Estelle, ma soumise [2]
Récit érotique écrit par Efde [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-04-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Estelle, ma soumise [2]
« Laisse moi 10 minutes, je vais prendre une douche. »
J’étais complètement K.O. après seulement deux rounds. Mes jambes flageolaient et j’avais cette impression désagréable d’être luisant de sueur. Je jetais dans un coin ma chemise et m’apprêtais à me diriger vers la salle de bain quand je me rappelais qu’Estelle était toujours aveugle. J’hésitais un instant, après tout elle n’avait jamais vu mon visage, mais je finis tout de même par dénouer la cravate de ses yeux. Je ne m’attardais pas plus longtemps, préférant esquiver ce premier regard en m’éclipsant rapidement. Je venais de tromper ma copine avec une bombe sexuelle complètement soumise au moindre de mes gestes, mais j’agissais comme un puceau intimidé lors de son premier rendez-vous. Logique.
Je tournais le robinet d’eau chaude, et la pièce fut rapidement envahie par la buée et une chaleur entêtante. La douche italienne était superbe, et je pris plaisir à essayer les jets massants avant de trouver mon bonheur. Je laissais l’eau couler sur moi, la tête penchée en arrière, et soupirais de plaisir en sentant mes épaules se relâcher. J’étais tendu mine de rien, et il était agréable de sentir le stress s’évacuer au rythme de cette pluie chaude sur ma peau. Je venais à peine de faire le vide quand j’entendis la porte coulisser. Estelle se tenait dans l’embrasure, belle à couper le souffle dans sa petite tenue, le sourire aux lèvres et les cheveux à présent relâchés. Elle ne dit pas un mot, mais en la voyant se trémousser lentement vers moi en des gestes équivoques, je compris très vite de quoi il retournait. Mon tourne-disque interne enclencha immédiatement « Down in Mexico » des Coasters, alors qu’un premier bas s’envolait et que le strip-tease commençait. Elle était plutôt douée et malgré l’absence de barre verticale au milieu de la pièce, il y avait quelque chose de sensuel dans sa façon de bouger. Elle se retrouva rapidement nue, frottant son corps contre la paroi en verre, alors que mon pénis retrouvait des couleurs.
« Je n’ai pas de billets à glisser dans ton string… »
« Qui a parlé de billets ? »
Elle venait à peine de me rejoindre sous le jet, qu’elle s’activait déjà à me remotiver. Ses fesses montaient et descendaient le long de mon sexe, alors qu’elle pelotait elle même ses seins, léchant de manière très érotique le bout de ses tétons désormais durs. Elle simulait des « Oooh » et des « Ahhh » dignes d’une actrice porno à chaque mouvement de bassin, et le moins que je pouvais dire, c’est qu’ils étaient efficaces. Elle ne tarda pas à se mettre à genoux devant moi et à sucer négligemment mon gland du bout des lèvres. Je sentais sa langue impatiente jouer contre ma verge et son souffle chaud acheva de me remettre en forme. Elle avalait mon membre de plus en plus loin, de plus en plus vite. Le sensation était exquise et je n’en menais pas large lorsqu’elle commença à palper également mes bourses. Je ne savais pas trop quoi faire, hésitant entre ce plaisir égoïste et celui de tout arrêter pour lui faire du bien aussi. Elle sembla deviner ma pensée et fixa ses yeux bleus dans les miens.
« Je veux votre foutre Maître. Je veux qu’il souille mon corps de petite pute, je veux sentir encore une fois son goût et son odeur dans ma bouche, laissez moi vous sucer jusqu’à l’orgasme. »
Je la savais accro à la semence des hommes, mais l’entendre ainsi me dire toutes ces choses décupla mon ardeur. J’avais empoigné ses cheveux et m’enfonçait allègrement dans sa gorge maintenant. Elle ne me quittait pas des yeux, et je ne pouvais plus en détourner le regard. Ses mains posées sur mes fesses accompagnaient mes mouvements, mais je voyais bien que son entrejambe la démangeait, elle n’arrêtait pas de serrer et désserer légèrement ses cuisses. Je lui tendais le pommeau de douche et le réglais sur le niveau le plus faible.
« Branle toi avec ça, je vois bien que tu en as envie. »
Elle ne discuta pas et dirigea le jet sur son clitoris le plus naturellement du monde. Elle reprit ma hampe en bouche avec une hargne redoublée et je ne tardais pas à augmenter le débit de l’eau pour la stimuler d’avantage. Elle passait parfois l’objet sur sa poitrine, titillant ses tétons pour les garder tendus, faisant gicler l’eau chaude avec force ce qui ne manquait pas de troubler mon esprit. J’étais dur comme la pierre, et je baisais littéralement sa bouche comme si c’était sa chatte. Je ne savais pas lequel d’entre nous prenait le plus de plaisir mais à voir son état, Estelle n’était pas loin de devenir complètement folle. Sa langue tournait et s’enroulait sur ma queue et il y avait tellement de salive que j’aurai pu tout aussi bien me branler sous l’eau sans en voir la différence.
« Viens par là ma salope, colle moi cette langue obscène sur mon gland. Je veux que tu appelles mon foutre, que tu remercies mon sexe pour cette offrande. Ouvre grand la bouche et ne perds pas une goutte de ce nectar. Je baise ta petite bouche de pute Estelle, tu m’entends ? Alors fais moi jouir sale traînée ! »
Les caresses continuèrent encore quelques secondes puis vint l’explosion. Je jutais sérieusement en de longs jets épais et blancs et maculait son visage de mon sperme. Elle cria de surprise ou de plaisir et se rua rapidement sur mon sexe pour lui soutirer la moindre goutte restante. L’eau continuait de ruisseler sur son bas ventre, mais j’étais presque certain qu’elle avait jouit en même temps. Elle se délectait de mon foutre et jubilait d’en être tellement recouverte. J’aurai du lui sauter dessus, la prendre en la plaquant contre cette douche, et distiller mes coups de reins dans l’un de ses deux trous, mais je ne regrettais pas cette deuxième fellation de la soirée.
« Bordel, c’était bon ! »
Elle avait su dissiper mon moment de gêne, et je remerciais en mon fort intérieur sa prise d'initiative. Je passais les dix minutes suivantes à la laver, cherchant malgré moi ses zones érogènes et ne pouvant m'empêcher de caresser ses seins aussi doux que je les imaginais. Elle me rendait la pareille en se frottant habilement contre mon corps, appuyant ses formes contre moi comme pour voir si j'étais déjà apte à reprendre. La phrase d'une ex me revint en mémoire "Quand je prends une douche avec un homme, mes seins sont toujours parfaitement propres et bien séchés, je me demande bien pourquoi". Oui, on se demande...
J’étais complètement K.O. après seulement deux rounds. Mes jambes flageolaient et j’avais cette impression désagréable d’être luisant de sueur. Je jetais dans un coin ma chemise et m’apprêtais à me diriger vers la salle de bain quand je me rappelais qu’Estelle était toujours aveugle. J’hésitais un instant, après tout elle n’avait jamais vu mon visage, mais je finis tout de même par dénouer la cravate de ses yeux. Je ne m’attardais pas plus longtemps, préférant esquiver ce premier regard en m’éclipsant rapidement. Je venais de tromper ma copine avec une bombe sexuelle complètement soumise au moindre de mes gestes, mais j’agissais comme un puceau intimidé lors de son premier rendez-vous. Logique.
Je tournais le robinet d’eau chaude, et la pièce fut rapidement envahie par la buée et une chaleur entêtante. La douche italienne était superbe, et je pris plaisir à essayer les jets massants avant de trouver mon bonheur. Je laissais l’eau couler sur moi, la tête penchée en arrière, et soupirais de plaisir en sentant mes épaules se relâcher. J’étais tendu mine de rien, et il était agréable de sentir le stress s’évacuer au rythme de cette pluie chaude sur ma peau. Je venais à peine de faire le vide quand j’entendis la porte coulisser. Estelle se tenait dans l’embrasure, belle à couper le souffle dans sa petite tenue, le sourire aux lèvres et les cheveux à présent relâchés. Elle ne dit pas un mot, mais en la voyant se trémousser lentement vers moi en des gestes équivoques, je compris très vite de quoi il retournait. Mon tourne-disque interne enclencha immédiatement « Down in Mexico » des Coasters, alors qu’un premier bas s’envolait et que le strip-tease commençait. Elle était plutôt douée et malgré l’absence de barre verticale au milieu de la pièce, il y avait quelque chose de sensuel dans sa façon de bouger. Elle se retrouva rapidement nue, frottant son corps contre la paroi en verre, alors que mon pénis retrouvait des couleurs.
« Je n’ai pas de billets à glisser dans ton string… »
« Qui a parlé de billets ? »
Elle venait à peine de me rejoindre sous le jet, qu’elle s’activait déjà à me remotiver. Ses fesses montaient et descendaient le long de mon sexe, alors qu’elle pelotait elle même ses seins, léchant de manière très érotique le bout de ses tétons désormais durs. Elle simulait des « Oooh » et des « Ahhh » dignes d’une actrice porno à chaque mouvement de bassin, et le moins que je pouvais dire, c’est qu’ils étaient efficaces. Elle ne tarda pas à se mettre à genoux devant moi et à sucer négligemment mon gland du bout des lèvres. Je sentais sa langue impatiente jouer contre ma verge et son souffle chaud acheva de me remettre en forme. Elle avalait mon membre de plus en plus loin, de plus en plus vite. Le sensation était exquise et je n’en menais pas large lorsqu’elle commença à palper également mes bourses. Je ne savais pas trop quoi faire, hésitant entre ce plaisir égoïste et celui de tout arrêter pour lui faire du bien aussi. Elle sembla deviner ma pensée et fixa ses yeux bleus dans les miens.
« Je veux votre foutre Maître. Je veux qu’il souille mon corps de petite pute, je veux sentir encore une fois son goût et son odeur dans ma bouche, laissez moi vous sucer jusqu’à l’orgasme. »
Je la savais accro à la semence des hommes, mais l’entendre ainsi me dire toutes ces choses décupla mon ardeur. J’avais empoigné ses cheveux et m’enfonçait allègrement dans sa gorge maintenant. Elle ne me quittait pas des yeux, et je ne pouvais plus en détourner le regard. Ses mains posées sur mes fesses accompagnaient mes mouvements, mais je voyais bien que son entrejambe la démangeait, elle n’arrêtait pas de serrer et désserer légèrement ses cuisses. Je lui tendais le pommeau de douche et le réglais sur le niveau le plus faible.
« Branle toi avec ça, je vois bien que tu en as envie. »
Elle ne discuta pas et dirigea le jet sur son clitoris le plus naturellement du monde. Elle reprit ma hampe en bouche avec une hargne redoublée et je ne tardais pas à augmenter le débit de l’eau pour la stimuler d’avantage. Elle passait parfois l’objet sur sa poitrine, titillant ses tétons pour les garder tendus, faisant gicler l’eau chaude avec force ce qui ne manquait pas de troubler mon esprit. J’étais dur comme la pierre, et je baisais littéralement sa bouche comme si c’était sa chatte. Je ne savais pas lequel d’entre nous prenait le plus de plaisir mais à voir son état, Estelle n’était pas loin de devenir complètement folle. Sa langue tournait et s’enroulait sur ma queue et il y avait tellement de salive que j’aurai pu tout aussi bien me branler sous l’eau sans en voir la différence.
« Viens par là ma salope, colle moi cette langue obscène sur mon gland. Je veux que tu appelles mon foutre, que tu remercies mon sexe pour cette offrande. Ouvre grand la bouche et ne perds pas une goutte de ce nectar. Je baise ta petite bouche de pute Estelle, tu m’entends ? Alors fais moi jouir sale traînée ! »
Les caresses continuèrent encore quelques secondes puis vint l’explosion. Je jutais sérieusement en de longs jets épais et blancs et maculait son visage de mon sperme. Elle cria de surprise ou de plaisir et se rua rapidement sur mon sexe pour lui soutirer la moindre goutte restante. L’eau continuait de ruisseler sur son bas ventre, mais j’étais presque certain qu’elle avait jouit en même temps. Elle se délectait de mon foutre et jubilait d’en être tellement recouverte. J’aurai du lui sauter dessus, la prendre en la plaquant contre cette douche, et distiller mes coups de reins dans l’un de ses deux trous, mais je ne regrettais pas cette deuxième fellation de la soirée.
« Bordel, c’était bon ! »
Elle avait su dissiper mon moment de gêne, et je remerciais en mon fort intérieur sa prise d'initiative. Je passais les dix minutes suivantes à la laver, cherchant malgré moi ses zones érogènes et ne pouvant m'empêcher de caresser ses seins aussi doux que je les imaginais. Elle me rendait la pareille en se frottant habilement contre mon corps, appuyant ses formes contre moi comme pour voir si j'étais déjà apte à reprendre. La phrase d'une ex me revint en mémoire "Quand je prends une douche avec un homme, mes seins sont toujours parfaitement propres et bien séchés, je me demande bien pourquoi". Oui, on se demande...
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