Episode 7 Un couple d'amis libertin et BDSM
Récit érotique écrit par Lousouleil13 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-03-2022 dans la catégorie Plus on est
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Episode 7 Un couple d'amis libertin et BDSM
Le compagnon de Françoise, ma maîtresse, étant parti quelques jours dans sa famille, elle m’avait invité chez elle avec un couple d’amis qu’elle voulait connaître. Je lui avais parlé à plusieurs occasions de ce couple, très sympathique, sans lui dire qu'il avait des pratiques sexuelles très particulières. Cette proposition de nous recevoir tous les trois m’alléchait car mes amis étaient de sérieux prétendants au sexe libre et leur expérience dans ce domaine était des plus grandes.
En ce début d'après-midi, nous sommes tous les trois devant la porte d'entrée de la maison de Françoise. Elle nous reçoit dans des vêtements que je trouve sexy : un bustier fait en dentelle noire, sans bretelle, une jupe courte en cuir noir, des bas noirs dont on voit le liséré et des chaussures à talons aiguilles noires. Je remarque que mes amis sont agréablement surpris.
Lui, c'est Jean Paul, un homme petit et trapu de 30 ans, dans une chemise légère blanche à moitié ouverte, tombant sur un jeans noir. Il se présente avec le bras autour du cou de son amour Nadine.
Elle est petite et doit bien avoir le double de son âge. Elle est habillée d’une robe blanche volante s’arrêtant juste au dessus des genoux et fendue sur le côté, son décolleté plongeant s’ouvre sur une poitrine libérée de son soutien gorge qui déborde et esquisse le dessus de ses seins qui ont l’air d’avoir la même dimension que ceux de Françoise. C'est à dire n bon 95C sinon D.
Françoise nous fait installer dans le séjour, elle invite le couple à s'assoir sur le canapé, elle se met en face dans un fauteuil et moi je me mets dans l'autre fauteuil. Elle a préparé sur la table basse des gâteaux et du café. Une bouteille de cognac est aussi prête. Chacun se sert à la bonne franquette. Jean-Paul en face de Françoise garde l’œil rivé à son entre cuisse. En effet, Françoise n’a pas l’air de le faire express mais comme sa jupe est très courte, en s’asseyant, elle est remontée au raz de sa foune. Le spectacle s’offrant à nous est vraiment bandant, d’ailleurs je distingue le jeans de Jean Paul enflé au niveau de la braguette.
On distingue bien la chatte lisse de Françoise et la ride qui la coupe en deux. La coquine n'a pas de culotte. Nous ne faisons aucun effort pour deviner ses lourds obus qui transparaissent à travers son bustier noir transparent. Les tétons sont gros et durs. Quelle belle vue. Pour détendre l’atmosphère et instaurer l’ambiance de l’instant, je signale à Françoise sur un ton rieur que nous sommes tous au courant qu’elle porte des bas vu la réduction de la taille de sa jupe. Et Jean-Paul se permet une flatterie à son égard : "C’est sûr, j’avoue que ce que je découvre ne me laisse pas insensible, vous êtes irrésistible".
Déstabilisée et par crainte de la réaction de Nadine, Françoise se retourne vers elle mais discernant sa complicité avec son homme, elle sourit simplement. Je suppose alors que le climat de confiance et une ambiance érotique se sont instaurés, et que les perspectives de la soirée sont ébauchées.
Ayant pris confiance, Françoise qui constate la bite de Jean Paul butant contre son pantalon boursouflé, l’encourage à la libérer car elle risque d’exploser. "Mettez-vous à l'aise" lui dit-elleIl lui répond qu’elle ne croit pas si bien dire, et avec un comportement tout à fait naturel descend son froc et enlève son caleçon. Son membre affranchi, le gland vient frapper contre son nombril. Il se dresse à la verticale. Françoise écarquillant les yeux, Nadine lui précise que la queue de son mec ressemble à un bambou épais à ne pas laisser entre les mains d’une puritaine.
Jugeant son trouble évident, elle lui dit de ne pas se gêner et au lieu de rester la bouche ouverte sans rien faire, qu’elle la remplisse avec la bite de Jean Paul.
La permission étant lancée, Françoise se lève instantanément pour venir se placer à genoux sur le sol, entre les jambes de Jean Paul, sa queue entre les mains. Elle caresse l’engin de haut en bas, lui malaxe les couilles, puis commencer à prendre en bouche son gros gland tout rouge, effectuant un lent passage avec sa langue sur le prépuce. Centimètre par centimètre, elle avance sa bouche sur la tige pour l’engouffrer totalement. Par la suite, elle opère des lents va et vient sur le corps raide du monument. Mon regard et celui de Nadine se courtisent. Je me lève et me dirige vers elle qui ôte sa robe de suite. Je découvre ses seins en forme de poire comme ceux de Françoise qui me mettent en appétit. Pendant que ma bouche dévore ses tétons, elle frotte sa main contre ma braguette, déboutonne mon pantalon qu’elle descend rapidement, sort ma queue de son étui et m’astique le haricot.
Juste en face, Jean Paul en extase pétrit les nichons de Françoise, s’attarde sur les tétons qu’il presse. Sa main descend doucement. Elle s’arrête face à sa chatte qu’il frotte à travers le tissu avec sa main. Les sensations enflammées de Françoise la conduisent à osciller son corps, à pousser de temps à autre de petits gémissements. Jean Paul n’en pouvant plus retire la jupe de Françoise apparaissant avec son bustier noir transparent et en bas auto fixant. Il engage son doigt entre le tissu et ses fesses pour l’introduire dans son anus. A ce stade, je bouffe la moule poilue de Nadine, m’en délecte, y enfonce quelques doigts en même temps pendant qu’elle est au-dessus de moi et me suce activement. Je raffole du 69 et de ses poils intimes qui m’excitent au maximum. En même temps, cette position me permet de projeter mes yeux vers Françoise et Jean Paul dont les échanges galvanisent mes ardeurs. Je la vois à quatre pattes, sa rondelle cambrée, et la bite de Jean Paul entrer et sortir d’une lente cadence.
Appréciant l’élasticité de la foufoune de Nadine, je joins mon dernier doigt aux quatre autres qui tournent trempés dans son vagin pour assouvir mon plaisir du fist fucking. J’unis mes cinq doigts pour en former un poing que délicatement j’enfonce et retire de sa grotte humide. Parfois, je tourne le poing à l’intérieur pour augmenter la dilatation tout en la léchant avec avidité. Elle gigote dans tous les sens s’accompagnant de soupirs de transe incroyable qui interpellent Françoise et Jean Paul. Ils nous matent par moment.
L’excitation des uns alimentant l’excitation des autres, nous parvenons rapidement à la jouissance.
La semence de Jean Paul jaillit sur les fesses de Françoise qui lance aussitôt un cri de satisfaction pendant que je gicle dans la bouche de Nadine qui lâche sa cyprine dans ma bouche.
Je ne savais pas qu’elle était femme fontaine et à ma grande découverte, j’aime cela. J’avale le liquide sucré.
Nos ébats sexuels nous ont assoiffé. Vêtus de notre simple appareil, nous décidons de déguster ensemble un bon petite digestif. Françoise se lève pour nous servir. Jean Claude lui tapote les fesses en lui confiant que ses trous sont des orifices précieux et jouissifs. J’en profite pour avouer à Nadine qu’elle a comblé mon fantasme du fist. Autour d’une marie brizard, Françoise à mes côtés face à Nadine et jean Paul, nous discutons de notre sexualité, de nos désirs et la convoitise de nouveautés sexuelles. Nadine prend la parole en nous confiant que depuis plusieurs années avec son homme, ils exploitent les diverses variétés sexuelles.
- "En tant que couple libertin, nous nous autorisons à satisfaire l’ensemble de nos fantasmes.
Depuis près de deux ans, nous avons eu envie de tester la relation domination soumission. Nous ne voulons pas mourir idiot en matière de sexualité, aussi nous avons décidé de découvrir tout ce que nous ne connaissons pas. Par la suite, selon notre appréciation, nous validons ou pas nos explorations charnelles".
Et d’un regard expressif, elle envoie un clin d’œil à Françoise. Jean Paul s’amuse à balancer sa queue à moitié au repos de droite à gauche et nous avertit que dans quelques instants, il sera d’attaque pour un autre round sexuel. Et prenant à parti Françoise, il lui suggère d’essayer avec lui une petite séance de soumission. Ne sachant pas à quoi s’attendre, elle hésite un moment.
Discernant sa confusion, Nadine tente de la rassurer en ajoutant qu’elle adoptera le même rôle de soumise avec moi que Françoise adoptera avec Jean Paul.
Nadine m’attrape la main pour m’emmener dans la chambre. Jean Paul attrape la main de Françoise et nous suit, tenant dans l’autre main son sac rempli de sex toys. Arrivés dans la chambre, Françoise encore un peu bouleversée confie à Jean Paul qu’elle préfère qu’il prodigue une séance de soumission à sa femme, sa première partenaire. Et elle me fait signe de la main de s’assoir à ses côtés pour mater.
- Entendu, je ne veux pas te forcer et si cela doit te rassurer et te motiver, allez on y va !
Regarde bien et tu me diras si tu en veux aussi.
Il ouvre son sac et en ressort toute une série d’accessoires Bdsm : des menottes en cuir noir, un fouet, un bandeau, des liens de toutes sortes, une cravache, un martinet, des pinces à tétons, des paddles, et j’en passe. A la vue de tous ces articles, Françoise écarquille les yeux, c'est nouveau pour elle. Elle pose sa main sur ma jambe comme pour se rassurer. D’un ton autoritaire et ferme, Jean Paul apostrophe Nadine.
- Allez ma salope, sois sage et obéis. Donne-moi tes poignets.
Il menotte sa chérie aux barreaux du lit et lui ordonne de prendre sa position de chienne.
Attachée au lit, elle se met à quatre pattes, le cul cambré. On distingue juste en-dessous de son anus sa fente légèrement mouillée. Jean Paul fait claquer son fouet.
- Aujourd’hui, séance spéciale, tu vas montrer combien tes fesses vont rougir et je veux t’entendre crier ma chienne.
Il fait glisser les lanières de son fouet le long de son dos, les fait flatter ses oreilles, les descend sur ses seins pour en effleurer les tétons, les promène un long moment sur ses fesses puis d’un coup sec se met à les claquer sur son cul bombé. A chaque fois son corps se cambre. Après une vingtaine de coups intenses, le postérieur de Nadine esquisse des tâches de rougeur significatives de la frénésie de Jean Paul.
- Dis moi que tu aimes salope.
- Oui maître j’aime beaucoup.
Soudain Jean Paul prend sa queue qu’il cogne contre les inflammations du cul de Nadine. Puis, il promène sa tige contre la gerçure de ses fesses, la monte et descend et dans un coup de rein brutal, enfonce son gland dans le trou du cul. Il se met alors à la besogner avec brutalité, l’anus de Nadine s’élargissant pour engloutir l’engin jusqu’aux couilles.
Nadine pousse de forts braillements qui pénètrent nos oreilles et déchaînent nos sens. Françoise empoigne ma bite raide, la presse entre ses doigts et entame une branlette. Ma main se met entre ses cuisses, et doucement je fais coulisser mes doigts dans sa déchirure, taquinant son bouton intime qui se développe, gonfle, durcit. Sa rosée m’enveloppe dans une totale excitation.
Pendant ce temps, Jean Paul a retourné Nadine sur le dos, toujours attachée avec les menottes en cuir aux barreaux du lit et il fouette avec une lente application ses seins et sa chatte, visant surtout le clitoris. Il entoure ensuite ses deux nichons de liens qu’il passe autour, descend jusqu’aux pieds qu’il enroule. Ficelée tel un saucisson, elle pousse un râle de plaisir. Il la bâillonne, encercle ses yeux d’un bandeau bleu et se tourne vers nous.
- Elle n’est pas belle comme ça ma soumise. Ainsi préparée, elle devient mon esclave sexuelle, je peux en faire ce que je veux, vous ne trouvez pas cela excitant ?
Nous interrompons nos caresses. Un peu dubitatifs, nous lui signons une affirmation de la tête mais vu l’état expressif de nos visages, il y a certaines choses auxquelles nous restons pour le moment indifférents. La première est le bandeau sur les yeux. Je sais combien Françoise est voyeuse, et combien elle serait déçue si elle ne voyait pas nos ébats. Mais chacun puise son excitation où il veut et apparemment Jean Paul prend son pied quand il se sent maître absolu de la situation.
Nadine remonte le dos afin d’exposer sa chatte poilue dégoulinante de cyprine. Elle se caresse, enfonçant trois de ses doigts. La queue de Jean Paul rejoint les doigts de Nadine pour s’unir et s’enfoncer ensemble dans la grotte ouverte. Pendant que Jean Paul la ramone avec puissance, ses couilles frappant contre le bas de ses fesses, elle fourre ses doigts au plus profond d’elle, les ressort, et pousse de bruyants grognements.
Nous filmons la scène avec mon portable en continuant de nous faire monter le plaisir. Françoise a les cuisses totalement écartées, sa foufoune lisse largement ouverte, la tête en arrière, elle se laisse étourdir par mes doigts agiles et fureteurs qui aiguisent son clitoris mouillé et les lèvres de sa chatte suintante. Elle serre fort sur ma hampe et la branle énergiquement.
Ma semence envahit le canal de ma tige, elle montre progressivement. Je suis aux anges. Quand elle jaillit, Françoise enrobe mon gland de sa bouche, et en récolte les effluves sur sa langue. Au contact du roulis de mes doigts en elle, soudain son pubis se contracte et gicle d’un jet puissant sa cyprine que je viens récolter sur ma langue.
Jean Paul a libéré Nadine. Il s’enthousiasme de notre soirée et nous propose de nous fréquenter régulièrement. Il aimerait nous faire découvrir la liberté sexuelle de leur couple. Au passage, il évoque leur expérience trioliste avec un black excessivement membré qui avait gâté Nadine. Nous nous fixons les yeux illuminés. L’un comme l’autre sommes intéressés de cette allusion surtout que Françoise se délecte des membres épais. Repus de cette soirée, en nous rhabillant, nous remercions le couple de leur présence et confirmons accepter le souhait de Jean Paul.
En ce début d'après-midi, nous sommes tous les trois devant la porte d'entrée de la maison de Françoise. Elle nous reçoit dans des vêtements que je trouve sexy : un bustier fait en dentelle noire, sans bretelle, une jupe courte en cuir noir, des bas noirs dont on voit le liséré et des chaussures à talons aiguilles noires. Je remarque que mes amis sont agréablement surpris.
Lui, c'est Jean Paul, un homme petit et trapu de 30 ans, dans une chemise légère blanche à moitié ouverte, tombant sur un jeans noir. Il se présente avec le bras autour du cou de son amour Nadine.
Elle est petite et doit bien avoir le double de son âge. Elle est habillée d’une robe blanche volante s’arrêtant juste au dessus des genoux et fendue sur le côté, son décolleté plongeant s’ouvre sur une poitrine libérée de son soutien gorge qui déborde et esquisse le dessus de ses seins qui ont l’air d’avoir la même dimension que ceux de Françoise. C'est à dire n bon 95C sinon D.
Françoise nous fait installer dans le séjour, elle invite le couple à s'assoir sur le canapé, elle se met en face dans un fauteuil et moi je me mets dans l'autre fauteuil. Elle a préparé sur la table basse des gâteaux et du café. Une bouteille de cognac est aussi prête. Chacun se sert à la bonne franquette. Jean-Paul en face de Françoise garde l’œil rivé à son entre cuisse. En effet, Françoise n’a pas l’air de le faire express mais comme sa jupe est très courte, en s’asseyant, elle est remontée au raz de sa foune. Le spectacle s’offrant à nous est vraiment bandant, d’ailleurs je distingue le jeans de Jean Paul enflé au niveau de la braguette.
On distingue bien la chatte lisse de Françoise et la ride qui la coupe en deux. La coquine n'a pas de culotte. Nous ne faisons aucun effort pour deviner ses lourds obus qui transparaissent à travers son bustier noir transparent. Les tétons sont gros et durs. Quelle belle vue. Pour détendre l’atmosphère et instaurer l’ambiance de l’instant, je signale à Françoise sur un ton rieur que nous sommes tous au courant qu’elle porte des bas vu la réduction de la taille de sa jupe. Et Jean-Paul se permet une flatterie à son égard : "C’est sûr, j’avoue que ce que je découvre ne me laisse pas insensible, vous êtes irrésistible".
Déstabilisée et par crainte de la réaction de Nadine, Françoise se retourne vers elle mais discernant sa complicité avec son homme, elle sourit simplement. Je suppose alors que le climat de confiance et une ambiance érotique se sont instaurés, et que les perspectives de la soirée sont ébauchées.
Ayant pris confiance, Françoise qui constate la bite de Jean Paul butant contre son pantalon boursouflé, l’encourage à la libérer car elle risque d’exploser. "Mettez-vous à l'aise" lui dit-elleIl lui répond qu’elle ne croit pas si bien dire, et avec un comportement tout à fait naturel descend son froc et enlève son caleçon. Son membre affranchi, le gland vient frapper contre son nombril. Il se dresse à la verticale. Françoise écarquillant les yeux, Nadine lui précise que la queue de son mec ressemble à un bambou épais à ne pas laisser entre les mains d’une puritaine.
Jugeant son trouble évident, elle lui dit de ne pas se gêner et au lieu de rester la bouche ouverte sans rien faire, qu’elle la remplisse avec la bite de Jean Paul.
La permission étant lancée, Françoise se lève instantanément pour venir se placer à genoux sur le sol, entre les jambes de Jean Paul, sa queue entre les mains. Elle caresse l’engin de haut en bas, lui malaxe les couilles, puis commencer à prendre en bouche son gros gland tout rouge, effectuant un lent passage avec sa langue sur le prépuce. Centimètre par centimètre, elle avance sa bouche sur la tige pour l’engouffrer totalement. Par la suite, elle opère des lents va et vient sur le corps raide du monument. Mon regard et celui de Nadine se courtisent. Je me lève et me dirige vers elle qui ôte sa robe de suite. Je découvre ses seins en forme de poire comme ceux de Françoise qui me mettent en appétit. Pendant que ma bouche dévore ses tétons, elle frotte sa main contre ma braguette, déboutonne mon pantalon qu’elle descend rapidement, sort ma queue de son étui et m’astique le haricot.
Juste en face, Jean Paul en extase pétrit les nichons de Françoise, s’attarde sur les tétons qu’il presse. Sa main descend doucement. Elle s’arrête face à sa chatte qu’il frotte à travers le tissu avec sa main. Les sensations enflammées de Françoise la conduisent à osciller son corps, à pousser de temps à autre de petits gémissements. Jean Paul n’en pouvant plus retire la jupe de Françoise apparaissant avec son bustier noir transparent et en bas auto fixant. Il engage son doigt entre le tissu et ses fesses pour l’introduire dans son anus. A ce stade, je bouffe la moule poilue de Nadine, m’en délecte, y enfonce quelques doigts en même temps pendant qu’elle est au-dessus de moi et me suce activement. Je raffole du 69 et de ses poils intimes qui m’excitent au maximum. En même temps, cette position me permet de projeter mes yeux vers Françoise et Jean Paul dont les échanges galvanisent mes ardeurs. Je la vois à quatre pattes, sa rondelle cambrée, et la bite de Jean Paul entrer et sortir d’une lente cadence.
Appréciant l’élasticité de la foufoune de Nadine, je joins mon dernier doigt aux quatre autres qui tournent trempés dans son vagin pour assouvir mon plaisir du fist fucking. J’unis mes cinq doigts pour en former un poing que délicatement j’enfonce et retire de sa grotte humide. Parfois, je tourne le poing à l’intérieur pour augmenter la dilatation tout en la léchant avec avidité. Elle gigote dans tous les sens s’accompagnant de soupirs de transe incroyable qui interpellent Françoise et Jean Paul. Ils nous matent par moment.
L’excitation des uns alimentant l’excitation des autres, nous parvenons rapidement à la jouissance.
La semence de Jean Paul jaillit sur les fesses de Françoise qui lance aussitôt un cri de satisfaction pendant que je gicle dans la bouche de Nadine qui lâche sa cyprine dans ma bouche.
Je ne savais pas qu’elle était femme fontaine et à ma grande découverte, j’aime cela. J’avale le liquide sucré.
Nos ébats sexuels nous ont assoiffé. Vêtus de notre simple appareil, nous décidons de déguster ensemble un bon petite digestif. Françoise se lève pour nous servir. Jean Claude lui tapote les fesses en lui confiant que ses trous sont des orifices précieux et jouissifs. J’en profite pour avouer à Nadine qu’elle a comblé mon fantasme du fist. Autour d’une marie brizard, Françoise à mes côtés face à Nadine et jean Paul, nous discutons de notre sexualité, de nos désirs et la convoitise de nouveautés sexuelles. Nadine prend la parole en nous confiant que depuis plusieurs années avec son homme, ils exploitent les diverses variétés sexuelles.
- "En tant que couple libertin, nous nous autorisons à satisfaire l’ensemble de nos fantasmes.
Depuis près de deux ans, nous avons eu envie de tester la relation domination soumission. Nous ne voulons pas mourir idiot en matière de sexualité, aussi nous avons décidé de découvrir tout ce que nous ne connaissons pas. Par la suite, selon notre appréciation, nous validons ou pas nos explorations charnelles".
Et d’un regard expressif, elle envoie un clin d’œil à Françoise. Jean Paul s’amuse à balancer sa queue à moitié au repos de droite à gauche et nous avertit que dans quelques instants, il sera d’attaque pour un autre round sexuel. Et prenant à parti Françoise, il lui suggère d’essayer avec lui une petite séance de soumission. Ne sachant pas à quoi s’attendre, elle hésite un moment.
Discernant sa confusion, Nadine tente de la rassurer en ajoutant qu’elle adoptera le même rôle de soumise avec moi que Françoise adoptera avec Jean Paul.
Nadine m’attrape la main pour m’emmener dans la chambre. Jean Paul attrape la main de Françoise et nous suit, tenant dans l’autre main son sac rempli de sex toys. Arrivés dans la chambre, Françoise encore un peu bouleversée confie à Jean Paul qu’elle préfère qu’il prodigue une séance de soumission à sa femme, sa première partenaire. Et elle me fait signe de la main de s’assoir à ses côtés pour mater.
- Entendu, je ne veux pas te forcer et si cela doit te rassurer et te motiver, allez on y va !
Regarde bien et tu me diras si tu en veux aussi.
Il ouvre son sac et en ressort toute une série d’accessoires Bdsm : des menottes en cuir noir, un fouet, un bandeau, des liens de toutes sortes, une cravache, un martinet, des pinces à tétons, des paddles, et j’en passe. A la vue de tous ces articles, Françoise écarquille les yeux, c'est nouveau pour elle. Elle pose sa main sur ma jambe comme pour se rassurer. D’un ton autoritaire et ferme, Jean Paul apostrophe Nadine.
- Allez ma salope, sois sage et obéis. Donne-moi tes poignets.
Il menotte sa chérie aux barreaux du lit et lui ordonne de prendre sa position de chienne.
Attachée au lit, elle se met à quatre pattes, le cul cambré. On distingue juste en-dessous de son anus sa fente légèrement mouillée. Jean Paul fait claquer son fouet.
- Aujourd’hui, séance spéciale, tu vas montrer combien tes fesses vont rougir et je veux t’entendre crier ma chienne.
Il fait glisser les lanières de son fouet le long de son dos, les fait flatter ses oreilles, les descend sur ses seins pour en effleurer les tétons, les promène un long moment sur ses fesses puis d’un coup sec se met à les claquer sur son cul bombé. A chaque fois son corps se cambre. Après une vingtaine de coups intenses, le postérieur de Nadine esquisse des tâches de rougeur significatives de la frénésie de Jean Paul.
- Dis moi que tu aimes salope.
- Oui maître j’aime beaucoup.
Soudain Jean Paul prend sa queue qu’il cogne contre les inflammations du cul de Nadine. Puis, il promène sa tige contre la gerçure de ses fesses, la monte et descend et dans un coup de rein brutal, enfonce son gland dans le trou du cul. Il se met alors à la besogner avec brutalité, l’anus de Nadine s’élargissant pour engloutir l’engin jusqu’aux couilles.
Nadine pousse de forts braillements qui pénètrent nos oreilles et déchaînent nos sens. Françoise empoigne ma bite raide, la presse entre ses doigts et entame une branlette. Ma main se met entre ses cuisses, et doucement je fais coulisser mes doigts dans sa déchirure, taquinant son bouton intime qui se développe, gonfle, durcit. Sa rosée m’enveloppe dans une totale excitation.
Pendant ce temps, Jean Paul a retourné Nadine sur le dos, toujours attachée avec les menottes en cuir aux barreaux du lit et il fouette avec une lente application ses seins et sa chatte, visant surtout le clitoris. Il entoure ensuite ses deux nichons de liens qu’il passe autour, descend jusqu’aux pieds qu’il enroule. Ficelée tel un saucisson, elle pousse un râle de plaisir. Il la bâillonne, encercle ses yeux d’un bandeau bleu et se tourne vers nous.
- Elle n’est pas belle comme ça ma soumise. Ainsi préparée, elle devient mon esclave sexuelle, je peux en faire ce que je veux, vous ne trouvez pas cela excitant ?
Nous interrompons nos caresses. Un peu dubitatifs, nous lui signons une affirmation de la tête mais vu l’état expressif de nos visages, il y a certaines choses auxquelles nous restons pour le moment indifférents. La première est le bandeau sur les yeux. Je sais combien Françoise est voyeuse, et combien elle serait déçue si elle ne voyait pas nos ébats. Mais chacun puise son excitation où il veut et apparemment Jean Paul prend son pied quand il se sent maître absolu de la situation.
Nadine remonte le dos afin d’exposer sa chatte poilue dégoulinante de cyprine. Elle se caresse, enfonçant trois de ses doigts. La queue de Jean Paul rejoint les doigts de Nadine pour s’unir et s’enfoncer ensemble dans la grotte ouverte. Pendant que Jean Paul la ramone avec puissance, ses couilles frappant contre le bas de ses fesses, elle fourre ses doigts au plus profond d’elle, les ressort, et pousse de bruyants grognements.
Nous filmons la scène avec mon portable en continuant de nous faire monter le plaisir. Françoise a les cuisses totalement écartées, sa foufoune lisse largement ouverte, la tête en arrière, elle se laisse étourdir par mes doigts agiles et fureteurs qui aiguisent son clitoris mouillé et les lèvres de sa chatte suintante. Elle serre fort sur ma hampe et la branle énergiquement.
Ma semence envahit le canal de ma tige, elle montre progressivement. Je suis aux anges. Quand elle jaillit, Françoise enrobe mon gland de sa bouche, et en récolte les effluves sur sa langue. Au contact du roulis de mes doigts en elle, soudain son pubis se contracte et gicle d’un jet puissant sa cyprine que je viens récolter sur ma langue.
Jean Paul a libéré Nadine. Il s’enthousiasme de notre soirée et nous propose de nous fréquenter régulièrement. Il aimerait nous faire découvrir la liberté sexuelle de leur couple. Au passage, il évoque leur expérience trioliste avec un black excessivement membré qui avait gâté Nadine. Nous nous fixons les yeux illuminés. L’un comme l’autre sommes intéressés de cette allusion surtout que Françoise se délecte des membres épais. Repus de cette soirée, en nous rhabillant, nous remercions le couple de leur présence et confirmons accepter le souhait de Jean Paul.
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