Episode 6 Des travaux un peu spéciaux
Récit érotique écrit par Lousouleil13 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-03-2022 dans la catégorie Plus on est
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Episode 6 Des travaux un peu spéciaux
Par un bel après-midi d’été, je profite de la splendeur et de la chaleur du soleil pour inviter Françoise, ma désormais maitresse, à un bronzage intégral. Elle a accepté avec empressement cette invitation pour l'après-midi. Mon immense jardin ornée de diverses fleurs a un large carré de gazon propice à la détente. Situé derrière la maison, il est à l’abri des yeux indiscrets même si on peut voir l’extérieur à travers les fenêtres des chambres.
Ce que Françoise ne sait pas, c'est que deux ouvriers-peintres refont depuis deux jours les tapisseries usées de ma chambre d'amis. Ils travaillent avec application et j'ai eu plusieurs occasions pour boire le café avec eux, sympathiser aussi.
L’un est un black de 18a, athlétique, riant à la moindre occasion. Aujourd'hui il est vêtu d’une large salopette bleue dont les bretelles qui ne sont pas serrées laissent deviner son torse nu et glabre. L’autre est un arabe de 60 ans. Ce jour, il est habillé d’un short court blanc, quasi transparent, tant il est moulant et d’un large débardeur, genre marcel, avec de grandes échancrures sous les bras qui montrent un torse velu, des bras et des jambes recouverts de poils noirs.
Je ne leur ai rien dit de la venue de mon amante. Ce sera pour eux une surprise. Et voici que j'entends arriver sa voiture. Elle s'arrête devant la maison, vient vers la porte alors que je vais vers elle. Et je la découvre, estivale. Vêtue d’une robe légère rouge à fine bretelle, ses jambes sont décorées de jolis bas noirs terminant sur des talons aiguilles noirs. Elle s’aperçoit de mon visage lumineux et en est d’autant plus radieuse. Je l’invite à entrer dans le séjour pour boire le café et lui présente les deux ouvriers. Elle fait leur connaissance. Ces derniers, en tenue de travail, restent debout dans le séjour, ne sachant pas trop quelle attitude prendre.
Leurs yeux écarquillés en disent long sur leur pensée lubrique. Françoise au début étonnée de s’apercevoir que nous ne sommes pas seuls, sourit gentiment par la suite. Elle est assise sur une chaise, une jambe par-dessus l’autre. Dans cette attitude, les ouvriers matent ses cuisses qui se dévoilent bien haut, la robe étant remontée. Elle esquisse un rictus, et tout naturellement, elle les convie à se joindre à nous un instant pour boire un verre et se désaltérer. Les deux compères prennent avec plaisir une bière et s’assoient juste en face d’elle, comme par hasard. Ils la harcèlent de questions, signe de leur vif intérêt pour elle.
Silencieux à ses côtés, j’observe leur attitude équivoque. Le black la fixe du regard, le plongeant sans indiscrétion dans son décolleté, un décolleté qui à plusieurs reprises s'ouvre sur une poitrine opulente lorsque Françoise se pense pour prendre ou poser son verre. Ses tétons durs se devinent sous me tissu fin. L’arabe tente une approche tactile en accompagnant ses plaisanteries de son bras autour du cou.
Le temps s’égrenant, je claque des mains en lançant aux ouvriers qu’ils doivent continuer de travailler et en leur apprenant que nous allons bronzer sur la pelouse. Le black répond qu’il nous accompagnerait volontiers même si sa peau est déjà noire. Et l’arabe d'ajouter qu’ils vont se dépêcher de terminer afin de nous retrouver. Nous rions de cette plaisanterie. Françoise et moi clôturons la conversation en attestant qu’ils seront les bienvenus.
Et je la conduis découvrir mon jardin. Je lui présente les fleurs que j’ai plantées, à commencer par de somptueuses roses qui encerclent le jardin. Elle s’approche d’elles, se penche pour les sentir. Son décolleté s’évase et fait sortir ses nichons lourds sans soutien-gorge. Les deux ouvriers oeuvrant à proximité, dans la maison, regardant par la fenêtre stoppent instantanément leur travail. L’un pose son enduit. L’autre son sac de ciment. Ils sortent discrètement de la maison, s’avancent dans au coin du mur et s’exaltent du panorama sexy. Leur regard figé sur l’opulente poitrine de Françoise, ils sont comme hypnotisés.
Quand elle fait un demi-tour pour se pencher en avant et pour cueillir une rose, sa jupe se retrousse et découvre ses fesses à l’air. On distingue l’auréole de son trou du cul ainsi que le sillon glabre de sa foufoune. Je m’aperçois que les ouvriers se touchent leurs queues que je devine longues et épaisses sous le textile dessinant leur contour. Cette scène m’amuse et si j’avais mon portable sur moi, j’aurais immortalisé l’instant.
Afin de les narguer davantage, je donne une claque sur les fesses de Françoise en l’informant que nous n’avons pas que cela à faire. Nous prolongeons la découverte de mon jardin jusqu’au large carré de pelouse abrité d’un arbre aux branches déployées. Entre les feuilles, le halo du soleil s’éclate sur l’herbe verte.
- Je pense que c’est parfait cet endroit pour bronzer dis-je. Installons-nous et reposons-nous, en profitant du soleil.
Françoise retire ses bas auto fixant et fait glisser sa robe au sol. Elle se retrouve nue. Son corps de femme n'éblouit pas seulement mon regard mais aussi les yeux des deux ouvriers qui à quelques mètres de nous, cachés, ont sorti leur bite et se caressent. Je me déshabille aussi et nous nous allongeons côte à côte sur les deux transats prévus à cet effet.
Au bout d’un moment, Françoise hasarde sa main sur ma tige à moitié gonflé et la malaxe. Quel bien fou me procure-t-elle. Je bande à ses caresses. Moi, pas du tout avare de plaisir partagé, j’aventure ma main sur sa chatte lisse, la caresse doucement, titille son clitoris, parfois glisse un doigt dans sa caverne humide. Elle gémit doucement. Et sachant que les deux employés nous regardent, mon excitation est décuplée. J’éprouve la machiavélique envie de les faire saliver.
Mais soudain Françoise m’arrache de mes délires en me rappelant qu’il serait temps que je parte à la boucherie pour les achats nécessaires au barbecue de ce soir, sinon elle sera fermée. Je m’empresse de me préparer et pars illico acheter les saucisses et merguez. Le magasin étant tout proche de la maison, j’en reviens très vite et entre dans la maison. De la cuisine, en rangeant l’alimentation dans le frigo, je découvre à travers la fenêtre Françoise en plein action. La coquine ! La bouche grande ouverte, elle avale l’énorme bite du black, je devine qu’elle voudrait bien crier mais elle ne peut que lâcher de légers soupirs, le morceau de chair étant vraiment d’une dimension impressionnante. D’une épaisseur d’au moins 7 cm de diamètre, et d’une longueur avoisinant les 21 cm, je comprends son état sens dessus dessous surtout qu’elle se fait baiser en même temps par l’arabe, qui semble avoir une queue d’à peu près la même épaisseur mais peut être moins longue. Elle gesticule dans tous les sens.
Je m’approche alors de la fenêtre, les reluque mieux et sans gêne. Mes pulsions brûlantes me font libérer ma tige regorgée de sang pour la briquer. Ma main descend et monte le long de la colonne, avec des pressions régulières sur mon prépuce. Je suis au bord de l’explosion. Mais je ralentis mon va et vient, je ne veux pas gicler maintenant. Pas question de ne pas profiter de la gourmandise de Françoise. Je me mets nu à mon tour, comme ils le sont eux aussi. Je sors les retrouver. Le visage radieux, Françoise m’envoie un regard complice. Je n'en suis pas étonné, sachant qu’elle raffole desmembres épais. Le black et l’arabe diminue la cadence de l’action, surpris de me voir autant partageur. Mon attitude les rassure.
J’en profite pour suggérer de prendre Françoise à trois. Une bite dans chaque trou. Pour se faire, je demande à Françoise de s’allonger sur le côté. Le black se place dans elle, il caresse la chatte de Françoise, son gros gland plaqué devant l’entrée de sa caverne. L’arabe, derrière elle, a déjà enfilé sa bite dans le cul de Françoise. Son anus ouvert, l’arabe donne des saccades dans sa pénétration, alternant la douceur et la brutalité, et parfois lui claquant les fesses. Je positionne ma queue prête à éclater devant la bouche de Françoise et lui engouffre entre les lèvres. Elle la mordille par moment, la lèche de haut en bas, excite le prépuce avec sa langue, et la gobe complètement en me massant les couilles.
Quand le black enfonce son pieu dans le vagin de Françoise, au début, je l’entends légèrement couiner, puis peu à peu, elle gémit, crie, le black la pilonnant de façon énergique, faisant succéder un rythme lent avec un plus rapide. Françoise est aux anges, je la vois s’efforcer de serrer son sexe pour davantage la sentir.
L’arabe verse son jus sur les fesses de Françoise qu’il prend soin de bien étaler. Le black jouit sur les lèvres de la chatte de mon amante. Et moi ? Moi, quand je les vois tous les deux éjaculer, je me retire. Je compte me réserver pour plus tard !
- Hum que c’était bon ! Maintenant que j’en ai pris plein les trous, si nous allions manger dit-elle, comblée et toute en sueur, en s'adressant à tous les trois.
Une table en bois nous attend dehors, près de la fenêtre de la cuisine. Accompagnée de quatre chaisesrustiques, nous prenons place. Le black s’étant proposé pour s’occuper des grillades, je discute sagement avec l’autre ouvrier. Pendant ce temps, Françoise accompagne le black dans la cuisine pour l’aider. Françoise retire du frigo les saucisses et les merguez. Mais ne trouvant pas les salades pour l’accompagnement, elle se met à chercher partout. Finalement, elle les aperçoit complètement en bas du frigo. Elle se penche pour les attraper quand le black lui met la main au cul.
- Hum, tu es une bonne salope, j’ai envie encore de toi. Avant de poursuivre le repas, je t’offre un intermède sexuel et te propose une saucisse largement plus grosse que celles que je vais faire griller.
Françoise joue la soumise, ne dit rien et se laisse faire.
Le black la prend dans ses bras, la pose sur la table de la cuisine. Elle a compris et ouvre en grand ses cuisses. Son diamant intime est déjà tout trempé. Le black y glisse deux doigts, les ressort pour les remplacer par sa langue. Il fait rouler sa langue le long de la glissière béante, avec des petites pauses sur le clitoris durci qu’il aspire dans sa bouche chaude. De l’extérieur, nous entendons de forts gémissements. Françoise sait se faire entendre ! Nous nous doutons de ce qui se passe et apprécions.
Jugeant alors que l’ouverture est assez lubrifiée, le black cogne sa queue contre les parois de la chatte, la fait un peu traîner le long de la gouttière pour l’exciter davantage. Puis, doucement, il engage son gland sans l’enfoncer au départ, en donnant de légers coups de reins. Il fait avancer sa queue très lentement appréciant le chaud contact avec la chair. Françoise est en transe. Le black accentue ses coups de bassin, accélérant l’infiltration de son concombre. En même temps, il lui presse ses gros mamelons, s’excite sur les tétons qu’il écrase entre ses doigts. Quand nous les entendons tous les deux gronder tel un orage en plein hiver, l’arabe et moi comprenons que nous allons bientôt manger.
Autour de la table, nous savourons notre repas et rions de bon cœur. Tous les quatre à poil, nous sommes envahis d’une incroyable liberté. Parfois, quand Françoise bouge pour prendre un plat ou simplement se servir à boire, ses jolis nichons se balancent de droite à gauche. Nous nous regardons alors silencieusement, tous les trois conscients de la chance que nous avons d’avoir à notre table une gourmande comme Françoise.
A l’entrée du dessert, Françoise montre la bouteille de vin vide en l’empoignant entre ses mains et demande qui veut l'accompagner à la cave pour en chercher une autre?
L’arabe pointe son doigt comme un élève face à son institutrice qui l’a interrogé. Ils partent tousles deux descendant les escaliers qui mènent à mon cellier. Découvrant la lenteur de leur retour, nous décidons d’aller voir ce qui se passe.
Quelle est donc notre stupéfaction quand nous constatons Françoise penchée sur les bouteilles, le cul cambré, offert ouvertement au pieu de l’arabe Il la tient par la taille et coulisse en elle à la cadence d’un marteau piqueur perçant le goudron. Françoise, le front dégoulinant lui ordonne de la remplir au plus profond, lui précisant qu’elle le sent bien. Nous remontons sans faire de bruit attendant la fin de leurs ébats. A leur retour, nous sourions en chœur en feignant de ne pas savoir ce qui s’était passé.
Après le café, les ouvriers se rhabillent et repartent en nous remerciant de la savoureuse journée qui leur a fait oublier leur travail. Françoise s’empresse de retourner leur congratulation en leurs signalant sa motivation à les revoir puisqu’elle vient régulièrement et que leur chantier n'est de loin pas terminé.
Dès qu’ils franchissent le portail, j’empoigne Françoise par le poignet.
- Viens ma salope, il ne suffit pas de m'exciter en baisant avec d'autres. Tu ne m’as pas encore vidé. Faut que tu termines ta besogne. Et je te veux femelle comme avec les ouvriers.
Je l’emmène dans la chambre, je joue à celui qui est fâché et qui veut la punir. Je l’attache avec les menottes aux barreaux de mon lit. Entièrement nue et à ma disposition, je parcours sa peau avec les lanières de mon fouet que je fais claquer doucement sur son opulente poitrine, puis sur son clitoris proéminent, je les fait rouler sur ses petites et grandes lèvres. Elle a déjà connu une fois avec moi une telle épreuve mais cette fois-ci je suis un peu plus dominateur. Elle se tord de tous les côtés mais je constate qu'elle ne dit pas non !. Je m’approche de sa bouche et lui enfile ma langue qui tourne avec la sienne. Je lui écrase les nichons dont les tétons sont durs comme la pierre. Elle soulève son corps, remue dans tous les sens.
Et au-dessus d’elle, je saisis ma bite pour l’insérer au plus profond de sa chatte. Je coulisse en elle avec passion. Ses cris enflamment mon désir et me déchaînent. Mes couilles battent contre elle.
Quand je sens ma semence affluer, je lance un soupir de délivrance. Je ressors alors ma queue et déverse mon extase dans sa bouche. Elle avale, avale.
Tous les deux délivrés après cet assaut, je la vois un peu exténuée.
Je m’enlève de dessus d’elle et prends sa tête contre mon épaule :- Ca va ma salope et mon cœur ? Tu es bien comblée ? Tu mérites de bien te reposer. Tu as donné vraiment de ton corps aujourd’hui. As-tu compté combien de fois tu as jouis ?
- Oh que oui. Ce fut fantastique, trois hommes m'ont comblée, jamais je n'aurais cru cela possible.
Je vais bien dormir ce soir. Mon compagnon n’en reviendra pas que je m’endorme aussi rapidement.
Demain, je lui raconterai tout. Je pense que cela l’excitera.
Après s’être rhabillée, mais sans remettre les bas quelle me laisse en souvenir, elle m’embrasse à pleine bouche et me dit à bientôt.
Je crois que moi aussi je m’endormirai facilement…
Ce que Françoise ne sait pas, c'est que deux ouvriers-peintres refont depuis deux jours les tapisseries usées de ma chambre d'amis. Ils travaillent avec application et j'ai eu plusieurs occasions pour boire le café avec eux, sympathiser aussi.
L’un est un black de 18a, athlétique, riant à la moindre occasion. Aujourd'hui il est vêtu d’une large salopette bleue dont les bretelles qui ne sont pas serrées laissent deviner son torse nu et glabre. L’autre est un arabe de 60 ans. Ce jour, il est habillé d’un short court blanc, quasi transparent, tant il est moulant et d’un large débardeur, genre marcel, avec de grandes échancrures sous les bras qui montrent un torse velu, des bras et des jambes recouverts de poils noirs.
Je ne leur ai rien dit de la venue de mon amante. Ce sera pour eux une surprise. Et voici que j'entends arriver sa voiture. Elle s'arrête devant la maison, vient vers la porte alors que je vais vers elle. Et je la découvre, estivale. Vêtue d’une robe légère rouge à fine bretelle, ses jambes sont décorées de jolis bas noirs terminant sur des talons aiguilles noirs. Elle s’aperçoit de mon visage lumineux et en est d’autant plus radieuse. Je l’invite à entrer dans le séjour pour boire le café et lui présente les deux ouvriers. Elle fait leur connaissance. Ces derniers, en tenue de travail, restent debout dans le séjour, ne sachant pas trop quelle attitude prendre.
Leurs yeux écarquillés en disent long sur leur pensée lubrique. Françoise au début étonnée de s’apercevoir que nous ne sommes pas seuls, sourit gentiment par la suite. Elle est assise sur une chaise, une jambe par-dessus l’autre. Dans cette attitude, les ouvriers matent ses cuisses qui se dévoilent bien haut, la robe étant remontée. Elle esquisse un rictus, et tout naturellement, elle les convie à se joindre à nous un instant pour boire un verre et se désaltérer. Les deux compères prennent avec plaisir une bière et s’assoient juste en face d’elle, comme par hasard. Ils la harcèlent de questions, signe de leur vif intérêt pour elle.
Silencieux à ses côtés, j’observe leur attitude équivoque. Le black la fixe du regard, le plongeant sans indiscrétion dans son décolleté, un décolleté qui à plusieurs reprises s'ouvre sur une poitrine opulente lorsque Françoise se pense pour prendre ou poser son verre. Ses tétons durs se devinent sous me tissu fin. L’arabe tente une approche tactile en accompagnant ses plaisanteries de son bras autour du cou.
Le temps s’égrenant, je claque des mains en lançant aux ouvriers qu’ils doivent continuer de travailler et en leur apprenant que nous allons bronzer sur la pelouse. Le black répond qu’il nous accompagnerait volontiers même si sa peau est déjà noire. Et l’arabe d'ajouter qu’ils vont se dépêcher de terminer afin de nous retrouver. Nous rions de cette plaisanterie. Françoise et moi clôturons la conversation en attestant qu’ils seront les bienvenus.
Et je la conduis découvrir mon jardin. Je lui présente les fleurs que j’ai plantées, à commencer par de somptueuses roses qui encerclent le jardin. Elle s’approche d’elles, se penche pour les sentir. Son décolleté s’évase et fait sortir ses nichons lourds sans soutien-gorge. Les deux ouvriers oeuvrant à proximité, dans la maison, regardant par la fenêtre stoppent instantanément leur travail. L’un pose son enduit. L’autre son sac de ciment. Ils sortent discrètement de la maison, s’avancent dans au coin du mur et s’exaltent du panorama sexy. Leur regard figé sur l’opulente poitrine de Françoise, ils sont comme hypnotisés.
Quand elle fait un demi-tour pour se pencher en avant et pour cueillir une rose, sa jupe se retrousse et découvre ses fesses à l’air. On distingue l’auréole de son trou du cul ainsi que le sillon glabre de sa foufoune. Je m’aperçois que les ouvriers se touchent leurs queues que je devine longues et épaisses sous le textile dessinant leur contour. Cette scène m’amuse et si j’avais mon portable sur moi, j’aurais immortalisé l’instant.
Afin de les narguer davantage, je donne une claque sur les fesses de Françoise en l’informant que nous n’avons pas que cela à faire. Nous prolongeons la découverte de mon jardin jusqu’au large carré de pelouse abrité d’un arbre aux branches déployées. Entre les feuilles, le halo du soleil s’éclate sur l’herbe verte.
- Je pense que c’est parfait cet endroit pour bronzer dis-je. Installons-nous et reposons-nous, en profitant du soleil.
Françoise retire ses bas auto fixant et fait glisser sa robe au sol. Elle se retrouve nue. Son corps de femme n'éblouit pas seulement mon regard mais aussi les yeux des deux ouvriers qui à quelques mètres de nous, cachés, ont sorti leur bite et se caressent. Je me déshabille aussi et nous nous allongeons côte à côte sur les deux transats prévus à cet effet.
Au bout d’un moment, Françoise hasarde sa main sur ma tige à moitié gonflé et la malaxe. Quel bien fou me procure-t-elle. Je bande à ses caresses. Moi, pas du tout avare de plaisir partagé, j’aventure ma main sur sa chatte lisse, la caresse doucement, titille son clitoris, parfois glisse un doigt dans sa caverne humide. Elle gémit doucement. Et sachant que les deux employés nous regardent, mon excitation est décuplée. J’éprouve la machiavélique envie de les faire saliver.
Mais soudain Françoise m’arrache de mes délires en me rappelant qu’il serait temps que je parte à la boucherie pour les achats nécessaires au barbecue de ce soir, sinon elle sera fermée. Je m’empresse de me préparer et pars illico acheter les saucisses et merguez. Le magasin étant tout proche de la maison, j’en reviens très vite et entre dans la maison. De la cuisine, en rangeant l’alimentation dans le frigo, je découvre à travers la fenêtre Françoise en plein action. La coquine ! La bouche grande ouverte, elle avale l’énorme bite du black, je devine qu’elle voudrait bien crier mais elle ne peut que lâcher de légers soupirs, le morceau de chair étant vraiment d’une dimension impressionnante. D’une épaisseur d’au moins 7 cm de diamètre, et d’une longueur avoisinant les 21 cm, je comprends son état sens dessus dessous surtout qu’elle se fait baiser en même temps par l’arabe, qui semble avoir une queue d’à peu près la même épaisseur mais peut être moins longue. Elle gesticule dans tous les sens.
Je m’approche alors de la fenêtre, les reluque mieux et sans gêne. Mes pulsions brûlantes me font libérer ma tige regorgée de sang pour la briquer. Ma main descend et monte le long de la colonne, avec des pressions régulières sur mon prépuce. Je suis au bord de l’explosion. Mais je ralentis mon va et vient, je ne veux pas gicler maintenant. Pas question de ne pas profiter de la gourmandise de Françoise. Je me mets nu à mon tour, comme ils le sont eux aussi. Je sors les retrouver. Le visage radieux, Françoise m’envoie un regard complice. Je n'en suis pas étonné, sachant qu’elle raffole desmembres épais. Le black et l’arabe diminue la cadence de l’action, surpris de me voir autant partageur. Mon attitude les rassure.
J’en profite pour suggérer de prendre Françoise à trois. Une bite dans chaque trou. Pour se faire, je demande à Françoise de s’allonger sur le côté. Le black se place dans elle, il caresse la chatte de Françoise, son gros gland plaqué devant l’entrée de sa caverne. L’arabe, derrière elle, a déjà enfilé sa bite dans le cul de Françoise. Son anus ouvert, l’arabe donne des saccades dans sa pénétration, alternant la douceur et la brutalité, et parfois lui claquant les fesses. Je positionne ma queue prête à éclater devant la bouche de Françoise et lui engouffre entre les lèvres. Elle la mordille par moment, la lèche de haut en bas, excite le prépuce avec sa langue, et la gobe complètement en me massant les couilles.
Quand le black enfonce son pieu dans le vagin de Françoise, au début, je l’entends légèrement couiner, puis peu à peu, elle gémit, crie, le black la pilonnant de façon énergique, faisant succéder un rythme lent avec un plus rapide. Françoise est aux anges, je la vois s’efforcer de serrer son sexe pour davantage la sentir.
L’arabe verse son jus sur les fesses de Françoise qu’il prend soin de bien étaler. Le black jouit sur les lèvres de la chatte de mon amante. Et moi ? Moi, quand je les vois tous les deux éjaculer, je me retire. Je compte me réserver pour plus tard !
- Hum que c’était bon ! Maintenant que j’en ai pris plein les trous, si nous allions manger dit-elle, comblée et toute en sueur, en s'adressant à tous les trois.
Une table en bois nous attend dehors, près de la fenêtre de la cuisine. Accompagnée de quatre chaisesrustiques, nous prenons place. Le black s’étant proposé pour s’occuper des grillades, je discute sagement avec l’autre ouvrier. Pendant ce temps, Françoise accompagne le black dans la cuisine pour l’aider. Françoise retire du frigo les saucisses et les merguez. Mais ne trouvant pas les salades pour l’accompagnement, elle se met à chercher partout. Finalement, elle les aperçoit complètement en bas du frigo. Elle se penche pour les attraper quand le black lui met la main au cul.
- Hum, tu es une bonne salope, j’ai envie encore de toi. Avant de poursuivre le repas, je t’offre un intermède sexuel et te propose une saucisse largement plus grosse que celles que je vais faire griller.
Françoise joue la soumise, ne dit rien et se laisse faire.
Le black la prend dans ses bras, la pose sur la table de la cuisine. Elle a compris et ouvre en grand ses cuisses. Son diamant intime est déjà tout trempé. Le black y glisse deux doigts, les ressort pour les remplacer par sa langue. Il fait rouler sa langue le long de la glissière béante, avec des petites pauses sur le clitoris durci qu’il aspire dans sa bouche chaude. De l’extérieur, nous entendons de forts gémissements. Françoise sait se faire entendre ! Nous nous doutons de ce qui se passe et apprécions.
Jugeant alors que l’ouverture est assez lubrifiée, le black cogne sa queue contre les parois de la chatte, la fait un peu traîner le long de la gouttière pour l’exciter davantage. Puis, doucement, il engage son gland sans l’enfoncer au départ, en donnant de légers coups de reins. Il fait avancer sa queue très lentement appréciant le chaud contact avec la chair. Françoise est en transe. Le black accentue ses coups de bassin, accélérant l’infiltration de son concombre. En même temps, il lui presse ses gros mamelons, s’excite sur les tétons qu’il écrase entre ses doigts. Quand nous les entendons tous les deux gronder tel un orage en plein hiver, l’arabe et moi comprenons que nous allons bientôt manger.
Autour de la table, nous savourons notre repas et rions de bon cœur. Tous les quatre à poil, nous sommes envahis d’une incroyable liberté. Parfois, quand Françoise bouge pour prendre un plat ou simplement se servir à boire, ses jolis nichons se balancent de droite à gauche. Nous nous regardons alors silencieusement, tous les trois conscients de la chance que nous avons d’avoir à notre table une gourmande comme Françoise.
A l’entrée du dessert, Françoise montre la bouteille de vin vide en l’empoignant entre ses mains et demande qui veut l'accompagner à la cave pour en chercher une autre?
L’arabe pointe son doigt comme un élève face à son institutrice qui l’a interrogé. Ils partent tousles deux descendant les escaliers qui mènent à mon cellier. Découvrant la lenteur de leur retour, nous décidons d’aller voir ce qui se passe.
Quelle est donc notre stupéfaction quand nous constatons Françoise penchée sur les bouteilles, le cul cambré, offert ouvertement au pieu de l’arabe Il la tient par la taille et coulisse en elle à la cadence d’un marteau piqueur perçant le goudron. Françoise, le front dégoulinant lui ordonne de la remplir au plus profond, lui précisant qu’elle le sent bien. Nous remontons sans faire de bruit attendant la fin de leurs ébats. A leur retour, nous sourions en chœur en feignant de ne pas savoir ce qui s’était passé.
Après le café, les ouvriers se rhabillent et repartent en nous remerciant de la savoureuse journée qui leur a fait oublier leur travail. Françoise s’empresse de retourner leur congratulation en leurs signalant sa motivation à les revoir puisqu’elle vient régulièrement et que leur chantier n'est de loin pas terminé.
Dès qu’ils franchissent le portail, j’empoigne Françoise par le poignet.
- Viens ma salope, il ne suffit pas de m'exciter en baisant avec d'autres. Tu ne m’as pas encore vidé. Faut que tu termines ta besogne. Et je te veux femelle comme avec les ouvriers.
Je l’emmène dans la chambre, je joue à celui qui est fâché et qui veut la punir. Je l’attache avec les menottes aux barreaux de mon lit. Entièrement nue et à ma disposition, je parcours sa peau avec les lanières de mon fouet que je fais claquer doucement sur son opulente poitrine, puis sur son clitoris proéminent, je les fait rouler sur ses petites et grandes lèvres. Elle a déjà connu une fois avec moi une telle épreuve mais cette fois-ci je suis un peu plus dominateur. Elle se tord de tous les côtés mais je constate qu'elle ne dit pas non !. Je m’approche de sa bouche et lui enfile ma langue qui tourne avec la sienne. Je lui écrase les nichons dont les tétons sont durs comme la pierre. Elle soulève son corps, remue dans tous les sens.
Et au-dessus d’elle, je saisis ma bite pour l’insérer au plus profond de sa chatte. Je coulisse en elle avec passion. Ses cris enflamment mon désir et me déchaînent. Mes couilles battent contre elle.
Quand je sens ma semence affluer, je lance un soupir de délivrance. Je ressors alors ma queue et déverse mon extase dans sa bouche. Elle avale, avale.
Tous les deux délivrés après cet assaut, je la vois un peu exténuée.
Je m’enlève de dessus d’elle et prends sa tête contre mon épaule :- Ca va ma salope et mon cœur ? Tu es bien comblée ? Tu mérites de bien te reposer. Tu as donné vraiment de ton corps aujourd’hui. As-tu compté combien de fois tu as jouis ?
- Oh que oui. Ce fut fantastique, trois hommes m'ont comblée, jamais je n'aurais cru cela possible.
Je vais bien dormir ce soir. Mon compagnon n’en reviendra pas que je m’endorme aussi rapidement.
Demain, je lui raconterai tout. Je pense que cela l’excitera.
Après s’être rhabillée, mais sans remettre les bas quelle me laisse en souvenir, elle m’embrasse à pleine bouche et me dit à bientôt.
Je crois que moi aussi je m’endormirai facilement…
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