Et le premier trio arriva...
Récit érotique écrit par Ruoma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-07-2006 dans la catégorie Plus on est
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Et le premier trio arriva...
Après cette soirée de notre club de foot que j’ai fini dans les bras d’Elise alors que son mari ivre dormait dans leur lit, je fus transformé par mes moments et les plaisirs vécus… Quelques semaines plus tard, on reprend le chemin de l’entrainement et comme d’habitude Jean-Claude se chargeait de m’y emmener. Il savait que j’avais baisé avec sa femme et il n’y fait aucune allusion pour ne pas me culpabiliser sans doute mais lors de nos trajets, il me reparlait de cette soirée, du bonheur de sa belle et il me promettait un dîner à trois pour me remercier d’avoir été présent, me proposant même à nouveau de coucher chez eux… Cette perspective m’excitait et m’inquiété à la fois
- Je t’apprendrai à boire comme un homme… Tu es mon poulain, disait-il…
Pris de court, j’acceptais en me disant que ce sera une soirée monotone car je le voyais me faisant boire, me bombardant de questions intimes sur mes relations avec les filles et voulant me donner ses conseils pour que je sois plus heureux sur ce plan-là…
J-C est très gentil avec moi depuis toujours et sa femme reste au centre de mes fantasmes : je suis pris entre deux «feux » et celui qui brûle pour Elise semble le plus fort…
Tout le mois de janvier se passe sans que je n’ose provoquer un moment intime avec Elise : j’arrivai toujours presque en même temps que JC chez lui… Il tombait le costard et on repartait pour le stade, et sur la route on plaisantait et on riait comme à l’habitude… La compétition était là mais je n’y étais pas en fait car l’envie d’elle me taraudait et mes masturbations n’y faisaient rien…
Et puis un soir après l’entraînement, JC se mit à me parler de sa femme et de son humeur du moment… Elle n’avait pas le moral d’après lui :
- « Je la trouve triste, tu sais, comme je bosse beaucoup et avec e club, elle trouve que j’en fais trop.
- Pourtant, je la trouve souriante quand je passe chez toi en allant chez toi. C’est vrai que j’arrive tard car mes devoirs me prennet du temps et qu’on a plus de le temps de plaisanter comme on le faisait..
- C’est ça qui lui manque en fait, elle a pris l’habitude de te voir passer, de la faire rire, tu comprends… Et comme ça, elle supportait mieux que je sois aussi peu présent
- Je te promets J-C, je vais passer plus souvent et plus tôt si ça peut lui faire plaisir, je vous dois bien ça…
- Voilà un poids que tu m’enlèves, mon garçon… Je ne dirais rien à Elise, ce sera une surprise qui ne peut lui faire que bien et à moi aussi. Tu verras, toi-aussi quand tu seras amoureux comme moi, tu ne pourras pas être indifférent au moral de ta femme… Tu me rends un sacré service… Tu es un gars super, tu sais et tout ça doit rester entre nous, n’oubliespas »
Le rire et la tape amicale qui s’en suivaient, me firent un bien fou car JC, je l’aimais bien et ma promesse, je l’ai dite sans réfléchir, plus pour soulager mon ami…
C’est une fois chez moi que je me disais comment allais-je faire pour résister à toutes ces tentations et envies que provoquaient Elise en moi… Cette nuit-là, je me suis masturbé et j’ai joui trois fois ava,t de trouver le sommeil…
Début février, j’ai organisé mon travail scolaire pour pouvoir arriver tôt chez JC… La première fois fut une surprise pour Elise… Elle m’ouvrit la porte dans une tenue anodine mais pour moi, elle était bandante et je triquais… Elle me fit entrer avec un sourire qui me rassura… A peine la porte fermée, elle me prit dans ses bras et me fit d’abord des bises pour m’exprimer sa joie et tout en regardant dans les yeux, elle me dit :
-« Enfin, mon clown est revenu me voir. Tu m’as manqué, tu sais…
- Moi, aussi je suis content d’être là et encore plus par ce que ça te fait plaisir…
- Tu es un sacré bonhomme et j’ai eu peur de t’avoir déçu, que je suis contente de pouvoir enfin passer à nouveau des moments avec toi, ça m’a manqué tu sais… je crois que même JC l’a remarqué »
Et tout en terminant sa phrase, elle me serre un plus dans ses bras. Nous sommes alors collés l’un à l’autre et elle ne peut manquer de sentir ma queue qui bande pour elle… Et les bises qu’elle me donne se rapprochent de mes lèvres pour se transformer en un baiser intense pendant lequel je me laisse faire sans lâcher mon sac de sport que je tiens toujours à la main…
-Tu en as envie, comme moi, n’est-ce pas ?
- Oui, je n’ai arrêté d’y penser
- Et pourquoi n’es-tu pas revenu comme avant ?
Et sans me laisser le temps de répondre, elle m’embrasse à nouveau. Je lâche mon sac pour un vrai baiser fougueux et mes mains se mettent à la caresser partout tandis que la sienne enrobe ma queue puis finit par s’en saisir en passant sous mon slip...
Notre baiser dure et je finis moi-aussi par caresser sa chatte et sentir à quel point elle est déjà humide…
Sans attendre, elle se baisse devant, me baisse survêtement et slip pour se mettre à me lécher tout en parlant :
- Elle est belle, elle est grosse… C’est moi qui te fait bander ?
- Oui
- Moi-aussi, j’ai envie de toi. J’aimerai que tu me baises comme tu l’as fait l’autre nuit….
Et sur ces paroles, elle tente d’avaler ma queue… Sa caresse est tellement intense que je suis sur le point de jouir. Je le lui dit mais elle continue de plus belle jusqu’à ce que mon jus lui remplisse la bouche…
Quand mon regard se pose sur elle, c’est pour voir une femme qui se délecte de ma jouissance et de mon jus… Voyant que je ne débande pas, elle se relève pour m’entraîner vers le canapé où elle s’affale pour se dévêtir et pou ouvrir largement ses cuisses…
Sans un moment, je me mets entre ses jambes et mes mains se promènent sur son ventre, mes doigts ouvrent sa chatte et je me régale de la vision de ses chaires :
- Tu vois elle est toute mouillée, c’est à cause de toi… Elle te plait ?
- Oh, oui, tu as une belle chatte. J’ai envie de te la manger comme JC te le faisait sur la table..
- Ca t’a plu de le voir faire, n’est-ce pas ?
- Oui, et j’ai trop envie de te faire jouir comme ça
- Viens, parce que moi j’adore cette façon de jouir, je suis sur que tu seras aussi doué qu’avec ta belle queue mais fais doucement comme si tu mangeais une glace du bout de tes lèvres…
J’ai plongé pour déguster cette femelle, et son jus… Son odeur m’excitait terriblement au point que j’ai cru que j’allais à nouveau jouir… J’ai senti aussi qu’Elise se tendait, tout criant sa jouissance comme je l’ai vu faire avec son mari…
Ses jambes qu’elle tenait haut, sont retombées au sol tout en restant bien ouvertes… Elle ne réagissait plus… Je suis redressé pour approcher alors ma queue de sa chatte et doucement je l’ai pénétrée… Dans un râle de plaisir, des mots sortaient de sa bouche, semblables à tous ceux qu’une jouisseuse lâche pour exprimer son bonheur d’être baisée par une queue qui bande dure pour elle…
Je ne lassais pas de voir ma queue écarter ses grosses lèvres et la pénétrer… Avec mes doigts, je les écartai pour caresser son gros bouton et accentuer la vison de cette baise.
La joie et le plaisir de retrouver sa chatte qui me caressait ont eu raison de mon envie à faire durer ce plaisir de la posséder : j’ai senti mon jus couler en elle comme si je me vidais les couilles… Comme épuisé, je me suis écroulé sur elle et pendant que mes lèvres embrassaient son cou, ses doigts caressaient mes cheveux… Petit à petit, nous revenions sur terre
- Tu m’as bien baisée… Tu as vite appris les choses petit coquin et en plus ça te plait de voir ma chatte s’offrir à toi, n’est-ce pas ?
- J’en avais trop envie et plus tu es belle
- Tu es un sacré charmeur et en plus tu as une queue qui fait le reste : tout pour faire craquer…
L’heure a tourné et on risquait de voir arriver JC… On se rhabilla assez vite, elle se contenta de remettre un jupe chaude sans culotte… Elle eut à peine le temps de m’offrir un jus de frit que son mari était là : il exprima sa joie car sa femme lui fit un accueil chaleureux…
Dans sa voiture, il me félicita pour avoir tenu ma promesse et me redit à quel point il était de revoir la gaieté sur le visage d’Elise
-Tu comprends, elle est tellement plus belle quand je la sens heureuse comme ce soir… Cela ne tient qu’à peu de chose et moi, je me sens mieux pour aller au club et m’occuper de l’équipe
- c’est vrai qu’Elise est très sympa et elle le mérite bien, qu’on lui fasse aussi plaisir…
- Oui, mon garçon, il y a obligation à trouver ce qui rend heureuse son amoureuse… Et tu ne serais pas entrain de draguer ma femme, toi ?…
Sa phrase nous fit rire tous les deux et pour la première fois je me sentais à l’aise face à lui malgré ce que je venais de vivre avec Elise… Je sus plus tard qu’en allant se changer dans leur chambre où Elise le rejoignit pour lui donner sa tenue de sport, il la prit dans ses bras pour l’embrasser et en profita pour caresser sa chatte encore toute pleine de notre jouissance en la traitant de « ma petite salope adorée »…
La jouissance devait se voir sur nos visages et il n’en a rien dit… Ce soir-là, je fis un entraînement du tonnerre et notre retour fut très joyeux car JC l’avait remarqué. Au match de dimanche, j’ai marqué trois buts pour le bonheur de revivre que je sentais à nouveau en moi… Et les gens se sont posés des questions sur cette transformation :
- J’ai bien bossé au lycée et je cois que je vais conclure avec marine (une fille avec laquelle on me voyait souvent)…
- Foutez-lui la paix à ce garçon reprenait JC
Il n’était jamais bien loin pour entendre mes réponses et plus d’une fois, elles le firent sourire… Mes exploits au match se sont souvent répétés et une fois il dut même intervenir en parlant d’une promesse de job pour l’été dans son entreprise pour sauver la mise : je fus même obligé de flirter avec marine pour confirmer mes dires…
En fait, j’avais au moins une fois par semaine une relation physique avec Elise et nos moments de baise étaient de plus en plus intenses… C’est lors du deuxième que tout se scella : Elise me reçut maquillée et sexy mais au lieu de se jeter l’un sur l’autre, elle m’entraîna dans sa cuisine pour discuter :
- Tu sais, si j’ai été triste pendant un certain temps c’est parce que j’avais peur…
- De quoi ?
- Tu es jeune et ce que l’on fait ensemble, on avait peur JC et surtout moi que tu t’en flattes auprès des autres… Alors tu imagines la crainte du scandale dans laquelle j’ai vécu
- Tu m’as fait un merveilleux cadeau, Elise… Je suis pas comme ça et je ne le serai jamais : je ne pourrais jamais trahir votre confiance
- C’est une belle leçon de la vie que tu es entrain d’apprendre, mon coquin… Tu feras le plaisir des femmes qui voudront faire de toi, un amant… Elles seront encore plus chaudes que moi si tu sais leur montrer qu’elles peuvent te faire confiance..
Cette discussion n’eut pas à se poursuivre plus longtemps car elle se leva de sa chaise pour poser ses fesses sur la table et m’offrir de lui bouffer la chatte comme j’avais envie de le faire. Elle était sans culotte et déjà toute humide...
Elle se donna à moi et je sus encore lui offrir une jouissance qui me laissa un peu vidé… Je pus lui faire l’amour dans toutes positions qu’une table peut permettre… Je pus voir aussi pour la première fois son petit trou frémir pendant que son orgasme donnait à sa chatte des spasmes qui comprimait ma queue : elle était couchée sur la table pendant que je la prenais par derrière et que mes mais ouvraient ses jolies fesses…
Là encore JC la retrouva radieuse… Dans leur chambre, il ouvrit sa robe de chambre pour découvrir sa jupe courte et sa chatte… Ce moment dura un peu et pour cause il l’avait prise en levrette sur leur lit : une étreinte virile qui lui permit d’inonder la chatte de sa belle femelle…
A notre quatrième rencontre, je suis arrivé chez JC encore plus tôt que d’habitude car un prof était absent… Ce jour-là, nous avons pris notre temps et pour la première fois, nous nous sommes retrouvés nus tous les deux… Après elle me prit par la main et m’entraîna vers leur chambre : encore une première…
Ce fut des étreintes presque sauvages tant notre envie de baise était forte : faire l’amour dans un lit à une femme déchaînée dépasse et de loin tous les plaisirs que l’on se peut dans d’autres lieux…
On se lança dans un 69 qui m’a permis de sentir pour la première fois son jus couler sur ma bouche et je l’ai bu avec délectation… Cette ferveur était aussi à un fait qu’elle me confia plus tard.
Ayant su une semaine à l’avance cette absence, dés que je le lui ai dit, on se décida de se retrouver plus tôt et elle en parla à JC… Il s’arrangea pour être libre car il avait trop envie de nous voir baiser tous les deux… Donc avec la complicité de sa femme, il a pu se cacher puis venir nous mater comme il voulait et le seul endroit pour le faire était leur chambre dont elle laissa la porte toute ouverte : je n’avais rien perçu et JC a pu voir enfin sa « belle salope d’amour » se donner à moi et bien sûr jouir en se caressant…
Quand ce fut bientôt l’heure, il quitta l’appartement et fit mine de rentrer du travail… Nous partîmes cette fois-là en silence jusqu’au stade où je fis mon entraînement…
Une autre fois, nous étions sur le canapé, elle sur moi en robe de chambre ouverte… Je gobais ses seins, et elle s’empalait sur ma queue toujours aussi dure pour elle.
Tout en jouissant, elle me parlait de son plaisir.
-Oui, comme ça, j’adore ta grosse bite… Viens encore plus loin, oui, viens
- Tu aimes quand je te la mets profond. Qu’elle est bonne ta chatte…
- J’aime lorsque tu me parles en faisant l’amour… Continues, dis-moi des choses sur mon corps, n’aie pas honte, ça me plaira j’en suis sure… JC adore me dire que je suis une salope, une baiseuse et ça me fait encore plus jouir…
- Moi-aussi, j’aime te baiser, j’aime boire ton jus et te sentir sans culotte quand je te retrouve…
- Tu es comme JC, et en plus lui il se régale à m’éclater la chatte lorsqu’il retrouve après qu’on ait baisé toi et moi… Il adore m’enfiler quand ton jus coule encore en moi… Je suis sure que cela te plaira à toi-aussi…
- Oui, ça doit faire une sacrée impression et tu aimerais sentir nos jus se mélanger en toi comme ça ?…
- Oui, c’est terriblement bon. Tu sais, JC m’a baisé juste après toi quand tu avais dormi à la maison. Et depuis, je ne me lave plus quand tu me prends… J’attends après chaque entraînement son retour et je jouis très fort quand il me prend et qu’il inonde ma chatte lui-aussi…
Toutes ces paroles n’ont pas manqué de nous conduire ensemble vers la jouissance ce jour-là… Ces confidences m’ont un peu plus excité et pour la première fois après mon entraînement je me suis branlé en pensant non pas au plaisir que j’ai eu avec Elise mais à celui qu’ils étaient entrain de prendre en ce moment !
L’idée de la voir baiser avec JC a décuplé mon plaisir… Doucement germait en moi ce fantasme d’être présent il soulevait des craintes : je savais qu’il me savait l’amant de sa femme mais mon jeune âge m’empêchait de voir toutes les possibilités que pouvait offrir les jeux de l’amour…
JC m’avait promis une soirée avec sortie restau puis cinéma : elle fut programmée en mars. Il fut même convenu que je dorme à nouveau chez eux. Mes parents acceptèrent car mon travail et ma réussite au foot le permettaient.
Cette soirée eut un vendredi…Et JC me fit boire avec lui de sorte qu’à la sortie du restau, c’est Elise qui conduisit mais c’est la direction de leur appartement qu’elle prit car nous n’étions pas en état pour un ciné…
Ah pour la faire rire, on était complice et bien en état pour le faire. Une fois arrivés, JC continua à boire mais j’avais mon compte… Elise était pompette et prête à faire la fête… Elle alla se changer pour revenir en robe courte et moulante pour le haut du corps avec une petite veste qu’elle n’a pas fermée de sorte qu’on voyait bien sa poitrine libre… Son mari en siffla d’admiration
- T’es bête ! je vous avertis, il est hors de question que vous cuviez votre alcool, vous avez intérêt à vous occuper de moi et de me faire passer une bonne soirée…
- Bien sûr, ma chérie. Veux-tu danser ? Notre invité se fera un plaisir d’ouvrir le bal avec toi… Allez jeune homme, une dame vous attend sur la piste…
Et il se leva pour mettre de la musique type tango… Mon air étonné fit rire Elise qui se colla à moi, ayant décidée de m’apprendre cette danse… Tout en m’expliquant, nous nous lançons sous les bravo de JC.
Bien sûr il y eut des ratés qui me collèrent à elle et l’effet ne se fit pas attendre. Je bandai ce qui poussa Elise à mettre sa joue contre la mienne…
- Vous êtes beaux tous les deux… C’est un plaisir de voir ma femme danser avec toi…
- Et en plus il apprend vite
- Je t’assure Elise c’est toi qui fait tout. Je suis incapable de te conduire dans cette danse…
- Laisses-toi aller, elle sait y faire… Montres-lui bien ma chérie
Et sur ce, JC quitta le salon… Je me sentis alors un peu plus à l’aise au point de la serrer encore et placer ma queue tendue bien contre son ventre… Sa réponse fut un baiser court puis deux puis trois….
On entendit JC revenir avec deux verres pour Elise et moi… On s’arrêta pour les prendre et trinquer ensemble : c’était un cocktail qui passa bien…
Il prit la suite avec Elise en la faisant tourner… Assis dans un fauteuil, je pus voir qu’elle portait des bas car sa robe se soulevait…
Les danses s’enchaînaient et Elise était ravie… Et je les voyais s’embrasser avec fougue. En revenant d’une pause-pipi, je les ai surpris dans un de ces baisers mais il avait une main sous la jupe de sa femme, caressant et pétrissant ses fesses : elle se laissait faire et semblait y prendre plaisir vu les coups de reins qu’elle donnait pour se frotter à son homme…
La soirée avançait, et j’ai eu moi aussi un moment de danse très sensuel avec Elise : elle était adossée à un mur et me tendait son ventre pour une danse qui n’en était pas une tant cela ressemblait à une étreinte… JC sirotait son verre et nous regardait.
Elise et moi étions dans notre envie de jouir : mes mains ont remonté sa robe, mes doigts courraient sur sa chatte toute humide… JC se rapprocha de nous tout en se caressant : il regardait sa femme s’offrir à moi et tandis que j’embrassai son cou, elle lui tendait ses lèvres…
C’est leur baiser qui me ramena à une certaine réalité, avec la peur d’être allé trop loin… J’abandonnai Elise pour me rendre aux toilettes…
Le cocktail, le désir pour cette femme, la présence de son homme ont fait un mélange qui m’a fait passé un bon petit moment dans le w.c et quand je reviens vers le salon je ne vois personne, seuls les gémissements d’Elise m’entraînement alors vers leur chambre dont la porte est restée ouverte…
Elle est allongée en travers du lit, cuisses ouvertes, nue. JC est entre ses jambes et la butine tout en lui parlant avec une voie douce :
- que ta chatte est belle ma chérie. Tu es chaude et tu as envie de baiser, n’est-ce pas ?
- oui, mon amour, manges encore. J’aime trop quand charlie bande si fort pour moi. Tu sens comme je mouille pour lui et ça te plait…
Leurs propos de plus en plus chauds m’ont aidé à oser ouvrir ma braguette pour dégager ma queue et pour me branler jusqu’à cet instant où Elise m’a vu et où elle a tendu sa main vers moi :
- viens mon petit homme, j’ai trop envie de toi et de ta grosse queue qui sait si bien me faire jouir. Déshabilles-toi vite
- oui, viens mon garçon, elle n’attend que toi, a dit JC en se redressant pour aller se mettre sur le lit pour embrasser sa femme…
J’ai retiré pantalon et slip pour me mettre à mon tour entre ses cuisses et la lécher… J’ai senti alors les doigts de JC saisir les lèvres de cette chatte :
- Là, tu vois ce bouton prends-le avec le bout de ta langue, elle adore çà..
- Oui, mon chéri, apprends-lui à bien sucer mon bouton… Oh oui, encore, oui comme ça… Dis-le de le manger du bout des lèvres…
Et moi, je m’exécutai et je trouvai un plaisir fou avec sa chatte que j’avais jamais vu si ouverte et si offerte aider en cela par JC et par les gémissements de sa femme entrain de jouir…
Et c’est ainsi que mon premier trio a débuté : une nuit longue s’annonçait… L’évocation de ces instants me fait de l’effet… Je vous abandonne et vous promets la suite dans un prochain récit….
Et pour les vrais couples unis et amoureux, je ne peux que leurs souhaiter de vivre de tels moments libertins , comme un cadeau qu'ils se font l'un à l'autre...
- Je t’apprendrai à boire comme un homme… Tu es mon poulain, disait-il…
Pris de court, j’acceptais en me disant que ce sera une soirée monotone car je le voyais me faisant boire, me bombardant de questions intimes sur mes relations avec les filles et voulant me donner ses conseils pour que je sois plus heureux sur ce plan-là…
J-C est très gentil avec moi depuis toujours et sa femme reste au centre de mes fantasmes : je suis pris entre deux «feux » et celui qui brûle pour Elise semble le plus fort…
Tout le mois de janvier se passe sans que je n’ose provoquer un moment intime avec Elise : j’arrivai toujours presque en même temps que JC chez lui… Il tombait le costard et on repartait pour le stade, et sur la route on plaisantait et on riait comme à l’habitude… La compétition était là mais je n’y étais pas en fait car l’envie d’elle me taraudait et mes masturbations n’y faisaient rien…
Et puis un soir après l’entraînement, JC se mit à me parler de sa femme et de son humeur du moment… Elle n’avait pas le moral d’après lui :
- « Je la trouve triste, tu sais, comme je bosse beaucoup et avec e club, elle trouve que j’en fais trop.
- Pourtant, je la trouve souriante quand je passe chez toi en allant chez toi. C’est vrai que j’arrive tard car mes devoirs me prennet du temps et qu’on a plus de le temps de plaisanter comme on le faisait..
- C’est ça qui lui manque en fait, elle a pris l’habitude de te voir passer, de la faire rire, tu comprends… Et comme ça, elle supportait mieux que je sois aussi peu présent
- Je te promets J-C, je vais passer plus souvent et plus tôt si ça peut lui faire plaisir, je vous dois bien ça…
- Voilà un poids que tu m’enlèves, mon garçon… Je ne dirais rien à Elise, ce sera une surprise qui ne peut lui faire que bien et à moi aussi. Tu verras, toi-aussi quand tu seras amoureux comme moi, tu ne pourras pas être indifférent au moral de ta femme… Tu me rends un sacré service… Tu es un gars super, tu sais et tout ça doit rester entre nous, n’oubliespas »
Le rire et la tape amicale qui s’en suivaient, me firent un bien fou car JC, je l’aimais bien et ma promesse, je l’ai dite sans réfléchir, plus pour soulager mon ami…
C’est une fois chez moi que je me disais comment allais-je faire pour résister à toutes ces tentations et envies que provoquaient Elise en moi… Cette nuit-là, je me suis masturbé et j’ai joui trois fois ava,t de trouver le sommeil…
Début février, j’ai organisé mon travail scolaire pour pouvoir arriver tôt chez JC… La première fois fut une surprise pour Elise… Elle m’ouvrit la porte dans une tenue anodine mais pour moi, elle était bandante et je triquais… Elle me fit entrer avec un sourire qui me rassura… A peine la porte fermée, elle me prit dans ses bras et me fit d’abord des bises pour m’exprimer sa joie et tout en regardant dans les yeux, elle me dit :
-« Enfin, mon clown est revenu me voir. Tu m’as manqué, tu sais…
- Moi, aussi je suis content d’être là et encore plus par ce que ça te fait plaisir…
- Tu es un sacré bonhomme et j’ai eu peur de t’avoir déçu, que je suis contente de pouvoir enfin passer à nouveau des moments avec toi, ça m’a manqué tu sais… je crois que même JC l’a remarqué »
Et tout en terminant sa phrase, elle me serre un plus dans ses bras. Nous sommes alors collés l’un à l’autre et elle ne peut manquer de sentir ma queue qui bande pour elle… Et les bises qu’elle me donne se rapprochent de mes lèvres pour se transformer en un baiser intense pendant lequel je me laisse faire sans lâcher mon sac de sport que je tiens toujours à la main…
-Tu en as envie, comme moi, n’est-ce pas ?
- Oui, je n’ai arrêté d’y penser
- Et pourquoi n’es-tu pas revenu comme avant ?
Et sans me laisser le temps de répondre, elle m’embrasse à nouveau. Je lâche mon sac pour un vrai baiser fougueux et mes mains se mettent à la caresser partout tandis que la sienne enrobe ma queue puis finit par s’en saisir en passant sous mon slip...
Notre baiser dure et je finis moi-aussi par caresser sa chatte et sentir à quel point elle est déjà humide…
Sans attendre, elle se baisse devant, me baisse survêtement et slip pour se mettre à me lécher tout en parlant :
- Elle est belle, elle est grosse… C’est moi qui te fait bander ?
- Oui
- Moi-aussi, j’ai envie de toi. J’aimerai que tu me baises comme tu l’as fait l’autre nuit….
Et sur ces paroles, elle tente d’avaler ma queue… Sa caresse est tellement intense que je suis sur le point de jouir. Je le lui dit mais elle continue de plus belle jusqu’à ce que mon jus lui remplisse la bouche…
Quand mon regard se pose sur elle, c’est pour voir une femme qui se délecte de ma jouissance et de mon jus… Voyant que je ne débande pas, elle se relève pour m’entraîner vers le canapé où elle s’affale pour se dévêtir et pou ouvrir largement ses cuisses…
Sans un moment, je me mets entre ses jambes et mes mains se promènent sur son ventre, mes doigts ouvrent sa chatte et je me régale de la vision de ses chaires :
- Tu vois elle est toute mouillée, c’est à cause de toi… Elle te plait ?
- Oh, oui, tu as une belle chatte. J’ai envie de te la manger comme JC te le faisait sur la table..
- Ca t’a plu de le voir faire, n’est-ce pas ?
- Oui, et j’ai trop envie de te faire jouir comme ça
- Viens, parce que moi j’adore cette façon de jouir, je suis sur que tu seras aussi doué qu’avec ta belle queue mais fais doucement comme si tu mangeais une glace du bout de tes lèvres…
J’ai plongé pour déguster cette femelle, et son jus… Son odeur m’excitait terriblement au point que j’ai cru que j’allais à nouveau jouir… J’ai senti aussi qu’Elise se tendait, tout criant sa jouissance comme je l’ai vu faire avec son mari…
Ses jambes qu’elle tenait haut, sont retombées au sol tout en restant bien ouvertes… Elle ne réagissait plus… Je suis redressé pour approcher alors ma queue de sa chatte et doucement je l’ai pénétrée… Dans un râle de plaisir, des mots sortaient de sa bouche, semblables à tous ceux qu’une jouisseuse lâche pour exprimer son bonheur d’être baisée par une queue qui bande dure pour elle…
Je ne lassais pas de voir ma queue écarter ses grosses lèvres et la pénétrer… Avec mes doigts, je les écartai pour caresser son gros bouton et accentuer la vison de cette baise.
La joie et le plaisir de retrouver sa chatte qui me caressait ont eu raison de mon envie à faire durer ce plaisir de la posséder : j’ai senti mon jus couler en elle comme si je me vidais les couilles… Comme épuisé, je me suis écroulé sur elle et pendant que mes lèvres embrassaient son cou, ses doigts caressaient mes cheveux… Petit à petit, nous revenions sur terre
- Tu m’as bien baisée… Tu as vite appris les choses petit coquin et en plus ça te plait de voir ma chatte s’offrir à toi, n’est-ce pas ?
- J’en avais trop envie et plus tu es belle
- Tu es un sacré charmeur et en plus tu as une queue qui fait le reste : tout pour faire craquer…
L’heure a tourné et on risquait de voir arriver JC… On se rhabilla assez vite, elle se contenta de remettre un jupe chaude sans culotte… Elle eut à peine le temps de m’offrir un jus de frit que son mari était là : il exprima sa joie car sa femme lui fit un accueil chaleureux…
Dans sa voiture, il me félicita pour avoir tenu ma promesse et me redit à quel point il était de revoir la gaieté sur le visage d’Elise
-Tu comprends, elle est tellement plus belle quand je la sens heureuse comme ce soir… Cela ne tient qu’à peu de chose et moi, je me sens mieux pour aller au club et m’occuper de l’équipe
- c’est vrai qu’Elise est très sympa et elle le mérite bien, qu’on lui fasse aussi plaisir…
- Oui, mon garçon, il y a obligation à trouver ce qui rend heureuse son amoureuse… Et tu ne serais pas entrain de draguer ma femme, toi ?…
Sa phrase nous fit rire tous les deux et pour la première fois je me sentais à l’aise face à lui malgré ce que je venais de vivre avec Elise… Je sus plus tard qu’en allant se changer dans leur chambre où Elise le rejoignit pour lui donner sa tenue de sport, il la prit dans ses bras pour l’embrasser et en profita pour caresser sa chatte encore toute pleine de notre jouissance en la traitant de « ma petite salope adorée »…
La jouissance devait se voir sur nos visages et il n’en a rien dit… Ce soir-là, je fis un entraînement du tonnerre et notre retour fut très joyeux car JC l’avait remarqué. Au match de dimanche, j’ai marqué trois buts pour le bonheur de revivre que je sentais à nouveau en moi… Et les gens se sont posés des questions sur cette transformation :
- J’ai bien bossé au lycée et je cois que je vais conclure avec marine (une fille avec laquelle on me voyait souvent)…
- Foutez-lui la paix à ce garçon reprenait JC
Il n’était jamais bien loin pour entendre mes réponses et plus d’une fois, elles le firent sourire… Mes exploits au match se sont souvent répétés et une fois il dut même intervenir en parlant d’une promesse de job pour l’été dans son entreprise pour sauver la mise : je fus même obligé de flirter avec marine pour confirmer mes dires…
En fait, j’avais au moins une fois par semaine une relation physique avec Elise et nos moments de baise étaient de plus en plus intenses… C’est lors du deuxième que tout se scella : Elise me reçut maquillée et sexy mais au lieu de se jeter l’un sur l’autre, elle m’entraîna dans sa cuisine pour discuter :
- Tu sais, si j’ai été triste pendant un certain temps c’est parce que j’avais peur…
- De quoi ?
- Tu es jeune et ce que l’on fait ensemble, on avait peur JC et surtout moi que tu t’en flattes auprès des autres… Alors tu imagines la crainte du scandale dans laquelle j’ai vécu
- Tu m’as fait un merveilleux cadeau, Elise… Je suis pas comme ça et je ne le serai jamais : je ne pourrais jamais trahir votre confiance
- C’est une belle leçon de la vie que tu es entrain d’apprendre, mon coquin… Tu feras le plaisir des femmes qui voudront faire de toi, un amant… Elles seront encore plus chaudes que moi si tu sais leur montrer qu’elles peuvent te faire confiance..
Cette discussion n’eut pas à se poursuivre plus longtemps car elle se leva de sa chaise pour poser ses fesses sur la table et m’offrir de lui bouffer la chatte comme j’avais envie de le faire. Elle était sans culotte et déjà toute humide...
Elle se donna à moi et je sus encore lui offrir une jouissance qui me laissa un peu vidé… Je pus lui faire l’amour dans toutes positions qu’une table peut permettre… Je pus voir aussi pour la première fois son petit trou frémir pendant que son orgasme donnait à sa chatte des spasmes qui comprimait ma queue : elle était couchée sur la table pendant que je la prenais par derrière et que mes mais ouvraient ses jolies fesses…
Là encore JC la retrouva radieuse… Dans leur chambre, il ouvrit sa robe de chambre pour découvrir sa jupe courte et sa chatte… Ce moment dura un peu et pour cause il l’avait prise en levrette sur leur lit : une étreinte virile qui lui permit d’inonder la chatte de sa belle femelle…
A notre quatrième rencontre, je suis arrivé chez JC encore plus tôt que d’habitude car un prof était absent… Ce jour-là, nous avons pris notre temps et pour la première fois, nous nous sommes retrouvés nus tous les deux… Après elle me prit par la main et m’entraîna vers leur chambre : encore une première…
Ce fut des étreintes presque sauvages tant notre envie de baise était forte : faire l’amour dans un lit à une femme déchaînée dépasse et de loin tous les plaisirs que l’on se peut dans d’autres lieux…
On se lança dans un 69 qui m’a permis de sentir pour la première fois son jus couler sur ma bouche et je l’ai bu avec délectation… Cette ferveur était aussi à un fait qu’elle me confia plus tard.
Ayant su une semaine à l’avance cette absence, dés que je le lui ai dit, on se décida de se retrouver plus tôt et elle en parla à JC… Il s’arrangea pour être libre car il avait trop envie de nous voir baiser tous les deux… Donc avec la complicité de sa femme, il a pu se cacher puis venir nous mater comme il voulait et le seul endroit pour le faire était leur chambre dont elle laissa la porte toute ouverte : je n’avais rien perçu et JC a pu voir enfin sa « belle salope d’amour » se donner à moi et bien sûr jouir en se caressant…
Quand ce fut bientôt l’heure, il quitta l’appartement et fit mine de rentrer du travail… Nous partîmes cette fois-là en silence jusqu’au stade où je fis mon entraînement…
Une autre fois, nous étions sur le canapé, elle sur moi en robe de chambre ouverte… Je gobais ses seins, et elle s’empalait sur ma queue toujours aussi dure pour elle.
Tout en jouissant, elle me parlait de son plaisir.
-Oui, comme ça, j’adore ta grosse bite… Viens encore plus loin, oui, viens
- Tu aimes quand je te la mets profond. Qu’elle est bonne ta chatte…
- J’aime lorsque tu me parles en faisant l’amour… Continues, dis-moi des choses sur mon corps, n’aie pas honte, ça me plaira j’en suis sure… JC adore me dire que je suis une salope, une baiseuse et ça me fait encore plus jouir…
- Moi-aussi, j’aime te baiser, j’aime boire ton jus et te sentir sans culotte quand je te retrouve…
- Tu es comme JC, et en plus lui il se régale à m’éclater la chatte lorsqu’il retrouve après qu’on ait baisé toi et moi… Il adore m’enfiler quand ton jus coule encore en moi… Je suis sure que cela te plaira à toi-aussi…
- Oui, ça doit faire une sacrée impression et tu aimerais sentir nos jus se mélanger en toi comme ça ?…
- Oui, c’est terriblement bon. Tu sais, JC m’a baisé juste après toi quand tu avais dormi à la maison. Et depuis, je ne me lave plus quand tu me prends… J’attends après chaque entraînement son retour et je jouis très fort quand il me prend et qu’il inonde ma chatte lui-aussi…
Toutes ces paroles n’ont pas manqué de nous conduire ensemble vers la jouissance ce jour-là… Ces confidences m’ont un peu plus excité et pour la première fois après mon entraînement je me suis branlé en pensant non pas au plaisir que j’ai eu avec Elise mais à celui qu’ils étaient entrain de prendre en ce moment !
L’idée de la voir baiser avec JC a décuplé mon plaisir… Doucement germait en moi ce fantasme d’être présent il soulevait des craintes : je savais qu’il me savait l’amant de sa femme mais mon jeune âge m’empêchait de voir toutes les possibilités que pouvait offrir les jeux de l’amour…
JC m’avait promis une soirée avec sortie restau puis cinéma : elle fut programmée en mars. Il fut même convenu que je dorme à nouveau chez eux. Mes parents acceptèrent car mon travail et ma réussite au foot le permettaient.
Cette soirée eut un vendredi…Et JC me fit boire avec lui de sorte qu’à la sortie du restau, c’est Elise qui conduisit mais c’est la direction de leur appartement qu’elle prit car nous n’étions pas en état pour un ciné…
Ah pour la faire rire, on était complice et bien en état pour le faire. Une fois arrivés, JC continua à boire mais j’avais mon compte… Elise était pompette et prête à faire la fête… Elle alla se changer pour revenir en robe courte et moulante pour le haut du corps avec une petite veste qu’elle n’a pas fermée de sorte qu’on voyait bien sa poitrine libre… Son mari en siffla d’admiration
- T’es bête ! je vous avertis, il est hors de question que vous cuviez votre alcool, vous avez intérêt à vous occuper de moi et de me faire passer une bonne soirée…
- Bien sûr, ma chérie. Veux-tu danser ? Notre invité se fera un plaisir d’ouvrir le bal avec toi… Allez jeune homme, une dame vous attend sur la piste…
Et il se leva pour mettre de la musique type tango… Mon air étonné fit rire Elise qui se colla à moi, ayant décidée de m’apprendre cette danse… Tout en m’expliquant, nous nous lançons sous les bravo de JC.
Bien sûr il y eut des ratés qui me collèrent à elle et l’effet ne se fit pas attendre. Je bandai ce qui poussa Elise à mettre sa joue contre la mienne…
- Vous êtes beaux tous les deux… C’est un plaisir de voir ma femme danser avec toi…
- Et en plus il apprend vite
- Je t’assure Elise c’est toi qui fait tout. Je suis incapable de te conduire dans cette danse…
- Laisses-toi aller, elle sait y faire… Montres-lui bien ma chérie
Et sur ce, JC quitta le salon… Je me sentis alors un peu plus à l’aise au point de la serrer encore et placer ma queue tendue bien contre son ventre… Sa réponse fut un baiser court puis deux puis trois….
On entendit JC revenir avec deux verres pour Elise et moi… On s’arrêta pour les prendre et trinquer ensemble : c’était un cocktail qui passa bien…
Il prit la suite avec Elise en la faisant tourner… Assis dans un fauteuil, je pus voir qu’elle portait des bas car sa robe se soulevait…
Les danses s’enchaînaient et Elise était ravie… Et je les voyais s’embrasser avec fougue. En revenant d’une pause-pipi, je les ai surpris dans un de ces baisers mais il avait une main sous la jupe de sa femme, caressant et pétrissant ses fesses : elle se laissait faire et semblait y prendre plaisir vu les coups de reins qu’elle donnait pour se frotter à son homme…
La soirée avançait, et j’ai eu moi aussi un moment de danse très sensuel avec Elise : elle était adossée à un mur et me tendait son ventre pour une danse qui n’en était pas une tant cela ressemblait à une étreinte… JC sirotait son verre et nous regardait.
Elise et moi étions dans notre envie de jouir : mes mains ont remonté sa robe, mes doigts courraient sur sa chatte toute humide… JC se rapprocha de nous tout en se caressant : il regardait sa femme s’offrir à moi et tandis que j’embrassai son cou, elle lui tendait ses lèvres…
C’est leur baiser qui me ramena à une certaine réalité, avec la peur d’être allé trop loin… J’abandonnai Elise pour me rendre aux toilettes…
Le cocktail, le désir pour cette femme, la présence de son homme ont fait un mélange qui m’a fait passé un bon petit moment dans le w.c et quand je reviens vers le salon je ne vois personne, seuls les gémissements d’Elise m’entraînement alors vers leur chambre dont la porte est restée ouverte…
Elle est allongée en travers du lit, cuisses ouvertes, nue. JC est entre ses jambes et la butine tout en lui parlant avec une voie douce :
- que ta chatte est belle ma chérie. Tu es chaude et tu as envie de baiser, n’est-ce pas ?
- oui, mon amour, manges encore. J’aime trop quand charlie bande si fort pour moi. Tu sens comme je mouille pour lui et ça te plait…
Leurs propos de plus en plus chauds m’ont aidé à oser ouvrir ma braguette pour dégager ma queue et pour me branler jusqu’à cet instant où Elise m’a vu et où elle a tendu sa main vers moi :
- viens mon petit homme, j’ai trop envie de toi et de ta grosse queue qui sait si bien me faire jouir. Déshabilles-toi vite
- oui, viens mon garçon, elle n’attend que toi, a dit JC en se redressant pour aller se mettre sur le lit pour embrasser sa femme…
J’ai retiré pantalon et slip pour me mettre à mon tour entre ses cuisses et la lécher… J’ai senti alors les doigts de JC saisir les lèvres de cette chatte :
- Là, tu vois ce bouton prends-le avec le bout de ta langue, elle adore çà..
- Oui, mon chéri, apprends-lui à bien sucer mon bouton… Oh oui, encore, oui comme ça… Dis-le de le manger du bout des lèvres…
Et moi, je m’exécutai et je trouvai un plaisir fou avec sa chatte que j’avais jamais vu si ouverte et si offerte aider en cela par JC et par les gémissements de sa femme entrain de jouir…
Et c’est ainsi que mon premier trio a débuté : une nuit longue s’annonçait… L’évocation de ces instants me fait de l’effet… Je vous abandonne et vous promets la suite dans un prochain récit….
Et pour les vrais couples unis et amoureux, je ne peux que leurs souhaiter de vivre de tels moments libertins , comme un cadeau qu'ils se font l'un à l'autre...
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