Esclave moi ? - 7 -

- Par l'auteur HDS Manu2 -
Récit érotique écrit par Manu2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Esclave moi ? - 7 - Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Esclave moi ? - 7 -
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Le voyage jusqu'à la boite n'a été qu'un long gémissement. Je croisais le regard du chauffeur dans le rétroviseur, petit sourire vicieux. Il s'est arrêté devant la boite, ça traînait déjà devant l'entrée et il y a eu des petits rires quand je suis passé jusqu'à l'accueil. Pat a payé pour tous et on est passé par le bar pour le verre traditionnel de la maison. J'évitais soigneusement de bouger pour que les pinces ne mordent pas trop et on s'est séparé. Jim nous a amenés Eric et moi au sous-sol. Eric marchait tête baissée mais j'ai remarqué une tâche sur la petite bosse que formait son sexe dans le string. Il mouillait!
On a très vite été pris en main ou plutôt dû sucer des mâles et cette fois impossible de ne pas laisser bouger les poids aux bouts de mes tétons, je grognais comme une bête la bouche serrée sur la queue du mec. Le pire a été quand un autre après avoir déchiré le sachet d'une capote s'est enfilé en moi. Son sexe que je n'avais pas vu je le sentais. Il devait avoir une superbe bite et chacun de ses coups de reins balançaient les poids me faisant crier sur la queue que je suçais. Il a duré, mais duré si bien que j'ai eu le temps d'en pomper deux avant qu'il se retire sans jouir en me claquant les fesses pour laisser la place. J'ai entraperçu la nuque du mec, il était blond et coupé court. Il a disparu derrière le mec que je pompais. J'entendais des petits cris de femelle et j'ai bien reconnu le son de la voix d'Eric. Très aiguë et couinant comme une vraie chienne. Il devait en prendre et être servi. Au moment du changement de mec dans ma bouche, j'ai vu qui le labourait. Le petit blond du quai qui était venu sur la péniche. Il labourait la chatte d'Eric comme mécaniquement, s'enfonçant à fond pour se retirer à moitié avant de reprendre Eric à fond. Le pauvre avait le string enfoncé dans la bouche mais couinait à travers. Je savais que ce qu'on avait bu allait nous rendre fou de désirs comme les autres clients et j'en ai supporté pas mal comme Eric. Jim de son coté allait de bouche en cul. Tout orifice libre y passait. J'ai vu des bites de tout style, des grosses, des fines, des longues, des courtes. Un mec en avait une comme un champignon, avec un gland très épais suivi d'une courte queue. Celui-là je l'ai pompé. Il remplissait la bouche et quand il a mis une capote pour me prendre, j'ai su que j'allais morfler. Le gland pénétrait en force mais ne dépassait que de très peu mon conduit anal, ce qui fait qu'il me bourrait uniquement avec le gland, m'éclatant le cul. Après lui, c'est sûr que j'allais avoir une vraie chatte de pute. Je ne faisais plus attention aux pinces, ayant mal partout, de la mâchoire au cul. Je voyais le tube sur ma queue qui laissait passer un filet de bave. Jim est venu nous chercher. Eric était comme moi en loque les yeux dans le vague et cernés.
- Bon on va se quitter là les putes. Voilà Klaus qui va vous conduire à la péniche récupérer Pat et vous emmener pour apprendre le métier.
Un taxi attendait et c'était le blond que j'avais vu qui nous a embarqué. Une fois à la péniche, la voiture de Pat était sortie et il a payé le taxi, nous laissant dehors fesses et sexe à l'air pour Eric et fesses nues pour moi. Pat est descendu avec le blond.
- Klaus va conduire jusqu'à la France et je prendrais le volant ensuite.
Ils ont installés une couverture sous nos fesses et une fois les ceintures attachées on est parti de Berlin. Le jour se levait, nous laissant quelques images de la ville, puis l'autoroute, monotone avec le paysage qui défilait rapidement. La vitesse non limitée et Klaus qui roulait vite ne nous ont pas laissés de souvenirs de paysages. On a dû passer en France. Klaus a garé la voiture sur un parking d'autoroute.
- Si vous avez des besoins c'est maintenant. Au prochain arrêt vous serez chez vous.
On s'est regardé Eric et moi pratiquement nus et des camions arrêtés pas loin. On allait pisser derrière les arbres mais il nous a arrêté.
- Pas écolo! Pisser dans cabine!
Le salaud il fallait traverser tout le parking.
- Ou pouvez aussi pisser l'un dans l'autre. Dans coffre vous arrangez comme ça. Compris?
J'avais bien compris et me suis agenouillé devant Eric prenant sa queue dans les lèvres. Au début il a hésité mais la nature ne l'a pas retenu et j'ai reçu son urine. Lui par contre se retenait de me rendre service et j'ai dû appuyer sur sa tête pour qu'il s'adapte au tube sur ma queue. Je me suis soulagé avec plaisir. Il nous a fait monter dans le coffre. Il avait mis des bouteilles d'eau et une baguette de pain.
- Dormez si vous pouvez.
On s'était installé tête bêche, serrés l'un contre l'autre. La voiture est repartie, cette fois au bruit du moteur sensiblement moins vite. Sans montre le temps paraît long, on a somnolé un peu. J'ai senti qu'on quittait l'autoroute aux arrêts plus fréquents et aux nombreux virages plus serrés. Il y a eu un arrêt un peu plus long puis on a avancé doucement sur une route en pente et le moteur a résonné. Enfin un autre arrêt et les portières ont claqué.
Le coffre s'est ouvert. On était dans un immense garage bétonné avec la lumière crue des néons.
- Déshabillez-vous. Totalement. Dorénavant, Klaus vous dirigera et vous n'avez besoin de rien. Approche Manuel que j'ôte les poids et les embouts.
Je n'y avais pas pensé tellement tout avait été rapide. J'ai crû m'évanouir quand il a ôté les pinces. Je me suis rapidement frotté les tétons pour que le sang circule mais ils étaient plus long qu'avant. On s'est retrouvés nus comme des vers tous les deux.
- Je vous laisse. Une fois cette porte franchie et refermée sur vous j'aurais des images vidéos de vous régulièrement. A vous de progresser pour sortir.
Klaus nous a entraînés dans un corridor et a fermé la porte à clé. J'ai vaguement entendu du bruit puis le moteur et puis à nouveau le bruit puis le silence. La voix de Klaus a résonné.
- Mettez ça.
C'étaient des colliers tout en acier qui se sont bloqués d'eux mêmes quand on les a refermés. Eric a tenté de le retenir et a poussé un cri puis a parlé moins fort.
- C'est comme pour les aboiements?
- Ya Eric. Ici tu ne cries pas quoi qu'il arrive sinon tu reçois une décharge.
- Mais Klaus, tu es déjà venu ici?
- Ya! Je connais Pat depuis longtemps. Je dresse les bâtards en vraies putes.
J'ai vu Eric pâlir.
- En pute?
- Ya, plus précisément en escort boy mais il y a des étapes à respecter. Avance au bout du corridor et appuie sur le bouton rouge sur le mur.

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