et de deux !!! - histoire érotique

J’ai garé mon bahut sur l’aire d’autoroute, il fait chaud, je viens de faire la sieste et j’ai encore trois heures de coupure à faire, pour me dégourdir les jambes je me balade vers le parking tourisme, j’aime l’ambiance de ces autoroutes nous sommes comme coupés du monde ,un endroit ou tout peu arriver ,tout peut se faire , une voiture est garée, en contrebas une femme lis un bouquin assise a une table de pique nique, je décide d’aller voir de plus prés a quoi elle ressemble, peut être est ce une de ces femmes qui laissent voir leurs petites culottes lorsqu’elles doublent un poids lourd ?
Environ trente ans, brune, elle porte une jupe ample qu’elle a relevée avant de s’assoir, j’imagine ses petites fesses posées a même le bois, en haut un corsage classique, je passe devant elle sans qu’elle ne relève la tête, trop absorbée par sa lecture ou n’apprécie peut être pas mon intrusionJe vais m’assoir à la table voisine à cheval sur le banc, tourné vers elle, mon short épouse la forme de mes attributs car je ne porte pas de sou vêtement Après quelques minutes elle doit sentir mon regard pesant sur elle car elle tourne furtivement la tête vers moi, j’esquisse un sourire qui ne porte pas …je remarque l’alliance a son annulaire gauche, pas se soucis, je suis marié aussi ….
La femme devient nerveuse, ses genoux s’ouvrent, se ferment, glissent l’un sur l’autre, lirait elle un bouquin érotique ? Sa lecture devient plus distraite elle tourne de plus en plus souvent les yeux vers moi, ma main s’est posée sur mon entre jambes pour masser mon sexe, la femme a le regard fixé devant elle au dessus de son livre, elle semble attendre qu’il se passe quelque chose, je vais en avoir le cœur net Je me lève, passe devant sa table, elle me jette un regard furtif, arrivé a hauteur de sa voiture je jette un coup d’œil a sa plaque d’immatriculation, elle est a quelques centaines de kilomètres de chez elle, tout comme moi, je me retourne pour voir ce qu’elle va faire, cette fois elle soutient mon regard J’hésite entre prendre le chemin du parking poids lourd ou aller vers les sanitaires situés juste en face , la femme s’est levée ,j’ai peur qu’elle ne me suive pas si je l’entraine vers les camions , c’est donc vers le bloc que je me dirige , elle s’est arrêtée a sa voiture ,la porte s’ouvre … elle va repartir ? Non ! Elle jette son livre dans la voiture et traverse la route pour venir vers moi Chez les hommes ou chez les femmes ? J’opte pour les w c des femmes, j’ouvre la dernière porte et j’attends à l’entrée … des bruits de pas ….. La voilà, sans un mot elle passe devant moi, entre, et va carrément se plaquer sur le carrelage mural en me tournant le dos, je referme la porte en poussant le verrou Appuyée sur un avant bras qui fait écran entre le carrelage et sa tête les pieds reculés, légèrement écartés elle attend, offerte…..sans hésiter je descends mon short, et colle ma queue bandée sur se fesses, mes mains passent sous ses bras pour aller palper ses seins, je n’aime pas peloter des nichons dans leurs emballages !aussi je lève sa jupe que je bloque a sa taille, une mignonne mini culotte bleue emprisonne deux magnifiques lobes fessiers Pour elle et moi c’est uniquement une affaire de sexe immédiat, il n’y pas de temps pour des préliminaires inutiles, je fais glisser le sou vêtement a mis cuisses, il est très étiré, a la limite de la rupture Mes doigts se faufilent entre les fesses pour trouver une vulve déjà bien humide, je n’ai aucune peine à introduire deux doigts pour fouiller le vagin, elle soupire d’aise, sa respiration s’est accélérée, je la branle un moment, des bruits mouillés se font entendre, elle est prête pour une saillie, d’une main par devant j’écarte les grandes lèvres et de l’autre je guide mon pénis entre les fesses, d’un coup de rein la voilà épinglée comme un papillon dans un écrin , sauf que là l’écrin est un endroit sordide qui sent l’urine Elle a poussé un cri de surprise relayé aussitôt par des plaintes de plaisir, je la besogne a un rythme soutenu, nos corps claquent l’un sur l’autre, soudain des pas se font entendre une femme vient occuper le compartiment voisin, les talons piétinent pour chercher la bonne position sur le w c a la turque, j’entends le chuintement du jet doré qui gicle de la chatte entrouverte , le bouchon de papier qui essuie la fente et , plus rien, notre voisine doit épier nos bruits car je n’ai pas arrêté ma partie de baise, effectivement des soupirs de plus en plus audibles répondent en échos aux nôtres Mon inconnue jouie soudain d’une violence inouïe, sans se préoccuper qu’une autre femme se caresse peut être en nous écoutant, me bloquant sur elle je pars moi aussi, des giclées épaisses tapissent généreusement les parois vaginales Ma bitte glisse hors du trou gluant, une coulée abondante tombe juste sur l’entre jambe du slip resté a mis cuisses, d’un coup de poignet j’essuie mon membre sur les fesses de la femme puis je rentre mon nœud encore goutant dans mon short, pas un mot n’a été échangé, je sors la laissant se débrouiller pour son nettoyage intime A mon passage la porte voisine s’ouvre, une femme blonde cette fois, la quarantaine me dévisage, je m’attends a ce qu’elle me demande qui est cet intrus qui vient baiser dans la partie réservées aux femmes ! Je m’arrête, elle hésite à sortir, je fais un pas vers elle, elle recule dans le même temps ….j’entre et referme la porte, et de deux !
Celle-ci me fait face, a nouveau je baisse mon vêtement, ma queue a moitié débandée a gardé une grosseur respectable, ma nouvelle partenaire s’accroupie a mes pieds je lui caresse la joue avec ma queue maculée des croutes blanchâtres, elle s’en empare, que je sorte juste d’un vagin ne semble pas la gêner au contraire ça l’excite car elle lèche mon membre sur toute sa longueur comme un cône glacé avant da la gober voracement, a ce régime je reprends vite une érection convenable Ma première partenaire sort du compartiment en claquant la porte sans doute vexée d’avoir été laissée en plan et que je baise aussitôt une autre femme, sa voiture démarre bientôt dans une accélération rageuse Je décide de reprendre la main, je fais relever la femme, la plaque de dos sur le carrelage glacé, d’elle même elle relève sa robe, je constate qu’elle n’a pas de culotte ; l’ouverture de sa porte au moment ou je sortais était donc préméditée….. ?
Comme pour le vagin précédent je constate avec mes doigts si le ‘terrain’ est propice a une pénétration immédiate, pas de doute cette chatte a tété masturbée récemment, la rosée accrochée aux poils en est la preuve !
La femme qui n’a pas lâché mon pénis le dirige vers son entrejambes qu’elle ouvre au maximum - Faites moi gueuler comme vous l’avez fait a ‘l’autre’ - Tu va être servie ma jolie Je passe une main sous son genoux pour remonter une jambe a hauteur de ma taille, l’angle de pénétration est excellent, je fléchie les genoux, mon gland est positionné a l’entrée de la moule, en me relevant ma queue es littéralement avalée, elle pousse un beuglement énorme, heureusement que personne n’est arrivé depuis Accrochée à mon cou les coups de reins que je lui administre lui font décoller carrément l’autre pied du sol, nos sexes s’emboitent merveilleusement, les bruits sourds de son dos qui cogne la cloison et les plaintes érotiques doivent s’entendre a l’extérieur, j’espère qu’une troisième femme n’aura pas envie de se faire sauter à son tour car cette fois mes burnes seront asséchées !
Sans me préoccuper si elle a pris son pied je me vide dans son con gluant, je me retire en lâchant la jambe soulevée et tourne les talons, la queue enveloppée dans un mouchoir en papier je reviens a mon véhicule pour reprendre la route les sens apaisés