Escapade avec Maryse
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Escapade avec Maryse
Debout contre le capot, Maryse m’attend devant les grilles du lycée.
-Monte. Fait-elle.
Sans un mot je m’installe côté passager. Elle démarre et très vite quitte l’agglomération. Elle s’enfonce dans la campagne. Arrivé sur le lieu de son choix, une clairière, la voilà qu’elle stoppe. Coupe le contact et quitte le véhicule. Dehors, elle écarte les pans de son imperméable.
-Ça te plaît ? Me questionne-t-elle.
Je demeure saisi par son initiative. Dessous elle porte un soutien-gorge balconnet, une culotte assortie de couleur jaune pipi. J’acquise de la tête.
-Je l’es acheté spécialement pour toi, lâche-t-elle, tout en dégrafant son soutien-gorge.
Elle se trouve devant moi, torse nu.
-Tu ne t’attendais pas à ça ?
-Je le confirme !
Elle pose ses mains à hauteur du nombril et les fait remonter sur son ventre, puis vers sa poitrine. Elle s’arrête sur ses petits bouts roses qu’elle pince et fait bander. Elle s’approche de moi, pour me les mettre sous mon nez. Je commence à sentir des frissons dans mon slip.
Pour sa part, continue à se caresser les seins et cela pendant plusieurs minutes. La coquine semble y prendre un plaisir intense.
Puis elle décide de passer à autre chose. Pour cela, elle se retourne pour m’exposer ses fesses. Puis elle se penche en avant et se baisse assez bas pour m’exposer sa grande raie, que la finesse de son slip me permet de voir. Elle me comble la Maryse ! La voilà qu’elle se redresse et se retourne de nouveau. Là ses yeux dans les miens, elle se soulage de sa culotte jaune pipi. La salope s’est épilée.
-Ça te plaît ?
Pour toute réponse, incapable de me retenir, je la touche partout. Je la sens chavirer sous mes caresses. Je lui prends la main, lui fais tâter ma queue gonflée à travers le pantalon.
-Eh bien ! Me lâche-t-elle.
-C’est toi !
Mes doigts descendent le long du ventre, s’aventurent entre les lèvres humides. Je les retire, pour les humer. Les suce, me plaquant contre elle, serrant de ma main libre son cul ferme.
-Mais Alain, je pense que je vais le dire à ta maman ! S’écrie-t-elle faussement outragée. Mais qu’est ce qui te prend enfin ?
-Dis-lui !
-Tu en es sûr ?
-Je t’en prie !
-Je pense que j’en ne ferais rien, à une condition ?
-Je t’écoute !
-Que je vois ta queue, lâche-t-elle en s’attaquant à ma braguette, libère ma queue.
Comme il m’arrive de le faire avec sa fille Martine, je presse mon sexe à l’endroit où les fesses se séparent. Le fais plusieurs fois descendre et remonter dans le sillon. Comme j’aime le faire avec sa fille, ce qui fait gémir Maryse.
Elle crie quand je me mets à frotter mon gland contre son bouton. Comme elle râle quand je m’introduis dans le seuil de l’orifice qui dégorge de mouille. Je débute une série de va-et-vient de la chatte offerte. Que je découvre très dilatée.
Maryse colle sa main sur son sexe. La paume imprimant un rythme lent sur son clitoris. Je suis plus que jamais excité et je me branle fiévreusement maintenant, prise à son propre jeu. Maryse n’en perd pas un morceau, les yeux exorbités.
Cette petite séance de branlette s’intensifie par des petits gémissements coquins et sensuels. Elle me fait goûter ses doigts luisants de liqueur. Je les lèche ou plutôt les dévore. Ma queue paraît sur le point d’exploser. Des veines apparaissent sur le côté, elle tressaute, tendue par l’effort.
Je lui donne un petit baiser et une caresse sur sa joue. Elle soulève son popotin et le place de sorte que ma queue se cale entre ses fesses. Ainsi, elle fait coulisser ma tige le long de ses fesses. Une variante personnelle de la branlette espagnole, déjà exécuté à d’autres occasions. Surtout avec des copines.
Elle déserte le poste pour s’agenouiller à mes pieds. Dès les premiers coups de langue sur mon gland, je m’entends pousser des râles de satisfaction et de délivrance. Elle me lèche comme j’aime être lécher. Sa langue partant de mes bourses pour remonter jusqu’à mon gland, titillant par la suite mon frein.
Elle fait tournoyer cette même langue sur son bout. Puis elle presse sur mes testicules pour faire se dresser ma tige au maximum, puis satisfaite d’elle, Maryse m’enfourne goulûment dans sa bouche. Maryse me suce fermement, en prenant bien soin de faire quelques pauses pour ne pas que je jouisse trop vite.
Dans un dernier baiser fougueux, la voilà qui approche sa chatte de ma bite. Elle est à quelques millimètres de mon désir. Ses hanches font un petit rond autour de mon bout. Elle frôle ma peau si sensible. Je ne cherche même pas à entré, je lui laisse l’initiative. Sa vulve toute suintante effleure ma bite. Elle fait en sorte que seul mon gland soit au contact de ses lèvres intimes. Juste quelques millimètres. Nos sexes ne se pénètrent pas réellement mais sont bel et bien en contact par de légers attouchements.
Cette chorégraphie censurée atteint son cime lorsque, terrassé par la stimulation, je suis pris d’un spasme impressionnant. Je ne me suis jamais vu comme ça. Je me raidis puis tout mon corps tremble et au même moment, je jouis en larges saccades. Mon sperme s’abat sur elle en longues giclées, sur son ventre et son pubis de petite fille.
Après mon orgasme foudroyant, je suis comme inanimé, mon corps tremblote, tout comme ma bite qui remue, comme prise de tics incontrôlables. Elle met en avant son minou souillé par ma semence.
-Eh bien mon salaud !
Plus tard, dans une envie partagée et pressente, nous nous amusons à nous regarder pisser. J’essuie sa fente, souillée par des gouttes qui s’attardent sur ses lèvres. Jouant comme le faisait Sophie dans son temps, elle tient à me tenir la queue pendant que j’urine et glisse un moment un doigt sous le jet doré, qu’elle porte ensuite à son nez, renifle puis, après une hésitation, lèche. Son air coquin face à ce dernier jeu, ouvre certainement d’intéressantes perspectives pour nos prochaines rencontres.
Elle est chouette la sœur au beau-frère.
-Monte. Fait-elle.
Sans un mot je m’installe côté passager. Elle démarre et très vite quitte l’agglomération. Elle s’enfonce dans la campagne. Arrivé sur le lieu de son choix, une clairière, la voilà qu’elle stoppe. Coupe le contact et quitte le véhicule. Dehors, elle écarte les pans de son imperméable.
-Ça te plaît ? Me questionne-t-elle.
Je demeure saisi par son initiative. Dessous elle porte un soutien-gorge balconnet, une culotte assortie de couleur jaune pipi. J’acquise de la tête.
-Je l’es acheté spécialement pour toi, lâche-t-elle, tout en dégrafant son soutien-gorge.
Elle se trouve devant moi, torse nu.
-Tu ne t’attendais pas à ça ?
-Je le confirme !
Elle pose ses mains à hauteur du nombril et les fait remonter sur son ventre, puis vers sa poitrine. Elle s’arrête sur ses petits bouts roses qu’elle pince et fait bander. Elle s’approche de moi, pour me les mettre sous mon nez. Je commence à sentir des frissons dans mon slip.
Pour sa part, continue à se caresser les seins et cela pendant plusieurs minutes. La coquine semble y prendre un plaisir intense.
Puis elle décide de passer à autre chose. Pour cela, elle se retourne pour m’exposer ses fesses. Puis elle se penche en avant et se baisse assez bas pour m’exposer sa grande raie, que la finesse de son slip me permet de voir. Elle me comble la Maryse ! La voilà qu’elle se redresse et se retourne de nouveau. Là ses yeux dans les miens, elle se soulage de sa culotte jaune pipi. La salope s’est épilée.
-Ça te plaît ?
Pour toute réponse, incapable de me retenir, je la touche partout. Je la sens chavirer sous mes caresses. Je lui prends la main, lui fais tâter ma queue gonflée à travers le pantalon.
-Eh bien ! Me lâche-t-elle.
-C’est toi !
Mes doigts descendent le long du ventre, s’aventurent entre les lèvres humides. Je les retire, pour les humer. Les suce, me plaquant contre elle, serrant de ma main libre son cul ferme.
-Mais Alain, je pense que je vais le dire à ta maman ! S’écrie-t-elle faussement outragée. Mais qu’est ce qui te prend enfin ?
-Dis-lui !
-Tu en es sûr ?
-Je t’en prie !
-Je pense que j’en ne ferais rien, à une condition ?
-Je t’écoute !
-Que je vois ta queue, lâche-t-elle en s’attaquant à ma braguette, libère ma queue.
Comme il m’arrive de le faire avec sa fille Martine, je presse mon sexe à l’endroit où les fesses se séparent. Le fais plusieurs fois descendre et remonter dans le sillon. Comme j’aime le faire avec sa fille, ce qui fait gémir Maryse.
Elle crie quand je me mets à frotter mon gland contre son bouton. Comme elle râle quand je m’introduis dans le seuil de l’orifice qui dégorge de mouille. Je débute une série de va-et-vient de la chatte offerte. Que je découvre très dilatée.
Maryse colle sa main sur son sexe. La paume imprimant un rythme lent sur son clitoris. Je suis plus que jamais excité et je me branle fiévreusement maintenant, prise à son propre jeu. Maryse n’en perd pas un morceau, les yeux exorbités.
Cette petite séance de branlette s’intensifie par des petits gémissements coquins et sensuels. Elle me fait goûter ses doigts luisants de liqueur. Je les lèche ou plutôt les dévore. Ma queue paraît sur le point d’exploser. Des veines apparaissent sur le côté, elle tressaute, tendue par l’effort.
Je lui donne un petit baiser et une caresse sur sa joue. Elle soulève son popotin et le place de sorte que ma queue se cale entre ses fesses. Ainsi, elle fait coulisser ma tige le long de ses fesses. Une variante personnelle de la branlette espagnole, déjà exécuté à d’autres occasions. Surtout avec des copines.
Elle déserte le poste pour s’agenouiller à mes pieds. Dès les premiers coups de langue sur mon gland, je m’entends pousser des râles de satisfaction et de délivrance. Elle me lèche comme j’aime être lécher. Sa langue partant de mes bourses pour remonter jusqu’à mon gland, titillant par la suite mon frein.
Elle fait tournoyer cette même langue sur son bout. Puis elle presse sur mes testicules pour faire se dresser ma tige au maximum, puis satisfaite d’elle, Maryse m’enfourne goulûment dans sa bouche. Maryse me suce fermement, en prenant bien soin de faire quelques pauses pour ne pas que je jouisse trop vite.
Dans un dernier baiser fougueux, la voilà qui approche sa chatte de ma bite. Elle est à quelques millimètres de mon désir. Ses hanches font un petit rond autour de mon bout. Elle frôle ma peau si sensible. Je ne cherche même pas à entré, je lui laisse l’initiative. Sa vulve toute suintante effleure ma bite. Elle fait en sorte que seul mon gland soit au contact de ses lèvres intimes. Juste quelques millimètres. Nos sexes ne se pénètrent pas réellement mais sont bel et bien en contact par de légers attouchements.
Cette chorégraphie censurée atteint son cime lorsque, terrassé par la stimulation, je suis pris d’un spasme impressionnant. Je ne me suis jamais vu comme ça. Je me raidis puis tout mon corps tremble et au même moment, je jouis en larges saccades. Mon sperme s’abat sur elle en longues giclées, sur son ventre et son pubis de petite fille.
Après mon orgasme foudroyant, je suis comme inanimé, mon corps tremblote, tout comme ma bite qui remue, comme prise de tics incontrôlables. Elle met en avant son minou souillé par ma semence.
-Eh bien mon salaud !
Plus tard, dans une envie partagée et pressente, nous nous amusons à nous regarder pisser. J’essuie sa fente, souillée par des gouttes qui s’attardent sur ses lèvres. Jouant comme le faisait Sophie dans son temps, elle tient à me tenir la queue pendant que j’urine et glisse un moment un doigt sous le jet doré, qu’elle porte ensuite à son nez, renifle puis, après une hésitation, lèche. Son air coquin face à ce dernier jeu, ouvre certainement d’intéressantes perspectives pour nos prochaines rencontres.
Elle est chouette la sœur au beau-frère.
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