Eric
Récit érotique écrit par Bonlien [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-01-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Eric
Eric est à l'anniversaire de sa meilleure amie Brigitte, en réalité de son ancienne meilleure amie. Depuis qu'elle a enfin compris qu'il préfère les hommes, Brigitte a mis une distance entre eux pour digérer l'information comme elle avait rêvé d'amour avec lui. Depuis leur séparation, c'est la première fois qu'Eric revoit Brigitte et quelle ne fut pas sa grande surprise de recevoir cette invitation, il y a quatre jours. Etant donné leur ancienne complicité dans de nombreux domaines et son amitié profonde et sincère pour elle, Eric a tout de même décidé de venir la saluer, prendre de ses nouvelles et lui offrir un beau cadeau.
Les retrouvailles se passent bien, Brigitte a remis de l'ordre dans ses idées et son accueil fut tout à fait chaleureux. La cicatrice existe toujours. Entre deux invités, Eric a l'occasion de pouvoir parler avec elle, il n'y a pas de colère, pas de rancune, simplement une certaine distance.
Eric ne compte pas rester longtemps parmi la cinquantaine de personne dans cette merveilleuse salle de l'ancien relai de poste. Cette vieille bâtisse en pierre grise est splendide et les décors sont d'origine avec des meubles en chêne de style campagnard. La terrasse pavée et l'immense jardin à l'Anglaise offre un charme qui le ravit largement. Eric ère parmi tous ces étrangers. Il se dirige vers le buffet et se sert copieusement des succulents sandwiches généreusement garnis qu'il arrose abondamment d'un Saint Amour exquis. Eric salue régulièrement les personnes qui l'accompagne dans cette délectation sans s'attacher à eux, ni approfondir une conversation. Eric se contente de savourer les plats et le vin, il a rapidement l'estomac rassasié et l'esprit assez embrumé pour remonter son moral. Dès lors Eric décide de visiter le jardin pour prendre l'air et se rafraîchir les neurones. Il traverse la terrasse trop fréquentée, descend le large escalier de pierre grise et emprunte un des nombreux petits sentiers, guidé par l'agréable musique d'une cascade au loin.
Au coin d'une allée, Eric heurte une personne qui surgit précipitamment sur sa droite. Eric titube, il se redresse et lève la tête pour croit apercevoir un magnifique petit Cupidon survolter le bord de la haie de noisetier. Aussitôt, Eric ressent une piqûre dans la poitrine au niveau du cœur comme le fils de Vénus range son arc divin. Eric se sent bouleversé, il ne sait pas si c'est une flèche qui vient de le transpercer ou l'aiguille d'une seringue contenant je ne sais quelle drogue comme il commence à se sentir transporté, exalté, au bord de la stupidité, de la niaiserie. Eric est face à Apollon. Serait-il mort et monté directement au ciel! Les yeux écarquillés, la bouche béante, les muscles mous, le cerveau en compote, Eric reste figé comme hypnotisé tandis que Marc l'aide à se relever et s'excuse aimablement pour le choc.
La ferme poigne de cette apparition et quelques tapes amicales sur les joues ramènent Eric à la réalité et il éclate de rire. Eric bredouille quelques explications sur sa vision céleste et Marc, ne comprenant rien à son délire, rejoint Eric dans cette hilarité exubérante. Finalement remis de leurs émois, les deux comparses font connaissance. Eric, du haut de ses 36 ans, est commerçant et philosophe à ses heures perdues. Il est célibataire, grand (autour du mètre quatre-vingt) et mince (à peine septante cinq kilos) avec une courte tignasse couleur châtain. Il aime dire qu'il est gaucher comme ce trait reflète bien la réputation créatrice des gauchers. Marc est plus âgé de trois ans, il dirige une petite entreprise. Il est célibataire depuis peu, de la même taille qu'Eric mais bien plus large d'épaule et donc plus lourd d'une dizaine de kilos de muscles et une brosse couleur des blés.
Arrivés près de la fontaine, les deux copains semblent se connaître depuis toujours, ils sont bien ensemble, si semblables et si complémentaires. C'est Marc qui dirige la conversation avec son caractère autoritaire, ce qui n'est pas pour déplaire à Eric qui, toujours sous le charme ou l'effet de la flèche, boit toutes les paroles de Marc, s'émerveille de toute ses connaissances et est attentionné à tout ses besoins, écartant les branches à son passage, lui offrant son verre de vin et son dernier morceau de sandwich. La douce ambiance romantique offerte par la délicate musique de l'eau ruisselante entraîne Marc à se pencher vers Eric pour embrasser ses lèvres sucrées. Le simple baiser progresse rapidement en une passion effrénée. Les bras de Marc enlacent le chaud corps d'Eric et celui-ci ne reste pas inactif comme ses mains palpent les muscles saillants de son nouvel amant. Les langues délibèrent entre elles tandis que les mains formulent leurs propres histoires, celles de Marc s'attardant principalement autour des fesses rebondissantes d'Eric et celles d'Eric explorant toujours chaque muscle gonflé, puis le visage radieux de Marc dans tous les coins et recoins. A court d'oxygène, le couple s'écarte, la chaleur est torride et Marc retire son T-shirt pour le grand ravissement d'Eric, dévoilant un torse élaboré de sportif.
Bras dessus, dessous, les deux amis se dirige vers le petit banc de bois pour s'asseoir. Marc prend place et dirige Eric, d'un geste décidé, à genou sur la pelouse entre ses jambes pressées contre ses flancs, sa tête dans l'aine, appuyée contre le tissu tendu du short. Eric ne se fait pas prier. Sans aucune résistance, il assume cette position qui lui convient. De suite, les mains de Marc viennent ébouriffer les fins cheveux châtains, envoyant des ondes sensuelles à travers tout le corps d'Eric. Les mains par-dessus les cuisses baraquées de Marc, Eric écoute religieuse son amant qui lui relate tendrement quelques évènements importants de sa propre vie et l'interroge gentiment sur la sienne.
Une voix étrangère vient surprendre les deux amis. La main sur sa tête s'est raffermie, empêchant Eric de bouger, de tourner sa tête ou de se relever pour quitter cette position embarrassante. Marc n'a pas bronché. Il est vrai que Marc a vu la personne approcher contrairement à Eric. C'est Pierre, un ami proche de Marc. L'homme, du même âge qu'Eric, vient directement s'associer près de Marc et salue Eric avec une petite tape sur l'épaule. Comme si de rien n'était, ou plutôt comme tout ceci était naturel pour eux, les deux comparses commencent à parler ensemble, échangeant principalement leurs avis sur cet anniversaire. Eric n'est pas ignoré et peut participer à cet échange malgré sa position... disons inférieure.
A un moment donné, leur conversation dérive vers des souvenirs communs, un peu plus de romantisme, un peu d'exotisme, beaucoup lus de sexe. Marc soulève brusquement la tête d'Eric en le tirant par les cheveux, sèchement mais pas méchamment. Sous ses yeux incrédules, Marc ouvre le bouton de son short, puis glisse la fermeture éclair rapidement vers le bas et, en absence de sous-vêtement, une colossale tige de chair gonflée de plus de vingt centimètres bondit hors de son confinement. Eric est stupéfait, incrédule surtout lorsque les doigts musclés conduisent son visage par-dessus la pointe humide du cylindre démesuré. Par réflexe, Eric ouvre la bouche. Toujours sous le charme, il commence à lécher avidement le gland pourpre, guidé par les puissantes mains charnues. Le mouvement est établi, le rythme est imposé. Eric travaille de son mieux sous les conseils avisé de son amant, il lèche, il suce, il tète et suçote. Eric inhale le viril parfum intime de son amant, il hume les arômes mâles. Ses lèvres massent la hampe de chair dure comme roc, sa langue titille chaque parcelle de ce doux pôle offert. Les lèvres s'écartent, s'étirent par le volume inattendu, le pieu s'avance, envahit la chaude cavité humide. L'air se raréfie au fur et à mesure que le bélier s'enfonce sous le contrôle des deux mains maintenant. Eric essaie de détendre sa mâchoire du mieux qu'il peut, mais cette massue palpitante est si grosse, largement plus volumineuse que tout ce qu'il a déjà dorloté jusqu'à présent. Les mains ne lui laissent aucun répit et Eric veut absolument plaire à son nouvel amant autoritaire et dominateur. L'apogée n'est pas loin, Marc se tortille tout en veillant au rythme de la chaude pénétration. Eric redouble d'efforts pour s'assurer du succès. Il est rapidement récompenser dans de nombreuses salves qui percutent la voûte de son royal palais. Le nectar gicle à profusion, la quantité amène Eric en surmenage mais il y fait face. Eric se délecte, Marc jouit intensément et se vide. Son corps se relâche, Marc s'affalent contre le double dossier du banc.
Eric entame un nettoyage apaisant, il poli la tête, il astique le méat. Mais une nouvelle surprise l'attend. Les mains sur sa tête s'assouplissent, se relâchent, mais Eric décide de continuer à polir ce prodigieux mat détendu.
"Et merde! J'ai un besoin fou de pisser!" C'est Marc qui se plaint, il peste, il fulmine et se préparer à se relever.
Eric laisse glisser ses lèvres jusqu'au frein de cette merveilleuse tige ramollissante et lève des yeux compatissants, ses mains solidement ancrées sur les cuisses de son amant dominant. Marc le regarde et un profond échange les lie durant quelques secondes. Ce n'est pas le truc de Marc, ce n'est pas l'habitude d'Eric, mais les circonstances sont exceptionnelles. Eric se sent totalement dévoué, plein de confiance en cet homme irrésistible, si assuré de leur avenir commun qu'il efface toutes ses frontières, ses limites pour une pleine relation d'abandon pour le plaisir de chacun. Les yeux rivés, Marc accepte finalement ce qu'il y a de mieux dans l'instant présent.
"Ne perds pas une goutte!" Le ton menaçant donne le départ d'un acte exceptionnel pour les deux amants. Les lèvres d'Eric se pressent puissamment et le flot surgit, un long flot jaune au goût suave jaillit de la bouche du canon au repos, se propulse contre la glotte et inonde l'ardente cavité. Eric absorbe le chaud liquide progressivement, le débit augmente encore. Les larmes aux yeux, Eric avale et ingurgite aussi vite qu'il peut, il presse ses lèvres pour assurer l'étanchéité, respire par le nez en petites saccades pour ne pas étouffer. L'admiration, le plaisir et le soulagement est visible sur le visage de Marc, autant d'encouragements pour Eric qui en a tant besoin. Finalement, quelques gouttes seulement subsistent. Eric est épuisé, éreinté mais si fier de son premier exploit. Il a servi son ami au-delà de toute espérance, au-delà de toutes ses limites et il ne regrette rien. Eric lèche proprement le gland légèrement dégonflé puis se recule pour respirer profondément.
Les mains de Marc soutiennent le visage d'Eric par le menton pour le dresser vers lui, son dominant. Ils se regardent, se fixent à nouveau pour partager cet amour, cette nouvelle rencontre prometteuse. Marc s'incline et embrasse brièvement mais ardemment son jeune soumis. Il lui glisse quelques mots à l'oreille, puis s'appuie sur le dossier de bois, savourant totalement sa domination, sa volupté.
La surprise est maintenant pour Pierre qui n'a perdu aucune bribe de l'action à coté de lui. Maintenant, Eric rampe lentement vers Pierre, se place soigneusement entre ses jambes et commence à ouvrir son short. Pierre comprend de suite le but du garçon, il le laisse faire. La hampe est rapidement exhibée, libérée, aucun sous-vêtement n'est venu entraver la tâche, non plus. La tige dégouline d'une quantité incroyable de suc, Pierre a apprécié la scène entière. Le gland plus petit mais de bonne consistance trouve à peine le temps de s'aérer, les langoureuses lèvres l'enfournent sans attendre, la langue vient le pétrir, le bichonner. Le pieu étant de moindre stature, la prise est plus facile pour Eric et le résultat ne se fait pas attendre. Pierre est tellement excité par tout ces évènements inaccoutumés qu'il propulse rapidement sa semence nacrée, un jet, deux, trois et quatre. La puissance est telle que le jus vient heurter le fond du gosier d'Eric qui dégorge presque. Mais son nectar est bien trop délicieux pour le gaspiller et Eric parvient finalement à tout avaler pour la plus grande gloire d'Eric.
Les deux comparses sont largement comblés. Eric est aussi rassasié, il a enchanté ses deux nouveaux amis. Marc l'agrippe de nouveau par les cheveux, toujours sans méchanceté. Il le redresse sur ses genoux et le tire fermement jusqu'à lui pour planter un savoureux baiser passionné. Pierre en profite pour refermer son short et souffler tandis qu'il observe les deux amants.
Marc force Eric à baisser son short. Son slip offre une immense tache humide sur le devant violement déformé. Eric lui dit de retirer complètement ce slip et de ne plus en porter dorénavant. Eric s'exécute, jetant un regard inquiet autour de lui. Ils sont toujours dans un lieu public avec une fête qui bat son plein non loin d'eux. Tout ceci se déroule alors que Marc maintient deux doigts solidement enfoncés dans la bouche volontaire d'Eric, le forçant à se tordre pour garder son équilibre et, surtout, ne pas relâcher ces précieux doigts fouineurs. En T-shirt, sans rien sous la taille, Eric est amené assis sur les cuisses de Marc, dirigé par les deux doigts toujours bien ancrés. Eric est maintenant bien assis, les jambes écartées et reluquant Pierre comme celui-ci approche dangereusement de son aine où une fusée est prête au lancement.
Au moment où les lèvres de Pierre se referment chaudement par-dessus le soyeux champignon, Eric peux sentir un doigt, puis deux attendrir sa rosace serrée pour s'insérer aussitôt et serpenter dans le canal étroit. Marc n'a pas attendu pour s'aventurer plus loin le long de la fine tige frémissante, donnant quelques petits coups de dents pour émoustiller l'animal. Eric est tellement excité qu'il doit se concentrer pour ne pas jouir trop vite, mais il ne perd pas une miette des caresses qui lui sont prodiguées. Les doigts dans son cul touchent le point de contact, ils stimulent la prostate, amenant Eric dans des sensations imparables. La bouche s'active de plus en plus, la langue darde de plus belle et les lèvres assurent un mouvement de pompage. Le corps d'Eric frétille, il se crispe, il vibre. La seconde main vient couronner le tout en venant se plaquer sur la bouche de la victime, deux doigts à l'intérieur pour aiguiser les nerfs déjà bien à vif d'Eric et jouer avec sa langue souple, les autres pour museler tout risque de cris.
Tout devient super, tout devient trop. Les doigts dans le canal s'écartent, entrent et sortent, excitent la prostate et la cloison interne, les lèvres pulpeuses astiquent le mat et crée une dépression et ce qui doit arriver, arrive... Les muscles tremblent, frémissent et le corps d'Eric chancèle. Le feu d'artifice commence, un, deux, trois, quatre, cinq vigoureux jets se succèdent dans la chaude cavité. Eric faiblit et tombent dans les bras ouverts de son amant tandis que Pierre nettoie les dernières traces du délit.
Pierre et Marc rhabille délicatement leur jeune victime et, assis tous deux sur le banc, ils l'allongent prudemment sur leurs genoux, caressant son corps, cajolant affectueusement son visage, son torse, ses bras et ses jambes.
Marc et Pierre, toujours attentionné, reprenne une aimable conversation en sourdine, partageant, avec joie, de merveilleux souvenirs qu'ils ont autrefois partagés. Eric reprend progressivement ses esprits sous les douces caresses de ses deux nouveaux amis. La légère brise de vent le fait frissonner.
Il fait noir. Non, c'est son slip qui est posé sur ses yeux. Eric sursaute comme la musique au loin retentit. Oui, il se rémémorise tout. Il se sent honteux mais encore plus joyeux et fier. Le sang se précipite dans ses joues, monte dans ses temps, grimpe dans sa hampe qui commence à palpiter pour de l'attention. Mais personne ne s'en occupe, elle continue à battre dans le vide. Marc et Pierre dépose délicatement le jeune Eric sur la pelouse. Ils se rhabillent. Eric n'ose pas bouger, il veut aussi se revêtir avant que quelqu'un ne les découvre. Eric ose un mouvement, Marc le regarde fixement, Eric reste immobile.
Marc tend les mains, Eric les accroche et il se lève. Marc lui impose de retirer son T-shirt. Eric frisonne, mais pas de froid. Il est maintenant complètement nu, excepté ses baskets. Marc dépose le short d'Eric par-dessus sa tête après avoir bourré son slip dans sa bouche. Eric frémit comme il imagine le tableau, sa queue se cambre et dégouline. Le trio se rassemble pour continuer l'exploration du jardin, du bois environnant.
Complètement aveuglé par son propre short, bâillonné par son propre slip, entièrement nu, totalement excité, Eric se soumet, s'abandonne à ses nouveaux compagnons. Il est maintenant encadré par ses deux nouveaux vigoureux amis dont les besoins sexuels semblent déborder d'imagination. Sa hampe tendue au maximum pour donner la direction et deux doigts dans son cul le guident vers des lieux inconnus...
Les retrouvailles se passent bien, Brigitte a remis de l'ordre dans ses idées et son accueil fut tout à fait chaleureux. La cicatrice existe toujours. Entre deux invités, Eric a l'occasion de pouvoir parler avec elle, il n'y a pas de colère, pas de rancune, simplement une certaine distance.
Eric ne compte pas rester longtemps parmi la cinquantaine de personne dans cette merveilleuse salle de l'ancien relai de poste. Cette vieille bâtisse en pierre grise est splendide et les décors sont d'origine avec des meubles en chêne de style campagnard. La terrasse pavée et l'immense jardin à l'Anglaise offre un charme qui le ravit largement. Eric ère parmi tous ces étrangers. Il se dirige vers le buffet et se sert copieusement des succulents sandwiches généreusement garnis qu'il arrose abondamment d'un Saint Amour exquis. Eric salue régulièrement les personnes qui l'accompagne dans cette délectation sans s'attacher à eux, ni approfondir une conversation. Eric se contente de savourer les plats et le vin, il a rapidement l'estomac rassasié et l'esprit assez embrumé pour remonter son moral. Dès lors Eric décide de visiter le jardin pour prendre l'air et se rafraîchir les neurones. Il traverse la terrasse trop fréquentée, descend le large escalier de pierre grise et emprunte un des nombreux petits sentiers, guidé par l'agréable musique d'une cascade au loin.
Au coin d'une allée, Eric heurte une personne qui surgit précipitamment sur sa droite. Eric titube, il se redresse et lève la tête pour croit apercevoir un magnifique petit Cupidon survolter le bord de la haie de noisetier. Aussitôt, Eric ressent une piqûre dans la poitrine au niveau du cœur comme le fils de Vénus range son arc divin. Eric se sent bouleversé, il ne sait pas si c'est une flèche qui vient de le transpercer ou l'aiguille d'une seringue contenant je ne sais quelle drogue comme il commence à se sentir transporté, exalté, au bord de la stupidité, de la niaiserie. Eric est face à Apollon. Serait-il mort et monté directement au ciel! Les yeux écarquillés, la bouche béante, les muscles mous, le cerveau en compote, Eric reste figé comme hypnotisé tandis que Marc l'aide à se relever et s'excuse aimablement pour le choc.
La ferme poigne de cette apparition et quelques tapes amicales sur les joues ramènent Eric à la réalité et il éclate de rire. Eric bredouille quelques explications sur sa vision céleste et Marc, ne comprenant rien à son délire, rejoint Eric dans cette hilarité exubérante. Finalement remis de leurs émois, les deux comparses font connaissance. Eric, du haut de ses 36 ans, est commerçant et philosophe à ses heures perdues. Il est célibataire, grand (autour du mètre quatre-vingt) et mince (à peine septante cinq kilos) avec une courte tignasse couleur châtain. Il aime dire qu'il est gaucher comme ce trait reflète bien la réputation créatrice des gauchers. Marc est plus âgé de trois ans, il dirige une petite entreprise. Il est célibataire depuis peu, de la même taille qu'Eric mais bien plus large d'épaule et donc plus lourd d'une dizaine de kilos de muscles et une brosse couleur des blés.
Arrivés près de la fontaine, les deux copains semblent se connaître depuis toujours, ils sont bien ensemble, si semblables et si complémentaires. C'est Marc qui dirige la conversation avec son caractère autoritaire, ce qui n'est pas pour déplaire à Eric qui, toujours sous le charme ou l'effet de la flèche, boit toutes les paroles de Marc, s'émerveille de toute ses connaissances et est attentionné à tout ses besoins, écartant les branches à son passage, lui offrant son verre de vin et son dernier morceau de sandwich. La douce ambiance romantique offerte par la délicate musique de l'eau ruisselante entraîne Marc à se pencher vers Eric pour embrasser ses lèvres sucrées. Le simple baiser progresse rapidement en une passion effrénée. Les bras de Marc enlacent le chaud corps d'Eric et celui-ci ne reste pas inactif comme ses mains palpent les muscles saillants de son nouvel amant. Les langues délibèrent entre elles tandis que les mains formulent leurs propres histoires, celles de Marc s'attardant principalement autour des fesses rebondissantes d'Eric et celles d'Eric explorant toujours chaque muscle gonflé, puis le visage radieux de Marc dans tous les coins et recoins. A court d'oxygène, le couple s'écarte, la chaleur est torride et Marc retire son T-shirt pour le grand ravissement d'Eric, dévoilant un torse élaboré de sportif.
Bras dessus, dessous, les deux amis se dirige vers le petit banc de bois pour s'asseoir. Marc prend place et dirige Eric, d'un geste décidé, à genou sur la pelouse entre ses jambes pressées contre ses flancs, sa tête dans l'aine, appuyée contre le tissu tendu du short. Eric ne se fait pas prier. Sans aucune résistance, il assume cette position qui lui convient. De suite, les mains de Marc viennent ébouriffer les fins cheveux châtains, envoyant des ondes sensuelles à travers tout le corps d'Eric. Les mains par-dessus les cuisses baraquées de Marc, Eric écoute religieuse son amant qui lui relate tendrement quelques évènements importants de sa propre vie et l'interroge gentiment sur la sienne.
Une voix étrangère vient surprendre les deux amis. La main sur sa tête s'est raffermie, empêchant Eric de bouger, de tourner sa tête ou de se relever pour quitter cette position embarrassante. Marc n'a pas bronché. Il est vrai que Marc a vu la personne approcher contrairement à Eric. C'est Pierre, un ami proche de Marc. L'homme, du même âge qu'Eric, vient directement s'associer près de Marc et salue Eric avec une petite tape sur l'épaule. Comme si de rien n'était, ou plutôt comme tout ceci était naturel pour eux, les deux comparses commencent à parler ensemble, échangeant principalement leurs avis sur cet anniversaire. Eric n'est pas ignoré et peut participer à cet échange malgré sa position... disons inférieure.
A un moment donné, leur conversation dérive vers des souvenirs communs, un peu plus de romantisme, un peu d'exotisme, beaucoup lus de sexe. Marc soulève brusquement la tête d'Eric en le tirant par les cheveux, sèchement mais pas méchamment. Sous ses yeux incrédules, Marc ouvre le bouton de son short, puis glisse la fermeture éclair rapidement vers le bas et, en absence de sous-vêtement, une colossale tige de chair gonflée de plus de vingt centimètres bondit hors de son confinement. Eric est stupéfait, incrédule surtout lorsque les doigts musclés conduisent son visage par-dessus la pointe humide du cylindre démesuré. Par réflexe, Eric ouvre la bouche. Toujours sous le charme, il commence à lécher avidement le gland pourpre, guidé par les puissantes mains charnues. Le mouvement est établi, le rythme est imposé. Eric travaille de son mieux sous les conseils avisé de son amant, il lèche, il suce, il tète et suçote. Eric inhale le viril parfum intime de son amant, il hume les arômes mâles. Ses lèvres massent la hampe de chair dure comme roc, sa langue titille chaque parcelle de ce doux pôle offert. Les lèvres s'écartent, s'étirent par le volume inattendu, le pieu s'avance, envahit la chaude cavité humide. L'air se raréfie au fur et à mesure que le bélier s'enfonce sous le contrôle des deux mains maintenant. Eric essaie de détendre sa mâchoire du mieux qu'il peut, mais cette massue palpitante est si grosse, largement plus volumineuse que tout ce qu'il a déjà dorloté jusqu'à présent. Les mains ne lui laissent aucun répit et Eric veut absolument plaire à son nouvel amant autoritaire et dominateur. L'apogée n'est pas loin, Marc se tortille tout en veillant au rythme de la chaude pénétration. Eric redouble d'efforts pour s'assurer du succès. Il est rapidement récompenser dans de nombreuses salves qui percutent la voûte de son royal palais. Le nectar gicle à profusion, la quantité amène Eric en surmenage mais il y fait face. Eric se délecte, Marc jouit intensément et se vide. Son corps se relâche, Marc s'affalent contre le double dossier du banc.
Eric entame un nettoyage apaisant, il poli la tête, il astique le méat. Mais une nouvelle surprise l'attend. Les mains sur sa tête s'assouplissent, se relâchent, mais Eric décide de continuer à polir ce prodigieux mat détendu.
"Et merde! J'ai un besoin fou de pisser!" C'est Marc qui se plaint, il peste, il fulmine et se préparer à se relever.
Eric laisse glisser ses lèvres jusqu'au frein de cette merveilleuse tige ramollissante et lève des yeux compatissants, ses mains solidement ancrées sur les cuisses de son amant dominant. Marc le regarde et un profond échange les lie durant quelques secondes. Ce n'est pas le truc de Marc, ce n'est pas l'habitude d'Eric, mais les circonstances sont exceptionnelles. Eric se sent totalement dévoué, plein de confiance en cet homme irrésistible, si assuré de leur avenir commun qu'il efface toutes ses frontières, ses limites pour une pleine relation d'abandon pour le plaisir de chacun. Les yeux rivés, Marc accepte finalement ce qu'il y a de mieux dans l'instant présent.
"Ne perds pas une goutte!" Le ton menaçant donne le départ d'un acte exceptionnel pour les deux amants. Les lèvres d'Eric se pressent puissamment et le flot surgit, un long flot jaune au goût suave jaillit de la bouche du canon au repos, se propulse contre la glotte et inonde l'ardente cavité. Eric absorbe le chaud liquide progressivement, le débit augmente encore. Les larmes aux yeux, Eric avale et ingurgite aussi vite qu'il peut, il presse ses lèvres pour assurer l'étanchéité, respire par le nez en petites saccades pour ne pas étouffer. L'admiration, le plaisir et le soulagement est visible sur le visage de Marc, autant d'encouragements pour Eric qui en a tant besoin. Finalement, quelques gouttes seulement subsistent. Eric est épuisé, éreinté mais si fier de son premier exploit. Il a servi son ami au-delà de toute espérance, au-delà de toutes ses limites et il ne regrette rien. Eric lèche proprement le gland légèrement dégonflé puis se recule pour respirer profondément.
Les mains de Marc soutiennent le visage d'Eric par le menton pour le dresser vers lui, son dominant. Ils se regardent, se fixent à nouveau pour partager cet amour, cette nouvelle rencontre prometteuse. Marc s'incline et embrasse brièvement mais ardemment son jeune soumis. Il lui glisse quelques mots à l'oreille, puis s'appuie sur le dossier de bois, savourant totalement sa domination, sa volupté.
La surprise est maintenant pour Pierre qui n'a perdu aucune bribe de l'action à coté de lui. Maintenant, Eric rampe lentement vers Pierre, se place soigneusement entre ses jambes et commence à ouvrir son short. Pierre comprend de suite le but du garçon, il le laisse faire. La hampe est rapidement exhibée, libérée, aucun sous-vêtement n'est venu entraver la tâche, non plus. La tige dégouline d'une quantité incroyable de suc, Pierre a apprécié la scène entière. Le gland plus petit mais de bonne consistance trouve à peine le temps de s'aérer, les langoureuses lèvres l'enfournent sans attendre, la langue vient le pétrir, le bichonner. Le pieu étant de moindre stature, la prise est plus facile pour Eric et le résultat ne se fait pas attendre. Pierre est tellement excité par tout ces évènements inaccoutumés qu'il propulse rapidement sa semence nacrée, un jet, deux, trois et quatre. La puissance est telle que le jus vient heurter le fond du gosier d'Eric qui dégorge presque. Mais son nectar est bien trop délicieux pour le gaspiller et Eric parvient finalement à tout avaler pour la plus grande gloire d'Eric.
Les deux comparses sont largement comblés. Eric est aussi rassasié, il a enchanté ses deux nouveaux amis. Marc l'agrippe de nouveau par les cheveux, toujours sans méchanceté. Il le redresse sur ses genoux et le tire fermement jusqu'à lui pour planter un savoureux baiser passionné. Pierre en profite pour refermer son short et souffler tandis qu'il observe les deux amants.
Marc force Eric à baisser son short. Son slip offre une immense tache humide sur le devant violement déformé. Eric lui dit de retirer complètement ce slip et de ne plus en porter dorénavant. Eric s'exécute, jetant un regard inquiet autour de lui. Ils sont toujours dans un lieu public avec une fête qui bat son plein non loin d'eux. Tout ceci se déroule alors que Marc maintient deux doigts solidement enfoncés dans la bouche volontaire d'Eric, le forçant à se tordre pour garder son équilibre et, surtout, ne pas relâcher ces précieux doigts fouineurs. En T-shirt, sans rien sous la taille, Eric est amené assis sur les cuisses de Marc, dirigé par les deux doigts toujours bien ancrés. Eric est maintenant bien assis, les jambes écartées et reluquant Pierre comme celui-ci approche dangereusement de son aine où une fusée est prête au lancement.
Au moment où les lèvres de Pierre se referment chaudement par-dessus le soyeux champignon, Eric peux sentir un doigt, puis deux attendrir sa rosace serrée pour s'insérer aussitôt et serpenter dans le canal étroit. Marc n'a pas attendu pour s'aventurer plus loin le long de la fine tige frémissante, donnant quelques petits coups de dents pour émoustiller l'animal. Eric est tellement excité qu'il doit se concentrer pour ne pas jouir trop vite, mais il ne perd pas une miette des caresses qui lui sont prodiguées. Les doigts dans son cul touchent le point de contact, ils stimulent la prostate, amenant Eric dans des sensations imparables. La bouche s'active de plus en plus, la langue darde de plus belle et les lèvres assurent un mouvement de pompage. Le corps d'Eric frétille, il se crispe, il vibre. La seconde main vient couronner le tout en venant se plaquer sur la bouche de la victime, deux doigts à l'intérieur pour aiguiser les nerfs déjà bien à vif d'Eric et jouer avec sa langue souple, les autres pour museler tout risque de cris.
Tout devient super, tout devient trop. Les doigts dans le canal s'écartent, entrent et sortent, excitent la prostate et la cloison interne, les lèvres pulpeuses astiquent le mat et crée une dépression et ce qui doit arriver, arrive... Les muscles tremblent, frémissent et le corps d'Eric chancèle. Le feu d'artifice commence, un, deux, trois, quatre, cinq vigoureux jets se succèdent dans la chaude cavité. Eric faiblit et tombent dans les bras ouverts de son amant tandis que Pierre nettoie les dernières traces du délit.
Pierre et Marc rhabille délicatement leur jeune victime et, assis tous deux sur le banc, ils l'allongent prudemment sur leurs genoux, caressant son corps, cajolant affectueusement son visage, son torse, ses bras et ses jambes.
Marc et Pierre, toujours attentionné, reprenne une aimable conversation en sourdine, partageant, avec joie, de merveilleux souvenirs qu'ils ont autrefois partagés. Eric reprend progressivement ses esprits sous les douces caresses de ses deux nouveaux amis. La légère brise de vent le fait frissonner.
Il fait noir. Non, c'est son slip qui est posé sur ses yeux. Eric sursaute comme la musique au loin retentit. Oui, il se rémémorise tout. Il se sent honteux mais encore plus joyeux et fier. Le sang se précipite dans ses joues, monte dans ses temps, grimpe dans sa hampe qui commence à palpiter pour de l'attention. Mais personne ne s'en occupe, elle continue à battre dans le vide. Marc et Pierre dépose délicatement le jeune Eric sur la pelouse. Ils se rhabillent. Eric n'ose pas bouger, il veut aussi se revêtir avant que quelqu'un ne les découvre. Eric ose un mouvement, Marc le regarde fixement, Eric reste immobile.
Marc tend les mains, Eric les accroche et il se lève. Marc lui impose de retirer son T-shirt. Eric frisonne, mais pas de froid. Il est maintenant complètement nu, excepté ses baskets. Marc dépose le short d'Eric par-dessus sa tête après avoir bourré son slip dans sa bouche. Eric frémit comme il imagine le tableau, sa queue se cambre et dégouline. Le trio se rassemble pour continuer l'exploration du jardin, du bois environnant.
Complètement aveuglé par son propre short, bâillonné par son propre slip, entièrement nu, totalement excité, Eric se soumet, s'abandonne à ses nouveaux compagnons. Il est maintenant encadré par ses deux nouveaux vigoureux amis dont les besoins sexuels semblent déborder d'imagination. Sa hampe tendue au maximum pour donner la direction et deux doigts dans son cul le guident vers des lieux inconnus...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour ce retour, je n'ai encore rien de prévus mais j'y veillerai.
Magnifique récit qui appelle une suite... Steeve