Eric, Georges… et les autres 1 Première expérience avec Eric
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Eric, Georges… et les autres 1 Première expérience avec Eric
Première expérience avec Eric
"Bonjour, tu es Eric ?
Oui , tu es Jean alors, enchanté! »
La veille nous avions eu un contact sur Internet et déjà nous nous retrouvions face à face. Nous nous serrons la main, sur ce parking. Quelqu’un qui nous verrait pourrait croire à un rendez-vous d'affaires. C’est en fait pour autre chose, que nous-nous retrouvons là !
Son pseudo sur un « tchat » d’Internet avait attiré mon attention. Très vite, nous avions trouvé un terrain d’entente, il habitait à trente kilomètres de chez moi, mais ne pouvait recevoir. J’étais seul à la maison, aussi je décidais de l’inviter. Il avait téléphoné une demi-heure auparavant pour me confirmer sa venue et j’avais vu sa voiture se garer depuis chez moi. Je n’avais eu à faire que quelques dizaines de mètres pour aller le chercher.
Je lui explique que pour plus de discrétion, il peut laisser son véhicule et que je l’emmène avec le mien de l’autre côté de la route. Le temps de faire le tour, je rentre la voiture dans le garage et nous accédons à la maison en passant par l’arrière. Une fois dedans, je referme la porte à clé. Nous sommes tranquilles.
Eric a trente deux ans et ma foi, plutôt beau garçon, il m’avait dit apprécier les hommes plus âgés pour leur expérience et il était à la recherche d’une première expérience homosexuelle.
Sachant tous les deux, ce pourquoi nous sommes là et étant le plus expérimenté, je prends les choses en main, c’est le Ças de le dire, puisque, lui mettant la main au paquet, je m’approche de son visage et l’embrasse sur les lèvres doucement, je ne sais s’il avait prévu cela, mais il n’a aucun recul et ses lèvres s’entrouvrent. Ma langue s’introduit alors et nous nous roulons une pelle bien juteuse.
Il embrasse bien et très vite sa main vient se poser sur mon pantalon afin de masser ma bite qui déjà se redresse. Debout, l’un contre l’autre, nous découvrons nos corps à travers les vêtements.
"Veux-tu aller dans la chambre, ou préfères-tu rester ici ? dis-jeOui, allons dans la chambre! »Le prenant par la main, je l’entraîne derrière moi dans l'escalier. Arrivés dans la chambre, nous reprenons notre baiser, mais j’en veux plus. Alors, glissant mes mains sous le tee-shirt, je caresse sa peau, puis je l’enlève en passant le vêtement par-dessus sa tête. Son torse musclé est bien bronzé et son parfum est agréable. Je me penche pour sucer un téton, en le pinçant un peu entre les dents. Eric semble apprécier la Caresse car il pose sa main sur ma tête et ses soupirs m’encouragent. Je m’attaque à la ceinture de son pantalon, qui ne résiste pas longtemps. Sous le slip que je laisse en place, une bosse sympathique se dessine Je m’assois sur le lit, le visage à hauteur de son sexe. Je l’attire contre moi, entre mes jambes. Prenant l’élastique des deux côtés, je baisse lentement le tissu. J’aime ce moment où je découvre le sexe de mon futur amant. Sa belle bite se dresse à quelques centimètres de mon visage, et son odeur de mâle monte à mes narines. Eric se laisse faire. C’est moi l’expérimenté qui mène le jeu. Je fini de lui ôter son dernier vêtement. Il est maintenant nu, le sexe dressé et attend la suite. Je n’ai pas l’intention de traîner, ni l’envie non plus, aussi j’attrape son membre déjà bien dur d’une main et gobe son gland. Je lève mon regard vers son visage, il a fermé les yeux, tout à son plaisir de recevoir cette première pipe faite par un homme. Je m’applique à ne pas le décevoir, d’une main je prends ses bourses et les fais rouler entre mes doigts. Ses soupirs s’accentuent, mon amant a chaud. J’aime cette position, entre les jambes de l’homme, dont je guide le plaisir de ma main et de ma bouche. Ses jambes tremblent un peu, sa main se pose sur mon crâne, de l’autre il me caresse le dos. Il est temps de passer à autre chose !
Je le guide vers le lit où il s’allonge alors que rapidement je me déshabille, sous son regard. Je monte sur la couche et me présente, la verge dressée, à genoux à ses côtés. Je me penche pour à nouveau l’embrasser, lui communiquant l’odeur de son propre sexe. Sa main part à la recherche de ma bite qu’il veut lui aussi, sentir sous ses doigts et Caressé. Il est doux et s’y prend bien, me relevant un peu je lui demande :"Tu aimes ?
Ouii ! lâche-t-il l’air heureux, j’adore, mais moi aussi je veux te sucer! Depuis que j’ai vu ta queue hier sur Internet - nous avions fait une visioconférence grâce à ma webCam - je rêve de la bouffer moi aussi ! »Je me couche à ses côtés, tête-bêche, pour un soixante neuf où chacun cherche à donner un maximum de plaisir à son partenaire. Mon amant est doué, il répète sur moi, les gestes que j’ai sur lui, sa bite est bonne et ma langue s’enroule autour du gland violacé, sur sa hampe bien dure ma main s’active. Je le pompe avec plaisir. De son côté, il apprend vite et manifestement se régale à jouer de la langue et des doigts. Lorsque j’insinue ma main entre ses fesses, il ouvre naturellement le passage. Ma langue passe sous ses bourses et glisse sur le périnée, pour atteindre son anus. J’envoie un paquet de salive et d’un doigt je commence à titiller sa rondelle, il est relâché et facilite mon action en relevant sa jambe. Sur moi, il reproduit les caresses et il me graisse le cul écartant mon trou avec ses doigts. Nous avions discuté de la possibilité de pénétration, pas obligatoire, mais protégée. Il a d’ailleurs acheté des préservatifs, aussi je prépare bien le passage en faisant tourner, un, puis deux doigts dans son étroit conduit. Il agit bien sûr de même avec moi. Une main sur sa grosse queue, l’autre dans son cul, la langue s’activant et salivant. J’ai très envie de recevoir sa belle bite au fond de moi et je profite de mener le jeu depuis le début, pour lui déclarer :"Viens ! J’ai envie que tu me prennes ! viens mettre ta grosse bite dans mon cul! »J'emploie volontairement des mots crus pour maintenir son excitation, mais nul besoin. Mon homme est bien chaud et il a très envie lui aussi de se faire le cul de ce mec qui s’offre. Alors qu’il enfile son préservatif, je me couche sur le dos et relève mes jambes et mes fesses.
«Prends-moi comme Ça, j’aime ! Un peu surpris d’abord par ma position, il se reprend vite et se glisse à genoux entre mes jambes pour pointer sa queue devant mon cul. D’une main, je le guide vers mon œillet, lui montrant bien la voie, j’en profite pour masser ses couilles et lui dis vas-y, baise moi bien ! Il pousse maintenant et sans trop de difficulté car le passage est bien préparé, il me pénètre d’une poussée lente mais continue. Sa bite est de bonne taille et je profite pleinement de l’intromission. Quand ses couilles viennent battre contre mes fesses, il sait qu’il est au fond et s’arrête un peu. Je continue le jeu et lui dis, Tu aimes, n’est-ce pas ? C’est bon d’enculer un mec ? Bourre-moi bien ! Regarde ma queue comme elle bande ! Vas-y j’aime Ça ! regarde comme ta queue me fait du bien ! Tu vois c’est bien un mec que tu ramones, et c’est bon. Il se baisse un peu sur ses bras et on s’embrasse alors qu’il me lime avec application.
Il me déchire le cul, mais c’est bon et à voir sa détermination, je sais qu’il va bientôt décharger au fond de mes entrailles. Mes jambes sur ses épaules, je suis à sa disposition et il me baise comme une femelle. Dans ma position, j’attrape facilement ses bourses par dessous, augmentant les sensations. A ce régime et à ce degré d’excitation, il ne tarde pas à grogner son plaisir pour se vider au fond de mon rectum. Il continue un moment à me limer profondément, faisant durer le plaisir qu’il découvre avec un mec. Il s’effondre enfin et revient m’embrasser fougueusement alors que sa verge se rétracte lentement et se retire de mon conduit dilaté.
Putain que c’est bon ! Dit-il enfin en se laissant aller sur le côté, repu. Sachant qu’il va éprouver une petite lassitude après sa jouissance, je saisis sa verge, enlève le préservatif, y fais un nœud afin d’éviter les fuites, puis, je plonge sur sa bite pour la sucer et le maintenir sous pression. Doucement je fais rouler ses boules entre mes doigts, je salive sur son trou et enfile deux doigts, Il mouille bien du cul « Toi tu as envie de me baiser ! Me lance-t-ilEt toi, tu as envie de te faire enculer ?
Tant que j’y suis, j’ai envie de connaître Ça aussi, mais fais doucement, je suis vierge de ce côté ! Ce n’est pas comme toi. Je suis rentré comme dans du beurre mon salaud ! T’as eu l’air d’aimer Ça !
Tu m’arrêtes quand tu veux si tu as mal ! Mais je suis moins bien monté que toi ! Je peux te dire que je l’aie bien sentie passer ta belle queue !
Tu n’as pas eu l’air de te plaindre mon salaud !
Je n’ai pas dis Ça, c’est simplement une constatation ! Allez hop en position salope, comment veux-tu te mettre ?
En levrette, prends-moi par derrière !
A vos ordres Monseigneur ! »Eric se met à genoux, les fesses bien hautes, la tête dans les draps et il attend. En face de nous, la glace de l’armoire renvoie notre image. Je le lui fais remarquer pour qu’il profite du spectacle. « Tu vois mon salaud ! Tu vas pouvoir assister en direct à ta première sodomie ! Tu as un beau cul ! Regarde comment tu t’offres à ma bite ! T’es une belle salope ! Tu vas te faire enculer ! Tu aimes faire la salope ?» Je n’attends pas de réponse. Une fois enfilé le préservatif, j’enfonce à nouveau deux doigts que je tourne dans ses fesses afin de bien dilater ses sphincters. Je pose mon gland sur sa rosette et j’attends un peu. Il tend ses fesses, alors je pousse doucement. La préparation à été bonne et petit à petit je m’enfonce dans son rectum. En plusieurs fois je pénètre complètement en lui. Quand mon bassin bute contre ses fesses, je lui dis :"Ça y est, tu es un vrai enculé, mon petit pédé !
Oh oui ! mais c’est bon ! Vas-y baise moi ! Je suis un enculé ! Une salope ! Et j’aime Ça ! J’aime te voir derrière moi en train de me baiser et sentir ta queue dans mon cul ! Putain que c’est bon ! Si j’avais sû, j’aurais fais Ça avant ! Vas-y oui ! Défonce-moi !»Accroché à ses hanches, je le lime consciencieusement et longuement, il m’encourage de la voix. Moi aussi j’aime enculer ce beau garçon qui se donne à moi. J’ai chaud. Je suis bien. J’aimerai que ça dure, mais bien serré dans son boyau étroit, je sens monter ma jouissance et je me vide en lui.
Je reste ancré profondément dans son cul en attendant que mon orgasme redescende. Quand enfin je me retire il se laisse glisser à plat ventre, lui aussi vidé par la séance de baise et l’émotion. Nous restons étalés côte à côte, j’en profite pour caresser son corps musclé en l’embrassant sur la nuque et les épaules.
Après quelques instants, il me demande d’aller aux toilettes. Je connais cette sensation après la sodomie. Je l’entraine dans la salle d’eau. Il s’extasie devant l’immense miroir qui fait face à la douche à l’italienne où on peut entrer à deux. Le temps qu’il passe sur la cuvette, je me lave la verge et me rafraîchit un peu. Il me laisse ensuite la place, puis quand je reviens à ses côtés il me prend par l’épaule et face à la glace, observe notre étrange couple.
"Ça te fait quoi d’avoir franchi le pas ? lui dis-jeÇa fait un moment que j’avais envie, et franchement je ne regrette pas, il prend ma tête et m’embrasse, je sens qu’en même temps il regarde dans le miroir.
Ça t’excites de te regarder me rouler une pelle ? dis-je en me dégageant de sa boucheC’est vrai que c’est bon, je pensais que ça me dégoûterait d’embrasser un homme, mais ça aussi j’aime. Il attrape ma bite et me caresse, je vois la sienne reprendre de la vigueur.
Tu as encore envie dis-je ?
Je crois bien que oui !
Reste là je vais te sucer et te faire jouir devant la glace. Tu auras le plaisir et le spectacle en plus !
T’es vraiment un vicieux toi ! Mais oui c’est bon ! Vas-y mon salaud ! Pompe-moi bien le nœud, je vois que tu aimes ça ! Toi aussi t’es une salope !»Il se régale à nous regarder dans le miroir. Lui debout et moi à genoux entre ses jambes, sa bite entre mes lèvres. Il pose la main sur ma tête. Mais, moi non plus je ne manque rien de ce moment. Du coin de l’œil je me regarde à genoux, en train de sucer cette belle bite. Je m’applique à être le plus « salope » possible, alternant les coups de langue sur et sous le gland, avec de bonnes aspirations de sa queue veinée. Il donne parfois des coups de rein comme pour me « baiser la gueule ». Je le tiens par les couilles que je sens gonfler. Je le sens proche de la jouissance et j’accentue les mouvements du poignet ainsi que les pressions sur les bourses. Je glisse enfin un doigt dans son cul encore dilaté. Sa queue se tend alors et il gicle sur mon visage qui ne s’éloigne pas. Moins abondant sûrement, son sperme se répand tout de même sur ma figure et coule sur mes lèvres et mon menton. Je suis heureux d’avoir fait jouir ce beau garçon par mon talent de pompeur. Je le reprends en bouche pour nettoyer sa bite et lui apporter un dernier plaisir. Je me relève enfin et je l’embrasse à nouveau, lui faisant retrouver sur mes lèvres et ma langue, le goût de son sperme dont nous partageons les dernières gouttes. Je me passe de l’eau sur le visage afin de nettoyer le sperme dont il m’a gratifié en bonne quantité.
On se sèche mutuellement tout en échangeant encore des caresses et des baisers. On retourne ensuite dans la chambre ou pendant un moment nous reprenons caresses et baisers sans nous lasser, heureux et apaisés. Il veut encore me sucer, disant qu’il ne se lasse pas de sentir une bite dans sa bouche.
- « Si j’avais sû j’aurais essayé avant ! J’adore ça ! C’est comme sentir ton corps, le caresser, t’embrasser partout ! Franchement avec un mec c’est aussi bon qu’avec une nana ! C’est différent, mais c’est bon ! Il me demande alors, pourquoi tu te rases les couilles et le cul ?
Tu n’aimes pas ?
Si, si, mais toi, quel plaisir as-tu ?
J’aime sentir cette douceur quand je me caresse et généralement mes amants et mes maîtresses aiment aussi ! En plus, ça m'excite de savoir que je suis comme ça !
T’es un drôle de numéro toi. Mais dis-moi, on recommencera ? Tu as envie de continuer ?
Si tu veux bien sûr, il faudra trouver un créneau. Et toi avec ta copine, pas de problème ? Il m’avait dit qu’il vivait avec une fille.
Non. Je trouverai bien un moment comme aujourd’hui. J’ai trop envie de recommencer avec toi. Dis, tu vas sur Internet ce soir ?
Je ne sais pas, pourquoi ?
Je voudrais te voir comme hier, te branler pour moi, franchement je vais me trouver une caméra, comme ça tu pourras me voir aussi. J’ai envie de m’exhiber moi aussi. »Nous discutons ainsi un moment, une main sur la bite de l’autre, nous caressant doucement, alternant caresses et baisers, auxquels Eric prend goût. L’heure avance malgré tout, trop vite à notre goût et il doit tout de même rentrer. Il y a déjà plus de deux heures que nous sommes ensemble.
Avec regret on se rhabille. Enfin lui, car moi j’enfile un peignoir. Je le raccompagne dehors au petit portail qui donne sur la route pour qu’il rejoigne sa voiture de l’autre côté. Là, dans le petit jardin, à l’abri tout de même des regards derrière la haie, il me roule une dernière pelle. Subitement il ouvre mon peignoir, se met à genoux et me suce quelques instants.
"C’est pour avoir ton odeur jusqu’à chez moi !
Et tu vas embrasser ta copine en arrivant ?
Ouii ! Ça sera jouissif ! Elle t’aura sucé sans le savoir! »Sur cette dernière boutade, il se retourne et s’éloigne vers son véhicule.
Nous nous sommes donnés rendez-vous sur le tchat vers vingt trois heures. A l’heure dite, je l’y retrouve et aussitôt nous passons en discussion privée pour être tranquilles. Il me dit avoir le cul qui gratte agréablement, souvenir de notre après-midi de baise. Il regrette d’avoir dû partir si vite. Malgré ses demandes, pour le faire enrager je garde mon peignoir fermé et l’oblige à me supplier avant de l’ouvrir. Il me raconte que toute la route il a pensé à ce que nous avions fait ensemble et s’est trouvé très heureux et tout excité. Sa bite était à l’étroit dans son pantalon. Il me remercie de l’initiation et ne souhaite qu’une chose, c’est recommencer le plus tôt possible. Il se déclare excité par cette aventure. Il est aussi très déçu, car à son arrivée, sa copine était absente et lui avait laissé un mot, disant qu’elle ne rentrait que vers minuit « si j’avais su je serais resté avec toi ! »Devant tant de bonnes paroles, je me devais d’enlever mon peignoir et me présentais nu face à la caméra. Eric me dit alors, "Branche le haut parleur et laisse moi t’exciter ! Moi aussi j’ai ouvert mon peignoir. Je suis à poil et je me branle en te regardant ! Laisse-toi faire! »
Commence alors un quasi monologue auquel je réponds par mes gémissements. Il me fait accomplir, face à la caméra, les gestes qu’il veut faire sur moi, je dois me branler, lui montrer mon cul, fignoler le rasage des mes couilles et de mon cul. Aller chercher un concombre dans le frigo et m’enculer avec. Je l’entends à l’autre bout, gémir de plaisir, puis gueuler qu’il jouit, me demandant de gicler dans ma main et d’avaler ensuite mon sperme.
Regrettant de ne pouvoir accomplir ces caresses en direct, nous nous séparons lorsqu’il entend le bruit de sa copine qui rentre. Nous-nous promettons un rendez-vous rapide, afin de nous retrouver une autre fois dans le même lit. Vraiment ce garçon est super et c’est vrai qu’il me tarde de le caresser à nouveau, de le sucer, de le prendre et me faire baiser par lui.
"Bonjour, tu es Eric ?
Oui , tu es Jean alors, enchanté! »
La veille nous avions eu un contact sur Internet et déjà nous nous retrouvions face à face. Nous nous serrons la main, sur ce parking. Quelqu’un qui nous verrait pourrait croire à un rendez-vous d'affaires. C’est en fait pour autre chose, que nous-nous retrouvons là !
Son pseudo sur un « tchat » d’Internet avait attiré mon attention. Très vite, nous avions trouvé un terrain d’entente, il habitait à trente kilomètres de chez moi, mais ne pouvait recevoir. J’étais seul à la maison, aussi je décidais de l’inviter. Il avait téléphoné une demi-heure auparavant pour me confirmer sa venue et j’avais vu sa voiture se garer depuis chez moi. Je n’avais eu à faire que quelques dizaines de mètres pour aller le chercher.
Je lui explique que pour plus de discrétion, il peut laisser son véhicule et que je l’emmène avec le mien de l’autre côté de la route. Le temps de faire le tour, je rentre la voiture dans le garage et nous accédons à la maison en passant par l’arrière. Une fois dedans, je referme la porte à clé. Nous sommes tranquilles.
Eric a trente deux ans et ma foi, plutôt beau garçon, il m’avait dit apprécier les hommes plus âgés pour leur expérience et il était à la recherche d’une première expérience homosexuelle.
Sachant tous les deux, ce pourquoi nous sommes là et étant le plus expérimenté, je prends les choses en main, c’est le Ças de le dire, puisque, lui mettant la main au paquet, je m’approche de son visage et l’embrasse sur les lèvres doucement, je ne sais s’il avait prévu cela, mais il n’a aucun recul et ses lèvres s’entrouvrent. Ma langue s’introduit alors et nous nous roulons une pelle bien juteuse.
Il embrasse bien et très vite sa main vient se poser sur mon pantalon afin de masser ma bite qui déjà se redresse. Debout, l’un contre l’autre, nous découvrons nos corps à travers les vêtements.
"Veux-tu aller dans la chambre, ou préfères-tu rester ici ? dis-jeOui, allons dans la chambre! »Le prenant par la main, je l’entraîne derrière moi dans l'escalier. Arrivés dans la chambre, nous reprenons notre baiser, mais j’en veux plus. Alors, glissant mes mains sous le tee-shirt, je caresse sa peau, puis je l’enlève en passant le vêtement par-dessus sa tête. Son torse musclé est bien bronzé et son parfum est agréable. Je me penche pour sucer un téton, en le pinçant un peu entre les dents. Eric semble apprécier la Caresse car il pose sa main sur ma tête et ses soupirs m’encouragent. Je m’attaque à la ceinture de son pantalon, qui ne résiste pas longtemps. Sous le slip que je laisse en place, une bosse sympathique se dessine Je m’assois sur le lit, le visage à hauteur de son sexe. Je l’attire contre moi, entre mes jambes. Prenant l’élastique des deux côtés, je baisse lentement le tissu. J’aime ce moment où je découvre le sexe de mon futur amant. Sa belle bite se dresse à quelques centimètres de mon visage, et son odeur de mâle monte à mes narines. Eric se laisse faire. C’est moi l’expérimenté qui mène le jeu. Je fini de lui ôter son dernier vêtement. Il est maintenant nu, le sexe dressé et attend la suite. Je n’ai pas l’intention de traîner, ni l’envie non plus, aussi j’attrape son membre déjà bien dur d’une main et gobe son gland. Je lève mon regard vers son visage, il a fermé les yeux, tout à son plaisir de recevoir cette première pipe faite par un homme. Je m’applique à ne pas le décevoir, d’une main je prends ses bourses et les fais rouler entre mes doigts. Ses soupirs s’accentuent, mon amant a chaud. J’aime cette position, entre les jambes de l’homme, dont je guide le plaisir de ma main et de ma bouche. Ses jambes tremblent un peu, sa main se pose sur mon crâne, de l’autre il me caresse le dos. Il est temps de passer à autre chose !
Je le guide vers le lit où il s’allonge alors que rapidement je me déshabille, sous son regard. Je monte sur la couche et me présente, la verge dressée, à genoux à ses côtés. Je me penche pour à nouveau l’embrasser, lui communiquant l’odeur de son propre sexe. Sa main part à la recherche de ma bite qu’il veut lui aussi, sentir sous ses doigts et Caressé. Il est doux et s’y prend bien, me relevant un peu je lui demande :"Tu aimes ?
Ouii ! lâche-t-il l’air heureux, j’adore, mais moi aussi je veux te sucer! Depuis que j’ai vu ta queue hier sur Internet - nous avions fait une visioconférence grâce à ma webCam - je rêve de la bouffer moi aussi ! »Je me couche à ses côtés, tête-bêche, pour un soixante neuf où chacun cherche à donner un maximum de plaisir à son partenaire. Mon amant est doué, il répète sur moi, les gestes que j’ai sur lui, sa bite est bonne et ma langue s’enroule autour du gland violacé, sur sa hampe bien dure ma main s’active. Je le pompe avec plaisir. De son côté, il apprend vite et manifestement se régale à jouer de la langue et des doigts. Lorsque j’insinue ma main entre ses fesses, il ouvre naturellement le passage. Ma langue passe sous ses bourses et glisse sur le périnée, pour atteindre son anus. J’envoie un paquet de salive et d’un doigt je commence à titiller sa rondelle, il est relâché et facilite mon action en relevant sa jambe. Sur moi, il reproduit les caresses et il me graisse le cul écartant mon trou avec ses doigts. Nous avions discuté de la possibilité de pénétration, pas obligatoire, mais protégée. Il a d’ailleurs acheté des préservatifs, aussi je prépare bien le passage en faisant tourner, un, puis deux doigts dans son étroit conduit. Il agit bien sûr de même avec moi. Une main sur sa grosse queue, l’autre dans son cul, la langue s’activant et salivant. J’ai très envie de recevoir sa belle bite au fond de moi et je profite de mener le jeu depuis le début, pour lui déclarer :"Viens ! J’ai envie que tu me prennes ! viens mettre ta grosse bite dans mon cul! »J'emploie volontairement des mots crus pour maintenir son excitation, mais nul besoin. Mon homme est bien chaud et il a très envie lui aussi de se faire le cul de ce mec qui s’offre. Alors qu’il enfile son préservatif, je me couche sur le dos et relève mes jambes et mes fesses.
«Prends-moi comme Ça, j’aime ! Un peu surpris d’abord par ma position, il se reprend vite et se glisse à genoux entre mes jambes pour pointer sa queue devant mon cul. D’une main, je le guide vers mon œillet, lui montrant bien la voie, j’en profite pour masser ses couilles et lui dis vas-y, baise moi bien ! Il pousse maintenant et sans trop de difficulté car le passage est bien préparé, il me pénètre d’une poussée lente mais continue. Sa bite est de bonne taille et je profite pleinement de l’intromission. Quand ses couilles viennent battre contre mes fesses, il sait qu’il est au fond et s’arrête un peu. Je continue le jeu et lui dis, Tu aimes, n’est-ce pas ? C’est bon d’enculer un mec ? Bourre-moi bien ! Regarde ma queue comme elle bande ! Vas-y j’aime Ça ! regarde comme ta queue me fait du bien ! Tu vois c’est bien un mec que tu ramones, et c’est bon. Il se baisse un peu sur ses bras et on s’embrasse alors qu’il me lime avec application.
Il me déchire le cul, mais c’est bon et à voir sa détermination, je sais qu’il va bientôt décharger au fond de mes entrailles. Mes jambes sur ses épaules, je suis à sa disposition et il me baise comme une femelle. Dans ma position, j’attrape facilement ses bourses par dessous, augmentant les sensations. A ce régime et à ce degré d’excitation, il ne tarde pas à grogner son plaisir pour se vider au fond de mon rectum. Il continue un moment à me limer profondément, faisant durer le plaisir qu’il découvre avec un mec. Il s’effondre enfin et revient m’embrasser fougueusement alors que sa verge se rétracte lentement et se retire de mon conduit dilaté.
Putain que c’est bon ! Dit-il enfin en se laissant aller sur le côté, repu. Sachant qu’il va éprouver une petite lassitude après sa jouissance, je saisis sa verge, enlève le préservatif, y fais un nœud afin d’éviter les fuites, puis, je plonge sur sa bite pour la sucer et le maintenir sous pression. Doucement je fais rouler ses boules entre mes doigts, je salive sur son trou et enfile deux doigts, Il mouille bien du cul « Toi tu as envie de me baiser ! Me lance-t-ilEt toi, tu as envie de te faire enculer ?
Tant que j’y suis, j’ai envie de connaître Ça aussi, mais fais doucement, je suis vierge de ce côté ! Ce n’est pas comme toi. Je suis rentré comme dans du beurre mon salaud ! T’as eu l’air d’aimer Ça !
Tu m’arrêtes quand tu veux si tu as mal ! Mais je suis moins bien monté que toi ! Je peux te dire que je l’aie bien sentie passer ta belle queue !
Tu n’as pas eu l’air de te plaindre mon salaud !
Je n’ai pas dis Ça, c’est simplement une constatation ! Allez hop en position salope, comment veux-tu te mettre ?
En levrette, prends-moi par derrière !
A vos ordres Monseigneur ! »Eric se met à genoux, les fesses bien hautes, la tête dans les draps et il attend. En face de nous, la glace de l’armoire renvoie notre image. Je le lui fais remarquer pour qu’il profite du spectacle. « Tu vois mon salaud ! Tu vas pouvoir assister en direct à ta première sodomie ! Tu as un beau cul ! Regarde comment tu t’offres à ma bite ! T’es une belle salope ! Tu vas te faire enculer ! Tu aimes faire la salope ?» Je n’attends pas de réponse. Une fois enfilé le préservatif, j’enfonce à nouveau deux doigts que je tourne dans ses fesses afin de bien dilater ses sphincters. Je pose mon gland sur sa rosette et j’attends un peu. Il tend ses fesses, alors je pousse doucement. La préparation à été bonne et petit à petit je m’enfonce dans son rectum. En plusieurs fois je pénètre complètement en lui. Quand mon bassin bute contre ses fesses, je lui dis :"Ça y est, tu es un vrai enculé, mon petit pédé !
Oh oui ! mais c’est bon ! Vas-y baise moi ! Je suis un enculé ! Une salope ! Et j’aime Ça ! J’aime te voir derrière moi en train de me baiser et sentir ta queue dans mon cul ! Putain que c’est bon ! Si j’avais sû, j’aurais fais Ça avant ! Vas-y oui ! Défonce-moi !»Accroché à ses hanches, je le lime consciencieusement et longuement, il m’encourage de la voix. Moi aussi j’aime enculer ce beau garçon qui se donne à moi. J’ai chaud. Je suis bien. J’aimerai que ça dure, mais bien serré dans son boyau étroit, je sens monter ma jouissance et je me vide en lui.
Je reste ancré profondément dans son cul en attendant que mon orgasme redescende. Quand enfin je me retire il se laisse glisser à plat ventre, lui aussi vidé par la séance de baise et l’émotion. Nous restons étalés côte à côte, j’en profite pour caresser son corps musclé en l’embrassant sur la nuque et les épaules.
Après quelques instants, il me demande d’aller aux toilettes. Je connais cette sensation après la sodomie. Je l’entraine dans la salle d’eau. Il s’extasie devant l’immense miroir qui fait face à la douche à l’italienne où on peut entrer à deux. Le temps qu’il passe sur la cuvette, je me lave la verge et me rafraîchit un peu. Il me laisse ensuite la place, puis quand je reviens à ses côtés il me prend par l’épaule et face à la glace, observe notre étrange couple.
"Ça te fait quoi d’avoir franchi le pas ? lui dis-jeÇa fait un moment que j’avais envie, et franchement je ne regrette pas, il prend ma tête et m’embrasse, je sens qu’en même temps il regarde dans le miroir.
Ça t’excites de te regarder me rouler une pelle ? dis-je en me dégageant de sa boucheC’est vrai que c’est bon, je pensais que ça me dégoûterait d’embrasser un homme, mais ça aussi j’aime. Il attrape ma bite et me caresse, je vois la sienne reprendre de la vigueur.
Tu as encore envie dis-je ?
Je crois bien que oui !
Reste là je vais te sucer et te faire jouir devant la glace. Tu auras le plaisir et le spectacle en plus !
T’es vraiment un vicieux toi ! Mais oui c’est bon ! Vas-y mon salaud ! Pompe-moi bien le nœud, je vois que tu aimes ça ! Toi aussi t’es une salope !»Il se régale à nous regarder dans le miroir. Lui debout et moi à genoux entre ses jambes, sa bite entre mes lèvres. Il pose la main sur ma tête. Mais, moi non plus je ne manque rien de ce moment. Du coin de l’œil je me regarde à genoux, en train de sucer cette belle bite. Je m’applique à être le plus « salope » possible, alternant les coups de langue sur et sous le gland, avec de bonnes aspirations de sa queue veinée. Il donne parfois des coups de rein comme pour me « baiser la gueule ». Je le tiens par les couilles que je sens gonfler. Je le sens proche de la jouissance et j’accentue les mouvements du poignet ainsi que les pressions sur les bourses. Je glisse enfin un doigt dans son cul encore dilaté. Sa queue se tend alors et il gicle sur mon visage qui ne s’éloigne pas. Moins abondant sûrement, son sperme se répand tout de même sur ma figure et coule sur mes lèvres et mon menton. Je suis heureux d’avoir fait jouir ce beau garçon par mon talent de pompeur. Je le reprends en bouche pour nettoyer sa bite et lui apporter un dernier plaisir. Je me relève enfin et je l’embrasse à nouveau, lui faisant retrouver sur mes lèvres et ma langue, le goût de son sperme dont nous partageons les dernières gouttes. Je me passe de l’eau sur le visage afin de nettoyer le sperme dont il m’a gratifié en bonne quantité.
On se sèche mutuellement tout en échangeant encore des caresses et des baisers. On retourne ensuite dans la chambre ou pendant un moment nous reprenons caresses et baisers sans nous lasser, heureux et apaisés. Il veut encore me sucer, disant qu’il ne se lasse pas de sentir une bite dans sa bouche.
- « Si j’avais sû j’aurais essayé avant ! J’adore ça ! C’est comme sentir ton corps, le caresser, t’embrasser partout ! Franchement avec un mec c’est aussi bon qu’avec une nana ! C’est différent, mais c’est bon ! Il me demande alors, pourquoi tu te rases les couilles et le cul ?
Tu n’aimes pas ?
Si, si, mais toi, quel plaisir as-tu ?
J’aime sentir cette douceur quand je me caresse et généralement mes amants et mes maîtresses aiment aussi ! En plus, ça m'excite de savoir que je suis comme ça !
T’es un drôle de numéro toi. Mais dis-moi, on recommencera ? Tu as envie de continuer ?
Si tu veux bien sûr, il faudra trouver un créneau. Et toi avec ta copine, pas de problème ? Il m’avait dit qu’il vivait avec une fille.
Non. Je trouverai bien un moment comme aujourd’hui. J’ai trop envie de recommencer avec toi. Dis, tu vas sur Internet ce soir ?
Je ne sais pas, pourquoi ?
Je voudrais te voir comme hier, te branler pour moi, franchement je vais me trouver une caméra, comme ça tu pourras me voir aussi. J’ai envie de m’exhiber moi aussi. »Nous discutons ainsi un moment, une main sur la bite de l’autre, nous caressant doucement, alternant caresses et baisers, auxquels Eric prend goût. L’heure avance malgré tout, trop vite à notre goût et il doit tout de même rentrer. Il y a déjà plus de deux heures que nous sommes ensemble.
Avec regret on se rhabille. Enfin lui, car moi j’enfile un peignoir. Je le raccompagne dehors au petit portail qui donne sur la route pour qu’il rejoigne sa voiture de l’autre côté. Là, dans le petit jardin, à l’abri tout de même des regards derrière la haie, il me roule une dernière pelle. Subitement il ouvre mon peignoir, se met à genoux et me suce quelques instants.
"C’est pour avoir ton odeur jusqu’à chez moi !
Et tu vas embrasser ta copine en arrivant ?
Ouii ! Ça sera jouissif ! Elle t’aura sucé sans le savoir! »Sur cette dernière boutade, il se retourne et s’éloigne vers son véhicule.
Nous nous sommes donnés rendez-vous sur le tchat vers vingt trois heures. A l’heure dite, je l’y retrouve et aussitôt nous passons en discussion privée pour être tranquilles. Il me dit avoir le cul qui gratte agréablement, souvenir de notre après-midi de baise. Il regrette d’avoir dû partir si vite. Malgré ses demandes, pour le faire enrager je garde mon peignoir fermé et l’oblige à me supplier avant de l’ouvrir. Il me raconte que toute la route il a pensé à ce que nous avions fait ensemble et s’est trouvé très heureux et tout excité. Sa bite était à l’étroit dans son pantalon. Il me remercie de l’initiation et ne souhaite qu’une chose, c’est recommencer le plus tôt possible. Il se déclare excité par cette aventure. Il est aussi très déçu, car à son arrivée, sa copine était absente et lui avait laissé un mot, disant qu’elle ne rentrait que vers minuit « si j’avais su je serais resté avec toi ! »Devant tant de bonnes paroles, je me devais d’enlever mon peignoir et me présentais nu face à la caméra. Eric me dit alors, "Branche le haut parleur et laisse moi t’exciter ! Moi aussi j’ai ouvert mon peignoir. Je suis à poil et je me branle en te regardant ! Laisse-toi faire! »
Commence alors un quasi monologue auquel je réponds par mes gémissements. Il me fait accomplir, face à la caméra, les gestes qu’il veut faire sur moi, je dois me branler, lui montrer mon cul, fignoler le rasage des mes couilles et de mon cul. Aller chercher un concombre dans le frigo et m’enculer avec. Je l’entends à l’autre bout, gémir de plaisir, puis gueuler qu’il jouit, me demandant de gicler dans ma main et d’avaler ensuite mon sperme.
Regrettant de ne pouvoir accomplir ces caresses en direct, nous nous séparons lorsqu’il entend le bruit de sa copine qui rentre. Nous-nous promettons un rendez-vous rapide, afin de nous retrouver une autre fois dans le même lit. Vraiment ce garçon est super et c’est vrai qu’il me tarde de le caresser à nouveau, de le sucer, de le prendre et me faire baiser par lui.
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