Esclavage de Juliette
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Esclavage de Juliette
L’annonce que nous avons fait paraître dans le journal local a bien des répercutions. Plusieurs dizaines de candidates pour être à notre service. Nous sommes obligés de faire un tri douloureux. Comment justifier notre choix ? Nous nous basons sur notre pif pour en retenir trois. Leurs certificats sont parfaits. Eliette, ma femme a le temps de choisir je ne sais trop sur quel critère. Elle porte son choix sur une des trois, une femme de 30 ans, assez bien faite, avec ce qu’il faut là où il faut.
- Pourquoi elle et pas une autre,
- Je ne sais pas trop, elle me plait physiquement.
- Depuis quand tu t’intéresse aux filles.
- Depuis que je l’ai vue, elle a quelque chose de sexy.
- Je te rappelle que nous la prenons pour être à notre service.
- Je sais, j’espère qu’elle sera aussi à mon service.
- Et moi, et nous ?
- Pour ton service aussi.
Je me demande ce qui arrive à Eliette : elle se tourne maintenant vers les filles ? Enfin nous verrons bien ce qui se passera avec Juliette qui doit prendre son service dès lundi qui vient.
La période d’essai se passe admirablement bien puisque outre le ménage, Juliette fait aussi la cuisine plutôt bien. Elle est de confiance à tel point que nous pouvons la laisser seule pour faire son travail. Un matin nous sortons pour faire des courses. Quand nous revenons nous voyons Juliette décomposée.
- Pardonnez-moi, j’ai fait tomber toutes les assiettes de votre service de table.
Je commence à pâlir de colère : elle a démolit le service que mes grands parents m’avaient légué.
- Je vous rembourserais.
- Avec quoi, vous ne savez pas ce que coute ses assiettes ?
- Je m’arrangerais comme je pourrais quitte à faire le trottoir.
- Ce ne va pas de la tête, faire le trottoir. Et quoi encore.
- Je sais que vous allez me mettre dehors, tant pis.
- Non, j’ai une idée, proclame Eliette.
Je me demande quel genre d’idée tordue ma femme va proposer.
- Vous serez notre esclave, même si vous serez payée.
J’interviens :
- Comment notre esclave ?
- Elle nous obéira en tout. Je dis bien tout.
- Même si….
- Oui, même pour ça.
Juliette tout à son malheur se demande comment elle va être mangée. Je commence, moi, à comprendre. Eliette la veux pour satisfaire son besoin maintes fois exprimée au lit : baiser avec une femme.
- Pour commencer vous allez vivre nue dans la maison.
- Mais…
- Pas de mais. Déshabillez-vous devant nous.
La pauvre fille ne peut faire autrement qu’obéir : elle commence par enlever son tablier de travail, puis sa jupe. En insistant elle enlève son chemisier. Elle est quand même pas mal dénudée avec sa culotte et son soutien gorge : elle m’intéresse pas mal ainsi.
- J’ai dit nue.
Eliette est dure avec Juliette, qui se tourne pour enlever sa culotte et son soutien gorge. La pudeur la force a resté tournée. Il faut qu’Eliette insiste pour qu’enfin nous la voyions dans le plus simple appareil. Maintenant nous avons devant nous une belle fille bien faite, qui commence à me donner des envies de la baiser. Eliette pour la première fois, en tout cas devant moi s’approche de Juliette pour carrément lui mettre un doigt dans la chatte. Juliette veut se révolter. Un regard sévère de ma femme la fait rester tranquille pour un moment. Je vois le visage de Juliette se transformer brusquement quand elle pousse un long soupir. Elle vient de jouir.
Eliette prend la main de Juliette pour qu’à son tour elle la masturbe. Nue maintenant elle écarte ses cuisses. Juliette s’est mise derrière ma femme pour la toucher. Je bande comme un cerf en rut.
Je regarde mon épouse qui appuie sa tête sur l’épaule de Juliette en gémissant ; son orgasme n’est pas loin. C’est quand elle pousse un léger cri que je sais qu’elle joui. Je n’en peux plus, moi aussi je me mets nu. Je voudrais me payer la bonne. Il faut dire que voir son postérieur remuer quand elle branle Eliette me donne envie d’aller me perdre dans cet endroit magique ; un cul de belle femme. C’est juste au moment où j’allais la toucher qu’Eliette lui met un doigt à l’endroit que je vise. Juliette tend ses fesses vers la main qui lui donne cette caresse. Je vois le doigt entrer dans son cul. Il me semble qu’elle écarte d’elle-même ses fesses et son trou pour que le doigt aille le plus loin possible.
Je reste près du couple en attendant d’y avoir ma place. Je suis déçu quand les deux femmes vont dans la chambre. Je ne pensais jamais qu’elles se mettraient si vite en couple.
Maintenant, nues sur le lit elle s’embrasse sur la bouche, comme des amoureux de toujours. A ma surprise c’est Juliette qui commence à prendre la place de la dominante. Elle donne ses seins à Eliette qui les lèche avant de sucer les tétons. Juliette n’est pas en reste : elle caresse les seins de sa compagne jusqu’au moment où n’y tenant plus, ma femme lui demande tout haut de la sucer.
Juliette se tourne pour venir mettre son visage sur la chatte de la femme. Elle fait encore plus en se mettant en 69.
Ma propre femme, devant moi commence à lécher la chatte d’une autre fille. Les deux femelles se donnent du plaisir alors que je reste la bite en l’air prête à servir. Je me couche à leur coté pour me masturber devant ce couple de lesbiennes. Je n’ai pas le temps d’aller jusqu’au bout : je trouve ma place dans les fesses de la bonne. Ma femme prend ma bite en main, elle la connait parfaitement. C’est elle qui me dirige vers l’anus entrouvert de Juliette.
J’entre très lentement dans le cul offert. Mon gland passe sans encombre. Elle a du se faire mettre souvent par cet orifice. Je sens que je vais tout au fond quand je sens ses fesses contre mon pubis. Je lime consciencieusement. Eliette me caresse les couilles même pendant que sa langue travaille sur le clitoris de sa compagne. Je me sens parfaitement à l’aise dans le cul, presque aussi bien que dans celui de ma femme.
A force de limer je décharge tout ce que contiennent mes couilles. Je sors du rectum aussi lentement que je suis entré. Je dois avoir une ou deux gouttes de sperme qui reste sur la bite : Eliette les recueille au passage.
Elles m’énervent à continuer leur gouinage pendant que je ne suis plus en forme. Et pourtant je bande rapidement rien qu’à observer les deux femmes ensemble qui font de plus en plus loin : elles se lèchent le cul. Pourtant Eliette semble avoir un avantage sur Juliette : elle lui a mis deux doigts dans le puits. Juliette est toujours à la recherche du meilleur. Elle me demande de venir lui donner ma bite dans la bouche.
Je ne peux refuser cette faveur : la fellation me plait assez pour qu’elle me suce. Pourtant je vois que le con d’Eliette est vide. J’arrive aussi à la caresser enfin. Elle est trempée. Je peux lui faire ce que je veux. Je ne lui veux que du bien : je lui branle le petit clito pour la faire jouir encore.
Nous formons un drôle de trio improvisé au départ par les désirs de mon épouse. La fin de journée se passe au lit, même si Juliette se lève pour préparer des petits amuse gueules que nous délaissons au profit des sexes d’un ou d’une autre.
Le plus grand plaisir arrive quand Eliette enfin sort son gode. La première à être servie est Juliette. Au départ elle se masturbe seule pour « essayer » ce que ça fait. Eliette enfin le prend en main pour la baiser. Juliette cri son plaisir, avant de le mettre dans le cul de ma femme. Elle adore se faire mettre par derrière : elle jouit aussi.
Elles se tournent vers moi qui refuse d’avoir mon cul rempli de cet objet. Pourtant je bande sans cesse. Elles ont vite faire de me tenir en se matant à deux, me mettre sur le ventre, d’ouvrir mes fesses avant de poser une langue, je ne sais même pas à qui, sur mon anus. J’ai droit à me faire enculer profondément. Elles me font mal au début et finalement je m’habitue lentement à avoir quelque chose dans le cul. Elles font aller et venir le gode jusqu’au moment ou je lâche une bonne dose de sperme dans la bouche d’Eliette.
Presque tous les jours nous baisons en trio. Pourtant dans la journée il m’arrive souvent de m’amuser avec Juliette qui aime quand je la prends dans la cuisine, courbée sur la table. Je prends se qu’elle m’offre, souvent son cul des fois sa bouche. Elle est une bonne baiseuse, surtout avec Eliette qui est devenue bisexuelle rapidement. Je les surprends souvent en 69 : c’est leur position favorite.
La tête à tête avec mon épouse sont plus rare, mais aussi, sinon plus jouissifs qu’avant. J’ai pris l’habitude de me masturber plus souvent devant les deux femmes, même si elles ne se gouinent pas.
- Pourquoi elle et pas une autre,
- Je ne sais pas trop, elle me plait physiquement.
- Depuis quand tu t’intéresse aux filles.
- Depuis que je l’ai vue, elle a quelque chose de sexy.
- Je te rappelle que nous la prenons pour être à notre service.
- Je sais, j’espère qu’elle sera aussi à mon service.
- Et moi, et nous ?
- Pour ton service aussi.
Je me demande ce qui arrive à Eliette : elle se tourne maintenant vers les filles ? Enfin nous verrons bien ce qui se passera avec Juliette qui doit prendre son service dès lundi qui vient.
La période d’essai se passe admirablement bien puisque outre le ménage, Juliette fait aussi la cuisine plutôt bien. Elle est de confiance à tel point que nous pouvons la laisser seule pour faire son travail. Un matin nous sortons pour faire des courses. Quand nous revenons nous voyons Juliette décomposée.
- Pardonnez-moi, j’ai fait tomber toutes les assiettes de votre service de table.
Je commence à pâlir de colère : elle a démolit le service que mes grands parents m’avaient légué.
- Je vous rembourserais.
- Avec quoi, vous ne savez pas ce que coute ses assiettes ?
- Je m’arrangerais comme je pourrais quitte à faire le trottoir.
- Ce ne va pas de la tête, faire le trottoir. Et quoi encore.
- Je sais que vous allez me mettre dehors, tant pis.
- Non, j’ai une idée, proclame Eliette.
Je me demande quel genre d’idée tordue ma femme va proposer.
- Vous serez notre esclave, même si vous serez payée.
J’interviens :
- Comment notre esclave ?
- Elle nous obéira en tout. Je dis bien tout.
- Même si….
- Oui, même pour ça.
Juliette tout à son malheur se demande comment elle va être mangée. Je commence, moi, à comprendre. Eliette la veux pour satisfaire son besoin maintes fois exprimée au lit : baiser avec une femme.
- Pour commencer vous allez vivre nue dans la maison.
- Mais…
- Pas de mais. Déshabillez-vous devant nous.
La pauvre fille ne peut faire autrement qu’obéir : elle commence par enlever son tablier de travail, puis sa jupe. En insistant elle enlève son chemisier. Elle est quand même pas mal dénudée avec sa culotte et son soutien gorge : elle m’intéresse pas mal ainsi.
- J’ai dit nue.
Eliette est dure avec Juliette, qui se tourne pour enlever sa culotte et son soutien gorge. La pudeur la force a resté tournée. Il faut qu’Eliette insiste pour qu’enfin nous la voyions dans le plus simple appareil. Maintenant nous avons devant nous une belle fille bien faite, qui commence à me donner des envies de la baiser. Eliette pour la première fois, en tout cas devant moi s’approche de Juliette pour carrément lui mettre un doigt dans la chatte. Juliette veut se révolter. Un regard sévère de ma femme la fait rester tranquille pour un moment. Je vois le visage de Juliette se transformer brusquement quand elle pousse un long soupir. Elle vient de jouir.
Eliette prend la main de Juliette pour qu’à son tour elle la masturbe. Nue maintenant elle écarte ses cuisses. Juliette s’est mise derrière ma femme pour la toucher. Je bande comme un cerf en rut.
Je regarde mon épouse qui appuie sa tête sur l’épaule de Juliette en gémissant ; son orgasme n’est pas loin. C’est quand elle pousse un léger cri que je sais qu’elle joui. Je n’en peux plus, moi aussi je me mets nu. Je voudrais me payer la bonne. Il faut dire que voir son postérieur remuer quand elle branle Eliette me donne envie d’aller me perdre dans cet endroit magique ; un cul de belle femme. C’est juste au moment où j’allais la toucher qu’Eliette lui met un doigt à l’endroit que je vise. Juliette tend ses fesses vers la main qui lui donne cette caresse. Je vois le doigt entrer dans son cul. Il me semble qu’elle écarte d’elle-même ses fesses et son trou pour que le doigt aille le plus loin possible.
Je reste près du couple en attendant d’y avoir ma place. Je suis déçu quand les deux femmes vont dans la chambre. Je ne pensais jamais qu’elles se mettraient si vite en couple.
Maintenant, nues sur le lit elle s’embrasse sur la bouche, comme des amoureux de toujours. A ma surprise c’est Juliette qui commence à prendre la place de la dominante. Elle donne ses seins à Eliette qui les lèche avant de sucer les tétons. Juliette n’est pas en reste : elle caresse les seins de sa compagne jusqu’au moment où n’y tenant plus, ma femme lui demande tout haut de la sucer.
Juliette se tourne pour venir mettre son visage sur la chatte de la femme. Elle fait encore plus en se mettant en 69.
Ma propre femme, devant moi commence à lécher la chatte d’une autre fille. Les deux femelles se donnent du plaisir alors que je reste la bite en l’air prête à servir. Je me couche à leur coté pour me masturber devant ce couple de lesbiennes. Je n’ai pas le temps d’aller jusqu’au bout : je trouve ma place dans les fesses de la bonne. Ma femme prend ma bite en main, elle la connait parfaitement. C’est elle qui me dirige vers l’anus entrouvert de Juliette.
J’entre très lentement dans le cul offert. Mon gland passe sans encombre. Elle a du se faire mettre souvent par cet orifice. Je sens que je vais tout au fond quand je sens ses fesses contre mon pubis. Je lime consciencieusement. Eliette me caresse les couilles même pendant que sa langue travaille sur le clitoris de sa compagne. Je me sens parfaitement à l’aise dans le cul, presque aussi bien que dans celui de ma femme.
A force de limer je décharge tout ce que contiennent mes couilles. Je sors du rectum aussi lentement que je suis entré. Je dois avoir une ou deux gouttes de sperme qui reste sur la bite : Eliette les recueille au passage.
Elles m’énervent à continuer leur gouinage pendant que je ne suis plus en forme. Et pourtant je bande rapidement rien qu’à observer les deux femmes ensemble qui font de plus en plus loin : elles se lèchent le cul. Pourtant Eliette semble avoir un avantage sur Juliette : elle lui a mis deux doigts dans le puits. Juliette est toujours à la recherche du meilleur. Elle me demande de venir lui donner ma bite dans la bouche.
Je ne peux refuser cette faveur : la fellation me plait assez pour qu’elle me suce. Pourtant je vois que le con d’Eliette est vide. J’arrive aussi à la caresser enfin. Elle est trempée. Je peux lui faire ce que je veux. Je ne lui veux que du bien : je lui branle le petit clito pour la faire jouir encore.
Nous formons un drôle de trio improvisé au départ par les désirs de mon épouse. La fin de journée se passe au lit, même si Juliette se lève pour préparer des petits amuse gueules que nous délaissons au profit des sexes d’un ou d’une autre.
Le plus grand plaisir arrive quand Eliette enfin sort son gode. La première à être servie est Juliette. Au départ elle se masturbe seule pour « essayer » ce que ça fait. Eliette enfin le prend en main pour la baiser. Juliette cri son plaisir, avant de le mettre dans le cul de ma femme. Elle adore se faire mettre par derrière : elle jouit aussi.
Elles se tournent vers moi qui refuse d’avoir mon cul rempli de cet objet. Pourtant je bande sans cesse. Elles ont vite faire de me tenir en se matant à deux, me mettre sur le ventre, d’ouvrir mes fesses avant de poser une langue, je ne sais même pas à qui, sur mon anus. J’ai droit à me faire enculer profondément. Elles me font mal au début et finalement je m’habitue lentement à avoir quelque chose dans le cul. Elles font aller et venir le gode jusqu’au moment ou je lâche une bonne dose de sperme dans la bouche d’Eliette.
Presque tous les jours nous baisons en trio. Pourtant dans la journée il m’arrive souvent de m’amuser avec Juliette qui aime quand je la prends dans la cuisine, courbée sur la table. Je prends se qu’elle m’offre, souvent son cul des fois sa bouche. Elle est une bonne baiseuse, surtout avec Eliette qui est devenue bisexuelle rapidement. Je les surprends souvent en 69 : c’est leur position favorite.
La tête à tête avec mon épouse sont plus rare, mais aussi, sinon plus jouissifs qu’avant. J’ai pris l’habitude de me masturber plus souvent devant les deux femmes, même si elles ne se gouinent pas.
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Moi si...
Pas genial ca ma pas fait mouiller