Et Béatrice devint Béa
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2021 dans la catégorie Pour la première fois
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Et Béatrice devint Béa
Béatrice venait d'accéder à son petit studio dans le premier arrondissement, pas très grande, très moyenne ,Béatrice à vingt deux ans avait surtout envie d'exister aux yeux des autres. Et le moyen le plus simple qu'elle avait trouvé était de se vêtir de façon un peu provocante. Ainsi sans avoir à faire la moindre démarche, elle attirait le regard des hommes, et en faisant ses courses du centre commercial du centre bourse, elle repérait les regards des hommes qui se posaient sur ses fesses.
D'une timidité quasi maladive Béa était dans l'impossibilité de faire le premier pas pour entrer en contact avec quelqu'un. Titulaire d'un diplôme de l'enseignement supérieur, elle avait pu constater que son passage à l'université avait été pratiquement anonyme. Après sa réussite à un concours administratif ses seules tentatives de "vie sociale" avait été la bibliothèque municipale où elle s'était révélée invisible... Aussi de temps en temps elle mettait une jupe portefeuille achetée une taille trop petite et dont elle avait déplacé les boutons. Cette jupe, lorsqu'elle avançait la jambe gauche, s'ouvrait excessivement, dévoilant sa cuisse jusqu'à l'aine. Bien sûr c'était relativement subtil, mais de temps en temps elle repérait le regard d'un homme qui avait découvert l'ouverture, et lorsque cet homme s'arrangeait pour la suivre en marchant parallèlement à elle, elle était aux anges, elle existait!
Puis un jour la bibliothèque ouvrit une salle informatique, cela lui permit de se retrouver régulièrement devant un ordinateur sur lequel elle s'était créé un profil.
Et là, derrière le secret de l'écran, elle s'était créé un personnage, des hommes entraient en contact avec elle, et ainsi derrière le double voile de l'écran et de son personnage, elle s'inventait une vie de "salope".
Rapidement elle avait été submergée par les messages de mecs. Elle avait fait une sélection de ses correspondants de façon drastique, il fallait qu'ils possèdent une bonne culture et une bonne maitrise de la langue écrite; ensuite elle s'était rendu compte que les quadragénaires offraient des contacts plus diversifiés.
Elle existait et elle leur donnait envie d'elle!
Mais elle savait que pour passer à l'étape suivante, prendre un café avec un homme dans un bar, devait la faire passer par la case "vestiaire" et qu'elle devait trouver les costumes correspondant aux personnages qu'elle se créait derrière l'écran.
Internet lui permit de découvrir un couturier italien, Catanzaro, et un fabricant allemand "noir handmade", chez ce dernier dans une collection nommée "décadence" (elle trouvait l'allusion intéressante) elle avait donc choisit dans cette collection une robe transparente à rayure, cette robe de coupe crayon à manche longue était importable dans un lieu public telle quelle, c'est donc sous une veste longue, et comme signe distinctif elle avait indiqué "je porterai des gants noirs sans doigts", omettant de préciser qu'elle serait nue sous sa robe transparente.
Elle avait décidé que son premier contact serait son premier amant, et que puisqu'il avait passé la sélection à l'écrit, tout autre forme de sélection ne serait qu'un caprice.
Ce qui fait, qu'intallée à une petite table à l'intérieur d'un bar proche du port, elle ne savait pas du tout à quoi allait ressembler son contact.
A chaque homme qui passait à côté de sa table, elle frémissait, se demandant s'il allait venir, si quelqu'un allait prendre sur son temps pour s'intéresser à elle.
Au bout d'un moment elle s'était persuadée qu'il ne viendrait pas. Elle se disait que c'était le symbole de sa vie, les hommes passaient à côté d'elle sans la voir.
Puis l'un d'eux s'arrêta à hauteur de sa table et une voix demanda "Béatrice?"Levant ses yeux dissimulés derrière des lunettes noires elle répondit "oui, pourquoi?" et l'homme rétorqua immédiatement "Parce que nous avons rendez-vous!"Il ne le savait pas, mais de par la simplicité de sa réponse, il venait de la conquérir, elle était à lui.
Elle l'invita à s'assoir, il lui dit qu'il avait trouvé très original le fait de citer des gants sans doigts comme signe distinctif, alors elle écarta le haut de sa veste pour lui montrer le haut de sa robe transparente qui ne cachait absolument pas ses seins "je ne pouvais pas décrire un soutien gorge!" lui dit elle...
L'homme tendit la main, et du dos des doigts effleura la pointe des seins qui s'érigèrent immédiatement.
"Et réactive avec ça!" lui dit il.
Elle se mit debout à ses côtés, la veste naturellement s'ouvrit sur toute la hauteur, et il put distinctement voir un pubis entièrement épilé à quelques dizaines de centimètres de ses yeux.
"Vous venez, on y va" lui demanda t elle...
Dans l'ascenseur qui les conduisait chez elle, dans un moment d'incertitude elle lui dit "vous savez, vous êtes le premier"Il saisit toute l'angoisse qui se cachait derrière cette indécence apparente. Il la pris par la nuque et l'embrassa profondément. Il ne pouvait deviner qu'il était le premier à l'embrasser ainsi. Elle s'appliquait à adapter les mouvements de sa langue à celle de son partenaire.
Intuition ou tact, arrivés à l'appartement il fut très doux et très progressif. Telle qu'elle était vêtue elle fut rapidement entièrement nue ...
Il fut très délicat dans les préliminaires, sa bouche se chargea de ses seins, puis de son pubis, sa langue s'attardant sur son clitoris.
Le premier doigt lui indiqua t il qu'elle était vierge? Peut être pas, un second doigt suivit, elle obtint son premier orgasme dans un long gémissement.
Puis outre les deux doigts qui coulissaient dans son vagin pendant que la langue léchait le clitoris, un doigt de l'autre main s'introduisit dans son anus, phalange par phalange.
L'homme était habile, les doigts du vagin avaient trouvé le point G, le doigt de l'anus, puis les doigts de l'anus découvraient ses points de sensibilité.
Le deuxième orgasme survint plus brutalement sans qu'elle puisse dire si c'était clitoridien, vaginal ou anal. Elle se contenta de crier sa jouissance. Toute l'attention qu'elle portait à ce monde du plaisir qu'elle découvrait lui laissait penser que c'était le petit bouton du clitoris qui était le plus efficace, mais tout le reste était bien là quand même.
Elle tint à lui offrir une fellation complète, elle fut surprise par la différence de volume que pouvait prendre un phallus. Elle fut également étonnée par la quantité de sperme éjaculé, quantité qu'elle avala intégralement.
Ce fut son premier amant à qui elle attribua une soirée par semaine, toujours le même soir. Et ainsi, assez rapidement elle se retrouva avec cinq amants par semaine, chacun ayant un soir attribué; elle réservait les week end à ses parents à qui elle rendait visite toutes les semaines.
Ils eurent tous beaucoup de tact et beaucoup de chance...
D'une timidité quasi maladive Béa était dans l'impossibilité de faire le premier pas pour entrer en contact avec quelqu'un. Titulaire d'un diplôme de l'enseignement supérieur, elle avait pu constater que son passage à l'université avait été pratiquement anonyme. Après sa réussite à un concours administratif ses seules tentatives de "vie sociale" avait été la bibliothèque municipale où elle s'était révélée invisible... Aussi de temps en temps elle mettait une jupe portefeuille achetée une taille trop petite et dont elle avait déplacé les boutons. Cette jupe, lorsqu'elle avançait la jambe gauche, s'ouvrait excessivement, dévoilant sa cuisse jusqu'à l'aine. Bien sûr c'était relativement subtil, mais de temps en temps elle repérait le regard d'un homme qui avait découvert l'ouverture, et lorsque cet homme s'arrangeait pour la suivre en marchant parallèlement à elle, elle était aux anges, elle existait!
Puis un jour la bibliothèque ouvrit une salle informatique, cela lui permit de se retrouver régulièrement devant un ordinateur sur lequel elle s'était créé un profil.
Et là, derrière le secret de l'écran, elle s'était créé un personnage, des hommes entraient en contact avec elle, et ainsi derrière le double voile de l'écran et de son personnage, elle s'inventait une vie de "salope".
Rapidement elle avait été submergée par les messages de mecs. Elle avait fait une sélection de ses correspondants de façon drastique, il fallait qu'ils possèdent une bonne culture et une bonne maitrise de la langue écrite; ensuite elle s'était rendu compte que les quadragénaires offraient des contacts plus diversifiés.
Elle existait et elle leur donnait envie d'elle!
Mais elle savait que pour passer à l'étape suivante, prendre un café avec un homme dans un bar, devait la faire passer par la case "vestiaire" et qu'elle devait trouver les costumes correspondant aux personnages qu'elle se créait derrière l'écran.
Internet lui permit de découvrir un couturier italien, Catanzaro, et un fabricant allemand "noir handmade", chez ce dernier dans une collection nommée "décadence" (elle trouvait l'allusion intéressante) elle avait donc choisit dans cette collection une robe transparente à rayure, cette robe de coupe crayon à manche longue était importable dans un lieu public telle quelle, c'est donc sous une veste longue, et comme signe distinctif elle avait indiqué "je porterai des gants noirs sans doigts", omettant de préciser qu'elle serait nue sous sa robe transparente.
Elle avait décidé que son premier contact serait son premier amant, et que puisqu'il avait passé la sélection à l'écrit, tout autre forme de sélection ne serait qu'un caprice.
Ce qui fait, qu'intallée à une petite table à l'intérieur d'un bar proche du port, elle ne savait pas du tout à quoi allait ressembler son contact.
A chaque homme qui passait à côté de sa table, elle frémissait, se demandant s'il allait venir, si quelqu'un allait prendre sur son temps pour s'intéresser à elle.
Au bout d'un moment elle s'était persuadée qu'il ne viendrait pas. Elle se disait que c'était le symbole de sa vie, les hommes passaient à côté d'elle sans la voir.
Puis l'un d'eux s'arrêta à hauteur de sa table et une voix demanda "Béatrice?"Levant ses yeux dissimulés derrière des lunettes noires elle répondit "oui, pourquoi?" et l'homme rétorqua immédiatement "Parce que nous avons rendez-vous!"Il ne le savait pas, mais de par la simplicité de sa réponse, il venait de la conquérir, elle était à lui.
Elle l'invita à s'assoir, il lui dit qu'il avait trouvé très original le fait de citer des gants sans doigts comme signe distinctif, alors elle écarta le haut de sa veste pour lui montrer le haut de sa robe transparente qui ne cachait absolument pas ses seins "je ne pouvais pas décrire un soutien gorge!" lui dit elle...
L'homme tendit la main, et du dos des doigts effleura la pointe des seins qui s'érigèrent immédiatement.
"Et réactive avec ça!" lui dit il.
Elle se mit debout à ses côtés, la veste naturellement s'ouvrit sur toute la hauteur, et il put distinctement voir un pubis entièrement épilé à quelques dizaines de centimètres de ses yeux.
"Vous venez, on y va" lui demanda t elle...
Dans l'ascenseur qui les conduisait chez elle, dans un moment d'incertitude elle lui dit "vous savez, vous êtes le premier"Il saisit toute l'angoisse qui se cachait derrière cette indécence apparente. Il la pris par la nuque et l'embrassa profondément. Il ne pouvait deviner qu'il était le premier à l'embrasser ainsi. Elle s'appliquait à adapter les mouvements de sa langue à celle de son partenaire.
Intuition ou tact, arrivés à l'appartement il fut très doux et très progressif. Telle qu'elle était vêtue elle fut rapidement entièrement nue ...
Il fut très délicat dans les préliminaires, sa bouche se chargea de ses seins, puis de son pubis, sa langue s'attardant sur son clitoris.
Le premier doigt lui indiqua t il qu'elle était vierge? Peut être pas, un second doigt suivit, elle obtint son premier orgasme dans un long gémissement.
Puis outre les deux doigts qui coulissaient dans son vagin pendant que la langue léchait le clitoris, un doigt de l'autre main s'introduisit dans son anus, phalange par phalange.
L'homme était habile, les doigts du vagin avaient trouvé le point G, le doigt de l'anus, puis les doigts de l'anus découvraient ses points de sensibilité.
Le deuxième orgasme survint plus brutalement sans qu'elle puisse dire si c'était clitoridien, vaginal ou anal. Elle se contenta de crier sa jouissance. Toute l'attention qu'elle portait à ce monde du plaisir qu'elle découvrait lui laissait penser que c'était le petit bouton du clitoris qui était le plus efficace, mais tout le reste était bien là quand même.
Elle tint à lui offrir une fellation complète, elle fut surprise par la différence de volume que pouvait prendre un phallus. Elle fut également étonnée par la quantité de sperme éjaculé, quantité qu'elle avala intégralement.
Ce fut son premier amant à qui elle attribua une soirée par semaine, toujours le même soir. Et ainsi, assez rapidement elle se retrouva avec cinq amants par semaine, chacun ayant un soir attribué; elle réservait les week end à ses parents à qui elle rendait visite toutes les semaines.
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