Et coulait une rivière, première histoire, avec Anne-Jeanne. - histoire érotique

Et coulait une rivière, première histoire, avec Anne-Jeanne.

En ce mois de juin caniculaire, un couple était au bord de l'Allier, nu. Sur la rive de galets, à plus d'un km de la route, ils étaient tranquilles, à l'aise. L'homme était allongé sur le dos, les pieds en direction du rivage, la femme était en équerre par rapport à lui, tête posée sur le bas-ventre de son partenaire. Un promeneur s'approchant très près, aurait pu remarquer, que la femme n'était pas totalement nue. Un lourd collier de cuir lui enserrait la nuque. Anne-Jeanne, 62 ans, était la soumise, l'esclave sexuelle d'Erik 57 ans. Tous deux se voyaient rarement, mais à chaque fois, c'était un déchaînement sexuel. Ce matin, au réveil, comme à son habitude, elle avait sucé son homme et en retour, celui-ci, avait mis sa main bien au chaud dans sa chatte humide... Il l'avait fait longtemps, commandant à de nombreuses reprises, la jouissance de sa femelle.

Quelques heures plus tard, ils étaient partis pique-niquer au bord de l'eau, au frais sous les saules et les ifs. Sans le dire, Anne-Jeanne, était frustrée. Il était environ 14 heures, et son maître ne l'avait ni baisée, ni enculée. Elle guettait avec impatience le réveil du membre viril adoré.

La main droite de son maître , se mit à caresser doucement sa nuque, passant sous la pointe de ses cheveux blonds. L’homme caressait, son collier, ses épaules…« Ma chienne, si tu t’occupais un peu de ton « nonosse » », entendit-elle. Enfin l’ordre attendu. La chienne, c’était-elle, Anne-Jeanne , et le « nonosse » en question, elle le guettait depuis une bonne heure. Quand, elle était avec son maître, Anne-Jeanne, ne tolérait pas qu’une autre salope s’approche de l’anatomie virile de celui-ci. Lui, pouvait offrir, ses trous chauds et humides, à autant de mâles qu’il voulait, c’était normal, son corps, quand elle était avec lui, ne lui appartenait plus. D’ailleurs, sur ses fesses, il y avait encore des traces de marqueur. Hier, soir, il y avait inscrit, « Propriété d’Erik ». A chaque fois, qu’il l’offrait, elle en redemandait. L’idéal, trois pénis en même temps, devant son maître. Un par trou !

Elle avait commencé par masser les couilles, des couilles bien lourdes. Pour mieux se positionner, elle tira sur sa laisse,et son maître ouvrit les cuisses, relevant ses genoux. Elle s’installa, agenouillée docilement. La laisse tira brusquement son visage, vers l’entrecuisse poilu. La main revint, et un nouvel ordre « lèche ! ».Et elle lécha, les couilles d’abord longuement, très très longuement, elle tenta même de les gober. Voyant le «  nonosse » se réveiller lentement, c’est vers lui qu’elle commença à tourner son attention. Elle le voulait bien dur, jusqu’au fond de sa gorge.

Ce qu’elle ne pouvait voir, toute occupée à sa tache, c’est qu’un pêcheur d’une soixantaine d’années, s’était installé sur la rive d’en face. La casquette, les gaules, les canettes de bière, il avait tout l’attirail, mais son attention semblait quelque peu perturbée.

Faut dire qu’à 62 ans, le cul de salope d’Anne-Jeanne, ses cuisses, valaient le détour. Malheureusement, pour lui, il ne pouvait rien voir d’autre, juste deviner ce que la chienne faisait. C’était déjà mieux pour lui que le porno de Canal+, et peut être que ce soir en baisant bobonne en 2 minutes, il y repensera à ça.

Maintenant, la bite était tout dure, son gros gland violet entre les douces lèvres de la salope. Des deux mains, Erik saisit la tête de son esclave, et l’empala violemment, puis la maintint pressée contre son bas-ventre, pour qu’elle avale bien le « nonosse ». Anne-Jeanne, suffoquait, mais elle commençait à avoir l’habitude, et d’ailleurs, comme à son habitude, elle était excitée, trempée, au bord de la jouissance, sans s’être touchée. La pression se relâchant, elle reprit un lent va et vient, mais cette fois, une de ses mains avait glissé vers son clitoris.
Ce serait, rapide, de plus, elle savait que son maître aimait la sentir jouir quand elle le suçait.
Peut être avait-il envie de jouir en même temps qu’elle ? Non , le membre résistait, ne faiblissait pas malgré toute son attention, son travail. Alors elle se laissa aller, dans un long gémissement.

« regarde, bien en face, salope, on a un voyeur, qui a sorti sa queue », lui dit Erik. «A quatre pattes face à lui , je veux qu’il matte bien tes gros nichons et ta laisse , on va lui offrir du grand spectacle, il est pas près de revoir une chienne comme toi en action ! »
Excitée à l’idée d’être vue, Anne-Jeanne, s’installa sur le tapis de gym, cuisses légèrement écartées, fesses tendues vers son maître, seins et laisse bien pendante, en vue de l’homme, qui maintenant semblait se masturber. Son excitation augmenta encore.
Elle avait hâte, d’être prise.
Une pénétration, vaginale lente, puissante, qui la fit se sentir remplie. Un lent va et vient, fit monter en elle, une vague douce. Erik aimait aller au fond des choses, bien au fond. Elle gémit.Quand il passa la vitesse supérieure, puis sortit, et rentra, elle ne put s’empêcher de jouir une première fois, et cria, secouée de tremblements.
Le pilonnage de sa chatte ne cessait point, toujours bien au fond, et elle repartit dans l’extase.
Erik se retira brusquement. Il allait enculer sa chienne à sec, sans préparation, et il allait jouir et la faire jouir comme ça.
La lente poussée de son dard, rencontra peu de résistance, le cul d’Anne-Jeanne était bien entraîné, à force d’être plugué, et puis la sodo, elle y avait droit au moins une fois par jour, car Erik aimait beaucoup ses belles fesses rondes et son doux orifice.
Un cul dilaté, une bite bien serrée, les fiançailles étaient parfaites. Anne-Jeanne gémit un peu, l’absence de gel sans doute. A nouveau, elle se sentait remplie, peut être encore plus que quand il la baisait normalement.Comme ça, elle se sentait vraiment, chienne, esclave. Elle avait envie qu’il jouisse en elle, même sans jus… Juste parce qu’à ce moment-là, elle jouirait aussi encore plus fort. Et puis , devant un voyeur, qui la voyait en salope, probablement un mec qui n’avait pas les couilles de le faire à sa femme, qui avait sans doute du mal à la faire jouir…
Elle se sentait dilatée, écartelée, par celui qu’elle avait choisi comme maître. Oui elle l’avait choisi, et ce qu’il lui faisait régulièrement, que ce soit dans le domaine sexuel, ou dans une domaine plus strictement sm, elle le voulait.

Elle voulait qu’il se déchaîne en elle, et il se déchaînait, elle cria plusieurs fois, de vrais spasmes.
Elle l’entendit haleter, geindre, râler, lui aussi allait jouir.

Et ils jouirent ensemble !
Et ils s’écroulèrent ensemble !



Fin
Erik
Dédicace à la belle Anne-Jeanne, avec qui un jour, je souhaite partager, quelques petits moments de bonheur.