Eric, Georges... et les autres 6 Les couples se mélangent - histoire érotique

Les couples se mélangent
Cette histoire pourrait s’arrêter là. Nous nous retrouvions assez souvent chez Georges dont la propriété abritait nos « exploits » mais un nouvel élément s’est ajouté quelques temps plus tard.
Au cours d’une réception, je rencontre Henri en compagnie d’une belle femme blonde, qu’il me présente comme sa femme, Rosalie. Je suis moi-même seul, aussi quand Henri s’éloigne avec d’autres invités, je me retrouve en tête à tête avec Rosalie. Henri nous l’a dépeinte comme « coincée du cul », elle se révèle une agréable compagne de discussion. Sachant son homme libertin, je ne me gêne pas pour gentiment la draguer.
« Comment se fait-il que je ne vous ai jamais vue avec Henri ?
Oh ! Il est très occupé par ses fonctions et puis j’aime bien aussi vivre ma vie sans lui. Il est parfois trop sérieux. Moi j’aime danser, aller au cinéma ou visiter des musées.
J’avoue que je ne suis pas assez connaisseur pour fréquenter les musées mais j’aime danser et le cinéma. »Notre conversation se poursuit autour de ce thème. Le vin blanc et les petits fours lui rosissent le teint et Rosalie se lâche un peu.
« Il ne devrait pas laisser une jolie femme comme vous sortir seule. J’en connais qui ne sont pas indifférents à votre beauté !
Flatteur ! Les hommes parlent plus qu’ils n’agissentÇa dépend desquels !
Ça ne vous dérange pas de parler ainsi à la femme d’un ami ?
Disons une connaissance. Je vous trouve très belle et je peux vous le dire. Mais je suppose qu’Henri doit être jaloux et doit s’occuper de vous et vous surveiller.
Détrompez-vous ! Mon mari n’est pas très porté sur la chose (tient, tient !) Ce qui ne me semble pas être votre cas. De toute façon, il ne me voit plus et ne s’occupe pas de moi. Ce soir il m’a amenée pour la galerie. Je suis un faire-valoir.
Moi je vois plutôt une jolie femme. A sa place…Vous êtes un coquin !
Si vous voulez que l’on se revoie n’hésitez pas ! » Je lui glisse une carte avec mon numéro de téléphone. Elle s’empresse de la mettre dans son sac à main juste avant l’arrivée de son mari.
La réception n’est pas finie que je reçois un texto « J’ai envie de vous » Je m’empresse d’enregistrer son numéro et réponds « Moi aussi quand tu veux, où tu veux ! »Trois jours plus tard nous nous retrouvons dans un hôtel pour une après-midi de sexe. Rosalie est une gourmande. A l’opposé de ce qu’en pense son mari elle n’est pas du tout « coincée du cul ». D’ailleurs, elle n’a fait aucune difficulté quand j’ai voulu passer par la porte étroite, contrairement à lui. Il est vrai que pour un « homme » le principe est plus compliqué et chargé d’à priori.
Quand je propose un rendez-vous à Rosalie, j'ai l’avantage de savoir qu’Henri est soit avec Henriette, soit chez Georges. De ce fait, je nous réserve des sorties prolongées. Il nous arrive de nous retrouver à l’hôtel, de sortir au cinéma, au restaurant, et même au musée où j’aime l’accompagner et enfin de retourner à l’hôtel.
Parfois, je ne suis pas libre et la dame est jalouse. Pour me faire enrager, elle me dit un jour que puisqu’il en est ainsi elle va aller dans un sauna libertin se faire démonter par le premier venu qui lui plaira.
Je lui souhaite une bonne soirée en lui demandant de me raconter plus tard.
« Tu es vraiment un vicieux !” Me dit-elle lorsqu’on se retrouve. Je viens de la prendre vaginalement puis analement. Ceci parce qu'à la dernière soirée, c’était le cul de son mari que j’avais pris ! “Ça ne te gêne pas que je baise avec un autre ?
Je ne dis pas que j’aurais préféré être avec toi ! Je te rappelle que nous ne sommes pas mariés que je ne suis pas non plus exclusif et que je ne vois pas pourquoi je t’empêcherais de faire avec un ou une autre ce que je fais par ailleurs !
Tu participe à des partouzes ?
Ça m’arrive ! Tu es choquée ?
Pas du tout ! Tu… m’emmènerais ?
Oh la coquine ! Pourquoi pas !
C’est vrai ? J’adorerais ! Je n’ai jamais pu y participer !
Eh bien l’autre soir nous étions cinq hommes, un minet et trois femmes.
Eh bien ! Et … comment…Globalement tout le monde a baisé à un moment avec tout le monde !
Les .. Hommes avec…Les hommes oui et les femmes avec les femmes, ou tous mélangés ! Une partouze quoi !
Arrête ! J’ai trop envie d’y participer ! Comment il faut faire ?
Il faut d’abord que je demande aux habitués s’ils acceptent que j’amène quelqu’un. De ce côté-là je ne suis pas inquiet je vais leur montrer une photo de toi et ils vont dire oui sans problème ! Surtout si je leur explique tout ce que tu fais !
Et tu n’as pas tout vu encore !
C’est vrai ! Je ne t’ai jamais vue en action avec une femme !
Vicieux ! C’est ça que tu veux ? Malheureusement, je n’en connais plus avec qui…Ne t’inquiète pas ! J’en ai une sous la main. Attend !»J’appelle Émilie qui est toujours disponible pour une partie fine, surtout avec une femme inconnue. Elle vient nous rejoindre à l’hôtel. Nous finissons la soirée ensemble. Rosalie est une sacrée goule aussi bien avec les hommes qu’avec les femmes. Quant à moi, je ris intérieurement car elle baise avec la fille de la maîtresse de son mari. Émilie, elle ne sait pas que Rosalie est la femme d’Henri, l’amant de sa mère et parfois le sien.
Henri, justement. Que dirait-il en découvrant que sa femme n’est pas la « coincée du cul » qu’il croit ? Qu’il y a bien longtemps qu’elle s’amuse de son côté ! J’ai bien envie de les mettre en face, mais je ne veux pas détruire notre groupe ou leur mariage dont les deux semblent s’accommoder.
Rosalie me confie un jour que son mari a des maîtresses. Qu’elle s’en fiche complètement puisqu’il la laisse tranquille. Je me dis qu’il est dommage que ces deux êtres s’ignorent.
J’en discute avec Georges et Eric alors que nous sommes seuls. Ils pensent que c’est risqué mais ont envie de tenter l’expérience. Le souci vient surtout d’Henriette qui semble assez attachée à « son » Henri. Nous décidons d’en parler tous ensemble entre nous, hormis Henri.
Michelle rigole beaucoup de la situation qui lui rappelle la sienne. Finalement c’est le problème des couples qui se font des idées sur leur conjoint, alors qu’une discussion franche serait préférable.
Henriette est surprise en apprenant que je baise la femme de son amant que ce dernier lui dépeignait, comme à nous « coincée du cul ». Qu’en plus elle baise avec sa fille ! Elle a hâte de baiser aussi avec elle ! Elle n’a pas peur de perdre son amant car il est libertin et ne pourrait se passer maintenant de leurs relations et autres soirées coquines auxquelles ils participent tous les deux. Elle est tout de suite d’accord.
Elle se réjouit déjà de la rencontre prévue avec Henri le soir même. Elle saura, mais pas lui. Elle est même d’accord pour le préparer au fait que sa femme n’est pas si coincée qu’elle n’y paraît.
Après Michelle et Georges va-t-on réconcilier Rosalie et Henri ? Tout le monde s’accorde à dire que ce serait génial. Il va falloir mettre en place une stratégie afin que les deux protagonistes ne « pètent pas un cable »Henriette et moi sommes chargés de préparer le terrain. Nous allons pour cela faire quelques trios avec d’une part le mari, d’autre part, avec la femme. Après la fille, mais sans lui dévoiler d’abord leur lien, je présente Henriette à Rosalie et les deux femmes ont tôt fait de s’accorder. Elles se gouinent, se godent, se prennent à grand coup de gode ceinture par devant ou par derrière. Avec Henriette, on se marre de cette situation et il lui arrive en quittant la femme, d’appeler le mari pour le retrouver alors qu’elle conserve sur elle l’odeur de Rosalie.
On s’organise aussi avec Henri qui adore que je le sodomise pendant qu’il baise Henriette. Nous avons même réussi une fois avec ma complice à passer l’après-midi avec la femme et la soirée avec le mari !
Bref. Après quelques semaines, les conditions nous semblent propices à la rencontre décisive. Il ne reste qu’à préparer la soirée.
Nous avons promis à Rosalie de lui faire connaître l’ambiance d’une partouze. Nous lui disons que Henriette et moi y serons tous les deux avec d’autres couples.
Pour la mettre en condition, nous prévoyons d’arriver chez Georges avant les autres, pour nous retrouver avec Émilie dans une chambre, avant de descendre alors que la soirée sera entamée.
J’arrive avec les deux femmes vers dix huit heures, et présente Georges et Michelle. Cette dernière ne manque pas de rouler une pelle baveuse à sa jeune maîtresse et la félicite de la « tromper » avec une aussi jolie femme qu’il lui tarde de connaître au cours de la soirée.
Émilie reste un peu avec le couple pour les aider à préparer, avant de nous rejoindre. Rosalie, un peu intimidée malgré tout, est heureuse de se retrouver seule avec moi et découvre la magnifique chambre et sa salle de bain. Elle est étonnée des dimensions du lit et je lui précise qu’il est amené à recevoir cinq ou six personnes à la fois. Quand je déclenche la rotation des miroirs autour et au dessus de la couche elle est ébahie !
Rosalie a particulièrement soigné sa tenue pour cette soirée, aussi, fais-je attention à ne pas abîmer ses dessous. Soutien gorge à balconnet découvrant les tétons, string porte jarretelles et bas couleur saumon qui sur sa peau mate son du plus bel effet. En fait, je passe mon temps à la chauffer au maximum.
Émilie qui nous rejoint lui bouffe la chatte comme une affamée, recueillant son nectar puis lui donne son abricot à lécher alors que je la baise en écartant le string. Émilie m’a discrètement signalé qu’Henri était bien arrivé. Nous avons convenu de laisser celui-ci être pris en main par Henriette et Eric.
Il y a plus d’une heure que nous batifolons tous les trois et il est temps de rejoindre les autres au rez-de-chaussée. Rosalie est un peu nerveuse. C’est sa première partouze. Nous tentons de la rassurer en passant à la salle d'eau pour nous rafraîchir. Nous l’encadrons pour arriver dans le salon où se trouvent les participants. Émilie et elle étant restées en lingerie.
La partouze bat son plein, tout du moins en apparence. Georges et Michelle nous accueillent alors que Khaled est en train de sodomiser vigoureusement son mignon. Sur le tapis, Henriette est couchée. Entre ses jambes un homme qui n’est autre qu’Henri lui bouffe la chatte. Il est à genoux et derrière lui, Eric l’encule.
« Ah ! Ma chérie ! claironne Henriette à Rosalie en nous apercevant. Viens ici m’embrasser. Ce diable d’homme est en train de me liquéfier avec sa langue et j’ai l’impression qu’il aime la bite qui le ramone. Tâte-lui la sienne ! » Rosalie se penche et prend la queue en main.
Ah oui, le salaud ! Il bande fort ! C’est ton amant ? Celui dont tu m’as parlé ?
Oui ! Il adore me bouffer la chatte en se faisant enculer. Après il va me baiser comme un fou ! Dis-moi. J’ai l’impression que vous vous êtes régalés là haut !
Oh oui ! Mais Émilie et Jean m’ont laissé sur ma faim, j’espère qu’on va s’amuser ! »C’est à ce moment qu’Eric se lâche bruyamment dans le cul de l’amant d’Henriette. Ce dernier se redresse alors pour pénétrer sa femelle. Sa femme qui embrassait Henriette goulûment se retire alors et les deux se découvrent enfin. Nous sommes tous attentifs et inquiets de la suite.
« Henri ! C’est toi ?
Rosalie ! Mais… Non ! C’est pas possible ! Toi ?
Mais ne te gêne pas ! Baise ma copine !
Ta copine ? Mais je… »Nous entourons les trois protagonistes. J’enlace Rosalie et l’embrasse à quelques centimètres de son mari et Michelle embrase à la fois Henri et Henriette. Nous rions, en nous forçant un peu, alors que Henriette prend dans ses bras ses deux amants baisant leur bouche alternativement.
Bien sûr, Henri a débandé et se retrouve couché à côté de sa maîtresse. Georges lance alors :« Champagne pour tout le monde ! On va fêter vos retrouvailles ! Vous voyez mes amis, Michelle et moi nous nous sommes retrouvés un peu de la même manière et en sommes très heureux, alors j’espère que maintenant vous serez aussi heureux que nous et franchement Henri, il me tarde de baiser ta femme ! Si son cul est aussi bon que le tien, je vais me régaler ! En plus, elle est superbe !
Moi aussi je vais adorer baiser ta femme, rigole Michelle. Si sa langue est aussi bonne que la tienne ! Elle va me faire couler comme une fontaine ! Surtout si tu m’enfiles ta queue dans le cul ! »Rosalie et Henri sont un peu assommés par la tournure des événements. Avec Henriette nous entreprenons de les rassurer en parlant avec eux. Les autres ont repris leurs activités. Michelle est accrochée par les jambes à la taille de Khaled qui la baise debout alors que face à eux Georges se fait sucer par le minet qui compte bien ensuite prendre la bonne queue dans ses fesses. Celui-là n’en a jamais assez !
Le début de la discussion est un peu tendu. Nous faisons comprendre au couple que le défaut de communication entre eux a provoqué leur éloignement. Que Henri a cru sa femme frigide et a trouvé dans le libertinage un exutoire. Elle de son côté, croyant la même chose de son homme, a collectionné les amants de passage, jusqu’à me rencontrer. Avec Henriette nous les rassurons. Autant l’un que l’autre nous ne désirons pas les séparer. On aime baiser avec eux et chacun découvre alors que nous baisons avec l’autre à trois. On leur propose d’ailleurs de se retrouver entre nous à quatre une prochaine fois. Ils découvrent aussi la bisexualité de l’autre, que nous avons bien provoquée, c’est vrai !
« Henri ! Tu voudras encore de moi ?
Tant que tu t’habilles comme ça et que tu veux bien baiser avec Henriette et moi, bien sûr que je te veux ma chérie ! Et toi, tu sauras me partager ?
Tant que tu me baiseras avec Jean, pas de problème ! Maintenant que je sais que tu es un salaud dépravé, je vais en profiter un maximum ! Je t’aime mon amour ! »Khaled s’approche alors du couple qui s’embrasse et leur donne sa bite à sucer. Le mari et sa femme se partagent la mentule impressionnante.
« Dis-donc mon amour, tu l’a déjà prise dans le cul celle-là ?
Oh oui ! C’est un sacré morceau !
Alors moi aussi je la veux ! Toi, tu t’appelles comment ?
Khaled !
J’adore ! Tu vas enculer mon mari devant moi ! Je veux voir ça ! Après tu m’enculeras. Mais avant, Jean, tu vas préparer le passage ! Son engin est énorme et je ne veux pas avoir mal !
Ne t’inquiète pas ! Ajoute Henriette. Quand tu y auras goûté, tu auras envie d’y revenir !
Parce que toi aussi !
Mais bien sûr ma chérie ! Même si j’adore me gouiner avec toi et que j’adore la queue de ton mari, celle de Khaled, est un must, d’ailleurs, tout le monde ici y a goûté !
Même Émilie ?
Heu… Non… Henriette hésiteQuoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? Insiste notre amieIl faut qu’on vous dise quelque chose tout de même dis-je. Émilie n’aime pas les hommes. Je lui ai fais découvrir la sodomie et c’est la seule pénétration masculine qu’elle accepte, mais que ce soit Georges, dont tu ne connais pas encore le gros gland et donc Khaled, elle n’a jamais pu les recevoir.
Bon, mais ce n’est pas ça qui vous gène ! J’ai l’impression que vous me cachez encore quelque chose ! Au point où vous en êtes, je crois que vous pouvez tout dire !
On a, il est vrai, un petit secret…Et tu es au courant toi ? Demande-t-elle à Henri.
Heu... non. Enfin, je ne sais pas de quoi il s’agit.
Ta femme est une futée, dis-je alors. Elle a noté l’hésitation de ta maîtresse – j’emploie bien sûr le terme à dessein – ce secret ne m’appartient pas, ce n’est donc pas à moi de le révéler.
C’est si grave ?
Non. Je crois d’ailleurs que cela ne posera aucun problème quand vous le saurez, même si cela peut surprendre.
Bon alors. Vous nous dites ou pas ? » Henriette prend enfin la parole. Blottie dans mes bras, elle fait signe à Émilie d’approcher. Les deux femmes l'encadrent et je les prends dans mes bras.
« Voilà ! Émilie…. Est… ma fille ! » Le couple est médusé et nous regarde, aussi je continue.
« Sans le savoir vous avez fait l’amour avec la mère et la fille. Je peux vous dire aussi que Henriette est parfois passée des bras de la femme dans ceux du mari en quelques minutes et qu’elle était toute excitée ! Sachez aussi que même si au cours de nos soirées la mère et la fille ont des rapports intimes, en dehors elles ont des relations disons « normales ».
Rosalie s’approche de nous, nous enlace et embrasse tour à tour la mère et la fille.
« J’espère vous faire encore l’amour à toutes les deux mes chéries ! On le fera même toutes les trois ensemble ! Je vous adore ! Pour l’instant, je voudrais faire l’amour avec toi Henriette et avec mon mari. Qu’enfin on se le partage dans un lit. Dis, mon chéri, tu veux bien me faire l’amour ? Il y a si longtemps….
Le trio se retrouve sur un matelas. Les deux femmes s’embrassent sous les yeux émus de Henri, puis chacune s’occupe de l’homme de son côté. C’est Henriette qui guide la bite de son amant dans la chatte de sa femme. Elle se penche sur elle et elles échangent un long baiser. Rosalie murmure à l’oreille de son homme, qui couche alors sa maîtresse à côté de sa femme et la pénètre à son tour. En riant, Rosalie se lève alors et déclare :« Maintenant que mon mari baise sa maîtresse, qui est-ce qui veut s’occuper de moi ?
Prends mon mari, dit alors Michelle. Je suis sûr que ce salaud a très envie de s’occuper de toi. C’est vrai que maintenant il adore les hommes, mais tu es très jolie et si ce cochon de Jean t’as amenée parmi nous c’est qu’il pense que tu es prête à passer entre tous les bras, y compris les miens !
Je… J’aimerais… avec … Khaled !
Ah ! Tu es une grosse gourmande ! Une vraie salope ! Je te le recommande ! Gaulée comme tu es tu devrais essayer le palmier !
Le palmier ?
Oui ! Accroche-toi à son cou et mets tes jambes à sa taille, il va te baiser debout ! Tu vas voir c’est géant ! »Aussitôt dit, Rosalie grimpe sur le jeune beur qui l’enlace. C’est Michelle elle-même qui guide sa grosse pine dans la chatte baveuse de notre nouvelle amie. Quand celle-ci est bien embrochée, Michelle attrape un gode vibrant qu’elle enfile entre les fesses de la femelle qui déjà se pâme.
Rosalie ne tarde pas à jouir, empalée sur le chibre monstrueux. Michelle continue à diriger la manœuvre et fait signe à Khaled de se coucher et à Georges et venir planter sa queue à la plage du gode. Rosalie découvre sa première double pénétration et gueule son plaisir. Tout le monde s’est arrêté pour regarder le trio, y compris Henri et Henriette.
C’est ce dernier qui est le plus surpris il découvre, ou plutôt redécouvre sa femme. Il la croyait frigide, « coincée du cul » et là elle en redemande.
- « Oui ! Regarde mon salaud de mari ! Regarde ta femme se faire niquer par tous les trous ! Moi aussi je veux du sexe ! Le salaud qui me démonte le cul à une bite incroyable ! J’aime ça ! Viens Henri ! Donne moi ta bite que je te suce ! Balance-moi la purée dans la gorge ! Gave-moi de ton sperme ! Ta femme est une salope ! Toi salaud de Jean ! T’es un enfoiré ! Je t’adore ! Tu pourras me baiser quand tu voudras et surtout si mon mari est là ! Je vous aime ! Henriette, ne te gêne pas ! Viens me bouffer la chatte, j’adore ta langue. »