Et Béatrice devint une salope !

- Par l'auteur HDS Davidson -
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Et Béatrice devint une salope ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2021 dans la catégorie Plus on est
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Et Béatrice devint une salope !
A la suite de la réussite à un concours administratif à vingt-deux ans, Béatrice avait été affectée en qualité d'huissier de justice au tribunal administratif. Installée dans un immeuble collectif de neuf étages, à proximité du port; elle prenait pleinement possession de son indépendance.
Le fait d'être affectée dans ce tribunal où on reste en civil et où on ne porte pas de grandes robes noires comme dans les tribunaux civils, elle s'habillait de façon "passe partout", renouant avec son passé d'être invisible et incolore.
Toutefois sa découverte avec la sexualité et l'érotisme la laissait "sur sa faim". Les pratiques solitaires et l'utilisation de sex-toys achetés sur le net ne la satisfaisait que très moyennement.
Le hasard lui fit rencontrer sur le port, le directeur de l'association qui gérait le foyer par lequel elle était passée. Elle le repéra immédiatement alors que lui ne se souvenait plus d'elle dans la foule des femmes qu'il voyait transiter par les foyers pour femmes en difficultés.
Il fut désolé de ne pas la reconnaitre alors qu'elle semblait très attristée par le fait d'être redevenue anonyme à ses yeux; et de ce fait il l'invita à prendre un café dans un des établissements du vieux port.
Profitant de leur entretien devant leurs tasses de café elle lui confia le vide de sa vie du fait qu'elle était tenue à une rigueur de conduite de par sa vie professionnelle.
Il lui proposa la découverte de lieux discrets et néanmoins particuliers. Elle était étonnée, et enchantée de la proposition, mais craignait de ne pas être à la hauteur des circonstances. Il l'assura qu'elle n'aurait qu'à être une observatrice attentive, et que dans les situations les plus ambigües elle n'aurait qu'à être passive et qu'il gèrerait tout.
Comme toutefois il y avait la partie "trajet piéton", la nécessité de vêtements la rendant "incolore et invisible" liés à sa situation professionnelle s'imposait; il lui conseilla un minimum de prudence.
C'est donc vêtue de ce qu'elle appelait "sa burka" (une robe longue ceinturée en jean's, entièrement boutonnée sur le devant) qu'elle se rendit à leur rendez vous au parking voisin le samedi suivant.
Il avait décidé de la conduire à la ville voisine en voiture. Il lui expliqua que c'était le simple fait d'être une femme dans cet établissement qui allait faire d'elle la cible de désirs, même si elle était vêtue de façon très sobre.
Elle lui confia que, sa poitrine le lui permettant, elle ne portait pas de soutien-gorge et qu'elle portait des bas auto fixant sans string. Il lui concéda qu'elle pourrait déboutonner sa robe suffisamment pour que ses admirateurs puissent s'apercevoir de l'absence du soutien gorge et de la présence de bas.
Sur le trajet en voiture elle défit donc deux à trois boutons du haut de la robe, demandant "c'est pas trop?"; il lui dit que la coupe de la robe faisait que tout au plus, de façon latérale des regards furtifs pourraient entrevoir par instant l'absence de soutien gorge, sans apercevoir le sein. Du coup elle défit un bouton de plus.
Du côté bas de la robe elle défit les boutons jusqu'à ce que la lisière supérieure des bas apparaisse, cette fois ci c'est elle qui décida directement "debout c'est plus discret qu'assise" et elle défit un bouton de plus, exhibant un peu de peau nue de ses cuisses au dessus des bas.
Ils se garèrent dans un parking souterrain, et à peine descendue de la voiture, les yeux au bord des larmes, elle lui dit: "j'ai peur, embrassez moi", ému par cette déclaration qui la faisait apparaitre comme une petite fille il se pencha vers elle, et elle l'embrassa de façon vorace.
Ils marchèrent jusqu'à un sex-shop de belle taille, elle fut étonnée que l'endroit ne soit pas glauque et soit aussi lumineux et "clean".
Ils se rendirent à l'intérieur d'une salle de cinéma de grande taille où les séances étaient permanentes. Ils s'assirent au premier rang. Il lui murmura à l'oreille "retroussez l'arrière de votre robe, vous risquez de la mouiller". Elle le fit immédiatement; les images sur l'écran l'excitait effectivement, son sexe s'humidifiait largement, un individu vint s'assoir à proximité, au bout d'un moment il se laissa glisser à genoux et, à quatre pattes vint fourrer sa tête entre les cuisses de Béatrice. Elle fit glisser son bassin en avant, offrant son sexe à la bouche inconnue; et assez rapidement elle fut à la lisière de l'orgasme. Mais comme l'individu se masturbait en même temps il parvint au plaisir avant elle, éjaculant sur une de ses chaussures de femme, il s'essuya avec un mouchoir en papier et quitta la salle sans un mot.
Elle était excitée comme une puce mais restait sur sa faim. Son compagnon lui proposa "venez voir le labyrinthe"; elle le suivit dans un labyrinthe fait de couloirs très étroits, c'est elle qui le précédait. A un moment une main surgit d'une cloison latérale, amusée elle montra l'évènement à son compagnon, il sourit, elle retroussa sa robe et se mit à frotter son postérieur sur cette main, la deuxième main sortit de la cloison et se mit à lui caresser les fesses; très peu de temps après, une main et son avant-bras surgirent de la cloison opposée et les doigts s'emparèrent de son abricot.
Elle attira son compagnon en le saisissant par la nuque pour qu'il l'embrasse.
Les deux mains côté fessier s'activaient et un doigt s'introduisit dans son anus. L'index de la main de devant lui caressait le clitoris, puis une main vint s'emparer d'un de ses seins par-dessus la robe. Avec rapidité elle déboutonna le haut de la robe, et la main se saisit du sein.
Le doigt du clitoris glissa dans le vagin. Elle était branlée par devant et par derrière, entre deux baisers elle lui dit "baisez moi", il lui répondit "tout à l'heure", et cette simple promesse lui permit de "mouiller" son entrée vaginale de façon exceptionnelle.
Ils arrivèrent dans un cul de sac, de toute évidence le labyrinthe était un vrai traquenard. Elle se retourna vers lui en lui disant de façon effrontée "et maintenant?"Il l'embrassa de façon gloutonne puis lui murmura "ôtez votre robe", ce qu'elle fit immédiatement. Il prit la robe et la jeta sur son épaule, elle était devant lui vêtue simplement de ses bas et de ses chaussures, il lui intima "tournez vous", elle se retourna vers le fond du cul de sac et se pencha en avant en prenant appui des deux mains sur la paroi du fond. Il la pénétra ainsi, en levrette, et elle sombra rapidement dans un orgasme qui lui fit crier sa jouissance. Il éjacula dans son vagin, et sans lui rendre sa robe lui dit "il nous reste à trouver la sortie".
Elle le suivait vêtue seulement de ses bas et de ses chaussures, du sperme lui coulait du vagin, le sperme reçu sur sa chaussure dans la salle de cinéma lui glissait entre les orteils.
Ils parvinrent à la sortie du labyrinthe sans problème, ils étaient dans une salle où des sex-toys siégeaient dans des vitrines. Elle ne fit pas le moindre geste pour récupérer sa robe, se baladant toute nue devant les vitrines.
Il la regardait déambuler, plusieurs hommes (probablement les propriétaires des mains du labyrinthe) la regardaient avec avidité, deux d'entre eux avaient sorti leurs sexes en érection de leurs pantalons. Un des gaillards s'était approché d'elle suffisamment pour commenter les phallus dans leurs vitrines. Elle s'était immobilisée pour écouter les commentaires, il en profita pour lui caresser les fesses.
Encouragés par sa passivité les autres hommes s'étaient rapprochés. L'un d'entre eux lui embrassa un sein, un autre, le sexe recouvert d'un préservatif le glissa dans sa raie fessière. Elle se pencha en avant pour faciliter le contact entre le gland et son anus, une main se glissa vers son abricot et deux doigts pénétrèrent son vagin... Le sexe recouvert d'un préservatif lubrifié pénétra l'anus avec une relative facilité. Elle était branlée et sodomisée, ses seins caressés et embrassés.
Le sexe présent dans son anus fut le premier à éjaculer; elle fut invitée à venir s'empaler sur le sexe d'un homme qui s'était couché sur le dos, ce qu'elle fit sans problème.
Agenouillée, elle chevauchait l'homme quand un autre phallus se présenta devant son anus et la pénétra. Elle se mit à jouir bruyamment sous cette double pénétration. Les hommes se relayèrent, alternant les positions (tous protégés) elle bénéficia d'au moins neuf pénétrations, vaginales ou anales, et en retira plus de six orgasmes magistraux.
Retrouvant son compagnon et sa robe elle lui confia: "j'adore ce magasin!"

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