Erasmus à Amsterdam - La petite Grecque 3/4 (histoire vraie) - histoire érotique

Erasmus à Amsterdam - La petite Grecque 3/4 (histoire vraie)

La semaine se termina sans que l'on se revoit. Le dernier jour de cette semaine avait lieu la soiree erasmus du vendredi. J'y étais, avec des amis allemands à partir de minuit. Vers 1h du matin je vis la petite grecque marcher dans la boite de nuit avec ses amies. La soirée se poursuivit sans que nous soyons ensemble, puis vers 2h je me dirige vers elle et ses amies. Ses amies m'ont d'abord vu en premier et ont esquissé un grand sourrire tout en prévenant ma partenaire. On se fait la bise, elle me dit qu'elle m'a cherché plein de fois mais qu'elle ne m'avait pas vu. Avec 1m57, elle n'a pas la même vision que la mienne. On commence à discuter, de tout et de rien, avec elle et ses amies. Certaines sourrient énormémznt en nous voyant et en nous trouvant mignons.

La soirée se poursuit, nous dansons, nous discutons, nous buvons. J'ai très envie de l'embrasser, je lui demande si elle aussi. Elle me répond qu'elle est gênée devant ses amies. Pas de soucis. Vers 4h du matin, ses amies décident de sortir pour se rafraîchir car, c'est vrai, il fait super chaud à l'intérieur avec tout ce monde. J'en profite alors pour prendre son visage entre mes mains et l'embrasser tendrement. Nos langues dansent en parfaite harmonie. Ce baiser nous fait oublier la chaleur de la boite de nuit, la musique et toutes les personnes autour. Nous sommes dans notre bulle profitant de l'instant si tendre. Nous restons enlacés, nos bras serrant l'autre contre nous et nos langues se caressant, pendant de longues minutes avant de sortir prendre l'air dehors et rejoindre ses amies.

Nous nous asseyons avec eux, discutons de tout et de rien. Je commence à avoir un peu frais et à être fatigué, je voudrais bien rentré pour dormir. Mon amie Grecque souhaite rester encore avec ses amies. Je décide alors de l'attendre pour ne pas marcher tout seul pendant une demie-heure. Plusieurs discussions se poursuivent au sein du groupe, chacun parle un peu de son pays d'origine. Vers 4h30, nous partons tous. Je me dirige donc avec mon amie Grecque vers son appartement. Nous marchons côte à côte quand elle me dit " je dois me lever tôt demain pour aller chercher ma mère et ma soeur à la gare, mais tu peux quand même venir dormir si tu veux". Son grand sourrire m'invitant bien sûr à l'accompagner dans son lit. Elle me dit qu'elle doit partir de chez elle à 9h. Ça fera donc peu de someil mais je suis quand même partant.

Arrivant chez elle à 5h nous nous couchons rapidement sous sa couverture chauffante et nous embrassons tendrement avant de s'endormir l'un l'autre. Son réveil sonne à 8h, nous avons tous deux envie de dormir et de rester dans le lit. Nous sommes couchés sur le côté regardant l'autre. Ma main se ballade le long de son bras, de l'épaule a la main. J'effleure sa peau, la caresse. Elle ne dit rien et sourit. Ma main glisse ensuite sur son ventre, sa peau y est douce. Elle continue de se laisser faire. Je continue mes caresses matinales, puis descends ma main sur le haut de ses cuisses. Je caresse longuement l'avant et l'arrière de ses cuisses, ses fesses également. Elle reste de marbre et nous ne disons rien.

Après l'avoir bien excitée, je décide de placer ma main sur son string et de la caresser tout doucement. Je sens la chaleur et l'humidité de son antre. Ses jambes s'écartent légèrement sous le plaisir reçu. Je décide alors de glisser ma main sous son string pour mieux la caresser. Elle est trempée. Je fais glisser mes doigts du haut vers le bas sur sa vulve et inversement. Elle ne dit toujours rien, mais cette fois sa respiration a fortement augmenté. Après un court instant elle se colle à moi pour m'embrasser pleinement. Ma main toujours active glisse 2doigts dans sa grotte toujours aussi trempée. Je l'entends gémir alors que nous nous embrassons. Elle bouge son bassin sur ma main pour qu'ils aillent plus en profondeur et que le rythme s'accélère.

Je décide de retirer la couette. Je lui retire également son tshirt et son string. Je plonge ma tête entre ses jambes pour y boire ma boisson énergisante matinale. Elle gémit de suite et plaque ses 2 mains derrière ma tête pour appuyer dessus, en plus de bouger son bassin pour se frotter contre ma bouche et ma langue. Mes doigts coulissent en elle tandis que mon autre main caresse sa poitrine. Une fois m'a faim abaissé, je décide d'arrêter les caresses avec ma langue puis je retire mes doigts pour lui faire goûter son propre jus. Elle suce mes doigts avec entrain, je sens sa langue tourner autour de mes doigts, ses joues se contracter sur mes doigts qu'elle aspire. Ce traitement est bon, elle aussi ptend son pied.

Quelques instants plus tard, mes doigts sont de retour dans son antre. Cette fois ci, je décide d'accéler et d'y aller sur un rythme soutenu. J'y mets beaucoup de force venant de mon avant bras et de mon bras. Ses gémiseements s'intensifient, ses jambes sont grandes ouvertes et son visage se décompose petit a petit sous le plaisir qui est entrain de monter. Mon bras commence à me faire mal tant l'intensité est élevée, quand soudain elle me dit "stop" je m'arrête surpris, puis elle ajoute "je vais jouir, et je veux que tu me baises". Ces mots restent gravés dans ma mémoire. Je revois encore sa détresse et son envie folle de me sentir en elle.

Pour répondre à sa demande j'enlève mon caleçon puis me plante en elle. Je rentre très facilement tant elle trempée, les draps aussi d'ailleurs. Elle est sur le dos, jambes bien écartées, les mains autour de mon dos me serrant contre elle. Elle m'a demandé de la baiser alors je n'y vais pas de main morte et fait claquer mon bassin contre le sien. Le lit tremble énormément et ses gémissements montent. Le réveil doit être bruyant poir ses voisins. Pendant ce temps j'embrasse son cou tout en le léchant avec ma langue. Elle adore ce traitement et moi aussi. Je sens son vagin se ressérer légèrement alors que je continue de la pénétrer. Soudain je sens que je vais jouir bientôt, je la préviens, elle me répond "Je veux te sentir jouir en moi". Le message reçu, j'accélère mes derniers mouvements puis nous jouissons au même moment. Dans un râle commun nous arrêtons tous nos mouvements. Ses yeux sont fermés, sa bouche grande ouverte, son visage décrit l'extase. Je m'effondre à côté d'elle, épuisé de cet effort et du manque de sommeil. Elle me dit "Merci! C'était génial!"

C'est à ce moment que son téléphone sonne. Elle le prend, le regarde et s'exclame "Oh merde! C'est ma mère qui m'appelle, je suis en retard!" Nous nous rhabillons rapidement pour qu'elle puisse aller chercher sa mère et sa soeur à la gare. J'imagine qu'elle a menti à sa mère pour s'excuser de son retard. Elle n'a pas du lui dire qu'elle préférait se faire prendre sauvagement, encore moins devant sa petite soeur.