Esclaves au Château
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Esclaves au Château
Avec la collaboration de 'encorebelle' une soumise membre de mon site que je remercie très sincèrement, voici une nouvelle histoire qui sera donc écrite à deux. Chacun de nous deux en écrira une suite soit chacun son tour et ainsi de suite :
Telle une ruche en plein été, le château bourdonnait d’une activité frémissante en ce matin de juin. Ce jour anniversaire aller donner lieu à de grandes festivités. En effet, c’était l’anniversaire du Maître des lieux, le Marquis d’Evans. Pour cette occasion, il y avait plusieurs surprises de prévues. David, le compagnon du Marquis aidé du fidèle majordome Walter avait préparé une belle journée en réjouissances.
Déjà dès 10h une limousine noire devait arriver au château. En effet, David avait pris contact avec un ami du Marquis, le fameux Maître Aristocrate. Celui-ci avait accepté bien volontiers pour marquer l’anniversaire de son vieil et Noble ami de venir au château en présence de sa soumise prénommée « encorebelle ». Qu’avaient-ils imaginé ce grand Maître Aristocrate et David par téléphone ? Qu’avaient-ils convenu ensemble ? Ce qui était certain, c’est qu’apparemment ils s’étaient très bien entendus sur le programme et sur la raison de la présence de la soumise. Tout avait été préparé pour l’anniversaire mais aussi pour l’accueil de ce couple Maître/Soumise.
Les jardiniers avaient rendu la grande cour de la bâtisse impeccable. Les graviers de couleur rouges-marrons au lever du soleil étaient même parfaitement ratissés et aucunes mauvaises herbes n’apparaissaient. Les massifs de fleurs abondants étaient taillés telles des œuvres d’art. Les pelouses d'un vert tout autour savamment entretenues étaient d'un gazon digne du meilleur terrain de golf. Les serviteurs et femmes de chambres esclaves dans leurs meilleurs effets en tenue de soubrette. Les esclaves affectés à la tâche, soit au cuisine soit au ménage s'affairaient tête baissée. On frottait, on lavait, on faisait briller, on cuisinait sous les ordres de Marie la sévère cuisinière. Bref, l’atmosphère des préparatifs d’un grand jour était fortement ressenti.
La venue de la limousine se précisait quand on entendit les pneus crisser sur les graviers près de la grille du château. Le comité d’accueil était quasi au complet. David, Walter, Marie et deux rangées de 3 esclaves nus et immobiles de chaque côté des escaliers du volumineux perron. Quand la luxueuse limousine stoppa devant le bas des escaliers, le chauffeur descendit ouvrit la porte arrière tout en abaissant sa casquette derrière son dos. Maître Aristocrate sortit et David descendit quelques marches pour venir saluer et accueillir l’Invité :
- Soyez le bienvenu, Maître Aristocrate, chez votre Ami, le Marquis d’Evans, dit David en lui tendant un main des plus amicales- Mon cher David, tout le plaisir est pour moi, répondit le Maître en serrant cette main tendue, mais comment avez-vous fait pour qu’Edouard ne sache rien de ma venue ?
- Oh, très simple, il est parti de très bonne heure ce matin comme chaque dimanche, à la chasse aux sangliers sur ses terres et il ne reviendra qu’à midi. Nous avons donc deux heures devant nous pour préparer la surprise de votre venue qui, je le sais, lui fera très plaisir... Mais je ne vois pas votre soumise ? dit David en zieutant à l’intérieur de la limousine- Ha oui ! c’est vrai, Rodolphe, dit Maître Aristocrate à son chauffeur, sortez-moi cette chienne du coffre avant qu’elle ne puisse plus respirer !
… (la suite par encorebelle)Après avoir remis sa casquette, Rodolphe obéit à son Maître. « Allez, debout ! » D’une main sous le bras, il aida la soumise à sortir du coffre. Le voyage avait été moins inconfortable que ce à quoi elle s’était attendue, grâce notamment à la bonté de son Maître qui avait bien voulu que l’on disposât une couverture bien molletonnée au fond du coffre. En effet, Il tenait à ce que sa soumise arrive dans de bonnes conditions pour les événements à venir. Nue comme au jour de sa naissance, encorerebelle ne portait qu’un large collier de cuir, incrusté d’un anneau d’acier, dont Rodolphe tendit la laisse à Maître Aristocrate. A ses tétons percés elle portait de petits cadenas, frappés aux armes de ce dernier.
« La voici donc », dit David en s’approchant pour mieux la regarder. Après s’être rapidement étirée pour se détendre de son voyage dans le coffre, encorerebelle demeurait debout, tenue en laisse, à peine gênée par cet examen. Simplement, par moments, elle essayait, à travers ses cils baissés, de découvrir les lieux dont elle avait si souvent entendu parler les jours précédents.
C’était une semaine auparavant, lors de sa dernière visite chez son Maitre. Après la séance, tandis qu’elle profitait du bonheur d’être assise à Ses pieds, la tête sur Sa cuisse, Il lui avait annoncé qu’il lui préparait une surprise pour le week-end suivant.
- Je viendrais te chercher à 14h00. Nous allons faire pas mal de route en voiture. Habille-toi en conséquence… mais juste pour le voyage- Bien, Mon Seigneur.
Ils ne s’étaient pas revus de la semaine mais, régulièrement, dans ses mails, Il lui avait donné un peu plus d’informations. Le samedi matin elle savait donc qu’ils se rendraient chez le Marquis d’Evans, un ami de son Maître, et dont on allait célébrer l’anniversaire. Que de fois elle avait entendu parler du Château du Marquis. En bonne fille d’Eve, sa curiosité n’avait eu de cesse d’augmenter ces derniers temps.
Le samedi arrivé, elle était tellement excitée, mais également quelque peu angoissée, qu’elle ne put presque rien avaler, hormis une pomme. Elle avait préparé ses affaires de toilette dans un petit sac, et prévu une tenue de rechange, au cas où… Les derniers mots prononcés par son Maître ne laissaient que peu de doute sur ce que serait sa tenue pour le reste du week-end. C’est donc uniquement habillée d’une robe bleu ciel très courte, décolletée, et chaussée d’une paire d’escarpins bleu roi, ses sacs à la main, qu’elle attendait son Maître sur le trottoir, comme convenu. Bien sûr, les hommes ne manquaient pas de la klaxonner ou de la siffler. Mais, patiemment, son Maître lui avait appris à ne plus en rougir et être fière de lui appartenir ainsi. A l’heure dite, elle avait vu la limousine s’arrêter devant elle. La vitre arrière s’était baissée, pour permettre à son Maître de la détailler, avant de l’inviter à venir Le rejoindre.
- Bonjour Mon Seigneur, dit-elle en lui embrassant la paume de la main qu’Il lui tendait- Bonjour ma petite pute, répondit-Il avant de lui faire signe de s’installer à Ses pieds
Elle s’agenouilla donc sur l’épaisse moquette, prête à obéir au moindre de ses signes. C’est ainsi que le voyage se passa, jusqu’à arriver dans une ville où Maitre Aristocrate avait prévu de faire étape avant de se rendre au Château le lendemain.
Voilà ce qui occupait l’esprit d’encorerebelle tandis que David l’examinait, des yeux et des mains, sous toutes les coutures. Elle sentait sur elle le regard de son Maître, qui l’emplit de bonheur.
- bien bien, c’est une belle petite chienne que vous avez là cher Ami, et je constate qu’elle aime ça, dit-il en ressortant un doigt plus qu’humide d’entre les cuisses d’encorerebelle.
Walter va vous conduire à votre chambre. Il faut que je continue ma petite inspection avant que le Marquis ne rentre de sa partie de chasse.
Le petit groupe gravit donc les marches du magnifique perron, Walter ouvrant le passage à Maître Aristocrate. A peine la dernière marche franchie, encorerebelle se mit à quatre pattes, et c’est ainsi qu’elle suivit son Maître qui la tenait en laisse ...
... (la suite par le Marquis d'Evans)Ce que encorebelle aperçut de suite en évoluant ainsi en laisse dans un déhanchement de féline exquise sur le reluisant carrelage en damier aux immenses carreaux blancs et noirs, c’était les 2 esclaves nus, hormis leur cage de chasteté et leur épais collier au cou. Ils étaient agenouillés au fond à droite du grand hall d’entrée derrière une grande porte massive largement ouverte qui donnait sur des escaliers de pierre descendant certainement dans les sous-sols du château. Brosse métallique en main ils frottaient comme des forçats. Leur cul bien visible laissait voir des fesses rougies par le fouet, des stigmates évidents de quelques punitions récentes. Les 2 esclaves ne se retournèrent même pas, ils étaient dans leur nettoyage tête baissée
David proposa à Maître Aristocrate un bon café salvateur et convia donc son hôte à s’approcher du luxueux bar flanqué au fond sur le côté gauche dans l’angle du hall d’entrée. Un lustre d’époque trônait sur le plafond et apportait au volumineux miroir mural du bar et aux nombreuses bouteilles des éclats de brillances. On aurait cru voir un ensemble de cristal multicolore.
- Et pour votre chienne ? elle doit avoir soif après ce voyage, demanda David avec un sourire presque sadique, tant il avait l’air content de cette supposition- Oh, une gamelle d’eau à même le sol lui suffira, répondit Maître Aristocrate. Elle lapera à 4 pattes comme toute bonne chienne.
Sitôt dit, sitôt fait, David sortit une gamelle disposée sous le massif comptoir en chêne verni, qu’il remplit d’eau par la poignée couleur or du haut ‘robinet-pression’’ du bar. Contournant celui-ci pour arriver face à encorebelle, et voulant déposer cette gamelle à terre, il renversa malencontreusement de l’eau sur le carrelage. De ce fait, David ne déposa pas tout de suite l’écuelle sur le sol car il observait la soumise qui ayant une véritable soif, léchait déjà le liquide à même le carrelage
- Eh bien, dit David, elle sort du désert cette chienne !
- Nous l’avons pourtant fait boire lors de notre dernier arrêt, à la sortie du dernier village que nous avons traversé- Allez bois le reste, dit David s’adressant à la soumise, en déposant cette fois la gamelle à même le sol.
Encorebelle ne se fit pas prier pour laper à 4 pattes et à grands coups de langue, le précieux liquide. Maître Aristocrate prit la parole et avec politesse, il demanda à David :
- Je suis vraiment désolé mais lors de cet arrêt j’ai marché dans une grande flaque d’eau d’un nid-de-poule terreux et j’ai souillé mes chaussures. Je ne voudrait pas salir vos beaux sols, alors si vous aviez de quoi nettoyer mes…- Mais bien sûr mon cher Ami, coupa David avec enthousiasme, puis spontanément, il cria aux deux esclaves toujours en train de frotter les escaliers à droite du hall : eslave541 et esclave69, laissez ce que vous faites et venez vite lécher les chaussures de Maître Aristocrate et plus vite que ça, tas de vauriens …
Les deux esclaves obtempérèrent. Malgré la sueur du pénible travail sur leur corps, ils s’approchèrent assez rapidement à 4 pattes et osant lever légèrement la tête pour entrevoir les yeux inquisiteurs de David mais surtout son bras tendu avec un doigt ouvert montrant les chaussures du Maître :
- Allez les chiens, chacun une chaussure, enlevez moi cette terre séchée et je veux que ça brille.
David avait déjà attrapé un martinet de cuir qui était en permanence posé sur le comptoir. Il fit d’abord claquer quelques coups dans le vide en l’air puis il donna un énergique coup sur les fesses des 2 esclaves qui réagirent avec un cri de surprise et de douleur aux lanières fines mais nombreuses. Puis les chiens se mirent tous les deux au labeur sans rechigner. Leur langue passait et repassait sur les chaussures dans un bruit confus de gazouillis.
Encorebelle se retourna pour voir le spectacle, ce qui n’échappa pas à son Maître qui spontanément prit des mains de David le martinet.
- Personne ne t’a autorisé à regarder chienne, lit dit son Maître, approche un peu que je te corrige et relève ton cul qui mérite le martinet.
Encorelle s’approcha avec crainte, exposa son cul relevé et elle reçut de son Maître une volée de coups qui ne tarda pas à rougir ses belles fesses tout en rondeur. Elle essaya de ne pas crier, de se retenir en bonne soumise. Mais la douleur étant ce qu’elle était, elle ne put se contenir et quelques hurlements résonnaient dans la haute pièce.
- Tu sais que je ne veux pas que tu hurles quand je te corrige, alors, tu va sucer notre hôte pour te faire pardonner de troubler le calme régnant ici, petite pute, et s’adressant à David : Mon cher Ami, si vous voulez une gâterie, c’est le moment opportun, mon cher !
David ne se fit pas prier. Il trouvait la situation intéressante, alors il s’approcha, ouvrit sa braguette et sortit son sexe mou. encorebelle se releva un peu et cul tourné vers son Maître, elle prit en bouche cette verge qui ne demandait qu’à durcir.
Si quelqu’un était entré à ce moment là dans le hall d’entrée, il aurait vu un spectacle assez insolite. En effet près de ce comptoir, il aurait vu, deux hommes debout, 2 à quatre pattes et 1 femme agenouillée. Un des 2 hommes debout se faisant sucer, l’autre en train de fouetter le dos de la femelle agenouillée en train de sucer le premier. Et de chaque côté de celui qui fouettait, 2 autres hommes à quatre pattes léchant les chaussures du fouetteur. Belle scène qui, filmée aurait certainement comblé les amateurs de films SM.
David ne tarda à éjaculer dans la suave bouche de la soumise, tant celle-ci avait l’art et la manière de la fellation. Ayant pour ordre de ne laisser aucune goutte, elle avala tout puis nettoya de sa langue experte la bite de David. Une fois que les chaussures de Maître Aristocrate furent nettes, les esclaves reçurent l’ordre de retourner à leur travail sous une pluie d’insultes et de coups de martinets.
Puis David proposa à son hôte de venir se délasser un moment dans l’immense piscine d’une eau bleue parfaite à 30 degrés, dans les jardins du château. Pour cela ils traversèrent (encorebelle suivit docilement en laisse et à quatre pattes) le château du Nord au Sud pour accéder derrière la demeure où les attendait Walter. Celui-ci avait installé à proximité de la piscine une cage carrée et suspendue à 1 mètre au dessus de l’eau, aux épais barreaux, qui devait faire environ 1 mètre 20 de hauteur, largeur et longueur. Cette cage était montée sur une poutre métallique traversant au dessus de toute la longueur de la piscine. Cette poutre montée sur un palan électrique pouvait ainsi se déplacer à l’horizontale comme à la verticale. A l’arrivée des nouveaux venus, Walter actionna la télécommande pour approcher et déposer la cage sur le carrelage autour de la piscine, puis il en ouvrit la porte. Maître Aristocrate comprit vite le scénario qui allait suivre et ordonna à encorebelle d’entrer dans cette cage. La soumise regarda son Maître majestueux du regard puis baissa les yeux afin d’obtempérer, comprenant qu’elle n’avait pas le choix. Une fois installée pas du tout confortablement étant quasi obligée de rester agenouillée telle une bête encagée, elle attendit la suite.
Walter referma la porte, puis actionna de nouveau le mécanisme pour positionner la cage à fleur d’eau, en plein milieu de la piscine. Pendant ce temps, David avait déjà proposé à Maître Aristocrate d’aller se changer lui offrant maillot de bain, crème solaire et drap de bain aux motifs des armoiries du château.
Quand le Maître revint en tenue de baigneur, il aperçu un spectacle assez excitant. En effet dans la piscine, David était déjà en train de se baigner, il se trouvait derrière la cage en train de caresser les parties intimes de la soumise à travers les barreaux. Un volumineux et épais plug à la main qu’il tendit vers Maître Aristocrate en lui demandant :
- Permettez-vous que je plugue votre chienne ?
- Mais que voila une excellente idée, mon cher, ne vous privez pas, j’arrive, on va s’amuser un peu …
Et Maître Aristocrate fit un plongeon digne d’un nageur des jeux olympiques…
(à suivre…)
Telle une ruche en plein été, le château bourdonnait d’une activité frémissante en ce matin de juin. Ce jour anniversaire aller donner lieu à de grandes festivités. En effet, c’était l’anniversaire du Maître des lieux, le Marquis d’Evans. Pour cette occasion, il y avait plusieurs surprises de prévues. David, le compagnon du Marquis aidé du fidèle majordome Walter avait préparé une belle journée en réjouissances.
Déjà dès 10h une limousine noire devait arriver au château. En effet, David avait pris contact avec un ami du Marquis, le fameux Maître Aristocrate. Celui-ci avait accepté bien volontiers pour marquer l’anniversaire de son vieil et Noble ami de venir au château en présence de sa soumise prénommée « encorebelle ». Qu’avaient-ils imaginé ce grand Maître Aristocrate et David par téléphone ? Qu’avaient-ils convenu ensemble ? Ce qui était certain, c’est qu’apparemment ils s’étaient très bien entendus sur le programme et sur la raison de la présence de la soumise. Tout avait été préparé pour l’anniversaire mais aussi pour l’accueil de ce couple Maître/Soumise.
Les jardiniers avaient rendu la grande cour de la bâtisse impeccable. Les graviers de couleur rouges-marrons au lever du soleil étaient même parfaitement ratissés et aucunes mauvaises herbes n’apparaissaient. Les massifs de fleurs abondants étaient taillés telles des œuvres d’art. Les pelouses d'un vert tout autour savamment entretenues étaient d'un gazon digne du meilleur terrain de golf. Les serviteurs et femmes de chambres esclaves dans leurs meilleurs effets en tenue de soubrette. Les esclaves affectés à la tâche, soit au cuisine soit au ménage s'affairaient tête baissée. On frottait, on lavait, on faisait briller, on cuisinait sous les ordres de Marie la sévère cuisinière. Bref, l’atmosphère des préparatifs d’un grand jour était fortement ressenti.
La venue de la limousine se précisait quand on entendit les pneus crisser sur les graviers près de la grille du château. Le comité d’accueil était quasi au complet. David, Walter, Marie et deux rangées de 3 esclaves nus et immobiles de chaque côté des escaliers du volumineux perron. Quand la luxueuse limousine stoppa devant le bas des escaliers, le chauffeur descendit ouvrit la porte arrière tout en abaissant sa casquette derrière son dos. Maître Aristocrate sortit et David descendit quelques marches pour venir saluer et accueillir l’Invité :
- Soyez le bienvenu, Maître Aristocrate, chez votre Ami, le Marquis d’Evans, dit David en lui tendant un main des plus amicales- Mon cher David, tout le plaisir est pour moi, répondit le Maître en serrant cette main tendue, mais comment avez-vous fait pour qu’Edouard ne sache rien de ma venue ?
- Oh, très simple, il est parti de très bonne heure ce matin comme chaque dimanche, à la chasse aux sangliers sur ses terres et il ne reviendra qu’à midi. Nous avons donc deux heures devant nous pour préparer la surprise de votre venue qui, je le sais, lui fera très plaisir... Mais je ne vois pas votre soumise ? dit David en zieutant à l’intérieur de la limousine- Ha oui ! c’est vrai, Rodolphe, dit Maître Aristocrate à son chauffeur, sortez-moi cette chienne du coffre avant qu’elle ne puisse plus respirer !
… (la suite par encorebelle)Après avoir remis sa casquette, Rodolphe obéit à son Maître. « Allez, debout ! » D’une main sous le bras, il aida la soumise à sortir du coffre. Le voyage avait été moins inconfortable que ce à quoi elle s’était attendue, grâce notamment à la bonté de son Maître qui avait bien voulu que l’on disposât une couverture bien molletonnée au fond du coffre. En effet, Il tenait à ce que sa soumise arrive dans de bonnes conditions pour les événements à venir. Nue comme au jour de sa naissance, encorerebelle ne portait qu’un large collier de cuir, incrusté d’un anneau d’acier, dont Rodolphe tendit la laisse à Maître Aristocrate. A ses tétons percés elle portait de petits cadenas, frappés aux armes de ce dernier.
« La voici donc », dit David en s’approchant pour mieux la regarder. Après s’être rapidement étirée pour se détendre de son voyage dans le coffre, encorerebelle demeurait debout, tenue en laisse, à peine gênée par cet examen. Simplement, par moments, elle essayait, à travers ses cils baissés, de découvrir les lieux dont elle avait si souvent entendu parler les jours précédents.
C’était une semaine auparavant, lors de sa dernière visite chez son Maitre. Après la séance, tandis qu’elle profitait du bonheur d’être assise à Ses pieds, la tête sur Sa cuisse, Il lui avait annoncé qu’il lui préparait une surprise pour le week-end suivant.
- Je viendrais te chercher à 14h00. Nous allons faire pas mal de route en voiture. Habille-toi en conséquence… mais juste pour le voyage- Bien, Mon Seigneur.
Ils ne s’étaient pas revus de la semaine mais, régulièrement, dans ses mails, Il lui avait donné un peu plus d’informations. Le samedi matin elle savait donc qu’ils se rendraient chez le Marquis d’Evans, un ami de son Maître, et dont on allait célébrer l’anniversaire. Que de fois elle avait entendu parler du Château du Marquis. En bonne fille d’Eve, sa curiosité n’avait eu de cesse d’augmenter ces derniers temps.
Le samedi arrivé, elle était tellement excitée, mais également quelque peu angoissée, qu’elle ne put presque rien avaler, hormis une pomme. Elle avait préparé ses affaires de toilette dans un petit sac, et prévu une tenue de rechange, au cas où… Les derniers mots prononcés par son Maître ne laissaient que peu de doute sur ce que serait sa tenue pour le reste du week-end. C’est donc uniquement habillée d’une robe bleu ciel très courte, décolletée, et chaussée d’une paire d’escarpins bleu roi, ses sacs à la main, qu’elle attendait son Maître sur le trottoir, comme convenu. Bien sûr, les hommes ne manquaient pas de la klaxonner ou de la siffler. Mais, patiemment, son Maître lui avait appris à ne plus en rougir et être fière de lui appartenir ainsi. A l’heure dite, elle avait vu la limousine s’arrêter devant elle. La vitre arrière s’était baissée, pour permettre à son Maître de la détailler, avant de l’inviter à venir Le rejoindre.
- Bonjour Mon Seigneur, dit-elle en lui embrassant la paume de la main qu’Il lui tendait- Bonjour ma petite pute, répondit-Il avant de lui faire signe de s’installer à Ses pieds
Elle s’agenouilla donc sur l’épaisse moquette, prête à obéir au moindre de ses signes. C’est ainsi que le voyage se passa, jusqu’à arriver dans une ville où Maitre Aristocrate avait prévu de faire étape avant de se rendre au Château le lendemain.
Voilà ce qui occupait l’esprit d’encorerebelle tandis que David l’examinait, des yeux et des mains, sous toutes les coutures. Elle sentait sur elle le regard de son Maître, qui l’emplit de bonheur.
- bien bien, c’est une belle petite chienne que vous avez là cher Ami, et je constate qu’elle aime ça, dit-il en ressortant un doigt plus qu’humide d’entre les cuisses d’encorerebelle.
Walter va vous conduire à votre chambre. Il faut que je continue ma petite inspection avant que le Marquis ne rentre de sa partie de chasse.
Le petit groupe gravit donc les marches du magnifique perron, Walter ouvrant le passage à Maître Aristocrate. A peine la dernière marche franchie, encorerebelle se mit à quatre pattes, et c’est ainsi qu’elle suivit son Maître qui la tenait en laisse ...
... (la suite par le Marquis d'Evans)Ce que encorebelle aperçut de suite en évoluant ainsi en laisse dans un déhanchement de féline exquise sur le reluisant carrelage en damier aux immenses carreaux blancs et noirs, c’était les 2 esclaves nus, hormis leur cage de chasteté et leur épais collier au cou. Ils étaient agenouillés au fond à droite du grand hall d’entrée derrière une grande porte massive largement ouverte qui donnait sur des escaliers de pierre descendant certainement dans les sous-sols du château. Brosse métallique en main ils frottaient comme des forçats. Leur cul bien visible laissait voir des fesses rougies par le fouet, des stigmates évidents de quelques punitions récentes. Les 2 esclaves ne se retournèrent même pas, ils étaient dans leur nettoyage tête baissée
David proposa à Maître Aristocrate un bon café salvateur et convia donc son hôte à s’approcher du luxueux bar flanqué au fond sur le côté gauche dans l’angle du hall d’entrée. Un lustre d’époque trônait sur le plafond et apportait au volumineux miroir mural du bar et aux nombreuses bouteilles des éclats de brillances. On aurait cru voir un ensemble de cristal multicolore.
- Et pour votre chienne ? elle doit avoir soif après ce voyage, demanda David avec un sourire presque sadique, tant il avait l’air content de cette supposition- Oh, une gamelle d’eau à même le sol lui suffira, répondit Maître Aristocrate. Elle lapera à 4 pattes comme toute bonne chienne.
Sitôt dit, sitôt fait, David sortit une gamelle disposée sous le massif comptoir en chêne verni, qu’il remplit d’eau par la poignée couleur or du haut ‘robinet-pression’’ du bar. Contournant celui-ci pour arriver face à encorebelle, et voulant déposer cette gamelle à terre, il renversa malencontreusement de l’eau sur le carrelage. De ce fait, David ne déposa pas tout de suite l’écuelle sur le sol car il observait la soumise qui ayant une véritable soif, léchait déjà le liquide à même le carrelage
- Eh bien, dit David, elle sort du désert cette chienne !
- Nous l’avons pourtant fait boire lors de notre dernier arrêt, à la sortie du dernier village que nous avons traversé- Allez bois le reste, dit David s’adressant à la soumise, en déposant cette fois la gamelle à même le sol.
Encorebelle ne se fit pas prier pour laper à 4 pattes et à grands coups de langue, le précieux liquide. Maître Aristocrate prit la parole et avec politesse, il demanda à David :
- Je suis vraiment désolé mais lors de cet arrêt j’ai marché dans une grande flaque d’eau d’un nid-de-poule terreux et j’ai souillé mes chaussures. Je ne voudrait pas salir vos beaux sols, alors si vous aviez de quoi nettoyer mes…- Mais bien sûr mon cher Ami, coupa David avec enthousiasme, puis spontanément, il cria aux deux esclaves toujours en train de frotter les escaliers à droite du hall : eslave541 et esclave69, laissez ce que vous faites et venez vite lécher les chaussures de Maître Aristocrate et plus vite que ça, tas de vauriens …
Les deux esclaves obtempérèrent. Malgré la sueur du pénible travail sur leur corps, ils s’approchèrent assez rapidement à 4 pattes et osant lever légèrement la tête pour entrevoir les yeux inquisiteurs de David mais surtout son bras tendu avec un doigt ouvert montrant les chaussures du Maître :
- Allez les chiens, chacun une chaussure, enlevez moi cette terre séchée et je veux que ça brille.
David avait déjà attrapé un martinet de cuir qui était en permanence posé sur le comptoir. Il fit d’abord claquer quelques coups dans le vide en l’air puis il donna un énergique coup sur les fesses des 2 esclaves qui réagirent avec un cri de surprise et de douleur aux lanières fines mais nombreuses. Puis les chiens se mirent tous les deux au labeur sans rechigner. Leur langue passait et repassait sur les chaussures dans un bruit confus de gazouillis.
Encorebelle se retourna pour voir le spectacle, ce qui n’échappa pas à son Maître qui spontanément prit des mains de David le martinet.
- Personne ne t’a autorisé à regarder chienne, lit dit son Maître, approche un peu que je te corrige et relève ton cul qui mérite le martinet.
Encorelle s’approcha avec crainte, exposa son cul relevé et elle reçut de son Maître une volée de coups qui ne tarda pas à rougir ses belles fesses tout en rondeur. Elle essaya de ne pas crier, de se retenir en bonne soumise. Mais la douleur étant ce qu’elle était, elle ne put se contenir et quelques hurlements résonnaient dans la haute pièce.
- Tu sais que je ne veux pas que tu hurles quand je te corrige, alors, tu va sucer notre hôte pour te faire pardonner de troubler le calme régnant ici, petite pute, et s’adressant à David : Mon cher Ami, si vous voulez une gâterie, c’est le moment opportun, mon cher !
David ne se fit pas prier. Il trouvait la situation intéressante, alors il s’approcha, ouvrit sa braguette et sortit son sexe mou. encorebelle se releva un peu et cul tourné vers son Maître, elle prit en bouche cette verge qui ne demandait qu’à durcir.
Si quelqu’un était entré à ce moment là dans le hall d’entrée, il aurait vu un spectacle assez insolite. En effet près de ce comptoir, il aurait vu, deux hommes debout, 2 à quatre pattes et 1 femme agenouillée. Un des 2 hommes debout se faisant sucer, l’autre en train de fouetter le dos de la femelle agenouillée en train de sucer le premier. Et de chaque côté de celui qui fouettait, 2 autres hommes à quatre pattes léchant les chaussures du fouetteur. Belle scène qui, filmée aurait certainement comblé les amateurs de films SM.
David ne tarda à éjaculer dans la suave bouche de la soumise, tant celle-ci avait l’art et la manière de la fellation. Ayant pour ordre de ne laisser aucune goutte, elle avala tout puis nettoya de sa langue experte la bite de David. Une fois que les chaussures de Maître Aristocrate furent nettes, les esclaves reçurent l’ordre de retourner à leur travail sous une pluie d’insultes et de coups de martinets.
Puis David proposa à son hôte de venir se délasser un moment dans l’immense piscine d’une eau bleue parfaite à 30 degrés, dans les jardins du château. Pour cela ils traversèrent (encorebelle suivit docilement en laisse et à quatre pattes) le château du Nord au Sud pour accéder derrière la demeure où les attendait Walter. Celui-ci avait installé à proximité de la piscine une cage carrée et suspendue à 1 mètre au dessus de l’eau, aux épais barreaux, qui devait faire environ 1 mètre 20 de hauteur, largeur et longueur. Cette cage était montée sur une poutre métallique traversant au dessus de toute la longueur de la piscine. Cette poutre montée sur un palan électrique pouvait ainsi se déplacer à l’horizontale comme à la verticale. A l’arrivée des nouveaux venus, Walter actionna la télécommande pour approcher et déposer la cage sur le carrelage autour de la piscine, puis il en ouvrit la porte. Maître Aristocrate comprit vite le scénario qui allait suivre et ordonna à encorebelle d’entrer dans cette cage. La soumise regarda son Maître majestueux du regard puis baissa les yeux afin d’obtempérer, comprenant qu’elle n’avait pas le choix. Une fois installée pas du tout confortablement étant quasi obligée de rester agenouillée telle une bête encagée, elle attendit la suite.
Walter referma la porte, puis actionna de nouveau le mécanisme pour positionner la cage à fleur d’eau, en plein milieu de la piscine. Pendant ce temps, David avait déjà proposé à Maître Aristocrate d’aller se changer lui offrant maillot de bain, crème solaire et drap de bain aux motifs des armoiries du château.
Quand le Maître revint en tenue de baigneur, il aperçu un spectacle assez excitant. En effet dans la piscine, David était déjà en train de se baigner, il se trouvait derrière la cage en train de caresser les parties intimes de la soumise à travers les barreaux. Un volumineux et épais plug à la main qu’il tendit vers Maître Aristocrate en lui demandant :
- Permettez-vous que je plugue votre chienne ?
- Mais que voila une excellente idée, mon cher, ne vous privez pas, j’arrive, on va s’amuser un peu …
Et Maître Aristocrate fit un plongeon digne d’un nageur des jeux olympiques…
(à suivre…)
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