Eric, Georges... et les autres 5 Les couples se forment et se reforment
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-03-2022 dans la catégorie Plus on est
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Eric, Georges... et les autres 5 Les couples se forment et se reforment
Les couples se forment et se reforment
Après cette première particulièrement chaude et excitante, la maison de Georges va servir à de nombreuses occasions pour des soirées ou des week-ends d’orgie. Le groupe ne va pas beaucoup évoluer.
Michelle se partage aussi entre ses trois hommes, parfois avec un, avec deux, voire les trois ensemble. Avec Georges, son ex mari, leur relation a évolué depuis qu’elle a découvert qu’il aimait être dominé et sodomisé par Khaled. Quand ils sont les trois ensembles, Georges devient la « soubrette sexuelle soumise » du couple.
Il doit leur lécher le cul ! Quand il lèche celui de Michelle, c’est que soit Khaled vient de la remplir de son sperme abondant, soit que l’étalon arable est en train de l’enculer, lui. Il doit aussi nettoyer la bite impressionnante après qu’elle sorte d’un orifice de sa femme, quel qu’il soit.
Quand Georges se retrouve avec Michelle seul ou avec Eric, il se comporte comme un homme « normal ». Si avec son ex femme ils ne vivent plus ensemble, ils se voient souvent. Dans la maison, chacun a sa chambre avec parfois un amant ou une maîtresse en même temps, mais de façon séparée.
Quand il est avec Michelle et Émilie, il n’a pas le droit de toucher cette dernière. Les deux femmes ne se privent pas de faire l’amour devant lui qui doit se contenter de se branler et encore, si sa femme ne lui interdit pas pour qu’il reste opérationnel pour elle ensuite.
Tous les membres du groupe que nous formons ont passé le test HIV qui s’est révélé négatif. Cela nous permet maintenant de ne plus utiliser de préservatifs entre nous.
Nous nous retrouvons aussi assez souvent entre hommes. J’adore baiser avec Eric. Georges qui est souvent en déplacement, nous laisse sa maison. Cela ne nous empêche pas de nous retrouver tous les trois, voire les cinq avec Khaled et Gilles.
A ces occasions, le bel arabe a quatre bouches et quatre culs à sa disposition et il ne s’en prive pas ! Nous avons même un jour réussi l’exploit de faire un « petit train » où Gilles était devant suivi de Georges, Eric, moi et Khaled fermant la marche. J’étais ce jour là le plus gâté !
Quelque temps après, Henriette a rencontré un homme sur internet. Il est marié, ne se séparera pas de sa femme qui elle, est peu portée sur le sexe. Il a utilisé les nouvelles technologies pour s’amuser en dehors du couple et faire des rencontres. Cela convient très bien à notre amie qui ne désire pas non plus d’homme à la maison en permanence. Elle se gouine toujours avec sa fille et avec Michelle. Ces deux là vivent ensemble.
Henriette un jour, nous demande si nous accepterions que son ami se joigne à nous. C’est un libertin et elle lui a confié qu’elle-même avait été « initiée » par un groupe d’amis. Après une période où ils ne cherchaient pas d’autres partenaires, ils ont commencé à fréquenter des saunas et autres clubs. Cela se passait toujours loin car l’homme, assez connu dans la région ne désirait pas rencontrer des connaissances. Cela leur posait quelques problèmes et finalement ne leur plaisait pas beaucoup.
Quand Henriette lui a révélé le fonctionnement de notre groupe, il a désiré en faire partie. Le seul problème à sa participation vient d’Émilie, car sa mère ne désire pas faire connaître à son amant, ses liens de parenté. Nous lui rappelons que c’est sa fille elle-même qui nous l’a révélé. Que si elle n’avait rien dit, nous ne saurions rien. Ensuite, aucun d’entre nous n’a été choqué, il faut dire que nous sommes plutôt tolérants et plus débauchés que défenseurs de l’ordre établi. Nous ne les avons pas jugées et si cet homme est ce qu’il dit il ne devrait pas être choqué non plus. Henriette choisit néanmoins de ne rien lui dire au départ. Elle verra s’il s’intègre bien dans le groupe. Il sera toujours temps de le lui dévoiler alors.
L’ami d’Henriette vient donc un jour se joindre à nous. Il s’avère un agréable compagnon de jeu. Libertin de longue date, il n’a pourtant jamais goûté au plaisir homosexuel. Il est malgré tout très attentif lorsque nous nous amusons entre hommes. Henriette s’en rend compte et lui suggère d’essayer en se faisant sucer par l’un d’entre nous.
Gilles est bien sûr volontaire, mais Henri, c’est son prénom, le trouve trop efféminé. Il préfère que ce soit un autre.
« En tant qu’amant privilégié d’Henriette, dis-je, je te propose que ce soit moi qui te suce !
O… Oui… D’accord ! »A genoux entre ses jambes, je m’occupe de sa bite très agréable. Un bel engin bien droit et bien dur. Je me régale ! Henri qui au début embrassait sa maîtresse pour peut-être se cacher ce rapport homosexuel, pose maintenant sa main sur ma tête et guide ma pipe. Je m’applique au maximum devant mes amis et reçois bientôt ma récompense quand il se vide dans ma bouche.
Je me redresse alors et Henriette qui a compris, se penche sur moi et récupère le sperme de son amant dans ma bouche. Elle se tourne vers lui et le lui transmet.
« Mes chéris ! Dit-elle. J’aimerais que vous vous embrassiez pour moi ! »Personnellement cela ne me gêne pas. J’aime beaucoup par exemple, me rouler des pelles avec Eric. Henri a un peu de recul, mais poussé par sa chérie il accepte d’abord mes lèvres, puis ma langue. Nous échangeons nos fluides sous les applaudissements de nos amis.
« Maintenant que vous avez « fait connaissance » tu vas lui rendre la pareille et le sucer à ton tour !
Ce n’est pas une obligation. Dis-jeJ’aimerais ! Insiste notre maîtresse.
D… D’accord ! Je… En fait j’ai envie moi aussi ! Déclare HenriJean ! Lève-toi et mon chéri va se mettre à genoux pour te sucer devant tout le monde ! Je crois que je vais adorer ! » Nous faisons selon les désirs d’Henriette. Très vite, Henri me suce et plutôt bien. Il semble même y prendre du plaisir. Gilles intervient pour le conseiller et bientôt je sens les prémices de ma jouissance. Je pose mes mains sur le crâne de mon pompeur, lui baise la bouche comme je baiserais un vagin. Je ne me retiens plus et en éructant un énorme « OUIIIIII » j’éjacule dans la bouche d’Henri.
Quand Henriette se penche pour échanger le sperme comme avec moi, elle se relève aussitôt en riant :- « Oh le cochon ! Il a tout avalé ! »Nous rions tous, y compris Henri tout joyeux de sa blague et qui déclare qu’il adore cette sensation. Il devient un adepte de la fellation. Pour la sodomie, ce sera un peu plus délicat. Il acceptera assez vite de sodomiser Gilles. Déclarera ensuite qu’un cul de mec ou de femme c’est toujours un cul. Pour être sodomisé, il lui faudra plus de temps. Il avait un blocage !
Il voyait le plaisir que nous ressentions et pourtant nous nous comportions comme de « vrais » hommes avec les femmes. Il a assisté à une séance où Khaled s’était occupé de tous les culs féminins comme masculins, halluciné par le plaisir que nous prenions à nous faire défoncer la rondelle par ce chibre noueux.
Ce n’est qu’un jour où nous nous sommes retrouvés à trois avec Henriette et lui que dans l’intimité de la chambre et après que notre maîtresse commune ait longuement insisté qu’il finira par accepter.
- « Fais-le pour moi mon chéri ! Je sais bien que tu n’es pas « pédé » ! Jean non plus d’ailleurs. Mais tu te prives d’un plaisir et tu me prives de la joie de te voir enculé par notre amant. Tu le baises ! Il est normal qu’il te baise ! Tu vas voir comme c’est bon ! En plus il est très doux ! C’est lui qui a pris le cul de ma... d’Émilie – elle a failli se vendre ce jour-là – Et depuis elle adore ça. Fais-moi plaisir et fais-toi plaisir ! Je t’aime déjà comme ça, c’est pour cela que je te le conseille ! Je vais te préparer. Ensuite on se mettra en soixante neuf ! Tu me boufferas la chatte, je te sucerai la queue et je verrai en direct quand il va te prendre ! »Henri, un peu contrit, fini par accepter en demandant encore « ne me fais pas mal »Nous nous y mettons à deux pour le préparer. Henriette s’occupe de son petit trou avec du gel. Introduisant un, puis deux, puis trois doigts au fur et à mesure qu’Henri se détend. Moi par-dessous, je le suce, pour lui donner plus de plaisir. Sa bite est encore couverte des senteurs du con d’Henriette qu’elle vient de quitter.
Ça y est ! Henri est prêt ! Nous échangeons nos places avec Henriette. Avant elle va embrasser son homme. Face à moi, l’anus vierge est bien dilaté. Je pose mon gland et pousse « pousse comme si tu allais à la selle » dis-je. Aussitôt je peux entrer dans l’orifice inviolé. J’agis par petites poussées alors que Henriette pompe maintenant le dard qui a dû se rétracter.
Bien serré dans son boyau, je m’enfonce sans difficultés et mon bassin vient enfin buter contre les fesses d’Henri ;« Ça y est ! Tu es un enculé ! Ça va ?
Ça fait drôle mais ce n’est pas désagréable !
Je veux voir ! décide Henriette »Alors qu’elle observe maintenant, j’entame la sodomie active. Henri réagit bien et soupire. Henriette pose une main sur mes fesses pour m’encourager à baiser son homme à fond. Elle m’embrasse. Son haleine sent la bite. J’agrippe les hanches de notre amant et ne ménage plus son cul, dont le passage est maintenant habitué. Les soupirs d’Henri se transforment en halètements, en grognements puis d’un coup en- « Ouiii ! Ah que c’est bon ! Si j’avais su ! Vas-y ! Baise-moi ! Tape ma prostate comme ça, oui ! Encore ! Oh oui ! Je sens que je vais jouir ! C’est trop bon ! C’est trop fort ! Encule-moi à fond ! Oui ! Oui ! Oui ! »Henri prend un pied d’enfer. Henriette regarde notre duo les yeux brillants, l’air de dire « C’est beau ! » Son homme râle maintenant en continu et je sens sur ma bite les contractions de son anus. J’essaye de résister au maximum car je sens monter ma jouissance et je voudrais que mon amant jouisse aussi pour cette première. J’attrape sa bite et le branle en même temps.
Un grognement plus intense, sa bite qui se contracte entre mes doigts et Henri jouit en gueulant. Il arrose le drap mais peu lui importe à ce moment là ! Pour sa première sodomie il jouit. Alors je ne me retiens plus. J’accélère mes pénétrations et me vide à mon tour dans son rectum rendu sensible.
Nous transpirons tous les deux ! Henriette m’embrasse une dernière fois, puis va embrasser Henri qui récupère peu à peu.
« Je crois mon chéri que tu as aimé ! Depuis le temps qu’on te le dit !
Oui ! J’ai aimé tout, en fait ! Me retrouver à genoux ! La sensation d’être offert les fesses en l’air. Quand j’ai senti la bite sur mon cul, je tremblais. J’avais à la fois peur, honte et envie et quand tu as commencé à me limer, alors là j’ai décollé aussitôt. J’ai adoré cette sensation ! J’avais oublié la honte pour ne conserver que le plaisir !
Tu es prêt à recommencer alors ?
Oui ! Maintenant, je ne refuserai plus, même avec …Khaled ?
O… OuiTu verras c’est encore plus fort avec sa grosse queue ! Il va être content ! Il aura un cul de plus à prendre !
O… Oui, mais… Doucement !
Au début oui mais ensuite c’est toi qui demandera qu’il te défonce ! Crois en mon expérience ! Pour l’instant, je ne suis plus opérationnel. Moi aussi j’ai joui très fort !
Alors c’est moi qui vais te prendre mon chéri s’écrit Henriette. Avant que ton cul ne se referme, c’est moi qui vais t’enculer ! »Elle part chercher le gode ceinture, revient très vite et s’équipe. L’engin est plus gros que ma queue mais Henri n’en a plus cure. Henriette enduit bien l’anus de son chéri et le gode avec du gel. Henri s’apprête à reprendre la position à genoux et je lui propose de se coucher sur le dos.
- « Tu vas voir ! Les sensations sont différentes ! Tu te sentiras peut-être plus femelle, tu verras ta chérie sur toi. Tu pourras l’embrasser et elle verra ta queue s’agiter. »Je glisse un coussin sous ses fesses et il écarte les jambes. Henriette, tout sourire, vient pointer le dard en silicone sur la rosette et pénètre son homme qui relève ses jambes sur les épaules. La femme s’en donne à cœur joie et ne ménage pas l’homme qui râle très vite.
Henriette est infatigable et elle fait jouir son homme dont la bite demi-molle laisse échapper le liquide blanchâtre sur le ventre. Il s’agite, tente d’échapper à l’engin qui le taraude, puis entoure les hanches de sa partenaire afin qu’elle le perfore encore plus. Il brâme son plaisir.
Après cette première expérience, Henri devient un adepte de la sodomie passive. Nous l’avons annoncé aux autres et il n’a plus refusé cette pratique.
Après cette première particulièrement chaude et excitante, la maison de Georges va servir à de nombreuses occasions pour des soirées ou des week-ends d’orgie. Le groupe ne va pas beaucoup évoluer.
Michelle se partage aussi entre ses trois hommes, parfois avec un, avec deux, voire les trois ensemble. Avec Georges, son ex mari, leur relation a évolué depuis qu’elle a découvert qu’il aimait être dominé et sodomisé par Khaled. Quand ils sont les trois ensembles, Georges devient la « soubrette sexuelle soumise » du couple.
Il doit leur lécher le cul ! Quand il lèche celui de Michelle, c’est que soit Khaled vient de la remplir de son sperme abondant, soit que l’étalon arable est en train de l’enculer, lui. Il doit aussi nettoyer la bite impressionnante après qu’elle sorte d’un orifice de sa femme, quel qu’il soit.
Quand Georges se retrouve avec Michelle seul ou avec Eric, il se comporte comme un homme « normal ». Si avec son ex femme ils ne vivent plus ensemble, ils se voient souvent. Dans la maison, chacun a sa chambre avec parfois un amant ou une maîtresse en même temps, mais de façon séparée.
Quand il est avec Michelle et Émilie, il n’a pas le droit de toucher cette dernière. Les deux femmes ne se privent pas de faire l’amour devant lui qui doit se contenter de se branler et encore, si sa femme ne lui interdit pas pour qu’il reste opérationnel pour elle ensuite.
Tous les membres du groupe que nous formons ont passé le test HIV qui s’est révélé négatif. Cela nous permet maintenant de ne plus utiliser de préservatifs entre nous.
Nous nous retrouvons aussi assez souvent entre hommes. J’adore baiser avec Eric. Georges qui est souvent en déplacement, nous laisse sa maison. Cela ne nous empêche pas de nous retrouver tous les trois, voire les cinq avec Khaled et Gilles.
A ces occasions, le bel arabe a quatre bouches et quatre culs à sa disposition et il ne s’en prive pas ! Nous avons même un jour réussi l’exploit de faire un « petit train » où Gilles était devant suivi de Georges, Eric, moi et Khaled fermant la marche. J’étais ce jour là le plus gâté !
Quelque temps après, Henriette a rencontré un homme sur internet. Il est marié, ne se séparera pas de sa femme qui elle, est peu portée sur le sexe. Il a utilisé les nouvelles technologies pour s’amuser en dehors du couple et faire des rencontres. Cela convient très bien à notre amie qui ne désire pas non plus d’homme à la maison en permanence. Elle se gouine toujours avec sa fille et avec Michelle. Ces deux là vivent ensemble.
Henriette un jour, nous demande si nous accepterions que son ami se joigne à nous. C’est un libertin et elle lui a confié qu’elle-même avait été « initiée » par un groupe d’amis. Après une période où ils ne cherchaient pas d’autres partenaires, ils ont commencé à fréquenter des saunas et autres clubs. Cela se passait toujours loin car l’homme, assez connu dans la région ne désirait pas rencontrer des connaissances. Cela leur posait quelques problèmes et finalement ne leur plaisait pas beaucoup.
Quand Henriette lui a révélé le fonctionnement de notre groupe, il a désiré en faire partie. Le seul problème à sa participation vient d’Émilie, car sa mère ne désire pas faire connaître à son amant, ses liens de parenté. Nous lui rappelons que c’est sa fille elle-même qui nous l’a révélé. Que si elle n’avait rien dit, nous ne saurions rien. Ensuite, aucun d’entre nous n’a été choqué, il faut dire que nous sommes plutôt tolérants et plus débauchés que défenseurs de l’ordre établi. Nous ne les avons pas jugées et si cet homme est ce qu’il dit il ne devrait pas être choqué non plus. Henriette choisit néanmoins de ne rien lui dire au départ. Elle verra s’il s’intègre bien dans le groupe. Il sera toujours temps de le lui dévoiler alors.
L’ami d’Henriette vient donc un jour se joindre à nous. Il s’avère un agréable compagnon de jeu. Libertin de longue date, il n’a pourtant jamais goûté au plaisir homosexuel. Il est malgré tout très attentif lorsque nous nous amusons entre hommes. Henriette s’en rend compte et lui suggère d’essayer en se faisant sucer par l’un d’entre nous.
Gilles est bien sûr volontaire, mais Henri, c’est son prénom, le trouve trop efféminé. Il préfère que ce soit un autre.
« En tant qu’amant privilégié d’Henriette, dis-je, je te propose que ce soit moi qui te suce !
O… Oui… D’accord ! »A genoux entre ses jambes, je m’occupe de sa bite très agréable. Un bel engin bien droit et bien dur. Je me régale ! Henri qui au début embrassait sa maîtresse pour peut-être se cacher ce rapport homosexuel, pose maintenant sa main sur ma tête et guide ma pipe. Je m’applique au maximum devant mes amis et reçois bientôt ma récompense quand il se vide dans ma bouche.
Je me redresse alors et Henriette qui a compris, se penche sur moi et récupère le sperme de son amant dans ma bouche. Elle se tourne vers lui et le lui transmet.
« Mes chéris ! Dit-elle. J’aimerais que vous vous embrassiez pour moi ! »Personnellement cela ne me gêne pas. J’aime beaucoup par exemple, me rouler des pelles avec Eric. Henri a un peu de recul, mais poussé par sa chérie il accepte d’abord mes lèvres, puis ma langue. Nous échangeons nos fluides sous les applaudissements de nos amis.
« Maintenant que vous avez « fait connaissance » tu vas lui rendre la pareille et le sucer à ton tour !
Ce n’est pas une obligation. Dis-jeJ’aimerais ! Insiste notre maîtresse.
D… D’accord ! Je… En fait j’ai envie moi aussi ! Déclare HenriJean ! Lève-toi et mon chéri va se mettre à genoux pour te sucer devant tout le monde ! Je crois que je vais adorer ! » Nous faisons selon les désirs d’Henriette. Très vite, Henri me suce et plutôt bien. Il semble même y prendre du plaisir. Gilles intervient pour le conseiller et bientôt je sens les prémices de ma jouissance. Je pose mes mains sur le crâne de mon pompeur, lui baise la bouche comme je baiserais un vagin. Je ne me retiens plus et en éructant un énorme « OUIIIIII » j’éjacule dans la bouche d’Henri.
Quand Henriette se penche pour échanger le sperme comme avec moi, elle se relève aussitôt en riant :- « Oh le cochon ! Il a tout avalé ! »Nous rions tous, y compris Henri tout joyeux de sa blague et qui déclare qu’il adore cette sensation. Il devient un adepte de la fellation. Pour la sodomie, ce sera un peu plus délicat. Il acceptera assez vite de sodomiser Gilles. Déclarera ensuite qu’un cul de mec ou de femme c’est toujours un cul. Pour être sodomisé, il lui faudra plus de temps. Il avait un blocage !
Il voyait le plaisir que nous ressentions et pourtant nous nous comportions comme de « vrais » hommes avec les femmes. Il a assisté à une séance où Khaled s’était occupé de tous les culs féminins comme masculins, halluciné par le plaisir que nous prenions à nous faire défoncer la rondelle par ce chibre noueux.
Ce n’est qu’un jour où nous nous sommes retrouvés à trois avec Henriette et lui que dans l’intimité de la chambre et après que notre maîtresse commune ait longuement insisté qu’il finira par accepter.
- « Fais-le pour moi mon chéri ! Je sais bien que tu n’es pas « pédé » ! Jean non plus d’ailleurs. Mais tu te prives d’un plaisir et tu me prives de la joie de te voir enculé par notre amant. Tu le baises ! Il est normal qu’il te baise ! Tu vas voir comme c’est bon ! En plus il est très doux ! C’est lui qui a pris le cul de ma... d’Émilie – elle a failli se vendre ce jour-là – Et depuis elle adore ça. Fais-moi plaisir et fais-toi plaisir ! Je t’aime déjà comme ça, c’est pour cela que je te le conseille ! Je vais te préparer. Ensuite on se mettra en soixante neuf ! Tu me boufferas la chatte, je te sucerai la queue et je verrai en direct quand il va te prendre ! »Henri, un peu contrit, fini par accepter en demandant encore « ne me fais pas mal »Nous nous y mettons à deux pour le préparer. Henriette s’occupe de son petit trou avec du gel. Introduisant un, puis deux, puis trois doigts au fur et à mesure qu’Henri se détend. Moi par-dessous, je le suce, pour lui donner plus de plaisir. Sa bite est encore couverte des senteurs du con d’Henriette qu’elle vient de quitter.
Ça y est ! Henri est prêt ! Nous échangeons nos places avec Henriette. Avant elle va embrasser son homme. Face à moi, l’anus vierge est bien dilaté. Je pose mon gland et pousse « pousse comme si tu allais à la selle » dis-je. Aussitôt je peux entrer dans l’orifice inviolé. J’agis par petites poussées alors que Henriette pompe maintenant le dard qui a dû se rétracter.
Bien serré dans son boyau, je m’enfonce sans difficultés et mon bassin vient enfin buter contre les fesses d’Henri ;« Ça y est ! Tu es un enculé ! Ça va ?
Ça fait drôle mais ce n’est pas désagréable !
Je veux voir ! décide Henriette »Alors qu’elle observe maintenant, j’entame la sodomie active. Henri réagit bien et soupire. Henriette pose une main sur mes fesses pour m’encourager à baiser son homme à fond. Elle m’embrasse. Son haleine sent la bite. J’agrippe les hanches de notre amant et ne ménage plus son cul, dont le passage est maintenant habitué. Les soupirs d’Henri se transforment en halètements, en grognements puis d’un coup en- « Ouiii ! Ah que c’est bon ! Si j’avais su ! Vas-y ! Baise-moi ! Tape ma prostate comme ça, oui ! Encore ! Oh oui ! Je sens que je vais jouir ! C’est trop bon ! C’est trop fort ! Encule-moi à fond ! Oui ! Oui ! Oui ! »Henri prend un pied d’enfer. Henriette regarde notre duo les yeux brillants, l’air de dire « C’est beau ! » Son homme râle maintenant en continu et je sens sur ma bite les contractions de son anus. J’essaye de résister au maximum car je sens monter ma jouissance et je voudrais que mon amant jouisse aussi pour cette première. J’attrape sa bite et le branle en même temps.
Un grognement plus intense, sa bite qui se contracte entre mes doigts et Henri jouit en gueulant. Il arrose le drap mais peu lui importe à ce moment là ! Pour sa première sodomie il jouit. Alors je ne me retiens plus. J’accélère mes pénétrations et me vide à mon tour dans son rectum rendu sensible.
Nous transpirons tous les deux ! Henriette m’embrasse une dernière fois, puis va embrasser Henri qui récupère peu à peu.
« Je crois mon chéri que tu as aimé ! Depuis le temps qu’on te le dit !
Oui ! J’ai aimé tout, en fait ! Me retrouver à genoux ! La sensation d’être offert les fesses en l’air. Quand j’ai senti la bite sur mon cul, je tremblais. J’avais à la fois peur, honte et envie et quand tu as commencé à me limer, alors là j’ai décollé aussitôt. J’ai adoré cette sensation ! J’avais oublié la honte pour ne conserver que le plaisir !
Tu es prêt à recommencer alors ?
Oui ! Maintenant, je ne refuserai plus, même avec …Khaled ?
O… OuiTu verras c’est encore plus fort avec sa grosse queue ! Il va être content ! Il aura un cul de plus à prendre !
O… Oui, mais… Doucement !
Au début oui mais ensuite c’est toi qui demandera qu’il te défonce ! Crois en mon expérience ! Pour l’instant, je ne suis plus opérationnel. Moi aussi j’ai joui très fort !
Alors c’est moi qui vais te prendre mon chéri s’écrit Henriette. Avant que ton cul ne se referme, c’est moi qui vais t’enculer ! »Elle part chercher le gode ceinture, revient très vite et s’équipe. L’engin est plus gros que ma queue mais Henri n’en a plus cure. Henriette enduit bien l’anus de son chéri et le gode avec du gel. Henri s’apprête à reprendre la position à genoux et je lui propose de se coucher sur le dos.
- « Tu vas voir ! Les sensations sont différentes ! Tu te sentiras peut-être plus femelle, tu verras ta chérie sur toi. Tu pourras l’embrasser et elle verra ta queue s’agiter. »Je glisse un coussin sous ses fesses et il écarte les jambes. Henriette, tout sourire, vient pointer le dard en silicone sur la rosette et pénètre son homme qui relève ses jambes sur les épaules. La femme s’en donne à cœur joie et ne ménage pas l’homme qui râle très vite.
Henriette est infatigable et elle fait jouir son homme dont la bite demi-molle laisse échapper le liquide blanchâtre sur le ventre. Il s’agite, tente d’échapper à l’engin qui le taraude, puis entoure les hanches de sa partenaire afin qu’elle le perfore encore plus. Il brâme son plaisir.
Après cette première expérience, Henri devient un adepte de la sodomie passive. Nous l’avons annoncé aux autres et il n’a plus refusé cette pratique.
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