Eric, Georges… et les autres 2 Partie à trois avec Georges - histoire érotique

Partie à trois avec Georges
Deux jours plus tard, il m’appelle, pour me dire qu’à force de penser à moi et à ce que nous avions fait, il s’est ouvert de ses envies à un vieux copain qui, à sans grande surprise, alors qu’il pensait le décevoir, lui a avoué avoir les mêmes tendances. Depuis vingt ans qu’ils se connaissent, aucun d’eux n'avait pensé cela de l’autre. Ils sont partis ensemble dans un coin discret et se sont sucés mutuellement pour leur plaisir commun. Il s’est alors confié à lui et lui a avoué notre rencontre et le plaisir qu’il en a retiré. Son ami Georges est séparé depuis quelques temps et peut donc recevoir, il me propose de les y retrouver pour une partie à trois, le lendemain samedi. Une telle opportunité ne se trouvant pas souvent et franchement, ayant un bon souvenir de notre intermède de l’avant veille, je lui confirme que je ferai tout pour me rendre disponible.
J’invente un prétexte et je peux rapidement confirmer à Eric que je serai avec eux le lendemain.
Le samedi matin donc, après avoir pris une bonne douche accompagnée d’un lavage soigné de mes intestins et d’un rasage fignolé de mes parties intimes : sexe, couilles, périnée et cul, je prends une tenue décontractée et un sac avec du change. J’ai annoncé à mon entourage ne rentrer que le dimanche dans la journée ou la soirée.
Je ne sais si mes compagnons le voudront, mais à tout hasard j’emporte mon ordinateur portable avec la webcam et l’appareil photo numérique. Au pire nous ferons des photos, et peut-être nous filmerons-nous, afin de garder des souvenirs de ces moments qui n’en doutons pas, seront chauds !
Je rejoins Eric sur le parking anonyme d’un hypermarché. Cela devient une habitude. Comme l’autre jour, nous échangeons une simple poignée de main et je le suis avec ma voiture jusqu’à chez son copain.
Georges possède une petite maison avec un jardin discret. Nous entrons directement dans le parc où, une fois garés et le portail fermé, nul ne peut savoir ce qui se passe dans la propriété. A notre arrivée, le propriétaire vient nous recevoir et ma foi, ce premier contact est agréable. Il faut dire qu’Eric m’a vanté son copain et qu’il en a fait de même dans l’autre sens.
Dès que nous sommes à l’intérieur, sûrement pour montrer à Georges notre complicité, Eric m’enlace et, debout au milieu de la pièce nous nous embrassons avec passion. Depuis l’autre jour, nous prenons beaucoup de plaisir à nous rouler des pelles. Lorsqu’enfin, nous-nous séparons, Georges dit :"Eh bien, vous deux, ne vous gênez pas, vous étiez en manque ma parole !
On te choque ? dit EricNon, mais malgré tout, ça me surprend…Tu as envie toi aussi ? Dis-jeJe... Ne sais pas! »M’approchant de lui avec Eric, je passe mon bras autour de sa taille, Éric de l’autre côté et nous commençons à l’embrasser, dans le cou, le menton, l’oreille. Je laisse Éric être le premier à prendre les lèvres de son ami. Je mêle un instant ma langue aux leurs, puis les laisse pour me mettre à leurs pieds. Tour à tour, je dégrafe les pantalons et les baisse sur leurs chevilles. Je m’attaque ensuite aux slips, déformés par de belles bosses. Connaissant la belle bite d’Eric, je me contente de la prendre en main pour la branlocher et me consacrer à celle de son copain qui est fort bien monté, un gros gland violacé qui prélude à de bonnes sensations. Je m'applique afin que ma fellation lui donne un maximum de plaisir. Abandonnant parfois sa bite pour sucer celle d’Eric, c’est assez génial de passer ainsi alternativement à deux engins différents, aussi je me régale. Au-dessus de moi, les deux amis s'enlèvent mutuellement les habits et se caressent les seins et le dos tout en continuant à se rouler des pelles, puis ensemble, ils me soulèvent et entreprennent de me mettre nu.
Une fois fait, Georges s’étale sur le canapé et Eric à genoux plonge sur la queue de son ami. Je monte à genoux sur le sofa et présente mon gland à Georges, qui sans hésitation ouvre ses lèvres et avale ma bite, l’attrapant d’une main. Assez malhabile au début, il trouve vite comment donner du plaisir, il est vrai qu’un homme sait naturellement ce qui convient à un autre homme. Je le laisse me pomper un moment, puis descendant du sofa, je passe derrière Eric, me penche sur ses fesses, les écarte pour y glisser ma langue et pénétrer son anus de la pointe. Je salive au maximum. Eric qui sait ce qui l’attend, le désire sûrement aussi, il cambre les reins pour faciliter la manœuvre. J'écarte son trou de deux, puis trois doigts, le passage est maintenant fait, alors je pointe mon dard sur sa rosette. Je l’enfile d’un coup !
Le grognement qu’il pousse lui fait lâcher un instant la bite de son copain qui ouvre les yeux et voit son vieil ami se faire enculer. Eric le reprend en bouche et se retrouve alors, pris par les deux bouts, une bite dans la bouche l’autre dans le cul. Georges garde les yeux grands ouverts afin de profiter du spectacle, il prend même la tête de son copain pour guider ses va et vient sur sa queue. Le spectacle qui m’est aussi proposé fait que je ne tarde pas à exploser au fond des entrailles d’Eric. Je me retire doucement de ses fesses et Georges me fait signe d’échanger nos places. Je m’assois à ses côtés et lorsque qu’il guide la tête d’Eric vers ma bite, il échange avec moi un baiser langoureux avant de prendre ma place derrière son ami. Je lui passe un préservatif qu’il enfile, me remerciant d’un clin d’œil il présente sa verge devant le trou béant d’Eric et le pénètre lentement d’une seule poussée. Le gros gland force la porte étroite avec difficulté, mais comme je maintiens la tête, Eric ne peut qu’émettre un « Oummf » quasi-inaudible. Georges le lime avec frénésie, tout heureux d’enculer son copain de classe. Accroché à ses hanches, il se déchaîne et maintenant tout en sueur, la figure congestionnée il crache son foutre en gueulant un OUIII énorme ! Il continue un moment de sodomiser Eric, finissant de vider ses couilles et prolongeant son plaisir.
Lorsqu’enfin il se retire de son ami, je lâche celui-ci qui se relève.
"Mes salauds, lance-t-il, vous m’avez éclaté le cul ! A toi maintenant ! Tu vas voir ce que tu vas prendre ! » Connaissant mon attrait pour la position de face, il saisit mes jambes et les relève sur mes épaules. Sa bite, bien raide, pointe sur ma rosette et se guidant d’une main, il m’embroche sans coup férir !
"Regarde cette salope, dit-il à Georges, il se rase le cul et les couilles, pour mieux s’offrir! »Son copain, qui a récupéré, s’approche curieux, il attrape mes bourses et les malaxe, alors que Eric s’active en moi.
"C’est doux ! j’aime bien et c’est très érotique! » Tout en continuant sa caresse, il embrasse Eric puis se penche sur moi et m’embrasse, me pince les seins et voyant que cela me plaît, insiste passant d’un téton à l’autre.
Il aime ça, dit-il, regarde, il bande à nouveau ! Il se penche sur ma bite et me suce. Sous l’action combinée des deux hommes, je jouis à nouveau, émettant un petit filet de sperme. Eric se retire de mon anus et se finit, aspergeant mon bas ventre et le visage de Georges d’un épais jet crémeux.
Après ce premier épisode particulièrement chaud, nous avons besoin de récupérer un peu. Je me retrouve entre les deux hommes, affalés sur le canapé, endoloris mais heureux.
"Putain, mes salauds, Qu’est-ce qu’on s’est mis ! Déclare Georges.
Tu as aimé ? lui demande EricOh oui, et dire que je croyais être le seul à y penser, tu caches bien ton jeu !
Tu sais, il n’y a que trois jours que j’ai perdu mon pucelage !
Ça à l’air de te plaire, je dois dire que si j’avais su, j’en aurais profité avant !
Vous savez, je crois, qu’il y a beaucoup de mec vers la quarantaine, qui ont ces fantasmes, malheureusement avec ce que l’on a entendu dans notre jeunesse à propos des pédés et de ce que on leur ferait subir, beaucoup ne franchissent jamais le pas, il faut des occasions comme ça.
C’est vrai que j’y pensais, dit Eric et c’est quand je t’ai vu sur Internet te branler que Ça m’a vachement excité et je me suis dis qu’il fallait que j’essaye, d’autant plus que tu m’as dit être marié.
Parce que tu te branles devant une caméra ? demande Georges. Et ça t’excite ?
Oui, c’est facile, tu as beaucoup plus de contacts si tu as une caméra et puis, comme ça, Eric a vu que je n’étais pas un monstre !
Quand j’ai vu ta queue, Ça m’a fait bander à mort, je n’avais qu’une envie, c’est de la bouffer !
Et tu montres ton visage ?
Non pas toujours ou très vite, mais en général ce n’est pas ce qui intéresse les mecsJe m’en doute !
Ça vous dirait, une séance de cam ? Je suis sûr qu’à trois on aurait un succès fou !
Comment ?
J’ai mon portable et la caméra dans la voiture.
T’as tout prévu !
On ne sait jamais ! J’ai aussi un appareil photo numérique.
Bon, pour l’instant on se prend une douche, on boit un coup et après on voit. »La douche est rapide même si on échange quelques caresses, les mains s’agitant dès qu’une bite ou un cul passe à proximité, mais pour l’instant nous sommes repus. Nous buvons une bière en fumant un peu. Aucun n’a pensé à se rhabiller et nous sommes les trois, toujours à poil, dans le grand salon.
"Ça vous dirait de se sucer la bite en triangle ? dis-je.
Comment ça ? interroge Eric.
Eh bien, on se couche par terre sur le tapis et on a tous une queue en face de soi, venez! »Georges se couche, je me mets près de lui en biais, la tête près de son sexe, ce qui laisse la place à Eric d’en faire de même avec moi et d’avoir sa bite près du visage de Georges. Pas besoin de beaucoup d'explications, nous trouvons très vite la meilleure façon de nous y prendre. Je suce Georges, je suis sucé par Eric qui est lui-même avalé par Georges. La boucle est bouclée. Les sensations sont géniales et en plus on profite du spectacle. Avec avidité on se bouffe la bite et les couilles, chacun essayant d’être le meilleur pompeur de nœud de ce triangle.
"Fabuleux ! Lance Éric à un moment où il reprend son souffle, c’est génial ! On change ? » Aussitôt dit, nous tournons sur nous même et maintenant Je suce Eric, qui suce Georges, qui me suce. Alterner deux belles bites, ainsi, est un plaisir extraordinaire et nous ne nous privons pas d’en profiter un maximum, changeant plusieurs fois de position, suçant les glands, bouffant les testicules, jouant des doigts dans l’anus, trouvant à chaque changement, le goût d’une nouvelle pine et la salive de l’autre qui l’a bien graissée. C’est aussi une nouvelle bouche qui cherche à donner du plaisir. Sans nous concerter, nous retardons la jouissance de l’autre en interrompant nos pompages avant l’échéance, prolongeant ainsi le plaisir. Nous sommes en sueur, mais aucun ne veut arrêter. Il y a plus d’une demi heure que nous jouons avec nos bites respectives et aucun ne veut lâcher, les mains parcourent toutes les parties des corps qui peuvent être atteintes, avec frénésie ou douceur, cela dépend des moments, nous pompons, léchons, suçons, le gland ou la hampe, roulons les bourses entre les doigts, pinçons les tétons. Nous sommes en dehors du temps, perdus dans notre extase, aucun ne se rassasie, au contraire. Nous inventons des caresses, nous délectant de ce morceau de chair dure qui emplit nos bouches et exhale son odeur aux narines. La séance, rythmée par les changements de côté, les gémissements de plaisir ou les pauses pour retrouver le souffle et calmer une envie trop pressante de gicler, pourrait durer des heures, lorsqu’une voix féminine retentit dans la pièce :