Erwann, Emilie et moi
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Erwann, Emilie et moi
Émilie sortit faire quelques courses. Erwann monta se doucher. Je fis les chambres et commençais à nettoyer le salon. Le canapé portait des traces de sperme. Le tapis aussi. Il serait difficile de tout nettoyer avant le retour du père d’Émilie. Il faudrait camoufler et espérer qu’il ne remarque rien. S’il commençait à fouiller et qu’il découvrait tout ce qu’on avait fait pendant son absence, il pourrait péter un plomb.
Émilie revint avec de quoi manger. Erwann avait enfilé un teeshirt blanc et un pantalon de jogging. Il vint m’aider dans le salon. Émilie prépara le repas. Un visiteur arrivant à ce moment aurait trouvé la scène tout ce qu’il y a de plus normal. Sauf que chacun de nous ne pensait qu’à une chose, le sexe, et le moment où nous nous retrouverions nus et pourrions enfin assouvir un fantasme qui grandissait depuis des semaines.
Nous nous installâmes pour déjeuner. Un rôti de bœuf, des haricots verts. Un bon repas du dimanche en famille. C’était presque touchant. Qui pourrait penser que le trio assis sagement avait, la veille, passé sa journée nu, à baiser. Il devait flotter dans l’air des relents de cette journée spéciale que tentaient de dissiper les effluves de ce repas.
Émilie avait acheté quelques pâtisseries que nous prîmes au salon en buvant le café. Le film de cul avait fait place aux séries débiles du dimanche. La torpeur nous prenait tous et la sieste nous tendait les bras. Erwann se leva. Il nous regarda Émilie et moi.
— On va jouer encore longtemps à la petite famille bien gentille, bien sage, ou on passe aux choses sérieuses. On a tous envie de ça, alors on monte, on se fout à poil et on baise.
Il joignit le geste à la parole et jeta son teeshirt et son jogging révélant son érection. Émilie glissa sa main dans mon pantalon pour découvrir la mienne.
— Je crois qu’on peut rester là, tout le monde est en condition, dit-elle en se déshabillant.
Erwann se jeta sur moi et entreprit de me sucer. Émilie lui dit d’attendre et de lui en laisser un peu. Pantalon aux chevilles, je regardais le frère et la sœur me sucer. Ces deux bouches, quatre lèvres, deux langues glissaient sur mon sexe, gobaient mes couilles, s’amusaient de mon gland. Ils faisaient passer ma queue d’une bouche à l’autre. Je rêvais éveillé. Émilie laissa ma bite à son frère. Elle s’éclipsa un moment. Quand elle revint, nous avions changé de position et je suçais Erwann.
Émilie se plaça à mes côtés. Elle regardait fixement son frère. Je sentais son envie de sucer Erwann avec moi. Je ne voulais pas la forcer. C’était un choix à faire par elle seule. Elle prit la bite de son frère en main, massa ses couilles pendant que je poursuivais ma pipe.
— Tu me donnes envie, me dit-elle et, se tournant vers son frère ajouta, mais tu es mon frère et j’en fais déjà trop. Pourtant j’ai envie de te faire plaisir, de te baiser.
Elle enfila son gode ceinture. Erwann avait des étoiles dans les yeux en regardant sa sœur lui exhiber sa bite noire sous les yeux. Il savait qu’il allait la prendre dans le cul. Que sa sœur au travers de son gode allait l’enculer et le faire jouir. Il se mit en position, offrant son cul, écartant les fesses. Je lui léchais son petit trou, le doigtais, dilatais son anus, le lubrifiais de ma salive pour qu’il accueille la bite de sa sœur.
Elle lui attrapa les hanches, et d’un coup sec l’encula. Je le vis faire une grimace puis alors qu’Émilie le limait son visage se détendit, et y apparut des signes de plaisir. Je lui mis ma queue sous le nez et il s’empressa de la sucer. Erwann était pris en sandwich par sa sœur et moi, une bite a chaque bout.
— Tu veux qu’on change, me demanda-t-elle ?
Je pris sa place, et avec malice elle offrit son gode à sucer à Erwann qui joua le jeu. Il suça comme s’il s’agissait d’un vrai sexe et qu’il voulait faire jouir sa sœur, qu’elle lui inonde la bouche de sperme.
— J’aime ta bite, j’aime te sucer sœurette, j’aime que tu me baises.
C’était super excitant, un peu tordu, mais super bandant. Je tente de me retenir, mais je me vide dans le petit cul d’Erwann. Je me retire et m’assois sur le canapé. Émilie vient lécher mon sexe flasque, et me fait mettre en position, elle veut m’enculer. Je ne dis pas non. Je prends sa bite noire dans le cul et celle d’Erwann dans la bouche. C’est bon d’être pris entre eux deux. Frère et sœur à qui je donne du plaisir. Je reçois le jus d’Erwann en bouche. Émilie me demande de le garder et vient le partager avec moi dans un baiser profond. Erwann me donne sa bouche aussi pour recueillir sa semence.
Nous montons tous les trois dans la chambre d’Émilie. Nous n’en avons pas fini. Émilie bien excitée se caresse. Elle veut nous voir nous sucer en 69 avant de se faire prendre. Erwann et moi nous branlons devant elle pour nous remettre en forme. Il ne nous faut pas longtemps pour bander ferme. Erwann s’allonge, je me place au-dessus de lui. Je prends son sexe en bouche. Il fait de même. Émilie nous encourage tout en se branlant.
— Sucez-vous bien mes pédés, faites-vous du bien, ma chatte et mon cul attendent vos bites.
Erwann me glissa un doigt entre les fesses. Sentant ma bite de raidir il augmenta la cadence aussi bien avec sa bouche que dans mon cul. Je lâchais sa bite pour me concerter sur mon plaisir. Émilie rejoignit son frère et le balançait mon foutre sur leurs deux visages. Ils s’embrassèrent, se léchant le visage pour y recueillir mon sperme. Émilie prit la bite de son frère en main et le branla, les doigts d’Erwann se glissèrent dans la chatte de sa sœur. C’était étrange, mais beau. J’attendis un moment au calme. Erwann éjacula, son jus coula entre les doigts d’Émilie. Elle se les lécha et se lubrifia avec.
— Vient me baiser mon amour. Viens me prendre je suis chaude et toute mouillée.
Erwann m’embrassa et me guida vers le sexe de sa sœur. Je m’y glissais, effectivement elle était chaude, humide, ouverte. Elle se prenait les seins à pleine main, gémissais de plaisir, se tortillais sur le lit.
— Erwann, baise-le, encule-le, fourre-le pendant qu’il me baise.
Je me retournais et vis Erwann en train de se masturber. Il vint contre moi, m’embrassa, caressa mes fesses, mon trou, et y plaça sa bite bien dure. Son gland poussa contre mon anus. Je me reculais pour le faire entrer. Il m’encula. Je sentais sa belle queue en moi, et ses par ses coups de reins que je baisais sa sœur. Émilie se tendit et jouit. Elle cria mon nom et celui de son frère, avant de retomber sur le lit.
Elle se tourna et me présenta son petit trou. Elle le caressa, s’y glissa un doigt, puis deux. Elle vint se coller à moi, ma bite en position à l’entrée de son cul. Un coup de bite d’Erwann me fit entrer. Elle cria sur le coup, mais devint folle au fur et à mesure que nous l’enculions. Encore une fois ma bite était aux ordres d’Erwann il donnait le rythme, et c’est bien ensemble que nous fourrions le cul de sa sœur.
Je jouis deux fois coup sur coup. Une première fois grâce à Erwann, un orgasme anal qui me fit hurler de plaisir, puis je me vidais la bite dans le cul d’Émilie. J’étais épuisé, je retombais comme une masse sur le lit. Émilie m’embrassa, me remercia et alla sucer la bite de son frère. Elle me dira plus tard qu’elle n’avait pas réfléchi, qu’elle l’avait vu se branler, et qu’elle avait eu envie de la prendre dans sa bouche, de boire son sperme.
Je me couchais entre le frère et la sœur. Trio pervers, trio amoureux aussi.
Émilie revint avec de quoi manger. Erwann avait enfilé un teeshirt blanc et un pantalon de jogging. Il vint m’aider dans le salon. Émilie prépara le repas. Un visiteur arrivant à ce moment aurait trouvé la scène tout ce qu’il y a de plus normal. Sauf que chacun de nous ne pensait qu’à une chose, le sexe, et le moment où nous nous retrouverions nus et pourrions enfin assouvir un fantasme qui grandissait depuis des semaines.
Nous nous installâmes pour déjeuner. Un rôti de bœuf, des haricots verts. Un bon repas du dimanche en famille. C’était presque touchant. Qui pourrait penser que le trio assis sagement avait, la veille, passé sa journée nu, à baiser. Il devait flotter dans l’air des relents de cette journée spéciale que tentaient de dissiper les effluves de ce repas.
Émilie avait acheté quelques pâtisseries que nous prîmes au salon en buvant le café. Le film de cul avait fait place aux séries débiles du dimanche. La torpeur nous prenait tous et la sieste nous tendait les bras. Erwann se leva. Il nous regarda Émilie et moi.
— On va jouer encore longtemps à la petite famille bien gentille, bien sage, ou on passe aux choses sérieuses. On a tous envie de ça, alors on monte, on se fout à poil et on baise.
Il joignit le geste à la parole et jeta son teeshirt et son jogging révélant son érection. Émilie glissa sa main dans mon pantalon pour découvrir la mienne.
— Je crois qu’on peut rester là, tout le monde est en condition, dit-elle en se déshabillant.
Erwann se jeta sur moi et entreprit de me sucer. Émilie lui dit d’attendre et de lui en laisser un peu. Pantalon aux chevilles, je regardais le frère et la sœur me sucer. Ces deux bouches, quatre lèvres, deux langues glissaient sur mon sexe, gobaient mes couilles, s’amusaient de mon gland. Ils faisaient passer ma queue d’une bouche à l’autre. Je rêvais éveillé. Émilie laissa ma bite à son frère. Elle s’éclipsa un moment. Quand elle revint, nous avions changé de position et je suçais Erwann.
Émilie se plaça à mes côtés. Elle regardait fixement son frère. Je sentais son envie de sucer Erwann avec moi. Je ne voulais pas la forcer. C’était un choix à faire par elle seule. Elle prit la bite de son frère en main, massa ses couilles pendant que je poursuivais ma pipe.
— Tu me donnes envie, me dit-elle et, se tournant vers son frère ajouta, mais tu es mon frère et j’en fais déjà trop. Pourtant j’ai envie de te faire plaisir, de te baiser.
Elle enfila son gode ceinture. Erwann avait des étoiles dans les yeux en regardant sa sœur lui exhiber sa bite noire sous les yeux. Il savait qu’il allait la prendre dans le cul. Que sa sœur au travers de son gode allait l’enculer et le faire jouir. Il se mit en position, offrant son cul, écartant les fesses. Je lui léchais son petit trou, le doigtais, dilatais son anus, le lubrifiais de ma salive pour qu’il accueille la bite de sa sœur.
Elle lui attrapa les hanches, et d’un coup sec l’encula. Je le vis faire une grimace puis alors qu’Émilie le limait son visage se détendit, et y apparut des signes de plaisir. Je lui mis ma queue sous le nez et il s’empressa de la sucer. Erwann était pris en sandwich par sa sœur et moi, une bite a chaque bout.
— Tu veux qu’on change, me demanda-t-elle ?
Je pris sa place, et avec malice elle offrit son gode à sucer à Erwann qui joua le jeu. Il suça comme s’il s’agissait d’un vrai sexe et qu’il voulait faire jouir sa sœur, qu’elle lui inonde la bouche de sperme.
— J’aime ta bite, j’aime te sucer sœurette, j’aime que tu me baises.
C’était super excitant, un peu tordu, mais super bandant. Je tente de me retenir, mais je me vide dans le petit cul d’Erwann. Je me retire et m’assois sur le canapé. Émilie vient lécher mon sexe flasque, et me fait mettre en position, elle veut m’enculer. Je ne dis pas non. Je prends sa bite noire dans le cul et celle d’Erwann dans la bouche. C’est bon d’être pris entre eux deux. Frère et sœur à qui je donne du plaisir. Je reçois le jus d’Erwann en bouche. Émilie me demande de le garder et vient le partager avec moi dans un baiser profond. Erwann me donne sa bouche aussi pour recueillir sa semence.
Nous montons tous les trois dans la chambre d’Émilie. Nous n’en avons pas fini. Émilie bien excitée se caresse. Elle veut nous voir nous sucer en 69 avant de se faire prendre. Erwann et moi nous branlons devant elle pour nous remettre en forme. Il ne nous faut pas longtemps pour bander ferme. Erwann s’allonge, je me place au-dessus de lui. Je prends son sexe en bouche. Il fait de même. Émilie nous encourage tout en se branlant.
— Sucez-vous bien mes pédés, faites-vous du bien, ma chatte et mon cul attendent vos bites.
Erwann me glissa un doigt entre les fesses. Sentant ma bite de raidir il augmenta la cadence aussi bien avec sa bouche que dans mon cul. Je lâchais sa bite pour me concerter sur mon plaisir. Émilie rejoignit son frère et le balançait mon foutre sur leurs deux visages. Ils s’embrassèrent, se léchant le visage pour y recueillir mon sperme. Émilie prit la bite de son frère en main et le branla, les doigts d’Erwann se glissèrent dans la chatte de sa sœur. C’était étrange, mais beau. J’attendis un moment au calme. Erwann éjacula, son jus coula entre les doigts d’Émilie. Elle se les lécha et se lubrifia avec.
— Vient me baiser mon amour. Viens me prendre je suis chaude et toute mouillée.
Erwann m’embrassa et me guida vers le sexe de sa sœur. Je m’y glissais, effectivement elle était chaude, humide, ouverte. Elle se prenait les seins à pleine main, gémissais de plaisir, se tortillais sur le lit.
— Erwann, baise-le, encule-le, fourre-le pendant qu’il me baise.
Je me retournais et vis Erwann en train de se masturber. Il vint contre moi, m’embrassa, caressa mes fesses, mon trou, et y plaça sa bite bien dure. Son gland poussa contre mon anus. Je me reculais pour le faire entrer. Il m’encula. Je sentais sa belle queue en moi, et ses par ses coups de reins que je baisais sa sœur. Émilie se tendit et jouit. Elle cria mon nom et celui de son frère, avant de retomber sur le lit.
Elle se tourna et me présenta son petit trou. Elle le caressa, s’y glissa un doigt, puis deux. Elle vint se coller à moi, ma bite en position à l’entrée de son cul. Un coup de bite d’Erwann me fit entrer. Elle cria sur le coup, mais devint folle au fur et à mesure que nous l’enculions. Encore une fois ma bite était aux ordres d’Erwann il donnait le rythme, et c’est bien ensemble que nous fourrions le cul de sa sœur.
Je jouis deux fois coup sur coup. Une première fois grâce à Erwann, un orgasme anal qui me fit hurler de plaisir, puis je me vidais la bite dans le cul d’Émilie. J’étais épuisé, je retombais comme une masse sur le lit. Émilie m’embrassa, me remercia et alla sucer la bite de son frère. Elle me dira plus tard qu’elle n’avait pas réfléchi, qu’elle l’avait vu se branler, et qu’elle avait eu envie de la prendre dans sa bouche, de boire son sperme.
Je me couchais entre le frère et la sœur. Trio pervers, trio amoureux aussi.
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