Esclave de ma femme
Récit érotique écrit par Jean-Pierre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 146 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.5
- • L'ensemble des récits érotiques de Jean-Pierre ont reçu un total de 4 425 853 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 27 767 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Esclave de ma femme
Esclave de ma femme !
Tout a commencé un jour de fête au bureau, ce soir-là la direction de mon entreprise offrait un pot de fin d’année pour remercier des bons résultats. Toujours est-il que le champagne, et autre boisson on contribuer certainement à ce que je me frotte un peut trop avec ma jolie secrétaire célibataire.
Le soir, je la raccompagner chez elle, ma secrétaire a voulu m’offrir un dernier verre, nous avons passé une formidable soirée, j’ai même omis de prévenir Angélique ma femme, et même oublier que j’avais une femme, ma secrétaire était un peu saoule, moi aussi, et nous avons fait l’amour toute la nuit, et je ne suis sorti de chez elle qu’au petit matin.
Inutile de vous dire que lorsque je suis rentré chez moi j’ai eue une bonne soupe à la grimace, engueulades, vaisselle cassée, et aussi, le désir pour ma femme :
1- le divorce ou 2- la vengeance.
Son choix a été la vengeance : que je sois humilié : Je serais son esclave, elle sera ma maîtresse…
Angélique a trouvé pour ma sentence un petit château, loué juste pour une journée, il est situé au milieu d’un grand parc recouvert de fin gazon, des chemins bordés de magnifique rosiers, et des statues de marbres d’hommes et de femmes nues faisant l’amour.
Pour cette journée, elle a aussi conviée ses deux sœurs, Catherine et Patricia elles seront ses servantes, et moi je suis son esclave. L’entrée du château et faite avec des marches de pierre, on entre en premier dans une immense salle de réception, puis sur le côté droit ce trouve une très grande salle de bain, avec une splendide baignoire de marbre.
Sur la gauche, un large escalier qui conduit à la plus belle chambre de ma femme, enfin non aujourd’hui disons de ma maîtresse, elle a le premier étage pour elle seule, ma chambre est au rez-de-chaussée, comme la chambre des domestiques, une petite chambre situer à côté de la cuisine.
Je me promène seul dans les jardins, et regagne ma chambre. Je monte à l’étage pourtant réserver à Angélique, et je découvre une vieille porte bien fermée, la porte de cette chambre laisse un jour, je regarde, histoire de jouer les mateurs, je peux voir Angélique, ma femme assise sur un grand fauteuil en rotin. (Comme un film Emmanuelle) Je sens un frisson en moi, elle a les yeux fixé sur cette porte, semble me sourire, mais ne bouge alors ouf ! Elle ne m’a pas vue, je n’ai pas le droit de me trouver à cette étage.
Le soir venu, une jolie domestique (c’est Patricia ) presque nue, la poitrine à l’air, elle m’apporte l’ordre de ma maîtresse qui dit de me tenir maintenant à sa disposition. Je monte alors le grand escalier entourer de torches, puis je frappe doucement à la porte, je reste un moment devant cette porte, j’ai très froid et j’ai l’impression d’attendre devant la mort. Je frappe de nouveau. Angélique presque nue aussi ouvre la porte et me dit :
- Pourquoi es-tu si en retard ? J’avais demandé que tu viennes de suite.
- J’étais dehors, tu ne m’as pas entendu frapper, dis-je timidement.
- Je suis ta maitresse : tu dois dire vous ne m’avez pas entendu frapper.
- Oui ! Maîtresse ! Vous ne m’avez pas entendu frapper.
Angélique me souri, referme la porte, elle me conduit à côte du fauteuil où elle était assise. Les murs de la chambre sont décorés de toile rouge sang qui fait froid dans le dos. Angélique me reçoit dans un joli déshabillé, son corps svelte, ses bras nus, sa poitrine dénudée est cacher par ses longs cheveux noires, une partie tombant aussi sur ses fesses et sur ses hanches. Angélique m’attire à elle et m’étouffe de ses baisers. Puis me repousse gentiment, et ce remet sur son fauteuil et elle me regarde, attentivement. Je suis agenouillé à ses pieds, et elle joue avec mes cheveux.
- M’aimes-tu encore ? Demande-t-elle, le regard figée de passion et de tendresse.
- Pouvez-vous en douter ? Maîtresse.
- Ta sortie nocturne l’autre soir ! Bon ! Maintenant que tout est prêt, une fois encore je te le demande : es-tu toujours prêt à devenir mon esclave ? Ou préfère-tu le divorce ?
- Oui, Je suis prêt maîtresse, je l’avais promis, c’est un grand bonheur que je prends à vous servir, à être votre esclave ! Ma vie est entre vos mains.
- Tu es adorable, quand tu parles avec autant de passion ! Mais souvient toi que je suis ta maîtresse et je dois être avec toi autoritaire, dure et cruelle.
- Je n’ai pas peur maîtresse.
- Souvient toi bien de la règle du jeu : "Tu devra satisfaire sans condition toutes mes exigences et obéir à tous mes ordres. Tu devras à tout moment être soumis à ta maîtresse, qui sera autorisée à punir son esclave comme elle le désire, pour une faute, ou juste quand son humeur lui chante, même comme simple divertissement. Quand à toi tu fera de sorte d’oublier tout ce que tu aura vécu et souffert en étant mon esclave, et tu promets de ne jamais chercher à te venger".
- Je le promet maîtresse.
Je m’agenouille devant elle, mais aussitôt elle me rejette du pied, ce met debout et tape très fort dans ses mains à cet appel Catherine 18 ans et Patricia 20 ans arrivent presque nues portant chacune une corde.
Je suis à terre et tente de me lever, Angélique ma maîtresse est dressée devant moi, le regard glacial fixé sur moi, elle fait un signe de la main, et avant de réaliser ce qui arrive, les servantes m’ont plaqué au sol, ligoté les pieds et les mains, me tirant les bras en arrière, ainsi je peux à peine bouger.
- Maintenant déshabillez-le complètement et ligotez-le au poteau.
Les servantes me lèvent, de terre, me retire tous mes vêtements un à un très lentement, me caressant, tournant autour de moi en riant comme des indiens tournent autour de leur victime, Elles déposent mes vêtements dans le grand chaudron allumer. Lorsque je suis complètement nu, elles me caressent partout devant Angélique elles tournent plus vite autour de moi, me tirant sur le sexe, puis elles me passent une corde autour de ma poitrine et m’attachent contre le poteau. Puis sous un ordre de leur maîtresse sortent de la pièce de tortures.
- Donne-moi le martinet avant de sortir, dit Angélique.
La servante revient et tend le martinet à sa Maîtresse. Angélique marche doucement vers moi, faisant claquer son martinet dans l’air. Maintenant elle est nue, debout devant moi une main posée sur la hanche, tandis que l’autre tient le martinet. Elle est très belle, je ne comprends pas pourquoi je l’ai trompé.
- La plaisanterie est terminée entre nous, maintenant tu es dans la réalité, je peux te mépriser. Tu n’es plus un homme mais mon esclave dont la vie et la mort sont entre mes mains. Pour commencer, tu vas gouter du martinet.
C’est partit ! Elle me fouette le dos. Je me contracte, serre les dents pour ne pas crier, les lanières du martinet coupe ma chair comme un couteau.
- Comment trouves-tu cela ? Demande-t-elle.
Mon dos me brule ! Mais je ne réponds pas.
- Attends maintenant, je vais te faire hurler comme un chien sous les lanières.
Elle trempe les lanières du martinet dans du vinaigre et du gros sel et elle recommence à me fouetter. Les coups pleuvent plus rapidement sur mon dos, mes bras, mes épaules, tout mon corps est toucher et je dois serrer les dents plus fort pour ne pas crier, elle rit et continue à me fouetter de plus en plus fort. Enfin Angélique est fatiguée. Elle jette le martinet dans le chaudron, tape dans ses mains. Les deux servantes entrent.
- Détachez-lui les bras.
Une foi détaché, je tombe sur le sol presque inanimé. Les servantes sourient. Moi je suis humilié de me montrer nue et dans cette situation a mes deux jeunes et jolies belles-sœurs.
- Détachez lui la corde de ses chevilles
Elles s’exécutent, mais je ne peux me lever.
- Viens ici ! Mon esclave.
Je me traîne à genoux jusqu’à Angélique ma maîtresse, jamais elle ne m’a semblée aussi désirable qu’à ce moment ou elle n’inspire rien d’autre que cruauté et mépris.
- Approche un peu plus près, ordonne-t-elle, maintenant met toi bien à genoux à mes pieds !
Elle dégage son pied de son chausson et le tend vers moi, et moi, je presse mes lèvres ma langue dessus, je léchée ce pied cette jambe entre mes mains.
- C’est fini ! Ta punition est terminée, et que cela te serve de leçon. Maintenant ! Je vais redevenir ta femme.
Tout a commencé un jour de fête au bureau, ce soir-là la direction de mon entreprise offrait un pot de fin d’année pour remercier des bons résultats. Toujours est-il que le champagne, et autre boisson on contribuer certainement à ce que je me frotte un peut trop avec ma jolie secrétaire célibataire.
Le soir, je la raccompagner chez elle, ma secrétaire a voulu m’offrir un dernier verre, nous avons passé une formidable soirée, j’ai même omis de prévenir Angélique ma femme, et même oublier que j’avais une femme, ma secrétaire était un peu saoule, moi aussi, et nous avons fait l’amour toute la nuit, et je ne suis sorti de chez elle qu’au petit matin.
Inutile de vous dire que lorsque je suis rentré chez moi j’ai eue une bonne soupe à la grimace, engueulades, vaisselle cassée, et aussi, le désir pour ma femme :
1- le divorce ou 2- la vengeance.
Son choix a été la vengeance : que je sois humilié : Je serais son esclave, elle sera ma maîtresse…
Angélique a trouvé pour ma sentence un petit château, loué juste pour une journée, il est situé au milieu d’un grand parc recouvert de fin gazon, des chemins bordés de magnifique rosiers, et des statues de marbres d’hommes et de femmes nues faisant l’amour.
Pour cette journée, elle a aussi conviée ses deux sœurs, Catherine et Patricia elles seront ses servantes, et moi je suis son esclave. L’entrée du château et faite avec des marches de pierre, on entre en premier dans une immense salle de réception, puis sur le côté droit ce trouve une très grande salle de bain, avec une splendide baignoire de marbre.
Sur la gauche, un large escalier qui conduit à la plus belle chambre de ma femme, enfin non aujourd’hui disons de ma maîtresse, elle a le premier étage pour elle seule, ma chambre est au rez-de-chaussée, comme la chambre des domestiques, une petite chambre situer à côté de la cuisine.
Je me promène seul dans les jardins, et regagne ma chambre. Je monte à l’étage pourtant réserver à Angélique, et je découvre une vieille porte bien fermée, la porte de cette chambre laisse un jour, je regarde, histoire de jouer les mateurs, je peux voir Angélique, ma femme assise sur un grand fauteuil en rotin. (Comme un film Emmanuelle) Je sens un frisson en moi, elle a les yeux fixé sur cette porte, semble me sourire, mais ne bouge alors ouf ! Elle ne m’a pas vue, je n’ai pas le droit de me trouver à cette étage.
Le soir venu, une jolie domestique (c’est Patricia ) presque nue, la poitrine à l’air, elle m’apporte l’ordre de ma maîtresse qui dit de me tenir maintenant à sa disposition. Je monte alors le grand escalier entourer de torches, puis je frappe doucement à la porte, je reste un moment devant cette porte, j’ai très froid et j’ai l’impression d’attendre devant la mort. Je frappe de nouveau. Angélique presque nue aussi ouvre la porte et me dit :
- Pourquoi es-tu si en retard ? J’avais demandé que tu viennes de suite.
- J’étais dehors, tu ne m’as pas entendu frapper, dis-je timidement.
- Je suis ta maitresse : tu dois dire vous ne m’avez pas entendu frapper.
- Oui ! Maîtresse ! Vous ne m’avez pas entendu frapper.
Angélique me souri, referme la porte, elle me conduit à côte du fauteuil où elle était assise. Les murs de la chambre sont décorés de toile rouge sang qui fait froid dans le dos. Angélique me reçoit dans un joli déshabillé, son corps svelte, ses bras nus, sa poitrine dénudée est cacher par ses longs cheveux noires, une partie tombant aussi sur ses fesses et sur ses hanches. Angélique m’attire à elle et m’étouffe de ses baisers. Puis me repousse gentiment, et ce remet sur son fauteuil et elle me regarde, attentivement. Je suis agenouillé à ses pieds, et elle joue avec mes cheveux.
- M’aimes-tu encore ? Demande-t-elle, le regard figée de passion et de tendresse.
- Pouvez-vous en douter ? Maîtresse.
- Ta sortie nocturne l’autre soir ! Bon ! Maintenant que tout est prêt, une fois encore je te le demande : es-tu toujours prêt à devenir mon esclave ? Ou préfère-tu le divorce ?
- Oui, Je suis prêt maîtresse, je l’avais promis, c’est un grand bonheur que je prends à vous servir, à être votre esclave ! Ma vie est entre vos mains.
- Tu es adorable, quand tu parles avec autant de passion ! Mais souvient toi que je suis ta maîtresse et je dois être avec toi autoritaire, dure et cruelle.
- Je n’ai pas peur maîtresse.
- Souvient toi bien de la règle du jeu : "Tu devra satisfaire sans condition toutes mes exigences et obéir à tous mes ordres. Tu devras à tout moment être soumis à ta maîtresse, qui sera autorisée à punir son esclave comme elle le désire, pour une faute, ou juste quand son humeur lui chante, même comme simple divertissement. Quand à toi tu fera de sorte d’oublier tout ce que tu aura vécu et souffert en étant mon esclave, et tu promets de ne jamais chercher à te venger".
- Je le promet maîtresse.
Je m’agenouille devant elle, mais aussitôt elle me rejette du pied, ce met debout et tape très fort dans ses mains à cet appel Catherine 18 ans et Patricia 20 ans arrivent presque nues portant chacune une corde.
Je suis à terre et tente de me lever, Angélique ma maîtresse est dressée devant moi, le regard glacial fixé sur moi, elle fait un signe de la main, et avant de réaliser ce qui arrive, les servantes m’ont plaqué au sol, ligoté les pieds et les mains, me tirant les bras en arrière, ainsi je peux à peine bouger.
- Maintenant déshabillez-le complètement et ligotez-le au poteau.
Les servantes me lèvent, de terre, me retire tous mes vêtements un à un très lentement, me caressant, tournant autour de moi en riant comme des indiens tournent autour de leur victime, Elles déposent mes vêtements dans le grand chaudron allumer. Lorsque je suis complètement nu, elles me caressent partout devant Angélique elles tournent plus vite autour de moi, me tirant sur le sexe, puis elles me passent une corde autour de ma poitrine et m’attachent contre le poteau. Puis sous un ordre de leur maîtresse sortent de la pièce de tortures.
- Donne-moi le martinet avant de sortir, dit Angélique.
La servante revient et tend le martinet à sa Maîtresse. Angélique marche doucement vers moi, faisant claquer son martinet dans l’air. Maintenant elle est nue, debout devant moi une main posée sur la hanche, tandis que l’autre tient le martinet. Elle est très belle, je ne comprends pas pourquoi je l’ai trompé.
- La plaisanterie est terminée entre nous, maintenant tu es dans la réalité, je peux te mépriser. Tu n’es plus un homme mais mon esclave dont la vie et la mort sont entre mes mains. Pour commencer, tu vas gouter du martinet.
C’est partit ! Elle me fouette le dos. Je me contracte, serre les dents pour ne pas crier, les lanières du martinet coupe ma chair comme un couteau.
- Comment trouves-tu cela ? Demande-t-elle.
Mon dos me brule ! Mais je ne réponds pas.
- Attends maintenant, je vais te faire hurler comme un chien sous les lanières.
Elle trempe les lanières du martinet dans du vinaigre et du gros sel et elle recommence à me fouetter. Les coups pleuvent plus rapidement sur mon dos, mes bras, mes épaules, tout mon corps est toucher et je dois serrer les dents plus fort pour ne pas crier, elle rit et continue à me fouetter de plus en plus fort. Enfin Angélique est fatiguée. Elle jette le martinet dans le chaudron, tape dans ses mains. Les deux servantes entrent.
- Détachez-lui les bras.
Une foi détaché, je tombe sur le sol presque inanimé. Les servantes sourient. Moi je suis humilié de me montrer nue et dans cette situation a mes deux jeunes et jolies belles-sœurs.
- Détachez lui la corde de ses chevilles
Elles s’exécutent, mais je ne peux me lever.
- Viens ici ! Mon esclave.
Je me traîne à genoux jusqu’à Angélique ma maîtresse, jamais elle ne m’a semblée aussi désirable qu’à ce moment ou elle n’inspire rien d’autre que cruauté et mépris.
- Approche un peu plus près, ordonne-t-elle, maintenant met toi bien à genoux à mes pieds !
Elle dégage son pied de son chausson et le tend vers moi, et moi, je presse mes lèvres ma langue dessus, je léchée ce pied cette jambe entre mes mains.
- C’est fini ! Ta punition est terminée, et que cela te serve de leçon. Maintenant ! Je vais redevenir ta femme.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Jean-Pierre
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
tout simplement une histoire de fou digne du Marquis de Sade
Dans le récit, on ne peut pas ligoté les pieds et les mains d'un homme, et après dire
déshabillez-le complètement et ligotez-le au poteau. L'ordre doit être à l'inverse.
Très joli tout tes récits. Jean-Louis
déshabillez-le complètement et ligotez-le au poteau. L'ordre doit être à l'inverse.
Très joli tout tes récits. Jean-Louis