois pas trop brutal.
- Entendu. Je vais poursuivre alors dans l’éducation. Chaque fois que l’on pratiquera nos jeux de soumission tu m’appelleras Maître.
- Oui Maître.
Je poursuis à faire gifler mon fouet contre le postérieur de Françoise qui devient rouge.
Au bout de quelques temps, elle lève la main pour me signaler de stopper.
Je range le fouet dans la commode et la rejoins dans le salon.
Toujours accroupie avec les menottes au poignet dans son dos, son cul ouvert devant moi, je lui enfile doucement ma queue et la fait aller et venir lentement. Elle est trempée, elle est bien ouverte, mon sexe glisse en elle. Mais je sens aussi, et c'est la première fois que je les sens, les contractions de son vagin. Elle arrive à serrer ses parois vaginales contre ma bite et cela est très excitant pour mon sexe. Et elle hurle, elle jouit avant moi, elle tremble, elle est en transe.
Elle se calme et je continue. De temps à autre, je la fesse de mes mains. Quand je sens le jus envahir mon sexe, je le ressors instantanément pour gicler sur son trou du cul.
- Je jouis, c'est bon, je n'ai pas pu me retenir plus longtemps.
Je lui ôte les menottes.
- Alors, tes impressions ?
- Hum délicieuses ! Se sentir entre tes mains, sans pouvoir me servir des miennes, sentir les lanières battre mon corps embrasent mes sens. J’allais presque jouir avec tes coups de fouet, ce sera pour une autre fois. Finalement tu m’as donné l’orgasme tant désiré comme une grâce en m’enfilantavec voluptuosité ton grand vit en moi.
- Bien. Nous dirons alors que c’est un bon début. Comme j’ai pu te punir, je peux aussi te récompenser. Filons dans la chambre, je vais te prodiguer un massage dont tu te souviendras !
Je me munis d’un flacon d’huile essentielle et nous retrouvons le grand lit. Allongée sur le ventre, son ravissant corps est un symbole de plaisirs et aussi de pêchés. Je pose mes mains sur son cou, le caresse. Mes doigts glissent sous l’huile essentielle et sur sa peau si bien offerte. Je descends peu à peu sur son dos, mes gestes sont lents et tendres, je prends soin de n’éviter aucun grain de sa peau allant de droite à gauche de bas en haut. Elle écarter bien ses bras. A l’aube de ses fesses , je joins mon autre main à la première et je malaxe son postérieur rougi, je lui introduis un doigt dans l’anus, le fait coulisser un moment et continue ensuite à assouplir son fessier.
Entièrement dans la détente, je l’entends pousser des petits soupirs de contentement. Je lui demande alors de se retourner et m’occupe avec soin de la face de son corps m’attardant sur son opulente poitrine, agaçant les tétons érigés de ses audacieux seins, et finissant sur cette entre cuisse accueillante, la fente lisse de mon supplice et de ma gourmandise. Quelquefois mes doigts se perdent à l’intérieur de cette profondeur béante, ils en ressortent tout mouillés. Je m’aperçois qu’elle écarte de plus en plus les jambes machinalement ou pas, alors je plonge ma tête au milieu de ses cuisses et goûte, savoure à outrance sa chatte baveuse.
Et elle jouit comme rarement je l’ai vu jouir. Son orgasme est d’une telle ampleur qu’elle me gicle sa cyprine dans la bouche, des jets de cyprine sortent de son sexe, elle hurle, elle crie, elle s'agrippe au drap et ses ongles griffent le tissu. Je sors ma langue pour la faire tourner autour de mes lèvres et me délecter de son goût. Je m’allonge alors auprès d’elle et éprouve l’envie de lui parler un peu plus de moi.
- Tu sais, je me sens bien avec toi. Et comme je me sens bien, j’ai envie de te parler davantage de moi.
- Tu peux, vas-y.
- Je trouve que l’on se rejoint. Comme je te sens ouverte, et enclin au plaisir de la chair comme moi, je voudrais éclaircir ce que je suis et pas ce que je te laisse paraître.
- Hum ! Oui…- Voilà, j’ai connu pas mal d’expériences dures dans ma vie. Entre autres, j’ai frôlé la mort. Après , on voit la vie autrement. Axé sur la paix et les plaisirs de la vie, hédoniste et épicurien, je suis quelqu’un de coquin, de gourmand, mais aussi de sensible, de respectueux.
Je lui attrape la main et continue.
- J’ai été libertin, je ne sais pas si tu connais le monde du libertinage mais quand on aime le cul, que l’on sait séparer les plaisirs du corps et ceux du cœur, je trouve que c’est un principe génial.
J’ai connu les triolismes, le mélangisme, l’échangisme, le naturiste à Cap d’Agde qui est un centre naturiste libertin. Là bas, c’est un autre monde. Je crois que l’on doit connaître ce lieu au moins une fois dans sa vie. Aucun tabou, respect et courtoisie à outrance. Liberté de vivre nu, liberté dans l’amour et dans le sexe. Aucun préjugé. Bon, ce n’est pas le sujet, désolé de ma digression, si un jour tu veux plus d’explications, je t’en donnerais… J’ai connu aussi le bdsm, mais je suis loin d’être un pro. Il y a des choses que j’aime, d’autres pas. Tout cela pour dire que je pense que l’on doit tout essayer dans la vie, tout étant permis et rien obligatoire. Et toujours dans le respect et la compréhension. Voilà, tout ça pour dire que je veux te plonger dans le maximum de plaisirs, que l’on pourra nous communiquer l’ensemble de nos désirs, de nos fantasmes et que si tu es d’accord, nous pourrons tenter de les satisfaire. Voilà. Ah oui, sache aussi que je suis bi. Ignorant des plaisirs entre hommes, j’ai voulu voir. Et je suis devenu bi.
Après un moment de silence, de réflexion qui nous enveloppe dans un total silence, elle me dit, allongée sur le dos dans ce grand lit de ma chambre, passant ses mains sur ses seins :- Tu es bi ? Tiens donc ! Je ne m'attendais pas à cet aveu, tu sais tellement bien t'y prendre avec les femmes. Mais cela me fait penser à une idée !
Je la regarde un peu interloqué mais elle ne m’en dit pas plus. Elle a les joues rouges, les fesses aussi... Nous nous rhabillons et retournons dans le séjour. Nous buvons un dernier coup avant de nous embrasser à pleine langue. Avant de partir, elle s’approche de mon oreille :- A très vite mon amant et mon maître !
Mon visage s’illumine; elle veut me revoir, super, cette première séance lui a donc plu.
- A très vite jolie déesse, tentatrice de mes fantasmes et de leur concrétisation !
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