Eric, Georges… et les autres 3 La femme de Georges nous surprend en pleine action - histoire érotique

La femme de Georges nous surprend en pleine action
“Eh bien ! Regarde-moi ces salauds, Émilie ! Faut plus vous gêner ! Je comprends maintenant pourquoi tu ne voulais plus de moi ! Tu as viré ta cuti ! »Deux femmes sont entrées dans le salon sans que nous les ayons entendues. Malgré le ton cassant, elles ne semblent pas si en colère que ça, Je suis assez gêné de me faire surprendre dans une position aussi scabreuse, mais Georges à l’air beaucoup plus interloqué. La femme s’adresse d’ailleurs plus particulièrement à lui.
"C’est pour ça mon cher, que tu me délaissais ! Je comprends mieux ton manque d’empressement envers moi ! Tu préfères les hommes ! Si ça peut te consoler, moi aussi j’ai changé et j’aime les femmes! » Elle se tourne vers sa compagne, une fille de vingt cinq ou trente ans et lui roule un patin, tout en lui caressant les seins.
La situation devient irréelle ! Nous sommes trois mecs, à poil au milieu de la pièce, chacun une bite -qui a tout de même baissé la garde après cette intervention- et deux femmes, manifestement excitées, dont l’une semble être la femme de Georges.
Celui-ci s’est un peu repris en voyant sa femme embrasser la fille, il se redresse alors que nous contemplons le spectacle des deux gouines. Je dois dire que, passé le premier moment de surprise, la situation m’amuse. Je vois d’ailleurs à quelques centimètres de moi, la verge d’Eric qui, comme la mienne, à tendance à se redresser. D’une main, je l’empoigne et Eric se retourne vers moi avec un sourire complice. Georges, lui, entreprend de justifier la situation plus ou moins adroitement.
"C’est … Michelle… ma femme, me dit-il. Puis se tournant vers elle. D’abord, je dois dire que je n’ai rien viré et que ma première expérience homo date de deux jours, c’est Eric qui l’a provoquéeT’es à l’aise rétorque celui-ciCe n’est pas vrai ou quoi ?
Si, si, mais avoue que je ne t’ai pas forcé.
Moi, ça ne me dérange pas dit sa femme, mais permets-moi d’être un peu surprise, après quinze ans de mariage ! Elle chuchote quelques mots à l’oreille de sa copine qui quitte alors la pièce. J’étais venue chercher quelques affaires dans la remise, tu te rappelles que tu m’as laissé une clé du portail et de la remise ?
Oui, oui…J’ai vu la voiture d’Eric et une autre, j’ai eu l’idée de venir dire bonjour, mais je ne pensais pas vous trouver dans ce genre d’action, je vois que vous ne vous ennuyez pasC’est que...
Ne me donnes pas d'explication ! Tu fais ta vie maintenant et compte sur moi pour rester discrète. Je ne tiens pas à faire savoir que mon ex est pédé !
Voyons ! Ne dis pas ça !
Pourquoi ? D’après toi des mecs qui se taillent des pipes, ce ne sont pas des pédés ?
Tout au plus des bisexuels, dis-je, intervenant pour la première fois dans la conversation du couple.
Vous…, me lance-t-elleJe m’appelle Jean et suis un vrai bi qui aime autant l’amour avec les femmes qu’avec les hommes et ne croyez pas que je sois un cas exceptionnel, d’ailleurs vous-même, semblait montrer ce genre de goût avec votre charmante amie. Elle est un peu interloquée, mais très vite un sourire apparaît sur son visage, montrant qu’elle a compris. Du coup, son agressivité retombe. Elle enlève sa veste et la jette sur une table et s’appuyant sur le rebord de celle-ci, nous déclare :Ne vous dérangez pas pour nous, continuez à vous amuser! »Même si nous sommes moins gênés, il n’est pas très facile de se donner ainsi en spectacle. Étant celui qui la connaît le moins, je reprends en main la verge d’Eric et me penche sur elle pour l’absorber. Celui-ci se contracte un peu mais ne refuse pas ma caresse. A ce moment l’autre fille revient dans le salon, j’entends la femme de Georges lui dire, merci ma chérie ! Viens ici, nous allons un peu exciter ces hommes. Je m’arrange pour voir ce que font les deux femmes et je vois alors Michelle, entreprendre de déshabiller sa compagne, la tournure des événements me plait assez. Bientôt, les filles sont nues et debout près de nous, s’embrassent et se caressent. Georges, qui est resté immobile jusque là, lance « Puisque tu le prends comme Ça, je ne vais pas me priver du plaisir de bouffer une bonne bite! » Il se penche sur moi, à genoux et reprend la pipe interrompue par l’arrivée des femmes.
De la position où je me trouve, j’aperçois les deux femmes et Eric se délecte aussi du spectacle. Sa queue est dure entre mes lèvres. Il regarde aussi Georges qui me suce, lui se laissant faire, ne pouvant atteindre la bite de son ami. Nous voyons alors Michelle sortir du sac qu’a apporté la fille, un gode ceinture que celle-ci entreprend de lui fixer à la taille. Le gode, comporte à l’intérieur, un gode plus petit qui pénètre le sexe de la femme, la partie avant est assez impressionnante et très vite, c’est un être androgyne, mi-femme, mi-homme qui apparaît. La fille à genoux a pris l’objet en bouche et le suce avidement.
"Enduit-le bien de ta salive, dit Michelle, puisque mon mari aime ça, je vais lui en donner! »Celui-ci, absorbé par le pompage de ma queue, ne voit pas l’engin qui menace ses fesses. Sa femme, se positionne à genoux derrière lui, pointe le gode et le saisissant par les hanches, enfile l’engin dans le cul de l’homme ! Même bien préparé par la longue séance précédente, son cul n’a jamais connu de pénétration semblable, aussi se dresse t-il vivement, abandonnant ma bite et pousse un grand cri ! Ce que ne savais pas son ex, c’est que malgré les apparences, il était toujours vierge de ce côté là ! J’attrape sa tête et la remet sur la verge en lui disant "Continue à me sucer, la douleur va passer, tu vas aimer ! Eric est hilare de voir son copain se faire enculer par son ex-femme. Il se lève, enjambe son copain qui est à genoux et par-dessus son dos présente sa turgescence à Michelle, accrochée aux hanches de son ex et le limant à fond.
Tu pourras te vanter d’avoir eu son dernier pucelage, ma chère, tu n’y pensais sûrement pas, il y a un an, mais en attendant, suce moi, il y a longtemps que j’en ai envie! »La femme, surprise malgré tout, ne se fait pas prier et embouche la verge d’Eric. Celui-ci la baise comme elle-même baise le cul de son ex-mari. Je regrette de n’avoir pas d’appareil photo ou de caméra sous la main car le tableau est superbe ! Je fais signe à la copine de Michelle qui est restée seule, elle s’approche et je lui demande de venir poser sa chatte sur ma bouche afin de la lécher. La fille ne se fait pas prier et, à genoux au-dessus de moi, elle vient appliquer son abricot totalement épilé et s’offre à mes lèvres et ma langue gourmande.
Voilà ! Nous sommes tous reliés par nos sexes, dans une chaîne sexuelle où chacun cherche ou apporte du plaisir. A un moment, Georges se soulève pour reprendre son souffle et abandonne ma bite, la fille en profite aussitôt pour plonger dessus et l’emboucher à son tour. Elle est moins douée que l’homme mais plus goulue, ce qui compense, les deux vont alors se partager mon sexe, car je sens les deux bouches et les langues qui s’activent.
J’entends un grognement qui semble être celui de Michelle, qui par l’action du double gode, vient de prendre son pied. Sa jouissance entraîne celle d’Eric, qui lui expédie la purée dans les amygdales, celui-ci, dont la bouche est libre, c’est bien le seul d’ailleurs, gueule son plaisir !
"Tiens ! Salope ! Avale Ça ! Putain que c’est bon! » Bref, que des amabilités, mais qui traduisent que lui aussi se paye un fabuleux orgasme. Sous l’action des deux langues, j’éjacule à mon tour alors que la fille sur moi se répand au fond de ma gorge et que je lape tout ce qu’elle donne comme jus. Elle s’étale ensuite sur le côté, en fait c’est Georges, je le saurais plus tard, qui l’a repoussée, car sa femme s’étant retirée de son cul, il a envie de passer la trique de son sexe en baisant le cul qui est face à lui c’est à dire le mien ! Il remonte mes jambes, se rappelant de ce qu’a fait Eric avant, les place sur ses épaules et pointe son sexe à l’entrée de mon anus. L’excitation, et la longue séance de préparation, font qu’il n’a aucun problème pour investir mon petit trou. Cela n’empêche que je sens passer son gros gland qui se fraye le passage dans mon conduit. Il me ramone maintenant sur toute la longueur de sa pine finissant d’accompagner, sans le savoir, l’orgasme que je viens d’avoir. Il comprend assez vite, quand sa femme introduit ses doigts dans son anus toujours dilaté et vient frotter sa prostate, entraînant immédiatement sa jouissance et le flot de sperme qu’il m’expédie au fond de l’anus. Il crie alors comme un fou, prouvant s’il en est besoin, l’intensité de son plaisir.
Je vois mon salaud que tu aimes Ça ! Lui lance sa femme, ses doigts toujours enfoncés dans les fesses de son ex. Si j’avais su, il y a longtemps que je t’aurais enculé ! Et toi, petit salaud, dit-elle en se tournant vers Eric, tu m’as bien arrosée avec ton foutre ! Tu sais que j’ai souvent fantasmé sur toi ?
Et tu es déçue ?
Pas du tout et j’ai très envie que tu me baises, surtout si c’est devant Georges, Ça lui apprendra !
Ça m’apprendra quoi ? Dit celui-ci, dont le sexe rétrécissant, s’échappe tout seul de mes fesses, que tu es une salope ? Je le savais, mais que ce soit toi qui m’encules la première, alors que nous sommes séparés, ça, c’est incroyable !
Mais, quand tu veux, mon chéri, à ton service, si ça doit te faire bander comme à l’instant, par contre, il n’est pas question que l’on revive ensemble ! Baiser, oui, mais te supporter, non! »Voilà qui a le mérite d’être clair. Tout le monde fait un peu de toilette et ensuite direction la piscine. Toujours nus, nous-nous délassons un bon moment, puis, étendus sur les matelas de plage, nous conversons comme de « vieux » amis. Georges demande à sa femme, quand a-t-elle trouvé ce gode ceinture avec lequel elle l’a défloré"Tu sais, mon chéri, bien avant que nous ne divorcions, j’utilisais déjà un gode et un vibro, vu que tu n’étais pas très attentionné avec moi. Lorsque j’ai rencontré ma première maîtresse, dans un sauna, elle m’a initiée à l’utilisation du gode ceinture et quand j’ai connu Émilie – nous connaissions enfin le nom de la jeune fille qui l’accompagne – j’ai voulu lui faire profiter de mon expérience, mais saches tout de même qu’une vraie bite est tout de même plus agréable que n’importe quel instrument et je suis sûre que Eric ou monsieur…., dit-elle en me regardantJeanJean, donc que tu as si bien enculé tout à l’heure, se fera un plaisir de te faire goûter à ce plaisir, je dois dire que rien que d’y penser, cela m’excite !
D’accord, répond Georges, mais à une condition …Ah déjà !
Attends ! Lorsque je prendrais une bite dans le cul, je voudrais que toi aussi, tu te fasses sodomiser !
Mais, je n’ai jamais …enfin tu ne m’as jamais...
Et je le regrette ! Mais aujourd’hui, je ne me sens pas le droit d’être le premier.
Si, je veux que se soit toi !
Bon, d’accord, mais, j’ai bien compris que Eric avait aussi très envie de toi et toi de lui, maintenant que nous sommes divorcés, je crois qu’il est temps de vous y mettre.
Si vous permettez, dis-je, je vous suggère de faire un truc fou ! Je ne sais si c’est possible mais pourquoi ne pas le tenter.
Expliques-toi demande Eric.
Voilà, Je propose de prendre Georges en levretteProfiteur !
Attends ! Cela permettra à sa charmante ex, de le voir se faire enculer, je lui suggère même, après avoir joui du spectacle d’aller le sucer un peu par dessousJusque là, ça va ! répond MichelleEh bien ! dit Georges, il y a bien 10 ans que tu n’as pas accepté de me sucer !
A peu près quand toi tu as arrêté de faire de même avec moi !
Voyons, voyons, dis-je, oublions cela et profitons du moment ! Lorsque tu auras assez profité du spectacle à ton goût –je peux te tutoyer ?
Bien sûr ! Au point où nous en sommes !
Bien, Eric tu te coucheras sur le dos et toi Michelle tu viendras t’empaler sur sa belle bite - je parle en connaissance de cause bien sûr ! Eric, tu mettras des coussins sous tes fesses pour te cambrer. A ce moment là, Georges pourra venir par derrière, préparer avec sa langue et ses doigts le petit trou de madame et ensuite y mettre son gros engin, là aussi je m’y connais, mon cul s’en souvient encore ! Je reprendrais bien sur mon enculage ensuite !
Et moi ? demande ÉmilieJe ne t’oublie pas non plus, tu pourras t’équiper de ce bel engin qui a défloré tout à l’heure l’ami Georges et qui aussi, te rendra heureuse si j’en crois le plaisir de Michelle tout à l’heure et mon cul sera tout prêt à t’accueillir, ainsi nous serons tous reliés ! Qu’en pensez-vous ?
Tu es vraiment un vicieux toi ! Je suis d'accord, disent en cœur Michelle et Eric.
Et toi Georges, qu’en dis-tu ?
Je ne sais pas si on y arrivera mais essayons! D’autant plus que je vois messieurs que ce programme vous a rendu vos belles érections, quand aux dames, vu leur air gourmand, cela doit être bien humide dans leurs fentes ! »Sitôt dit, Émilie court chercher le gode ceinture alors que Georges embouche ma verge – pour la préparer dit-il – et que Michelle en fait de même avec Eric. Lorsque Émilie revient harnachée, magnifique avec ses seins lourds et bronzés arborant sa bite factice avec délectation, nous sommes prêts à commencer. Je lui demande tout de même avant de me pénétrer, de bien me préparer le trou, car l’engin est tout de même impressionnant !
La coquine a tout prévu. Elle a emporté un tube de gel qu’elle fait pénétrer dans mon rectum et qu’elle enduit sur le gode. Je crois que la perspective de sodomiser un mec, l’excite particulièrement, à voir son air joyeux et ses yeux brillants. Michelle, d’ailleurs, s’en rend compte également et abandonnant un instant la belle queue d’Eric, elle lui dit :"Tu as très envie de te faire ce mec, n’est-ce pas ma chérie ?
Oh oui ! Il a un beau cul tout rasé et un petit trou qui m’a l’air accueillant !
Régale toi ma chérie, je crois que lui aussi a très envie! Maintenant, mon chéri dit-elle en s’adressant à Georges, il est temps de passer à l’action, allez ! En position! Son ex-mari obéit et se met à quatre pattes sur le matelas, posant la tête sur ses bras repliés. J’adore te voir comme ça continue-t-elle, attends, je vais aider ton copain ! Elle enjambe le corps accroupi et pose les mains sur les fesses afin de les écarter, elle en profite pour mettre de la salive sur le trou et y enfoncer deux doigts fureteurs. Tu aimes ça mon salaud hein ?
Je m’accroupis derrière Georges et agrippe ses hanches, Michelle prend mon membre en main et le guide elle-même vers l’œillet brun de son ex. Elle m’encourage et, le visage aux premières loges, assiste à la sodomisation de celui qui, pendant quinze ans, a été son mari. Tout le monde nous entoure alors que je commence mes va et vient dans le rectum de l’homme.
"C’est vrai que c’est bon soupire celui-ci, c’est meilleur qu’avec ton engin, j’aime !
Tu es une vraie salope lui dit sa femme ! Je vais faire des photos! »Elle prend mon numérique et mitraille notre couple sous toutes les coutures, puis constatant de la main l’effet produit sur la verge de son mari elle décide de passer à la seconde phase. C’est elle maintenant qui mène la danse. Eric se couche sur le matelas, le bassin relevé par un gros coussin, la verge tendue à la verticale. Elle vient se placer au-dessus et guide elle-même l’engin dans son vagin humide. C’est Émilie, maintenant qui tire les photos, nul doute que plus tard, leur visionnage, va alimenter quelques fantasmes ! Michelle monte et descend un petit moment sur l’engin raidit, puis se penche sur Eric, avant de l’embrasser, elle indique à Georges qu’elle est prête à le recevoir « Mais avant, lèche moi bien et soit doux »Pour que Georges puisse accomplir son oeuvre, je le libère, mais lorsque, penché sur les fesses de sa femme, il titille de la langue l’œillet brun, je passe ma main entre ses jambes et malaxe ses bourses et son membre. Il grogne de plaisir alors que plus haut, Michelle glousse, de sentir la langue de son époux à l’entrée de son étroit conduit. Jugeant l’orifice prêt, Georges se prépare à faire subir à sa femme, ce qu’elle même à commis sur lui un peu avant. Le gros gland appui sur la rosette et guidé par sa main, il force le passage secret. Après deux ou trois tentatives, il passe les sphincters et pénètre l’anus dilaté. Après quelques mouvements, il est au fond des entrailles et cherche à coordonner ses mouvements avec ceux d’Eric. Michelle raconte son plaisir.
- "Que c’est bon de vous sentir tous les deux dans moi ! C’est le pied ! Oh Georges, que tu es gros dans mes fesses ! J’aime ! Pourquoi tu ne m’as jamais prise comme ça ? Vas-y salaud ! Défonce-moi le cul ! »Pendant que la femme crie son plaisir, je reprends possession de Georges, qui est, comme sa femme, pris en sandwich. C’est à son tour de commenter :"Le salaud ! Il me l’a remise ! Putain que c’est bon de baiser comme ça! »Même si les mouvements doivent être mesurés, nous parvenons à rester soudés. Émilie, après quelques photos supplémentaires de notre quatuor, pose l’appareil, puis s’approchant de moi, elle me murmure :"A ton tour de te faire mettre mon salaud ! Tu vois ce qui t’attends ! Vous êtes superbes comme ça, mais moi aussi je veux en profiter! »Elle passe derrière moi, attrape mes hanches et pousse son engin dans mon fondement. La bête est imposante et sa rigidité relative dilate mes muscles sans coup férir, je me retrouve embroché avant d’avoir pu comprendre, j’ai l’impression que mon cul va éclater, mais parallèlement, j’éprouve une plénitude totale !
Ça y est ! Nous sommes tous unis par nos sexes ! Une belle brochette ! Le moins à l'aise est Eric, qui ne peut faire beaucoup de mouvement il est obligé de se ré-emboiter fréquemment. Michelle part la première en criant, ce qui oblige Eric à l’attirer sur lui afin qu’elle n’ameute pas tout le quartier, n’oublions pas que nous sommes toujours dehors ! Je sens la jouissance de Georges aux contractions de son anus sur ma bite, j’éprouve moi aussi le plaisir même si l’émission de mon sperme doit être réduite vu ce que j’ai donné depuis un moment. Derrière moi, Émilie se raidie également, la partie interne du gode ceinture ayant fait son effet dans son antre vaginale.
Je dois dire qu’ensuite nous nous écroulons tous, vidés, au propre et au figuré par cette drôle d’expérience. Je m’endors quasi-aussitôt et je ne suis pas le seul, car à mon réveil, un peu plus tard, je trouve Eric et Michelle enlacés, endormis dans les bras l’un de l’autre, Georges, se lève et c’est sans doute ses mouvements qui m’ont réveillé, Émilie, quand à elle, a disparu, sûrement dans la maison. Georges regarde sa femme, ou plutôt son ex-femme, dans les bras de son copain, mais aucune jalousie dans son regard. Il m’est avis que ces deux-là, ne vont pas tarder à se retrouver ensemble, au moins pour le plaisir.
Dans la maison, je monte à l’étage et me dirige vers la salle d’eau. J’y retrouve Émilie, alanguie dans un bain moussant, c’est assez drôle, car elle a gardé le gode et celui-ci dépasse de la mousse ;"Tu prends goût à jouer à l’androgyne ? dis-jeOui ! J’aime bien ! Mais je trouve que toi aussi tu l’as aimé tout à l’heure !
C’est vrai ! Mais il faut reconnaître que ton engin est tout de même impressionnant, tu m’as bien dilaté ! Ça te va très bien d’ailleurs, tu es superbe avec cet engin !
Merci ! Finalement il n’y a que moi qui n’ai rien pris dans le cul !
Tu en as envie ?
Je ne sais pas mais vu vos réactions, j’ai envie d’essayer !
Eh bien, la prochaine fois tu seras prioritaire, dis-je en rigolant ! Mais que préfères-tu, une vraie bite ou ton engin ?
Je crois que pour la première fois, je choisirai avec l’un de vous !
Et… Tu as une préférence ?
Non, mais je veux bien que ce soit toi !
Merci, c’est un beau cadeau, mais ne te crois pas obligée ! Je passe à la douche et j’en profite pour me nettoyer les intestins par un lavement, ce qui intéresse vivement ma compagne. Entre mes passages sur les toilettes ou je tire chaque fois la chasse pour éviter les odeurs, elle m’interroge.
Tu aimes ça ?
Ce n’est pas désagréable ! Et puis tu sais, lorsque quelqu'un emprunte cette voie, c’est plus agréable pour lui, mais il ne faut pas en abuser, ce n’est pas bon pour la flore intestinale.
Tu t’y connais toi ! Tu ne veux pas me le faire ?
Si tu veux ! Elle sort du bain, ruisselante de mousse, enlève la ceinture et une fois dans le bac à douche, attend mes instructions. Penche-toi, ce sera plus facile ! Dès que tu sens que ça force, dit-le j’arrêterai un peu, mais essaye d’en prendre le plus possible !
J’ai honte de me montrer ainsi.
Qu’est-ce que j’aurais dû dire quand tu m’as enculé avant ! En plus je viens de faire pareil à l’instant.
Ce n’est pas pareil, tu es habitué toi ! » J'écarte ses fesses et présente le tuyau sur son anus, je le pose à l’entrée, le jet n’est pas fort, elle se crispe un peu, puis se relâche enfin. Au bout de quelques secondes elle fait ouille ! Je retire délicatement le tuyau, avec l’autre main je masse un peu son ventre. Je reprends mon ouvrage un peu plus. J’arrête à nouveau en lui demandant de le garder quelques instants, puis elle va sur les toilettes. Très vite, elle se vide dans un bruit de cascade, en rougissant.
"Ça me gène que tu me vois comme ça !
Tu es très jolie, n’ai pas honte !
Tout de même! C’est la première fois qu’on me voie ainsi en train de déféquer ! C’est très intime ! Tu es gentil ! »Je tire aussitôt la chasse d’eau pour éviter les odeurs. Nous renouvelons l’opération plusieurs fois, jusqu'à ce que le liquide s’écoule translucide. Je lui conseille alors de mettre un peu de crème adoucissante, elle me dit alors, "J’ai du gel ! Je vois que ça t’excite de me voir ainsi, alors j’ai envie !
Envie de quoi ? Dis-je pour la taquiner.
Que tu me prennes …. Par là !
Maintenant ?
Oui ! Je serai plus à l’aise si les autres ne sont pas là. Je sais que tu seras doux. » Elle est mignonne et soudain timide. Je m’approche pour l’embrasser et m’entourant de ses bras, j’enroule sa langue à la mienne. Pour une lesbienne, elle ne dédaigne pas toutefois les hommes. Je la retourne face au lavabo, prends le tube de gel, que j’applique largement sur sa rosette, puis doucement, la pénètre.
"Tu m’arrêtes si je te fais mal !
N’arrête pas ! Vas-y ! C’est dur mais continueRelâche-toi, fait comme si tu voulais faire caca, Ça dilate tes muscles ! »Aussitôt, je sens que je m’enfonce. Lentement, accentuant chaque fois la poussée, je parviens à la pénétrer complètement. Après un instant de répit, je commence à aller et venir dans ses lombes. Émilie souffle en gémissant au rythme des poussées, puis passe une main entre ses jambes et se masturbe le clitoris, afin de prendre son plaisir. L’attrapant par les cheveux je relève sa tête en lui disant de regarder notre couple dans la glace. Curieux couple, d’ailleurs, formé d’une jeune fille de vingt cinq ans et d’un homme qui pourrait être son père !
En appui sur un bras, elle ne quitte plus le miroir des yeux et je la voie chavirer bientôt dans son plaisir. La gaine étroite se contracte sur ma verge. Je ne peux plus jouir, mais le plaisir est tout aussi fort, même s’il est cérébral. Ses jambes plient et je me retire doucement. Je la prends dans mes bras, la porte dans son bain, où elle s’allonge, les yeux fermés. Je dépose un baiser sur ses lèvres entrouvertes elle ouvre les yeux un instant pour me dire merci. Je file sous la douche, puis enfile un peignoir et reviens au salon où je retrouve Georges, lui aussi en peignoir.
"J’ai vu que vous étiez occupé avec Émilie, j’ai été en haut me dit-ilPourquoi tu n’es pas venu ?
T’en as de bonne toi, j’avais besoin de récupérer, je ne suis pas comme toi !
Oh tu sais, je ne lui ai pas fait grand mal !
Vous aviez pourtant l’air de vous amuser !
Oui, oui, mais à mon âge les réserves ne sont pas inépuisables! »Georges va chercher des bières et nous discutons un bon moment en sirotant et fumant. Finalement, je ne sais rien de lui, si ce n’est qu’il est divorcé et que sa – charmante - femme, n’a pas froid aux yeux. Il y a quelques heures que nous nous sommes rencontrés, on s’est bouffé la queue, on s’est enculé mutuellement, et nous découvrons maintenant d’autres facettes de notre vie. Georges se déclare très heureux d’avoir découvert sa bisexualité et d’en profiter. Il me dit s’être régalé lors de notre « triangle », je lui confirme que moi aussi et que c’était aussi une première.
Nous attaquons la deuxième bière lorsque Émilie entre dans le salon. Elle a revêtu un peignoir tout blanc qui rehausse l’éclat de sa peau bronzée. Elle est vraiment superbe et je suis heureux d’avoir été son amant. Elle s’approche de mon fauteuil, s'assoit sur le bras et se penche sur mes lèvres en me disant encore merci. Elle prend ma bière et bois goulûment. Elle se penche à nouveau sur moi et, prenant mes lèvres, laisse couler le liquide dans ma bouche, nous finissons par un baiser, puis elle se lève et va s’étendre sur le sofa. Émilie converse avec nous un moment puis déclare qu’elle a faim. C’est vrai que moi aussi je sens mon ventre vide. Nous décidons d’aller chercher des pizzas pour tout le monde, Georges va trouver du vin dans sa cave. Au milieu du tas, nous retrouvons nos vêtements et je pars avec Émilie. Au bord de la piscine, Eric et Michelle dorment toujours, lorsque la voiture démarre, ils se réveillent et nous leur adressons un signe de la main en partant. Émilie leur dit que nous allons chercher à manger.
A notre retour, ils ne sont plus sur la terrasse, nous les retrouvons dans le salon avec Georges. Les deux hommes sont assis côte à côte sur le canapé, Michelle, à genoux entre eux, tient chaque verge en main et alterne de la bouche de l’une à l’autre.
"On ne s’ennuie pas ! dis-je.
J’avais envie de goûter aux deux sexes en même temps ! dit Michelle en s’interrompant un moment. C’est la première fois que le peux le faire et j’adore ça !
Tu peux même essayer avec trois si tu veux dis-jePetit canaillou ! Tu as envie de te faire sucer toi aussi !
Mais pourquoi pas !
Alors, baisse ton pantalon et approche !
Je ne me le fais pas dire deux fois, les deux autres se mettent debout et nous entourons Michelle qui a maintenant trois sexes à portée de ses lèvres. Immédiatement elle s’empare du mien, qu’elle découvre. A côté de moi, Eric, qui est au milieu des trois, à passé un bras autour de Georges et de moi, histoire d’exciter un peu plus Michelle, il se tourne vers moi et m’embrasse à pleine bouche. J’aime sa langue fureteuse et je lui rends son baiser.
"Salauds ! dit Michelle. Espèce de pédés !
Ça t’excite hein, de nous voir nous rouler des pelles ?
Ouiii ! Et j’aime cette belle bite sans poils ! Vous devriez tous vous raser ! » Elle a attrapé mes couilles et les roule dans la main, en déclarant que c’est doux ! Elle les prend en bouche pour les sucer, « avec des poils, c’est dégueulasse dans la bouche mais là, quel plaisir! » Et la voilà qui s’y remet, puis passe tour à tour aux autres verges tendues.
On mange quand vous voulez ! » lance tout à coup Émilie qui est restée en dehors de notre groupe et a préparé la table.
Michelle abandonne son « travail » et nous laisse ainsi la bite raide. Je me rhabille et les deux autres filent chercher de quoi se couvrir. A table, nous discutons comme de vieux amis, Georges et son ex-femme s’interrogeant sur ce qui les a amenés à se séparer et divorcer. En fait, comme toujours, c’est un manque de communication, aucun d’eux ne parlant de ses fantasmes ou ses envies à l’autre. Maintenant que finalement ils n’ont rien à cacher, ni à perdre, ils sont comme de vieux complices. Georges dit qu’il adore voir sa femme faire l’amour avec un autre. Elle, que de le voir sucer une bite ou se faire enculer, l’excite prodigieusement, alors qu’elle pensait être dégoûtée de savoir deux hommes entre eux. Finalement leur séparation, de façon paradoxale, les a fait se rapprocher.
Émilie fait la gueule. Elle est inquiète de voir sa maîtresse se rapprocher de son ex mari. Michelle qui s’en rend compte, la rassure en disant qu’elle l’aime toujours et que ce n’est pas ses nouvelles relations avec Georges, qui vont l’éloigner d’elle. « Au contraire ! Je ne supporte plus l’idée de dormir toutes les nuits avec un mec ! Après l’amour, oui, mais chaque soir, comme un rituel, cela devient pesant ! »Nous sommes tous assez d’accord avec son analyse qui est un « tue l’amour »Après le repas, tout le monde est un peu crevé, les femmes décident de rentrer chez elles, en promettant de revenir le lendemain ou de se retrouver très vite.
Nous restons les trois hommes. Georges nous montre nos chambres, finalement, ayant découvert la sienne qui a un lit gigantesque, nous décidons de coucher les trois ensembles. Au vu des dernières heures, nous sommes crevés et nous restons très chastes. Mise à part des mains sur des bites ou un petit baiser sur la bouche ou une partie du corps proche, nous sombrons vite dans le sommeil, étalés sur la couche.

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