Escapade à Venise - histoire érotique

Amélie et Nicolas, décide d’aller fêter leurs fiançailles à Venise. Quelle plus belle ville que Venise, pour souder définitivement leur amour. D’autant que c’est la période du carnaval. C’est en vrais amoureux, que leur embarcation accoste devant l’hôtel.
Amélie est vêtue d’une jupe en cuir, d’un chandail, et d’un leggings. Elle porte également, un long manteau noir.
Pas de culotte, elle n’en met jamais.
Ce qui profite à son futur mari qui peut tout à loisir, caresser discrètement sa chatte, sans que les passagers ne s’en aperçoivent. Même quand Amélie jouit.
En plus, elle trouve très agréable de sentir ce petit air s’engouffrer entre ses jambes, et lécher sa petite chatte.

A peine débarqué, ils sont pris en charge par le groom de l’hôtel, qui s’occupe de leurs bagages. ,
Une fois installés dans leur confortable chambre, ils décident d’aller faire un tour dans les petites rues de Venise. Ils promènent au milieux de touristes dont certains sont déjà déguisés.
Pendant leur visite, ils sont accosté, par un couple. Probablement, des guides touristiques. Après avoir récupéré quelques brochures, ils rentrent prendre une douche, et regagne le restaurant de l’hôtel.
Ils y retrouvent le couple d’italiens, qui leur propose de partager leur table. Nicolas et Amélie, acceptent.

-Je m’appelle Nicolas, et voici Amélie, ma future épouse.
-Ah, félicitations. Moi, c’est Gino, et voici ma compagne, Francesca. Ca fait plusieurs années que nous travaillons ensemble. Il y a beaucoup de sites à visiter ici, dont un qui ouvre demain. La station thermale. C’est un endroit très prisé à Venise. Je peux vous y mener si vous voulez.

-Heu, je sais pas trop, j’avais plutôt envie de me reposer. T’en dis quoi ma chérie. Tu peux y aller si tu veux.
-J’aimerai bien, ça doit beau à voir.

Un marchand de fleurs sillonnent les tables. Gino achète une rose rouge, l’épingle au décolleté pigeonnant d’Amélie. Même si elle apprécie, elle trouve le geste surprenant.
Même quand elle va aux toilettes, Gino l’accompagne.
A-t-il une idée derrière le tête.
Amélie sort, rince ses mains au lavabo, les essuies. Dans un geste maladroit, elle fait tomber la rose. Gino s’empresse de la ramasser, et la la remet dans le décolleté. Il fixe la jeune femme du regard, s’attarde sur un sein. Il attire à lui, essaie de l’embrasser. Les lèvres se frôlent, mais Amélie parvient à le rerpousser, en laissant traîner sa main sur le torse de Gino. Un léger sourire éclaire son visage..
Ils regagnent la table, ou Nicolas et Francesca sont en grande discussion. A table, Gino n’a d’yeux que pour Amélie. En voyant l’air troublé de sa fiancée, Nicolas propose de regagner la chambre. Galant, Gino s’empresse de retirer la chaise d’Amélie, pour qu’elle puisse sortir.

Arrivé dans la chambre, ils se déshabillent. Amélie remarque la bite en érection de Nicolas, et, malgré la fatigue du voyage, elle le culbute sur le lit, et s’empale direct sur sa queue.

-Hey, dit Nicolas, c’est Gino qui t’a excité comme ça.
-A voir comme tu bandes, je me demande si ce n’est pas toi qu’il a excité. T’imaginais peut être sa queue dans ma petite chatte. Et puis, tu vas pas être jaloux à quelques semaines du mariage. Même si je dois admettre qu’il est très beau...et que j’en ferai bien mes week-end.
-Suffit...je vais bien te baiser pour calmer tes ardeurs.
-Oh oui, vas-y salaud, baises moi, j’ai trop envie.

Ils vont faire l’amour, pendant plus d’une heure. Amélie n’en finit pas de jouir, sous les coups de queues incessant de son fiancé. Nicolas tente la sodomie. Amélie refuse, lui réservant ça comme cadeau pour leur nuit de noces.

Le lendemain, visite guidée en gondole, puis repas pris dans la chambre. Rien de bien méchant.
Finalement, Nicolas n’a pas prévu de sortir. Mais insiste pour qu’Amélie accepte l’invitation de Gino.
Il lui conseille d’être prudente, de faire attention. Gino est un gros dragueur.
Amélie lui dit qu’il n’a aucun souci à se faire, et qui plus est, ils sont une dizaine à participer à la visite.
En fait, il n’y a pas de visite guidée. Amélie a tout simplement rendez vous avec Gino, pour, c’est vrai, visiter un site bien particulier. Une surprise.

Gino et Amélie s’embrassent, à la commissure des lèvres. Le bel italien lui prend le bras.

-Je vais vous faire visiter un lieu unique, dit-il. Mais faut pas en parler à vôtre fiancé.
-Oh la...vous me faites peur là…

C’est bras dessus, bras dessous, qu’ils arpentent une petite ruelle. Ils prennent une montée d’escaliers, qui débouche dans un hall. Gino l’emmène devant une porte, avec hublot. Il demande à Amélie de s’approcher, et de regarder.
A l’intérieur, des hommes et des femmes, entièrement nus, sont en train de se caresser, de faire l’amour.
Amélie est outrée par le spectacle qui s’offre à elle, veut repartir. Gino insiste pour qu’elle reste.
Après une courte hésitation, Amélie colle son visage au hublot. Les images qui défilent sont dignes d’un filme porno. Soudain, Amélie sent une légère humidité perler sur ses lèvres intimes. Elle est de plus en plus excitées par les scènes qui se déroulent sous ses yeux. Au point qu’elle ne s’aperçoit même pas, quand Gino enroule sa jupe sur sa taille.
La chatte est à découvert, offerte. Elle sent une main se plaquer sur ses fesses, s’insinuer entre ses cuisses.
Avant qu’elle ne puisse réagir, un doigt pénètre sa chatte.

-Oh...oh...mon dieu...que faites vous…
-Chut, profitez de cet instant magique…regardez…
-Heu...vous m’avez mis un doigt, vous êtes en train de me branler là….oh...houa...
-Vous n’aimez pas...vous sentez mon doigt sur vôtre clitoris...vous aimez n’est-ce pas...
-Oui j’aime, gémit Amélie...mais c’est pas bien...vous allez me faire jouir...oh mon dieu, je jouis, oui…
-J’ai de suite su que vous étiez une salope...je connais un petit hôtel près d’ici, on pourrait s’y rendre si ça vous dit.

Soudain, Amélie sent un objet contondant se frayer un passage entre ses cuisses. C’est la queue de Gino qui la traverse de part en part, frotte contre sa chatte. Machinalement, elle saisit le gland qui dépasse, entièrement décalotté. Elle le caresse du bout des doigts.

-Non...Restons-en là, s’il vous plaît, rejoignons le groupe. Je me marie bientôt...je ne veux pas tromper mon fiancé.
-Comme vous voulez...dommage. On se verra au bal. D’ici là, vous aurez peut être changé d’avis.

Il est presque dix huit heures, quand Amélie regagne l’hôtel. Nicolas l’attends dans la chambre. Elle sent à son regard, qu’il se doute de quelque chose. Elle s’approche de lui, et lui donne un tendre baiser.

-Alors, ou étais-tu, t’as vu l’heure? Tu étais avec ton bel italien...en train de baiser peut être, dit-il avec un sourire
-Mais non mon chéri, qu’est-ce que tu vas t’imaginer. Mais toi, s’il te plaît, baises moi...j’ai tellement envie.
-Il a du vraiment t’exciter pour demander ça. Dis moi, il t’a caressée...branlée. Fais voir si ta chatte est mouillée. Puis non, j’ai confiance, puis on doit se préparer pour le bal masqué. On fera l’amour en rentrant, tu peux tenir jusque là ? Ce sera que meilleurs. J’ai hâte d’y être.

Amélie n’insiste pas, elle pense à la proposition de Gino. Après tout, pourquoi pas. Elle n’est pas encore mariée. Puis, prendre un bon coup de queue d’un inconnu ne lui déplairait pas.

Arrive le temps de s’habiller. Amélie choisi le masque du chat, une cape noire satinée de séductrice vénitienne, sur une courte jupe, et des collants. Un corset à lacets, qui font ressortir son opulente poitrine. Nicolas se propose de l’aider à le mettre.
Sera-t-il lui qui aura la primeur de la quitter. Pas sur.
Nicolas a choisi un masque de loup, et d’une tenue sobre, dans la pure tradition vénitienne.
Amélie envoie un message et une photo à Gino, pour qu’il puisse les reconnaître.
Il lui réponds qu’il portera le masque de la Bête, et sera déguisé en séducteur vénitien dominateur, avec jabot noir.
Amélie en frémit d’avance.
Les danses sont à mourir. Amélie cherche désespérément Gino, quand elle sent le vibreur de son téléphone. C’est Gino qui lui demande de le rejoindre dans les combles.
Elle profite que Nicolas soit en pleine conversation avec Francesca, pour s’éclipser.

Dans les combles, le sol est jonché de cartons, de vieux déguisements, des couvertures jetés ça et là.
Gino sort d’une porte dérobée, se dirige vers Amélie. Tous les deux, ôtent leur masque.

-Enfin, dit-il, vous avez pu vous libérer.
-J’avais tellement envie de vous...

Gino la fait pivoter, fait rouler la cape au sol. Il défait les lacets un à un, poursuit son effeuillage, jusqu’à ce que la jeune fiancée soit entièrement nue devant lui.
Il caresse les seins, descend entre les cuisses, passe un doigt sur le fente. Gino n’en fini pas de vanter sa beauté.
C’est au tour d’Amélie de déshabiller Gino. Elle ouvre grand les yeux quand elle saisit la queue du bel italien. Elle est assez imposante.
Tout en s’embrassant, ils glissent sur une couverture, à moitié déchirée. C’est dans la position du missionnaire qu’Amélie atteint son premier orgasme.
Gino se retire, plonge sa tête entre les cuisses de la future mariée. Il lui lèche la chatte, aspire le clitoris. Amélie pousse des petits cris de plaisir.

-Oh oui, c’est bon ce que vous faites à mon clitoris.
-Vôtre petit bouton est si attirant...tout décalotté…

Les positions s’inversent. C’est au tour de Gino, de se mettre sur le dos. Il saisit Amélie par les hanches, et la force à s’empaler sur sa queue en érection. C’est Amélie qui fait tout, qui se déhanche pour donner du plaisir à son partenaire. C’est là que surgit le deuxième orgasme.
Amélie se retire, se penche, prend la queue en bouche.

-Laissez vous faire...je vais bien vous sucer...hum…
-Allez-y, décalottez la...ouah…

Après lui avoir tailler une bonne pipe, et avoir tout avaler, Amélie se met à quatre pattes. Si ce n’est pas un appel, pour se faire prendre en levrette, c’est quoi ?

-Vous allez voir comme je vais vous donner.
-Oh oui, mon prince, baisez moi...fort...je suis à vous…

Gino enfonce ses doigts dans les deux trous, comme pour choisir lequel il allait prendre. Ce salaud choisit le petit. La pénétration est brutale. La jeune fiancé sent l’énorme bite défoncer son petit orifice, les grosses couilles s’écraser contre ses fesses. Amélie serre les dents sous la pénétration de l’énorme bite.
Elle pense à la promesse faite à Nicolas, qu’il serait le premier à la sodomiser lors de leur nuit de noces. C’est la première fois qu’elle subit un pareil traitement. Amélie se fait enfiler comme jamais. Aux antipodes de ce que Nicolas lui propose au lit. Et Gino le sait.

-Oh mon dieu, gémit Amélie, j’avais promis à mon fiancé, qu’il serait le premier à m’enculer.
-Ne lui dites rien, il ne s’apercevra pas qu’il a déjà servi.
Cet enfoiré de Gino s’amuse Avec Amélie. Il rentre sa queue, la sort, et ce à plusieurs reprise. Amélie devient folle. Un coup dans la chatte, un coup dans le cul. C’est à ce moment que gronde le troisième orgasme, dans un cri de plaisir.
La bouche non plus, n’est pas épargnée. La queue du bel italien y trouve refuge. Dans un dernier va et vient, il vide copieusement ses couilles sur la langue d’Amélie.

-Ouah...putain, allez-y, c’est bon hein…avalez...salope...
-Hum...hum…balbutie Amélie.

Amélie se délecte du nectar qui coule sur sa langue, jusqu’au fond de sa gorge. Elle avale tout, nettoie le gland avec gourmandise. Leur relation se termine, sur un torride baiser.

Amélie informe Gino, que leur départ est prévu demain en fin d’après midi, mais qu’avant de partir, elle aimerai bien qu’il la baise une dernière fois, en guise d’adieu.
Gino lui donne rendez vous à la station thermale, là ou il l’a faite jouir lors de leur première rencontre.
Le tout pour Amélie, est de trouver une excuse pour pouvoir s’absenter. Elle prétend avoir vu un ensemble dans une boutique, et demande à Nicolas, s’il elle peut l’acheter avant de partir. Bien évidemment, Nicolas accepte, dit que pendant ce temps, il préparera les valises. Amélie lui donne un baiser, lui dit de prendre tout son temps, qu’elle le rejoindra directement au bateau.
Amélie se précipite aux sources rejoindre son bel italien.
En arrivant, Amélie surprend Gino en grande discussion avec le gardien de la station. Elle se cache derrière un pilier, tend l’oreille.

-Oh putain, se vante Gino, j’ai passé la soirée avec une cliente de l’hôtel, quelle salope. Une vraie chienne. Je l’ai baisée, enculée... ouah. Elle a une bouche à tailler des pipes...je vous dis pas. Et elle avale tout la salope. Comme elle aime la queue. Je l’ai faite jouir quatre ou cinq fois. A chaque fois, elle hurlait de plaisir, en redemandait. J’avais peur qu’on nous entende. On a rendez vous ici ce matin.
-Elle est mariée, demande le gardien.
-Fiancée, juste fiancée. En plus, je connais son futur mari. Il a intérêt à la surveiller...croyez moi, elle aime la queue. Elle lui avait promis qu’il serait le premier à déflorer son petit trou. S’il savait comme je l’ai enculée...ouah. Elle en voulait la garce.
-Son futur mari a surtout besoin de bien lui donner, poursuit le gardien, s’il veut pas qu’elle aille voir ailleurs.

Amélie s’appuie contre le pilier, fond en larmes. Elle vient de s’apercevoir, que Gino l’a pris pour une conne.
Mais que croyait-elle, qu’il allait tomber amoureux d’elle. C’est ni plus ni moins qu’un gigolo.

«Oh mon dieu, pourquoi ça... il s’est amusé avec moi, je lui est tout donné, offert les endroits de mon corps les plus précieux, ceux qui étaient réservés à mon fiancé pour nôtre nuit de noces. Il m’a défloré le petit trou, je l’ai sucé, avalé son jus...et il me traite de pute, de salope, de chienne. Qu’ai-je fait pour mériter ça…Il faut que je me reprenne, que j’oublie tout ça.»

Après s’être repoudré le nez, Amélie arrive au bateau, les mains vides. Elle explique à Nicolas, que le dernier ensemble s’était vendu. Puis elle lui murmure à l’oreille.

-Tu as un plan caresses pour la traversée.
-Pourquoi me dis-tu ça.
-Parce que j’ai pas mis de culotte, et ma chatte et mon petit bouton ont des envies.
-Hum...petite salope...je vais m’occuper de tout ça.