Et si je devenais une vraie lope ? - histoire érotique

-Et, si je devenais une vraie lope ? demande Guillaume en fixant son mec Nicolas assis dans le fauteuil.
-il t'arrive quoi Guillaume ? tu trouves que tu ne l'es pas assez ? répond Nicolas en riant.
-ben on peut toujours s'améliorer.
-je fais déjà ce que je veux de toi, tu es obéissant, tu te soumets facilement, t'es vraiment le mec rêvé mon chéri. Dès que tu vois que je commence à bander t'es déjà entre mes jambes, d'un simple regard, tu sais ce que j'ai envie.
-oui je sais, mais toi je t'aime Nico c'est normal que je fasse tout pour toi.
-tu le fais déjà bébé moi, honnêtement cela me suffit et toi, j'ai toujours cru que cela te satisfaisait.
-bien sûr que je suis satisfait, mais je voudrais en faire encore plus pour toi Nico, rien que pour toi… je voudrais… enfin… tu vas me croire fou mais… j'ai envie d'essayer certains trucs encore plus hard que ce que l'on fait!
-viens dans mes bras mon bébé et raconte moi ce que tu veux, on va bien trouver une solution.

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Guillaume et Nicolas vivent en couple depuis presque 10 ans, Nicolas a trois ans de plus que Guillaume qui en a 32. Tous les deux sont des beaux mecs, autant Guillaume est blond que Nicolas est brun, qui vont s'entretenir à la salle, faire des jogging et baisent énormément pour calmer les ardeurs incessantes de Guillaume, et Nicolas est très réceptif. Ils adorent baiser ensemble depuis leur première rencontre.

Ils s'en souviennent encore de leur première rencontre, chez des amis communs, ils étaient venus seuls. Les amis avaient une grande maison, et un barbecue était organisé. Ils ont fait connaissance autour du grill où Nicolas disait qu'il aimait bien la merguez, quand Guillaume a dit à la cantonade que lui préférait l'andouillette qu'il y avait plus à manger il avait fait rire toute le monde, et tout ceux qui semblaient le connaitre n'arrêtaient pas de le charrier.

Il n'y avait pas que des gays à la soirée et Nicolas s'était amusé des réflexions faites à Guillaume et surtout de ses réponses qui ne laissaient aucun doute sur ce qu'il aimait.
Ils avaient parlé dans la soirée, bu des verres ensemble, parlé de leur boulot sans vraiment se draguer, sauf peut être Guillaume, qui, au fur et à mesure des verres qu'il buvait commençait à dire à Nicolas que c'était un beau mec mais sans plus car il le disait à pas mal de monde.
C'est au moment du départ que Guillaume est venu demander à Nicolas s'il pouvait le ramener. Il ne tenait plus vraiment debout. Il l'avait demandé à Nicolas sans aucune arrière pensée parce qu'il se trouvait là, à ce moment là!
Nicolas avait accepté, bien sûr.

Mais sitôt monté dans la voiture, la ceinture bouclée le beau Guillaume s'endort profondément.
Il avait indiqué grosso modo où il habitait et, quand Nicolas est arrivé dans le quartier impossible de réveiller le beau Guillaume qui ronflait allégrement.
Nicolas avait pris le temps de l'observer et l'avait trouvé beau, touchant et surtout il se demandait ce qu'il allait en faire.
Il n'a trouvé qu'une solution, l'amener chez lui. Le traîner jusqu'au fauteuil, ouvrir le divan, le coucher, le déshabiller quand même un peu. Il faisait encore chaud cette nuit là et il l'a laissé en boxer, les bras en croix ronflant gentiment.

Il n'avait pu s'empêcher de détailler ce mec, de voir qu'il avait un beau corps de blond, peau blanche laiteuse, peu de poils, que du duvet partout, admirant ses longues jambes fines et musclées, et ses belles cuisses bien musclées également. Il avait touché cette peau douce, chaude pour le déshabiller et avait trouvé cela agréable, presque bandant, s'il n'était pas endormi…
Et remarquer, bien sûr la bosse dans le boxer, certes pas très virulente, mais le dessin fait, laissait présager un beau morceau.
Il avait rejoint son lit et s'était endormi profondément rapidement.

Ce n'est que dans le milieu de la matinée que les deux mecs ont émergé, chacun dans leur lit.
Nicolas nu, se lève pour aller aux toilettes et allait partir dans la cuisine quand il se souvient qu'il a un invité dans le salon, enfile son peignoir.

Il jette un œil dans le salon, pour voir Guillaume toujours les bras en croix, mais nu complètement arborant une belle queue bien bandée et complètement décalottée. Il l'observe en souriant. Il voit les lèvres de Guillaume bouger, comme s'il parlait, ses bras revenir sur sa poitrine, ses mains se caresser le torse, les tétons et une main descendre rapidement vers son sexe pendant que l'autre vient entre ses jambes, caresser ses couilles. Il empoigne sa verge et se caresse en soupirant.

Nicolas est subjugué par la main qui branle la queue. Guillaume soupire de plus en plus vite, sa main s'active sur sa queue, l'autre main caresse ses couilles, ses cuisses, ses jambes s'écartent, se soulèvent un peu pour que la main touchent l'anus et Guillaume se doigte férocement en se branlant de plus en plus vite.
Nicolas sent sa queue durcir et passer entre les pans du peignoir.

Quel réveil! pense t-il.

Et, d'un seul coup, dans un râle bruyant, soulevant ses fesses, le doigt s'enfonce encore plus profond dans son cul pendant que la queue laisse s'échapper une giclée que Nicolas voit monter dans les airs avant de s'étaler sur le corps du blond vautré dans son canapé et les giclées continuent et retombent sur Guillaume comme ses fesses sur le divan, sa main lâche sa queue qui retombe sur son ventre et Guillaume ouvre les yeux.
Pour voir un mec, la queue de sortie du peignoir qui le regarde.
-qu'est ce tu fais là ? demande Guillaume en essayant de se cacher le sexe.
Nicolas rigole.
-ben tu vois je suis chez moi et toi t'es dans mon canapé!

Et il a fallu que Nicolas explique ce qui c'était passé dans la nuit et qu'il l'avait laissé en boxer dans le canapé pour le trouver ce matin se faisant du bien.

Nicolas avait bien vu le regard lubrique de son hôte quand il regardait sa queue, alors il s'est approché enlevant son peignoir, laissant sa belle queue aller comme elle voulait. Les yeux de Guillaume ne la quittait plus. Il a tendu la main. Nicolas s'est approché, rapide caresse des couilles et de la verge, avant que Guillaume ne se mette assis et avale comme une vulgaire sucette la longue et grosse queue de Nicolas sans gêne aucune.

En cinq minutes il le faisait jouir et le fixait tout le temps qu'il avalait son jus pour ensuite lui lécher la bite et les couilles proprement, se relever, le prendre dans ses bras, se coller à lui, frotter son beau corps contre le sien et venir l'embrasser tendrement.
Quand ils ont eu fait connaissance de leurs corps, Guillaume s'est retourné à quatre pattes sur le lit, ouvrant son cul à deux mains.
-baise moi comme une salope qui aime ça!

Sa tête dans les draps il a subi l'assaut de Nicolas qui ne l'a pas ménagé pour introduire sa queue. Mais quel plaisir de baiser ce cul, d'entendre le mec gueuler, feuler, crier, soupirer mais toujours tendre son cul, s'offrir du mieux qu'il pouvait pour que Nicolas lui offre pour la première fois une bonne décharge dans son petit cul!
Ils ont passé leur première journée ensemble et n'ont pas mis longtemps à se trouver indispensable l'un envers l'autre. Ils s'appelaient 10 fois par jour, juste pour entendre la voix de l'autre et se dire je t'aime.
Nicolas a demandé à Guillaume de venir vivre avec lui, de faire un essai de vie commune pour voir… et ils ont vu.

Cela fait 10 ans que ça dure…

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Guillaume vient s'installer à califourchon sur son chéri et passe ses mains derrière son cou, l'embrasse tendrement.
-je t'écoute dit Nicolas tendrement.
-je ne sais vraiment pas par quoi commencer. Je sais que je t'aime et que tu m'aimes, je sais qu'on aime baiser tous les deux, j'aime que tu me domines et je sais que tu aimes m'entendre gueuler avec ta grosse queue fouineuse qui rentre partout mais je voudrais faire encore plus pour te montrer que je t'aime encore plus.
-je le sais bébé que tu m'aimes on a quand même fait pas mal de choses ensemble avec d'autres mecs, je sais que tu ne le ferais pas si je n'étais pas là. Alors j'ai joué le maître avec toi et c'est vrai que tu aimes ça recevoir des ordres pour t'occuper d'autres mecs et sucer des bites. Là t'es bien une salope quand je te dis "suce les mecs présents", que tu fais un grand sourire et qu'à quatre pattes tu vas quérir leurs queues et les faire jouir. Tu te souviens quand même de cette soirée chez Armand il y a au moins 3 ans.

-la partouze ? oui je m'en souviens j'ai jamais été si heureux d'être avec toi, jouer ta chienne, ta salope qui obéissait à tout ce que tu demandais. Quand tu m'as présenté à trois mecs dont j'ai complètement oublié les noms, un black, un blanc et un beur ça me j'en souviens des trois belles queues que tu m'as demandé de sucer juste devant tes yeux et, tu me regardais faire, assis à côté. Je voyais tes yeux fixer ma bouche et les queues qui entraient dedans et voir ces queues dégorger dans ma bouche, tirer la langue pour que tu vois le jus que j'avalais et toi, tu te caressais en me regardant, ton petit sourire coquin aux lèvres.
-t'avais déjà voulu jouer la salope, et là t'étais servi.

-Mais tu n'as pas voulu que les trois mecs me baisent en premier. Tu m'as fait lécher le cul par ces mecs, me faire doigter sans ménagement, m'ouvrir mon petit cul qui prenait déjà bien ta grosse queue et ces trois mecs m'ont ouvert le cul pour que tu me baises. C'est toi qui a eu l'honneur de mon cul en premier. J'aime sentir ta bite en moi, quand elle arrive au fond et m'élargi encore plus. Ta puissance des coups de reins que tu donnes, j'en tremble de partout bébé quand tu tamponnes mon petit cul. Tu as joui en moi, y'en avait partout de ton jus. Les mecs t'ont léché la queue, rentrant leur langue dans mon cul et tu leur as permis de m'enculer rien que pour m'entendre gueuler m'as tu dit à l'oreille et tu as regardé! j'étais si heureux de t'appartenir Nicolas! voir que tu me regardais pendant que je me faisais baiser et savoir que je suis à toi.

-donc dit Nicolas, tu suces facilement n'importe quel mec et tu vis pour sentir une queue te ramoner ton petit cul !
-c'est pas mal résumé dit Guillaume.
-moi j'appelle ça être une très belle salope mon chéri!
-je sais dit Guillaume en baissant la tête.

-Et, il y a deux ans, chez Valentin, tu te souviens de ce que tu as fait ?
Guillaume fronce les sourcils, cherchant manifestement dans sa mémoire.
-je t'ai désigné un jeune mec que je trouvais pas mal en te disant que j'aimerais bien le baiser avec le beau cul qu'il avait dans son pantalon serré. Je t'ai demandé d'aller le draguer pour moi donc de faire ta salope.
-j'ai eu honte ce soir là, enfin honte rapidement quand tu as ouvert ma chemise, laissant voir ma poitrine de blond, imberbe et lisse, avec le téton percé. Tu sais que cela m'excite de me montrer comme ça. C'était une des premières fois que l'on faisait cela Nicolas et quand tu m'as ordonné d'enlever mon pantalon mais de garder mon boxer, me retrouver ainsi au milieu d'une dizaine de personnes certes tous comme nous, mais on ne connaissait pas tout le monde et tous les yeux qui me regardaient. Je me suis senti humilié mais en même temps ma queue s'est mise à bander, à bander pour toi mon amour et là, on a compris qu'on aimait ça tous les deux. Tu m'as montré du doigt le jeune mec qui nous regardait. Je crois qu'il a été aussi surpris que moi quand je me suis dirigé vers lui.

-Il a cru que tu voulais le baiser ?
-non, il m'a fixé en me disant de me foutre à poils, de me libérer complètement et je me suis exhibé devant tout le monde et ils ont applaudi. La honte était partie et j'étais fier, fier de te faire plaisir, car quand je croisais ton regard je voyais bien que tu étais content.
-j'ai vu le mec te toucher la queue se pencher à ton oreille, tu as fait non et tu m'as montré du doigt.
-oui je lui ai dit que mon maître voulait le baiser. Il a été surpris, je l'ai vu te regarder, te fixer, me prendre par la main et on est revenu vers toi.
-oui, j'étais content que tu réussisses à amener ce jeune mec jusqu'à moi et quelle arrogance il avait, tu te souviens ce qu'il a dit.

-oui oui je m'en souviens il a juste dit qu'il voulait bien baiser ta pute mais c'est tout. Tu as ricané. Tu as passé ta main sur son épaule, jusqu'à son cou que tu as pris entre tes doigts que j'ai vu se resserrer en le tirant à toi et tes beaux yeux noirs l'ont fixé en disant : pour baiser ma pute comme tu dis, il faut que je te baise avant jeune salope! le mec était estomaqué. J'ai vu ton bras appuyer sur le cou pour qu'il se mette à genoux et il l'a fait le jeune trou du cul! Tu m'as fait signe de la tête en me montrant ta braguette. J'ai vite compris ce que tu voulais j'ai sorti ta belle queue mon chéri devant tout le monde qui nous entourait tu tenais encore fermement le jeune trou du cul dont je ne me souviens pas du nom d'ailleurs.
-c'est pas important dit Nicolas, j'ai aimé voir sa gueule juste devant ma queue, que tu caressais lentement en dégageant bien le gland pour ensuite le passer sur les lèvres du minet qui fermait obstinément la bouche.

-C'était sans compter les spectateurs, qui se sont mis à crier "suce le" "elle est très bonne sa queue" j'ai entendu aussi dit Guillaume en riant.
-et le mec a pris ma queue en bouche et je l'ai traité comme une pute ce petit con entrainé par les autres mecs qui criaient "plus à fond"! le plus marrant c'est quand les spectateurs se sont mis à le dessaper lui appuyant sur la tête pour que ma queue entre encore plus. Mais il aimait bien le petit con et j'ai pu me vidanger dans sa bouche et je l'ai relevé, pour le prendre dans mes bras et l'embrasser devant toi en te regardant. Je voyais bien que tu étais jaloux mon chéri c'est tout juste si les autres se moquaient pas de toi. J'en ai entendu dire "tiens il vient de trouver un autre mec" alors quand je t'ai fais signe de te mettre à genoux à côté de moi j'ai vu que tu rougissais mais tu t'es exécuté et, quand je t'ai présenté la queue du minet en te disant "suce ma belle salope" tu t'es exécuté!

-oui je voulais te faire plaisir et que tu sois content de moi.
-je l'ai été doublement mon chéri car ce petit con de minet a cru que je n'allais pas le baiser quand je t'ai fait mettre à quatre pattes et que des mains sont venues t'ouvrir ton beau petit cul. Je lui ai dit assez fort pour que tout le monde entende que je lui offrais ton cul. Ah il n'a pas mis longtemps à t'investir bébé… tu vois avec ton cul qui s'ouvre dès qu'il aperçoit une bite!
-ouais il me ramonait bien le minet mais ce que je n'ai pas vu c'est ce que tu faisais mais mes pauvres oreilles l'ont entendu.
-oui pendant qu'il t'enculait assez fortement d'ailleurs, je me suis amusé à le doigter pour trouver un petit cul qui en avait déjà vu passer. Alors j'ai juste bien mouillé et je l'ai bloqué pour mettre ma queue devant son entrée et d'un coup de reins je l'ai percé, foré! Pendant qu'il hurlait et que les mecs autour applaudissaient… et je l'ai baisé de toute la longueur de ma queue, le forant au plus profond. Il gueulait, gémissait et pleurait le minet et j'avoue que j'ai pris du plaisir à jouir dans les profondeurs de son cul. Je lui ai mis la dose et je me suis retiré rapidement, laissant son petit trou bien ouvert ce qui a donné des envies à certains spectateurs et le minet s'en est pris plein le cul ce soir là.
-je te l'ais déjà dit, le pire c'est qu'il est resté dans mon cul et qu'il a joui plusieurs fois pendant qu'il se faisait baiser, c'était bien une belle salope lui aussi!
c'était quand même une belle soirée… dit Guillaume pensif.

-alors comment tu appelles un mec qui a besoin d'être exhibé, qui se met à poils sur ordre par le premier venu, qui bande dès qu'il sent l'humiliation arriver et qui devient prêt à tout pour faire plaisir à son mec ? hein ?
-je sais ce que tu vas me dire Nicolas.
-que c'est une très belle salope ce mec là et que j'ai la chance de le connaitre, de l'avoir avec moi qu'il me rend heureux et que je l'aime comme il est.

-moi aussi je t'aime Nicolas, mais pourquoi j'ai toujours envie d'en faire plus ? est ce que tu crois que c'est parce que j'ai peur que tu me quittes, que tu me laisses ? je ferais quoi si tu me quittais ?
-mais qu'est ce qui t'a mis de telles idées en tête ? je n'ai pas envie de te quitter! j'ai envie de continuer à te baiser tous les jours, caresser ton corps de blond que je trouve superbe, bouffer ta belle queue et ton petit cul qui n'attend toujours que ça et t'enculer! ah putain que je suis bien quand je te baise! j'ai jamais connu de cul comme le tien.

Guillaume s'est serré contre lui, l'entourant de ses bras, frottant sa joue contre la sienne. Nicolas sent les larmes coulées.
-alors tu voudrais quoi de plus ?
-je ne sais plus Nicolas.
-une fessée, une correction comme on en inflige aux vilains garnements qui font des caprices ?
Les yeux de Guillaume brillaient d'excitation en le regardant.
-tu m'as jamais battu mon chéri dit Guillaume.
-je ne parle pas de te battre, juste une correction pour t'enlever toutes ces idées que tu as. Alors ma belle petite salope va se dessaper devant son maitre et venir s'allonger à plat ventre sur mes genoux!

Dans la minute qui suivait Guillaume était en position. Nicolas sentait son sexe dur frotter contre son pantalon.
Nicolas a caressé le dos, les fesses et les jambes, amoureusement, tendrement puis les caresses sont devenues plus appuyées sur les fesses et, quand la première claque est tombée sur une fesse Guillaume n'a pu s'empêcher de pousser un "aie" en contractant ses fesses et les claques se sont mis à pleuvoir. Les fesses rougissaient de plus en plus puis les caresses sont revenues avant que les claques reprennent. Guillaume a voulu l'empêcher en mettant ses mains qui ont été remonté dans son dos et bloqué et les claques ont repris.
-répète après moi dit Nicolas, "je n'aurais plus d'idées absurdes comme j'ai en ce moment".
Et Guillaume répète la phrase en cadence des claques sur son cul.
-répète encore Guillaume! faut que ça rentre dans ta petite tête de salope.

On n'entendait plus que le bruit des claques et la litanie répétée par Guillaume.
La couleur commençait à devenir rouge cramoisi. Nicolas ne voulait quand même pas abimer ces belles fesses alors les caresses ont reprises au grand soulagement de Guillaume.
-lève toi maintenant!
Guillaume obéi, Nicolas se relève.
-déshabille moi.

Rapidement les vêtements de Nicolas disparaissent éparpillés dans le salon. Il attire Guillaume dans ses bras pour l'embrasser amoureusement et sentir ce beau corps contre lui, chaud et tendre, et sa queue qui bande encore. La main de Guillaume s'est emparée de la grosse queue de son mec et la caresse.
-tu la veux dans ton petit cul ?
-oui dis Guillaume avec ses yeux de super salope.
-tu la mérites ce soir ?
-oui dit Guillaume, baise moi, encule moi, fais moi un gosse! je t'aime.
-en position alors!

Guillaume s'agenouille sur le canapé, ses mains ouvrent ses fesses endolories, anesthésiées et laisse voir son anus déjà ouvert qui palpite d'impatience.

La grosse queue de Nicolas, bien décalottée au gland humide, vient se frotter sur l'entrée, faisant déjà gémir Guillaume qui ouvre encore plus ses fesses. Nicolas donne un petit coup de reins et le gland entre, ouvre le sphincter et Guillaume pousse un long gémissement tout le temps de la pénétration.

Il aime sentir la queue de son mec en lui, c'est bien la meilleure queue qu'il connait! et il sait qu'avec tout ce qu'ils ont raconté ce soir il va être baisé comme la salope qu'il est et qu'il revendique. Alors il s'offre aux coups de reins de son amant et quand ses mains le prennent aux hanches, l'immobilisant, il sait qu'il va déguster ce soir et la machine se met en route, l'ouvrant, lui caressant l'intérieur lentement puis en accéléré, puis en mode essorage, le faisant trembler de partout!

Jusqu'à ce que cette belle queue donne ce qu'elle a de meilleur, sentir ce bon jus chaud l'envahir. Il voudrait bien se branler en même temps, mais il sait ce que Nicolas aime après.
Quand la queue sort de son cul, il se retourne pour bien nettoyer et prendre soin du matériel, Nicolas lui caresse la joue tendrement, lui aussi à les yeux amoureux!

Et Nicolas se met à genoux devant son mec et le pipe, suce, lèche la belle queue du blond, cette queue si généreuse quand elle jouit après que le cul se soit fait baiser et ce soir là Nicolas est comblé.

Nicolas le soulève dans ses bras pour l'emmener dans la chambre, le coucher, s'allonger sur lui et s'embrasser comme des amoureux.
-tu sais dit Guillaume, je crois bien que je vais continuer à avoir des idées bizarres car vu l'effet que ça te fait!
Il se jette sur Nicolas pour l'embrasser et l'empêcher de répondre.

Des rires sortent quand même des bouchées soudées.