Eric, Georges... et les autres 10 Prostitué par un transsexuel
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2022 dans la catégorie Plus on est
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Eric, Georges... et les autres 10 Prostitué par un transsexuel
Prostitué par un transsexuel
Lors de la soirée suivante chez Georges, alors que tout le monde était là, Cynthia a présenté la chose. Personne n’était véritablement surpris en voyant l’état de dépendance vis-à-vis d’elle que je montrais. J’en avais parlé à Henriette qui bien que choquée par le côté prostitution, avait donné son feu vert à la réalisation de ce fantasme. Elle m’avouera d’ailleurs avoir eu le même, sans le courage de passer le cap. Je lui ai dit que pour moi c’était surtout le fantasme de m’abandonner au bon vouloir de Cynthia plutôt que celui de me prostituer, mais que c’était le marché proposé par ma maîtresse, auquel bien sûr je voulais souscrire. Peu importait les conditions puisque je me soumettais !
Pendant un an, de façon irrégulière, Cynthia m’a donc « vendu », toujours en sa présence, à des couples, des hommes ou des femmes.
J’ai également participé à deux week-ends d’esclavage en compagnie d’autre soumis mâles et femelles dans la propriété d’un ami à elle.
Ma seule inquiétude était de tomber sur quelqu’un qui me connaisse. Pour le reste, j’étais fier de montrer aux autres que j’appartenais à cette femme.
Quand nous rencontrions des couples, des femmes ou des hommes seuls, je pouvais être le seul soumis, mais aussi être l’instrument de Cynthia pour soumettre ou encore faire partie de l’équipage soumis. Je me suis retrouvé ainsi soumis avec un autre homme au bon vouloir des deux dames qui s’amusaient aussi entre elles. Ou encore soumis avec la femme au bon vouloir des deux hommes s’amusant entre-eux. Bref diverses combinaisons y sont passées.
Les deux week-ends resteront gravés dans ma mémoire, car les moments ont été intenses. Cynthia m’avait prévenu que les soumis ne seraient pas ménagés. Peu ou pas de sommeil et des sollicitations quasi permanentes. En effet les maîtres et maîtresses étaient plus nombreux que les soumis et avaient de gros besoins. Heureusement pour moi, étant le soumis de Cynthia, celle-ci ayant une aura particulière, j’étais un peu « protégé » et toujours dans son groupe. Elle n’hésitait pas et me « donnait » plutôt à des mâles, qu’à des jeux sadiques en extérieur.
Lors du deuxième séjour, j’ai reconnu une personne à son arrivée. Ne pouvant me soustraire, Cynthia a obtenu que je sois masqué. Je me suis arrangé pour être toujours loin de la connaissance qui ne s’intéressait d’ailleurs qu’aux femmes et plutôt très jeunes. J’ai eu une pensée pour la sienne. Moi qui pensais ce couple parfaitement uni, je découvrais une face cachée de la personnalité de cet homme « bien sous tous rapports », qui m’ouvrira plus tard les bras de sa femme. Mais c'est une autre histoire.
Il y avait toujours des personnes masquées lors de ces réunions, aussi la demande de Cynthia a-t-elle été acceptée sans problème. Je n’aurais pas voulu que cet homme me voit dans cette situation dégradante où j’ai subi les assauts de plusieurs hommes et femmes dont une, qui m’a promené en laisse pendant longtemps.
A un moment elle m’amène devant une vieille femme qui doit avoir pas loin de quatre vingt ans. « Lèche ! » A genoux, je m’exécute. La vieille a une toison clairsemée toute blanche. Les cuisses fripées ne sont guère attirantes, mais n’ayant pas mon mot à dire, je plonge mon visage sur sa chatte. Surprise ! Elle sent bon ! Je lape sa cramouille qui dégouline. On m’avait dit que les vieilles femmes ne mouillaient plus beaucoup, mais celle-ci doit être une exception !
Alors que je m’active, je sens une présence derrière moi. Ma partenaire plaque ma figure sur sa moule et je sens une bite bien dure et bien grosse qui force mon anus. Je ne peux, ni ne veux m’y soustraire, mais je la sens passer. L’homme s’active rapidement en moi et lâche son sperme très vite laissant sa place à un autre qui agit de même. On dirait que tous les éjaculateurs rapides de la soirée se sont donné le mot pour me remplir. Ce sont cinq ou six qui viennent ainsi se vider les couilles dans mon cul.
Cynthia m’avait demandé de garder au maximum la liqueur dans mon rectum. Je sens tout de même mon ventre ballonné par ce « lavement » au sperme. Je ne suis qu’un trou qu’on rempli !
Lorsque la vieille lâche ma tête après m’avoir aussi bien arrosé, je vois face à moi ma divine maîtresse qui me sourit. Je suis heureux de lui avoir prouvé mon obéissance. Je pense même que c’est elle qui a demandé à ces hommes de se soulager en moi.
Je serre les fesses. J’ai fortement envie de me branler mais je sais que je ne dois pas le faire.
Cynthia me prend par la main et me relève. Debout, elle me guide par-dessus la vieille et me fait m’accroupir au-dessus de son visage.
« Mes amis ! Ma pute va vider son cul dans la bouche de cette vieille salope de Clotilde ! Maintenant qu’il est bien plein de sperme, notre amie va se régaler ! Quelqu’un veut-il se faire sucer par ma pute pendant qu’elle se vide ?
Moi ! » L’homme qui s’approche n’est autre que ma connaissance ! Moi qui croyais qu’il ne s’intéressait qu’aux femmes ! Cynthia a un sourire carnassier en le voyant.
« Profitez mon ami ! Je ne pensais pas que vous aimiez aussi les hommes !
Je n’ai jamais essayé, mais j’ai envie de me faire sucer par un homme pour une fois ! Surtout par cette salope de pédale.
Ne vous gênez pas ! Ma pute va bien vous essorer ! Elle adore le sperme que ce soit dans son cul ou dans sa bouche ! Gavez-la bien ! »Je panique, avant de me rappeler que je suis masqué ! Docilement, j’ouvre la bouche. Après tout, sa queue ou une autre. De toute façon, Cynthia ne tolérerait pas un refus et serait capable de me retirer le masque pour me punir.
Finalement j’apprécie de sucer anonymement cet homme que je rencontre souvent. Sa queue n’est pas énorme, ni très raide ! C’est à ce moment-là que je décide d’un jour draguer sa femme et de le cocufier !
J’attends l’ordre de ma maîtresse pour relâcher et contracter alternativement mes muscles. Mon cul est à quelques centimètres au-dessus de la bouche receveuse, car Cynthia veut que le public voit bien le sperme couler de mon cul. « Vas-y ! Lâche ! » Ma maîtresse a vu que l’homme que je suçais, jouissait dans ma bouche – en plus c’est lui aussi un rapide me dis-je – Je sais que je dois garder la bouche ouverte pour bien montrer à tous le sperme sur ma langue. En même temps je relâche mes sphincters et sens couler lentement le liquide glaireux. Cela dure longtemps. Ce n’est qu’à la fin que je dois « pousser » pour me vider entièrement. Heureusement le lavement profond subi avant la soirée a bien nettoyé mes intestins. La vieille de toute façon n’en a cure. Elle avale tout, puis agrippe mes hanches pour que je pose mon cul sur sa bouche pour m’enfiler la langue dans le fion.
« Donne-lui ton jus ! » M’intime Cynthia enfin. Je me relève, recule un peu et me branle au-dessus de Clotilde qui ouvre grand sa bouche en attente de son « dessert » Ma jouissance est presque douloureuse, tellement j’ai attendu et ma prostate sollicitée par toutes les sodomies subies. Clotilde absorbe tout, nettoie bien ma bite pour ne rien laisser perdre. Cynthia me relève alors. J’ai du mal à tenir debout car il y a longtemps que je suis à genoux.
L’homme que je suçais est reparti vers un groupe de jeunes femmes de l’âge de sa fille, content de s’être fait sucer par un homme. Ça me rassure. Cynthia me félicite et m’autorise à aller faire un peu de toilette. Elle repart de son côté avec deux femmes à son bras qui gloussent à la pensée de passer un moment dans les bras de la belle transsexuelle. J’invite Clotilde à me suivre.
« Cela ne vous gêne pas d’accompagner une vieille femme ?
Une charmante grand-mère qui a avalé ce que contenait mon cul et que j’ai envie de baiser !
Vous êtes gentil ! Mais… Que va dire votre…Maîtresse ?
O... Oui ! Je ne sais comment dire…C’est au féminin que je pense à elle, même si son côté mâle me donne beaucoup de plaisir !
Je vous aime bien vous ! Et votre langue m’a bien fait jouir tout à l’heure. Suivez-moi, allons nous amuser dans une chambre tous les deux. »Je vois plus loin Cynthia qui nous a vus. Elle me fait un clin d’œil, montrant qu’elle m’approuve. Clotilde semble bien connaître la demeure et me guide à l’étage. Nous entrons dans une belle chambre équipée d’un grand lit à baldaquin. Nous filons d’abord dans la salle d’eau recouverte de marbre et glissons sous la douche à l’italienne où nous nous savonnons mutuellement.
A peine séchés, nous revenons sur le lit pour un moment de calins. Clotilde est une charmante compagne. J’oublie son âge vénérable. Sa peau est douce et sent bon. Ses yeux bleus rieurs lui donnent un air presque juvénile. A nouveau je plonge dans sa chatte pour lécher ses nymphes. Elle tient à me rendre la pareille et nous partons pour un long soixante neuf. Revigorés après la douche et ce long moment de tendresse, je baise alors Clotilde qui noue ses jambes graciles dans mon dos et se donne à fond.
C’est Cynthia qui nous retrouve le matin, enlacés nus sur l’immense couche, où Clotilde m’a plusieurs fois sollicité pour que je la prenne. Elle m’a donné son cul après m’avoir au préalable, enculé au gode ceinture. Elle n’a demandé grâce qu’au petit matin. Cynthia est encore magnifiquement nue. Il faut dire que pour elle cela semble naturel de se promener ainsi.
« Vous sortez encore du lit de mon gendre ! lance Clotilde qui se réveille en riant.
De votre gendre et votre fille chère amie ! Hubert a insisté pour que je baise sa femme dans le lit conjugal pendant qu’il me sodomisait ! Il ne tient pas à tremper son vit dans une chatte abondamment remplie par les mâles de la soirée !
Ma fille est une pute !
Disons qu’elle est devenue la putain de son dévoyé de mari, comme l’est devenu pour moi, celui qui est avec vous ! Mais il est temps maintenant pour nous de vous quitter.
Je me lève, embrasse cérémonieusement Clotilde et nous retrouvons nos semblables au vestiaire. Une fois rhabillés, Cynthia distribue l’argent. Cette cérémonie est destinée à nous rappeler que nous sommes des prostitués, ce qui ajoute à notre émoi, tout du moins pour moi. Certains ou certaines d’entre nous étant des « professionnels » Je n’ai jamais posé la question de savoir si j’étais le seul à me prostituer « par amour ». Ce soir-là nous étions trois soumis et deux soumises. Il y avait aussi quatre prostitués hommes et quatre femmes. Cynthia était la seule trans, mais manifestement la maquerelle du groupe. C’est elle qui négociait avec les clients.
Chacun de nous touchait mille euros. La paye de Cynthia était inconnue, sauf que je savais qu’elle « facturait » vingt cinq mille euros pour la soirée. Comme je l’ai dit, pour moi l’argent n’était pas une finalité, mais la preuve que je pouvais me prostituer pour plaire à ma maîtresse. Cynthia le savait et lors de la distribution, insistait lorsque mon tour arrivait.
J’ai donc fais la pute pendant un an, tout ça parce qu’un jour j’ai entamé un dialogue avec un homme qui cherchait sur un tchat une première expérience homo !
L’histoire s’est terminée lorsque Cynthia a été arrêtée pour incitation à la prostitution et qu’elle a dû quitter la France. Depuis le Maroc où elle s’est réfugiée et a d’ailleurs continué son activité, elle m’a appelé, pour m’inviter d’une part et pour m’informer que le délateur n’était autre que ma fameuse connaissance ! Il n’avait pas supporté d’être ridiculisé par ma belle lors d’une soirée à laquelle je n’assistais pas !
Mes amis et notamment Henriette, avaient accepté cette situation un peu « limite » voyant la « dépendance » que j’avais vis-à-vis de Cynthia. Après son départ précipité je suis redevenu plus présent, finalement soulagé de la fin de cette expérience particulièrement étrange.
Après l’appel de Cynthia, Henriette à qui j’en parlais, n’était pas enthousiaste pour aller lui rendre visite. Je l’avais bien sûr invitée à venir avec moi passer une semaine à Agadir. Elle redoutait que je ne retombe sous la coupe de ma belle transsexuelle et qu’elle ne me prostitue à nouveau là bas.
Je lui ai expliqué, tout comme aux autres membres du groupe, que j’avais franchi ce cap. Que je les remerciais de ne pas m’avoir rejeté à ce moment particulier de ma vie, mais que c’était fini. Certes j’étais excité à la pensée de revoir Cynthia et sûrement de me faire prendre par elle, mais me prostituer, plus jamais ça !
Lors de la soirée suivante chez Georges, alors que tout le monde était là, Cynthia a présenté la chose. Personne n’était véritablement surpris en voyant l’état de dépendance vis-à-vis d’elle que je montrais. J’en avais parlé à Henriette qui bien que choquée par le côté prostitution, avait donné son feu vert à la réalisation de ce fantasme. Elle m’avouera d’ailleurs avoir eu le même, sans le courage de passer le cap. Je lui ai dit que pour moi c’était surtout le fantasme de m’abandonner au bon vouloir de Cynthia plutôt que celui de me prostituer, mais que c’était le marché proposé par ma maîtresse, auquel bien sûr je voulais souscrire. Peu importait les conditions puisque je me soumettais !
Pendant un an, de façon irrégulière, Cynthia m’a donc « vendu », toujours en sa présence, à des couples, des hommes ou des femmes.
J’ai également participé à deux week-ends d’esclavage en compagnie d’autre soumis mâles et femelles dans la propriété d’un ami à elle.
Ma seule inquiétude était de tomber sur quelqu’un qui me connaisse. Pour le reste, j’étais fier de montrer aux autres que j’appartenais à cette femme.
Quand nous rencontrions des couples, des femmes ou des hommes seuls, je pouvais être le seul soumis, mais aussi être l’instrument de Cynthia pour soumettre ou encore faire partie de l’équipage soumis. Je me suis retrouvé ainsi soumis avec un autre homme au bon vouloir des deux dames qui s’amusaient aussi entre elles. Ou encore soumis avec la femme au bon vouloir des deux hommes s’amusant entre-eux. Bref diverses combinaisons y sont passées.
Les deux week-ends resteront gravés dans ma mémoire, car les moments ont été intenses. Cynthia m’avait prévenu que les soumis ne seraient pas ménagés. Peu ou pas de sommeil et des sollicitations quasi permanentes. En effet les maîtres et maîtresses étaient plus nombreux que les soumis et avaient de gros besoins. Heureusement pour moi, étant le soumis de Cynthia, celle-ci ayant une aura particulière, j’étais un peu « protégé » et toujours dans son groupe. Elle n’hésitait pas et me « donnait » plutôt à des mâles, qu’à des jeux sadiques en extérieur.
Lors du deuxième séjour, j’ai reconnu une personne à son arrivée. Ne pouvant me soustraire, Cynthia a obtenu que je sois masqué. Je me suis arrangé pour être toujours loin de la connaissance qui ne s’intéressait d’ailleurs qu’aux femmes et plutôt très jeunes. J’ai eu une pensée pour la sienne. Moi qui pensais ce couple parfaitement uni, je découvrais une face cachée de la personnalité de cet homme « bien sous tous rapports », qui m’ouvrira plus tard les bras de sa femme. Mais c'est une autre histoire.
Il y avait toujours des personnes masquées lors de ces réunions, aussi la demande de Cynthia a-t-elle été acceptée sans problème. Je n’aurais pas voulu que cet homme me voit dans cette situation dégradante où j’ai subi les assauts de plusieurs hommes et femmes dont une, qui m’a promené en laisse pendant longtemps.
A un moment elle m’amène devant une vieille femme qui doit avoir pas loin de quatre vingt ans. « Lèche ! » A genoux, je m’exécute. La vieille a une toison clairsemée toute blanche. Les cuisses fripées ne sont guère attirantes, mais n’ayant pas mon mot à dire, je plonge mon visage sur sa chatte. Surprise ! Elle sent bon ! Je lape sa cramouille qui dégouline. On m’avait dit que les vieilles femmes ne mouillaient plus beaucoup, mais celle-ci doit être une exception !
Alors que je m’active, je sens une présence derrière moi. Ma partenaire plaque ma figure sur sa moule et je sens une bite bien dure et bien grosse qui force mon anus. Je ne peux, ni ne veux m’y soustraire, mais je la sens passer. L’homme s’active rapidement en moi et lâche son sperme très vite laissant sa place à un autre qui agit de même. On dirait que tous les éjaculateurs rapides de la soirée se sont donné le mot pour me remplir. Ce sont cinq ou six qui viennent ainsi se vider les couilles dans mon cul.
Cynthia m’avait demandé de garder au maximum la liqueur dans mon rectum. Je sens tout de même mon ventre ballonné par ce « lavement » au sperme. Je ne suis qu’un trou qu’on rempli !
Lorsque la vieille lâche ma tête après m’avoir aussi bien arrosé, je vois face à moi ma divine maîtresse qui me sourit. Je suis heureux de lui avoir prouvé mon obéissance. Je pense même que c’est elle qui a demandé à ces hommes de se soulager en moi.
Je serre les fesses. J’ai fortement envie de me branler mais je sais que je ne dois pas le faire.
Cynthia me prend par la main et me relève. Debout, elle me guide par-dessus la vieille et me fait m’accroupir au-dessus de son visage.
« Mes amis ! Ma pute va vider son cul dans la bouche de cette vieille salope de Clotilde ! Maintenant qu’il est bien plein de sperme, notre amie va se régaler ! Quelqu’un veut-il se faire sucer par ma pute pendant qu’elle se vide ?
Moi ! » L’homme qui s’approche n’est autre que ma connaissance ! Moi qui croyais qu’il ne s’intéressait qu’aux femmes ! Cynthia a un sourire carnassier en le voyant.
« Profitez mon ami ! Je ne pensais pas que vous aimiez aussi les hommes !
Je n’ai jamais essayé, mais j’ai envie de me faire sucer par un homme pour une fois ! Surtout par cette salope de pédale.
Ne vous gênez pas ! Ma pute va bien vous essorer ! Elle adore le sperme que ce soit dans son cul ou dans sa bouche ! Gavez-la bien ! »Je panique, avant de me rappeler que je suis masqué ! Docilement, j’ouvre la bouche. Après tout, sa queue ou une autre. De toute façon, Cynthia ne tolérerait pas un refus et serait capable de me retirer le masque pour me punir.
Finalement j’apprécie de sucer anonymement cet homme que je rencontre souvent. Sa queue n’est pas énorme, ni très raide ! C’est à ce moment-là que je décide d’un jour draguer sa femme et de le cocufier !
J’attends l’ordre de ma maîtresse pour relâcher et contracter alternativement mes muscles. Mon cul est à quelques centimètres au-dessus de la bouche receveuse, car Cynthia veut que le public voit bien le sperme couler de mon cul. « Vas-y ! Lâche ! » Ma maîtresse a vu que l’homme que je suçais, jouissait dans ma bouche – en plus c’est lui aussi un rapide me dis-je – Je sais que je dois garder la bouche ouverte pour bien montrer à tous le sperme sur ma langue. En même temps je relâche mes sphincters et sens couler lentement le liquide glaireux. Cela dure longtemps. Ce n’est qu’à la fin que je dois « pousser » pour me vider entièrement. Heureusement le lavement profond subi avant la soirée a bien nettoyé mes intestins. La vieille de toute façon n’en a cure. Elle avale tout, puis agrippe mes hanches pour que je pose mon cul sur sa bouche pour m’enfiler la langue dans le fion.
« Donne-lui ton jus ! » M’intime Cynthia enfin. Je me relève, recule un peu et me branle au-dessus de Clotilde qui ouvre grand sa bouche en attente de son « dessert » Ma jouissance est presque douloureuse, tellement j’ai attendu et ma prostate sollicitée par toutes les sodomies subies. Clotilde absorbe tout, nettoie bien ma bite pour ne rien laisser perdre. Cynthia me relève alors. J’ai du mal à tenir debout car il y a longtemps que je suis à genoux.
L’homme que je suçais est reparti vers un groupe de jeunes femmes de l’âge de sa fille, content de s’être fait sucer par un homme. Ça me rassure. Cynthia me félicite et m’autorise à aller faire un peu de toilette. Elle repart de son côté avec deux femmes à son bras qui gloussent à la pensée de passer un moment dans les bras de la belle transsexuelle. J’invite Clotilde à me suivre.
« Cela ne vous gêne pas d’accompagner une vieille femme ?
Une charmante grand-mère qui a avalé ce que contenait mon cul et que j’ai envie de baiser !
Vous êtes gentil ! Mais… Que va dire votre…Maîtresse ?
O... Oui ! Je ne sais comment dire…C’est au féminin que je pense à elle, même si son côté mâle me donne beaucoup de plaisir !
Je vous aime bien vous ! Et votre langue m’a bien fait jouir tout à l’heure. Suivez-moi, allons nous amuser dans une chambre tous les deux. »Je vois plus loin Cynthia qui nous a vus. Elle me fait un clin d’œil, montrant qu’elle m’approuve. Clotilde semble bien connaître la demeure et me guide à l’étage. Nous entrons dans une belle chambre équipée d’un grand lit à baldaquin. Nous filons d’abord dans la salle d’eau recouverte de marbre et glissons sous la douche à l’italienne où nous nous savonnons mutuellement.
A peine séchés, nous revenons sur le lit pour un moment de calins. Clotilde est une charmante compagne. J’oublie son âge vénérable. Sa peau est douce et sent bon. Ses yeux bleus rieurs lui donnent un air presque juvénile. A nouveau je plonge dans sa chatte pour lécher ses nymphes. Elle tient à me rendre la pareille et nous partons pour un long soixante neuf. Revigorés après la douche et ce long moment de tendresse, je baise alors Clotilde qui noue ses jambes graciles dans mon dos et se donne à fond.
C’est Cynthia qui nous retrouve le matin, enlacés nus sur l’immense couche, où Clotilde m’a plusieurs fois sollicité pour que je la prenne. Elle m’a donné son cul après m’avoir au préalable, enculé au gode ceinture. Elle n’a demandé grâce qu’au petit matin. Cynthia est encore magnifiquement nue. Il faut dire que pour elle cela semble naturel de se promener ainsi.
« Vous sortez encore du lit de mon gendre ! lance Clotilde qui se réveille en riant.
De votre gendre et votre fille chère amie ! Hubert a insisté pour que je baise sa femme dans le lit conjugal pendant qu’il me sodomisait ! Il ne tient pas à tremper son vit dans une chatte abondamment remplie par les mâles de la soirée !
Ma fille est une pute !
Disons qu’elle est devenue la putain de son dévoyé de mari, comme l’est devenu pour moi, celui qui est avec vous ! Mais il est temps maintenant pour nous de vous quitter.
Je me lève, embrasse cérémonieusement Clotilde et nous retrouvons nos semblables au vestiaire. Une fois rhabillés, Cynthia distribue l’argent. Cette cérémonie est destinée à nous rappeler que nous sommes des prostitués, ce qui ajoute à notre émoi, tout du moins pour moi. Certains ou certaines d’entre nous étant des « professionnels » Je n’ai jamais posé la question de savoir si j’étais le seul à me prostituer « par amour ». Ce soir-là nous étions trois soumis et deux soumises. Il y avait aussi quatre prostitués hommes et quatre femmes. Cynthia était la seule trans, mais manifestement la maquerelle du groupe. C’est elle qui négociait avec les clients.
Chacun de nous touchait mille euros. La paye de Cynthia était inconnue, sauf que je savais qu’elle « facturait » vingt cinq mille euros pour la soirée. Comme je l’ai dit, pour moi l’argent n’était pas une finalité, mais la preuve que je pouvais me prostituer pour plaire à ma maîtresse. Cynthia le savait et lors de la distribution, insistait lorsque mon tour arrivait.
J’ai donc fais la pute pendant un an, tout ça parce qu’un jour j’ai entamé un dialogue avec un homme qui cherchait sur un tchat une première expérience homo !
L’histoire s’est terminée lorsque Cynthia a été arrêtée pour incitation à la prostitution et qu’elle a dû quitter la France. Depuis le Maroc où elle s’est réfugiée et a d’ailleurs continué son activité, elle m’a appelé, pour m’inviter d’une part et pour m’informer que le délateur n’était autre que ma fameuse connaissance ! Il n’avait pas supporté d’être ridiculisé par ma belle lors d’une soirée à laquelle je n’assistais pas !
Mes amis et notamment Henriette, avaient accepté cette situation un peu « limite » voyant la « dépendance » que j’avais vis-à-vis de Cynthia. Après son départ précipité je suis redevenu plus présent, finalement soulagé de la fin de cette expérience particulièrement étrange.
Après l’appel de Cynthia, Henriette à qui j’en parlais, n’était pas enthousiaste pour aller lui rendre visite. Je l’avais bien sûr invitée à venir avec moi passer une semaine à Agadir. Elle redoutait que je ne retombe sous la coupe de ma belle transsexuelle et qu’elle ne me prostitue à nouveau là bas.
Je lui ai expliqué, tout comme aux autres membres du groupe, que j’avais franchi ce cap. Que je les remerciais de ne pas m’avoir rejeté à ce moment particulier de ma vie, mais que c’était fini. Certes j’étais excité à la pensée de revoir Cynthia et sûrement de me faire prendre par elle, mais me prostituer, plus jamais ça !
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