Et si le train transformait votre vie?

- Par l'auteur HDS Thma69 -
Récit érotique écrit par Thma69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 50 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Thma69 ont reçu un total de 264 132 visites.
Récit libertin : Et si le train transformait votre vie? Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 146 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Et si le train transformait votre vie?
Hello à toi cher lecteur, si tu aimes merci de me le dire, si tu n'aimes pas, idem, si tu veux une suite, donne moi de indices, des idées.
J'ai pris beaucoup de plaisir à écrire ces quelques lignes, j'espères que tu prendras du plaisir à les lire.

7H16, je sors dans le froid hivernal de ce 30 décembre pour aller prendre mon train. C’est la reprise après une semaine de congés, la nuit et le brouillard qui m’avalent plombent mon moral déjà bien bas. C’est le premier Noël que je passe en célibataire depuis 7 ans et je ne peux pas m’empêcher de penser aux moments joyeux que nous avons passés avec mon ex-femme tant dans sa famille que dans la mienne. Notre histoire était finie et nous nous sommes séparés il y a 6 mois maintenant et il ne reste que des souvenirs et un grand vide.

Sur le quai je retrouve Pierre, mon ami de train. Cela fait quelques années maintenant que nous prenons le train du matin ensemble. Malgré le drame qui l’a frappé, il a perdu sa femme dans un accident de voiture il y a un peu plus d’un an, il semble toujours joyeux et les 25 minutes qui nous séparent de Lyon passent toujours très vite. Il m’accueille avec un grand sourire et nous nous faisons la bise mais, bousculés, nos lèvres se frôlent. Cet instant fugace, que je masque sous une plaisanterie à laquelle il répond, m’a électrisé et j’ai comme une boule au ventre. J’essaye d’oublier la sensation en partageant avec lui les histoires de notre semaine de vacances.

Arrivés à Lyon, nous nous séparons pour rejoindre nos bureaux, lui à Villeurbanne et moi dans le 3ème. En chemin je m’interroge sur la sensation ressentie, c’était juste un frôlement des lèvres mais il m’a électrisé et je me surprends à me demander le goût qu’elles ont. Arrivé au boulot je plonge dans le quotidien et n’y pense plus.

7H15, ce mardi matin n’est pas mieux que celui d’hier, il fait froid, il fait nuit et le brouillard semble plus épais. Je retrouve Pierre à la gare et nous nous faisons la bise en rigolant de la situation d’hier. Son regard n’est-il pas plus appuyé ? Le voyage se passe et il me propose de passer chez lui dans la soirée pour prendre un verre avant qu’il ne parte réveillonner avec des amis. J’accepte avec plaisir.

J’arrive chez lui vers 19 heures, il est très classe, prêt à réveillonner. Il m’offre un whisky que nous sirotons en discutant de choses et d’autre, il est en forme, bavard et drôle. Tout à coup il devient sérieux et me demande si je peux lui rendre un grand service. J’accepte naturellement et il me dit vouloir commencer la nouvelle année sur de nouvelles bases et pour avancer, une première étape serait de se débarrasser des anciennes affaires de sa femme, il n’y arrive pas et me demande si je peux m’en occuper. Je renouvelle mon consentement et nous chargeons, non sans mal, 7 gros cartons dans ma voiture. Une fois fait, il a l’air mal et je le prends dans mes bras pour lui faire une accolade. Il est un peu plus grand que moi et il me serre contre lui un moment. Finalement il se recule et, les yeux humides, me remercie et me fait un petit bisou. Surpris je ne me défausse pas, figé par la sensation que ses lèvres m’ont procurée. Y voyant sûrement une invitation, il me serre un peu plus fort contre lui avant de venir déposer ses lèvres contre les miennes. C’est agréable et je sens une douce chaleur m’envahir. Je sens ses lèvres s’entrouvrir et sa langue caresser les miennes, instinctivement je les écarte et sa langue en franchit la frontière. Que suis-je en train de faire ? Je le repousse doucement et il me lâche soudainement, il a les yeux dans le vague et, reprenant ses esprits, semble se rendre compte de la situation. Il se répand en excuses et m’assure qu’il ne comprend pas ce qui vient de se passer. Je n’en suis pas trop certain non plus me concernant et je préfère rentrer en l’assurant que tout va bien, qu’il n’y a pas de problème.

Sur le trajet du retour je ne cesse pas de penser à ce qui vient de se passer. Je ne comprends pas, je ne suis pas attiré par les hommes alors pourquoi suis-je dans un tel état lorsque nos lèvres se touchent ? Arrivé chez moi, avant toute chose je me sers un généreux verre de whisky en espérant que cela me remette les idées en place. Mais je n’y trouve pas de réconfort, je repense à ses bras autour de moi, à ses lèvres contre les miennes, à sa langue. Je suis perdu entre le bien être que j’ai ressenti, à l’abandon du moment et la situation qui est complètement déplacée. Mon verre terminé, je décide de vider la voiture pour m’occuper l’esprit et stocke les cartons dans mon garage. Dans l’opération l’un d’eux m’échappe, s’ouvre et des vêtements d’Anne-Laure en tombent. Je les range et ça me fait bizarre de toucher cette jupe, ce pantalon, ce chemiser que j’ai vu sur elle. Cela fait je rentre me servir un nouveau verre, après tout, c’est le réveillon du nouvel an et je suis seul. Je mets le four à chauffer, une bonne pizza surgelée, quoi de mieux pour cette occasion ? Pizza prête je m’affale dans le canapé pour profiter de la soirée spéciale réveillon, que du bonheur ! Je repense aux vêtements dans le carton et j’ai envie de faire mon voyeur et le ramène au salon. J’en sors 5 tailleurs, 3 avec jupes et 2 avec pantalons, quelques chemisiers et paires d’escarpins. Une partie de ses affaires pour son travail j’imagine. Je me ressers un whisky et range les vêtements sur le dossier du canapé tandis qu’un imitateur tente une parodie de Céline Dion à la télé. Un tailleur en tweed gris clair attire particulièrement mon attention, il est très classe et la matière très agréable. J’imagine Anne-Laure dans cet ensemble, elle devait être très classe et très belle. C’était une grande femme, ma taille à peu près, 1m75. J’ai envie d’essayer la jupe, je quitte mon pantalon et l’enfile. Surprise, elle me va, il faut dire que le sport me maintient en forme et que je ne suis pas bien épais, entre 70 et 75 kg. Je quitte ma chemise et passe un chemisier blanc puis la veste. J’essaye une paire d’escarpins noirs à talons plats, c’est du 42, ils me vont. Je vais me voir dans la glace de la chambre et je suis surpris, ça me va plutôt bien. La jupe courte à mi-cuisses me fait de longues jambes et de jolies fesses mais l’effet est gâché par les poils aux jambes et ma tête avec une barbe de 2 jours pas très féminine.

Je retourne au salon, me sers un nouveau verre et m’assois pour poursuivre ma soirée télévisuelle. J’adore sentir la jupe frotter contre mes cuisses et la sensation d’une certaine nudité de ne pas être enfermé dans un pantalon. Je commence à ne plus avoir les idées très claires mais j’aimerais savoir ce que ça fait de porter un collant et d’avoir les jambes douces pour masquer mes poils. D’un pas hésitant je retourne au garage et ramène tous les cartons pour les inspecter. Tout cela m’a donné soif et je m’offre une nouvelle tournée. Je suis seul et puis c’est le réveillon, non ? J’ouvre les cartons dans l’espoir d’y trouver des collants. Jeans, shorts, pulls, tee-shirt, baskets, jupes, ceintures, blousons, vestes mais pas de collants, je persiste. L’avant dernier carton devrait faire mon bonheur, c’est de la lingerie et oulala que c’est joli. De toutes les couleurs, de toutes les matières, de toutes les formes. Du très sage au très sexy, de la culotte en coton à la guêpière à jarretelles. Je ne peux empêcher une érection en pensant à Anne-Laure dans certains ensembles et je remballe tout non sans avoir mis la main sur des collants. Je les enfile, c’est une sensation très agréable, j’ai les jambes douces et elles sont agréables à caresser. Je vais me regarder dans le miroir de la chambre et ça va mieux, ils sont opaques et masquent en partie ma pilosité.

Satisfait, je retourne au salon, me sers un nouveau verre et m’assois pour poursuivre ma soirée télévisuelle et ne tarde pas à sombrer dans le sommeil. Je fais de drôles de rêves, il y a Pierre et Anne-Laure, nous nous caressons, nous nous embrassons et nous faisons l’amour. Parfois quand elle est dans les bras de Pierre j’ai l’impression de voir ma tête sur son corps, c’est très dérangeant. Je suis sorti de ce rêve par la sonnette de l’entrée. J’ai mal au crâne, la pièce tangue un peu et j’ai l’impression d’avoir un animal mort dans la bouche. J’ai une bonne gueule de bois. La sonnette me rappelle pourquoi je suis réveillé et je me lève en grognant. Merde, il est plus de 2 heures du matin et la télé fait toujours son show. Je me dirige péniblement vers la porte et je prends conscience que je porte toujours une tenue d’Anne-Laure. J’enfile un peignoir et des chaussettes sur les collants et je vais ouvrir.

C’est Pierre, il n’a pas l’air très frais et peine à tenir sur ces jambes. Lorsqu’il me voit, il me fait un grand sourire et m’annonce : « Stéphane, je te souhaite une très belle année 2025 et te présente toutes mes excuses pour mon attitude de tout à l’heure ». Là-dessus il me tend une main que je serre en lui rendant ses vœux et en balbutiant que je n’y pense même plus. Il fait alors demi-tour et se dirige vers sa voiture. Je l’arrête en lui disant qu’il ne peut pas conduire dans son état et l’invite, un peu de force, à venir dormir à la maison. Je l’installe dans la chambre d’ami, enfin plus exactement il s’effondre sur le lit de la chambre d’ami m’entraînant avec lui. Je réussis à me redresser non sans mal, je ne suis pas beaucoup plus frais que lui, et dans l’effort mon peignoir s’ouvre, je le referme rapidement, il n’a rien remarqué, il dort déjà. Je me précipite dans la salle pour ranger les affaires d’Anne-Laure dans les cartons et les ramener dans le garage. Finalement j’éteins la télé et je vais me coucher.

Je me réveille tard et Pierre est déjà parti. Je me prépare un café bien corsé et remarque qu’il m’a laissé un mot et je parcours avant de recracher mon café en lisant la dernière ligne :
« Salut Stéphane,

Merci de m’avoir gardé hier soir, je ne me souviens même pas comment je suis arrivé chez toi.
Si tu veux, tu peux passer prendre un verre pour la nouvelle année vendredi soir. Promis je serai sage.
Je serai en congés demain et après-demain donc à vendredi.

Pierre
PS. Tu peux garder les affaire d’Anne-Laure, elles te vont très bien. »

Je suis mortifié, merde ! De quoi j’ai l’air ? Je suis un mec seul qui noie son chagrin dans l’alcool et se travestit ? Je n’oserai plus jamais le croiser et s’il en parle autour de lui ? Deux choix, soit je l’appelle pour lui expliquer que c’est un malentendu, soit je fais comme si de rien n’était en espérant que ça en reste là. Ou alors… Je le prends à contre pied et je vais le voir habillé comme hier soir ? Non, trop extrême et compliqué, comment aller jusque chez lui dans cette tenue sans me faire remarquer ? Merde ! Je ne sais pas quoi faire. À ce moment je reçois un SMS de Pierre : « Si tu veux tu peux venir avec pour me montrer comme elles te vont ;-) ». Remerde ! Cela étant, c’est un peu ma troisième option sans le contre pied du coup. Sauf si je joue le jeu à fond. Je vais le prendre à son propre piège. Je lui réponds que je passerai pour l’apéro vendredi soir.

Il faut donc que je me prépare, j’ai les vêtements, il faut que je m’occupe de mes jambes et de ma tête. Il va me falloir du temps alors je pose des congés pour jeudi et vendredi et ma lance dans mes préparatifs. Pour l’épilation des jambes je recherche un institut à Lyon et en trouve un pour homme. Je m’aperçois que l’on peut tout épiler alors j’opte pour la totale, dos, torse, aisselles, bras, jambes et maillot. Rendez-vous est pris pour vendredi matin, il a fallu batailler car il y en a pour plusieurs heures m’ont-ils dit. Pour la tête j’ai réussi à trouver un rendez-vous vendredi après-midi avec un perruquier. Pour le reste de la tête, il y a du maquillage dans les cartons, j’ai vu pour ex faire, avec quelques tuto en plus ça devrait le faire. Mon plan étant au point, je pars courir, ça me fera le plus grand bien pour évacuer le stress et les excès d’hier.

Vendredi en fin d’après-midi je suis de retour chez moi. J’ai une peau de bébé, c’est super agréable. J’avais peur d’avoir mal mais ça c’est bien passé et tous les soins me font une peau toute douce. J’ai choisi une perruque châtain clair, ondulée qui couvre les épaules. Je vais préparer mon sac : tailleur, chemisier, escarpins, collant. Je m’aperçois que je ne peux pas rester en boxer sous le collant, je fouille donc dans la lingerie et trouve un corset gris perle et blanc avec jarretelles et le tanga assorti. Il me faut alors des bas que je trouve également dans le même carton. Quelques bijoux et du parfum que je trouve dans le dernier carton et je suis prêt.

Arrivé chez Pierre, il m’accueille avec un grand sourire et nous nous faisons une bise. Il me remercie d’avoir accepté sa proposition et me demande si je souhaite me changer tout de suite. Je réponds par l’affirmative et il me conduit dans sa chambre qui dispose d’une salle de bain attenante. Je lui indique que je vais en avoir pour un petit moment avant de fermer la porte. Je me déshabille rapidement, je n’en reviens toujours pas de cette peau toute douce. Je passe la guépière, en la serrant bien elle accentue ma taille, j’enfile le tanga puis les bas. Galère pour les accrocher aux jarretelles, j’aurais dû m’entraîner. Je passe le chemisier blanc puis la jupe en tweed et enfin la veste. Je m’admire dans le miroir, j’adore ce que je vois, sans les poils mes jambes paraissent plus fine, plus longue. La jupe moule parfaitement mes fesses et la guêpière pourrait faire croire que j’ai une petite poitrine. Je positionne la perruque, la fixe comme me l’a indiqué le perruquier pour qu’elle ne bouge pas, puis me maquille et mets de faux ongles. Un collier, un bracelet, un peu de parfum derrière les oreilles et je suis prêt. L’effet est saisissant, je ne me reconnais pas. On voit que je ne suis pas une femme mais l’effet est quand même très surprenant.

Je sors de la chambre et rejoins le salon ou Pierre m’attend. Lorsqu’il m’aperçoit, il se lève les yeux grands ouverts et la bouche ouverte. « Tu es surprenant, je ne m’attendais pas à ça ! Tu es superbe !». Je le remercie et m’assois sur le canapé, je croise les jambes et le regarde. Il ne m’a pas quitté des yeux. Je commence a être mal à l’aise et je lui demande s’il compte nous servir à boire ? Il balbutie que oui bien sûr, il nous sort deux verres à whisky qu’il remplit généreusement et dispose quelques amuses bouche sur la table basse. Après avoir trinqué à la nouvelle année nous discutons avec bonne humeur comme nous le ferions dans le train. J’en oublierais presque je suis en jupe si ce n’était son regard qui me parcourt sans relâche. Au cours de la discussion, il s’est rapproché petit à petit et à l’occasion d’un deuxième service il s’assoit très près de moi. Lorsqu’une de ses mains se pose sur ma cuisse, elle envoie des ondes électriques qui m’allument le ventre et me grillent les neurones. Il m’en reste suffisamment pour me rendre compte que ce n’est pas une bonne idée, avec la concupiscence que je vois dans son regard cela pourrait vite mal tourner et je ne peux pas l’imaginer. Je lui retire donc doucement la main en lui rappelant qu’il a promis d’être sage. Il acquiesce un peu déçu et nous reprenons nos discussions. Le temps passe et il va falloir que je rentre, il me demande juste une dernière faveur, danser un slow avec lui en tout bien tout honneur. Je suis surpris pas sa proposition mais j’accepte pour le remercier de son invitation même si elle est un peu étrange. Je me lève tandis qu’il met Still loving you de Scorpions. Nous nous faisons fasse et un peu maladroitement il me prend une main et pose l’autre sur ma hanche. Nous restons à distance raisonnable et il commence à danser en me guidant. Je me laisse faire et, pris par la musique, je me rapproche de lui, nos visages se rapprochent, sa main sur ma hanche fait une légère pression et je me blottis contre lui, dans le creux de son épaule. Il commence à me faire des bisous sur l’oreille et la joue tandis que sa main quitte doucement ma hanche pour atteindre le haut de mes fesses. Mon ventre papillonne tandis que ses bisous me lancent de douces décharges électriques dans tout le corps. Je prends conscience qu’il n’est pas indifférent lorsque je sens son sexe gonflé entre nous, le mien le rejoint dans l’instant et ils se frôlent, se frottent au rythme de la musique. Les paillons dans mon ventre son plus nombreux et virevoltent. Lorsque la musique se tait nous poursuivons un instant avant qu’il ne s’arrête mais je reste contre lui un moment, le temps de reprendre mes esprits.

Finalement je trouve la force de m’arracher à ses bras et la boule au ventre je lui annonce que je vais rentrer. Il s’approche alors de moi, me prend doucement le visage entre ses mains et il vient poser ses lèvres sur les miennes, lorsque je sens sa langue les caresser je les ouvre et accepte son baiser. Il est tendre et doux, sa langue trouve doucement la mienne et elle joue un moment tandis que je me colle à lui et l’agrippe comme un naufragé. Je ne saurais pas dire combien de temps cela a duré mais lorsqu’il a quitté ma bouche j’ai ressenti un grand vide. Il me regarde profondément et il me dit « Ok mais demain je t’invite à dîner. ». J’accepte du bout des lèvres et me sauve. Ce n’est qu’en arrivant à la maison que je me rends compte que je ne me suis pas changé. Holala, quelle soirée ! Qu’est-ce qui m’arrive ? Dois-je y mettre un terme?Je décide que non, c’était trop bon et trop agréable de se sentir désiré. Je n’ai même pas faim, je me démaquille, me déshabille et me couche.

Ce matin, j’apprécie à nouveau mon manque de pilosité, tout semble doux et chaque contact avec ma peau est une caresse. Je prends un déjeuner rapide et je pars courir, en jogging, je ne suis pas encore tout à fait prêt pour montrer mes jambes imberbes aux personnes que je connais. La course me fait du bien et la douche qui la suit plus encore. Un déjeuner sur le pouce et je m’occupe de mon aquarium, grand nettoyage aujourd’hui. Ce n’est que vers 17 heures que je repense à Pierre et à son invitation. Il va falloir que je commence à préparer mes affaires. Je vais me préparer à la maison en fait, si des voisins me voient ils pourront toujours croire que j’ai une copine. Je fouille dans les affaires d’Anne-Laure et déniche une petite robe noire avec des manches en dentelles, superbe, j’adore ! Je trouve également un manteau long bordeaux qui pourra la recouvrir lorsque je serai en extérieur. Pour la lingerie, j‘opte comme la veille pour un corset avec jarretelles. Il est en satin bordeaux et dentelles noires. Me doutant qu’il doit y avoir une culotte assortie, je fouille un peu et trouve un string coordonné, c’est un peu osé, mais j’ai très envie de l’essayer.

Nouvelle douche puis je teste le lait corporel parfumé La petite robe noire de Guerlain que j’ai trouvé dans le carton qui contient les bijoux. C’est très satisfaisant d’enduire mon corps imberbe de ce lait qui semble me donner une peau encore plus douce et dégage une douce fragrance. J’enfile le corset, le serre bien à la taille, puis le string et enfin je fixe les bas noirs. Je m’admire, l’ensemble me fait un cul magnifique qui invite à la caresse, je vais tomber amoureux de moi-même. Je passe la robe noire, elle est plus courte que ce à quoi je m’attendais mais elle me va bien et le corset donne un semblant de poitrine. Je fixe ma perruque, me maquille, pose mes faux ongles et je suis prêt. Encore un détail, je mets un collier en perles et le bracelet assorti. Il est déjà l’heure d’y aller, je n’ai pas vu le temps passé. J’enfile mon manteau et des escarpins noirs à talons plats et je m’admire, c’est parfait, j’ai mieux réussi le maquillage qui masque mes traits masculins. J’ai un début d’érection en me voyant ainsi, j’aimerais beaucoup faire l’amour avec une femme aussi sexy. Je m’arrache à ma contemplation et je vais rejoindre Pierre.

Lorsqu’il m’ouvre et me découvre, il me lance un « Tu es superbe ! » qui me fait un peu rougir. Il me donne un petit bisou qui suffit à me lancer dans ondes dans le corps puis, me prenant la main il me dit :
« Bien, allons y »
« Heu, on ne reste pas chez toi ? »
« Non, je nous ai réservé une table pour un dîner dansant. »
« Mais je ne peux pas sortir comme ça ! »
« Ne t’inquiète pas, tu ne seras sûrement pas le seul, c’est un endroit spécial et ça me ferait très plaisir de t’y emmener. »
« Non, vraiment, je ne me sens pas bien. »
« Écoute, on y va et si ça ne te plaît pas on rentre, je promets de ne pas insister ».

Je cède et nous voila partis pour Lyon. Sur le chemin je suis inquiet, autant jouer le jeu avec Pierre est sympa autant aller me montrer est stressant. En ai-je envie ? La réponse est non. Il essaye de me détendre dans la voiture et discute à tout va mais il n’y parvient pas. Une fois garés sur le parking du restaurant qui semble très chaleureux, je lui demande d’attendre pour voir un peu la clientèle. Nous voyons passer des groupes, des couples dont certains sont manifestement gays. Il me désigne un couple en me précisant que la femme est un travesti. Je me décide à aller voir de plus près, ne serait-ce que pour prendre un verre. Nous sommes chaleureusement accueillis et conduits à notre table. Aucun regard ne se braque sur moi, aucun sourire au coin des lèvres sur mon passage, je suis rassuré et nous installons à notre table. Je fais timidement le tour de la salle, tout le monde à l’aire de bien s’amuser et personne ne semble faire attention à nous. Une serveuse fort sympathique et très mignonne nous apporte du Champagne et des amuse-bouche ainsi que la carte. Pierre tente de maintenir la discussion mais je suis trop stressé pour lui répondre. Anxieux de devoir parler je lui demande de commander pour moi, de toute façon je n’ai pas faim, j’ai le ventre noué et le stress me fait trembler. Je lève la tête régulièrement mais personne ne semble nous prêter attention. Je réussis, sans trop trembler à prendre une gorgée de Champagne, je laisse une légère trace de rouge à lèvre sur le verre ce qui me rappelle d’autant plus ma situation et je ne peux retenir un frisson de stress. Je suis mal, j’ai froid, je tremble, je vais demander à Pierre de rentrer quand il pose sa main sur la mienne et la caresse doucement en me disant que tout va bien, que je n’ai pas à être inquiet, que je n’ai qu’à me détendre un peu et profiter de la soirée. La chaleur de sa main et le calme de sa voix me rassurent un peu. Je reprends un peu de Champagne et commence à me détendre tandis que sa main reste sur la mienne. A la fin de la seconde flûte je suis plus détendu et je commence à discuter avec lui.

Lorsque la charmante serveuse vient prendre notre commande, Pierre lui donne la liste de nos plats. Une fois partie je fais remarquer à Pierre qu’elle est bien mignonne et qu’en d’autres circonstances je l’aurais bien draguée un peu. Quand il me répond que la plus mignonne ici c’est moi, je me sens très mal à l’aise mais je sens que je rougis. Je suis sauvé par l’entrée qui nous est servie. Le repas se poursuit et je me détends, il me fait rire et il réussit à me convaincre de venir danser avec lui. Pas facile avec des talons même s’ils ne sont pas très hauts et plats. Les escarpins, ma robe qui m’enserrent un peu les cuisses et le string que je sens entre mes fesses me rappellent que je suis déguisée en femme et je m’adapte, je me laisse guider, il fait ça très bien. Je prends beaucoup de plaisir à la situation et c’est avec bonheur que je me blottis dans ses bras lors d’un slow et que j’accepte son baiser. La soirée se termine et, à regret, nous quittons l’établissement. En sortant la jolie serveuse nous souhaite une bonne fin de soirée avec un sourire entendu.

Arrivé chez lui il me propose un dernier verre et j’accepte. Il me propose un cognac et j’accepte également. Je m’installe dans le canapé et, une fois nous avoir servi, il m’y rejoint. Nous trinquons et je le remercie pour cette excellente soirée et il me remercie également d’avoir accepté son invitation. Nous en refaisons le fil en rigolant de certaines de mes maladresses. Au cours de la discussion sa main se pose sur ma cuisse et je l’y laisse tandis qu’il tente de faire le compte des fois où je lui ai écrasé un pied. Quand elle caresse doucement ma cuisse, passant du nylon de mon bas à ma robe, je la laisse faire tandis qu’une douce chaleur l’envahit et remonte dans mon ventre. Quand il se penche sur moi et que ses lèvres se posent sur les miennes, je le laisse faire. Quand sa langue pénètre ma bouche, je la laisse jouer avec la mienne. Je sens mon cœur s’emballer tandis que des papillons commencent à s’agiter dans mon ventre. Son baiser est doux et tendre, fermant les yeux je m’y abandonne. Sa main passe doucement sous ma robe et remonte sur mon bas jusqu’au haut de ma cuisse, un frisson me parcourt tandis que mon souffle s’accélère et que les papillons s’affolent. Il parcourt ma peau à la frontière du bas, il a les doigts doux et légers. Sa bouche n’a pas quitté la mienne tandis que nos langues se mélangent et dansent plus rapidement. Ses doigts trouvent une jarretelle et la remonte en traçant une ligne de feux sur ma cuisse. Gêné par ma robe, je remonte un peu les fesses pour la faire glisser, lui permettant de poursuivre sa progression. Arrivé au corset, il redescend doucement et frôle mon sexe que le string peine à contenir. Je soupire à cette caresse et je gémis lorsque ses doigts viennent s’y poser. Des décharges électrices me parcours le corps losrqu’il commence à le caresser au travers du tissu. Lorsque sa main franchit cette barrière et me caresse le sexe je gémis de plaisir. Il le caresse doucement et je sens mon basin onduler tandis que mon ventre est en feu. Sa bouche me quitte et je n’ai pas le temps de me rendre compte du vide qu’elle laisse car elle avale mon sexe tendu. Il avale mon gland et je gémis sous les ondes de plaisir que me procure sa bouche. Il fait de lents va-et-vient, il me masse avec sa langue. Il se déplace et se place a genoux entre mes jambes que j’écarte. Sa bouche lâche mon sexe et le parcours du bout de la langue, elle s’attarde sur l’intérieur de mes cuisses et remonte me tiller le gland du bout de la langue avant de m’avaler à nouveau. Il commence des va-et-vient plus rapides, sa main vient seconder sa bouche et je me cambre en gémissant tant les ondes sont violentes. Tout en continuant ses mouvements, il me prend par les hanches et m’attire à lui jusqu’à ce que mes fesses soient au bord du canapé. Je suis à moitié allongé, gémissant sous le plaisir du feu qui crépite dans mon bas ventre. Il me relève les jambes pliées et je n’ai pas mle temps de m’étonner de cette position car sa bouche quitte mon sexe, le parcours tandis qu’il écarte mon string et qu’il descend sur mes testicules, sur mon périnée qu’il masse du bout de la langue, intensifiant le feu dans mon bas ventre et me faisant frissonner. Il poursuit sa descente entre mes fesses et trouve mon anus qu’il titille doucement. Des ondes électriques me parcourent le corps m’arrachant un long gémissement. Je sens un doigt venir en renfort de sa langue et il me masse en appuyant doucement. Sa bouche remonte et me reprend en bouche. Ses va-et-vient sont plus profonds et rapides tandis que son doigt me masse de façon plus appuyée. Je ne peux m’empêcher d’onduler des hanches, allant à la rencontre de sa bouche et de son doigt. Lorsque celui-ci me pénètre je ressens un feu d’artifice dans mon bas ventre et je jouis dans sa bouche avec un cri de plaisir.

Me lâchant le sexe, il remonte vers ma bouche et m’embrasse doucement, me faisant partager le goût de mon plaisir. Je redescends doucement sur terre, il s’écarte, me regarde avec un grand sourire et me demande si ça va. Ho que oui ! Quel pied ! Jamais ne n’avais eu une telle fellation, j’en tremble encore. Lorsqu’il me prend dans ses bras je sens son sexe tendu contre moi et la magie explose. Que se passe-t-il, il vient de me mettre un doigt dans le cul, non ? Attend-il que je le suce aussi ? Je ne suis pas prêt pour ça. Ayant repris mes esprits je le lui dis. Il me répond qu’il comprend, que ce n’est pas grave. Gêné je me lève, me rajuste, me penche pour lui faire un bisou et lui souhaite une bonne nuit. Il ne me retient pas, il me souhaite une belle nuit en retour et me dit à bientôt.

De retour chez moi, je n’ai pas la force de me doucher, je me couche tel quel. Mes rêves sont hantés de sexe d’hommes, d’anus, de fellations et de sodomies. Je me réveille en sueur, mal à l’aise. Je me hâte vers la salle de bain pour une bonne douche, j’ai une sale tête, mon maquillage me barbouille le visage, ma perruque est décoiffée, ma robe froissée. Je me déshabille et prend une longue douche bien chaude. Je prends un petit déjeuner léger et pars courir, ça me fera le plus grand bien. Je cours 3 heures, me forçant à me concentrer sur ma course, sur mon rythme, sur mon souffle, sur mon parcours. De retour chez moi je vais mieux, je reprends une douche, m’habille met mes affaires de la veille à la machine et je finis le dimanche devant quelques bonnes séries.

Lundi matin, je redoute un peu de rencontrer Pierre, comment effacer les images et les sensations de notre soirée ? Il est là, nous nous faisons la bise et discutons comme si de rien n’était mais en arrivant il me demande si ça me dirait de venir manger chez lui ce soir. Je refuse sous prétexte d’avoir beaucoup de boulot en retard. Il paraît déçu mais il n’insiste pas et nous nous séparons en nous souhaitant une bonne journée. Dans la journée j’ai des remords, après tout, j’étais consentant, il ne m’a forcé à rien alors je lui envoie un SMS pour le prévenir que je viendrai ce soir. Il me répond qu’il en est très content. Oui mais que faire, y aller déguisé ou normalement ? Devons-nous mettre un terme à ce petit jeu ? Je décide que oui mais que j’irai déguisé très sagement. En rentrant, je choisis donc ma tenue, une jupe sous le genou en lin et un pull col roulé gris clair. Pour les dessous, je n’arrive pas à être sage et j’opte pour un ensemble en dentelle blanc : tanga, soutien-gorge et porte-jarretelles. Bas blancs, escarpins gris avec petits talons et bijoux fantaisies pour le reste. Je prends ma douche, coiffe ma perruque et me prépare. Une fois prêt je me regarde, je suis satisfait du résultat, mon maquillage est de plus en plus réussi et je ne suis à peu près sûr que l’on ne pourrait pas me reconnaître. Seul bémol, la jupe, bien que longe est moulante et me fait de trop belles fesses à mon goût. Bon ça ira, j’y vais, je suis déjà en retard.

Arrivé chez Pierre, nous nous faisons la bise et il me complimente sur ma tenue. Nous nous installons au salon et il me propose un verre le temps que le dîner finisse de cuire, j’accepte. J’ai choisi un fauteuil, il s’installe dans le canapé et nous discutons le temps de prendre notre verre. Le diner se passe superbement, il est très drôle et nous passons un très bon moment à refaire le monde, à parler de nos boulots, à nous moquer des uns et des autres. A la fin du repas, avant de rentrer chez moi je lui dis que je vais arrêter de me déguiser, que ce n’est pas sain, ni pour lui ni pour moi. Il me dit le regretter parce qu’il aime bien les deux moi. Il me demande si je veux bien lui faire un dernier câlin et j’accepte, grosse erreur. A peine dans ses bras je me sens bien, j’aime sentir sa force, j’aime ses mains qui me caressent le dos. J’aime ses lèvres et je recule la tête pour les trouver. Il m’embrasse doucement tandis que ces mains me caressent plus amplement, descendant jusqu’au haut des fesses. Son baiser se fait plus ardent et je colle à lui, je sens son sexe tendu entre nous tout comme il doit sentir le mien. Ses mains s’attardent sur mes fesses, les caresses, mon rythme cardiaque s’affole tandis que je commence à onduler contre lui au rythme de ses mains sur mon derrière. Dans un souffle il me demande si je veux que nous allions dans la chambre et je me perds en répondant oui. Nous reprenons notre position au piéd de son lit, son baiser est enflammé et ses mains sur mes fesses rythme le mouvement de nos hanches, nos deux sexes se frottant l’un l’autre. Il m’enlève mon pull, fait glisser ma jupe. Je lui enlève sa chemise et lui fait glisser son jean. Nous nous allongeons sur le lit tandis que nos mains parcourent nos corps. Il me fait mettre sur le ventre et vient sur moi, je sens son sexe sur mes fesses tandis qu’il me fait des bisous dans le cou qui me font frissonner. Il descend le long de mon dos, le bisouillant. Il atteint le bas du dos, à la frontière du tanga, il descend encore traverse la frontière de dentelle et me fait des bisous sur les fesses. Mon ventre se réchauffe, un feu y brûle tandis que des décharges provoqués par chacun des ses baisers me parcours le corps. Un doigt passe entre mes fesses, trouve mon anus protégé par la fine lanière du tanga et le caresse doucement. Je gémis de plaisir et écarte les jambes sans y réfléchir, comme une invitation à continuer. Ce qu’il fait. Quand son doigt passe la barrière je gémis de plus belle sous le plaisir de la caresse et cambre les reins. Alors il m’enlève le tanga et sa langue vient remplacer le doigt. Je me cambre encore d’avantage, et sa langue poursuit ses massages, se faisant plus dure, elle appui parfois jusqu’à ce que je la sente s’immiscer en moi. C’est trop bon, je frissonne et gémis tandis que le feu dans mon ventre s’embrase. Son doigt revient et après quelques caresses remplace sa langue, il joue à l’entrée avant de pousser plus loin. Ho ! Je grogne de plaisir tandis qu’il commence à bouger en moi. La pression s’accentue et je sens un nouveau doigt me pénétrer puis à aller et venir. Je gémis dans l’oreiller tandis que je sens mon bassin se tendre et accompagner leur rythme. Je le sens se redresser derrières moi. Tu veux faire l’amour me demande-t-il. Je réponds oui dans un râle et je sens ses doigts me quitter tandis que son sexe les remplace. Il force doucement, fait de légères pressions, je le sens bloqué je ne sais comment l’aider quand, dans une poussée plus forte, je le sens franchir la frontière. Je ressens immédiatement une vive douleur, comme s’il venait de m’enfoncer un pieu incandescent entre mes fesses. Je crie, j’essaye de le faire sortir mais il ne bouge pas « ça va passer » me dit-il en me caressant le dos et les fesses. Effectivement la douleur s’estompe, pour laisser place à une drôle de sensation. Il recule alors et se retire, haletant, ne voulant pas comprendre ce qui se passe, je reste en position et je sens un liquide entre mes fesses avant qu’il ne se représente. Il force un peu et entre sans douleur et c’est bon. Il commence à bouger et, par le lents va et vient il s’enfonce en moi. Je suis en train de me faire sodomiser et j’aime ça ! Je sens son bas ventre contre mes fesses, son sexe qui me remplit entièrement, moment de plénitude. Il m’attrape par les hanches et commence à aller et venir de toute sa longueur. Je gémis à chaque fois qu’il s’enfonce en moi et bientôt mes hanches bougent au rythme de ses poussées. Il accélère le rythme et mon corps se transforme en brasier de plaisir. Je gémis tandis que son bas ventre claque contre mes fesses et je cris quand d’une poussée profonde il s’enfonce et que je le sens jouir en moi dans un râle. J’explose ! Je tremble de te plaisir. J’ai un orgasme comme jamais.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
superbe

Bonjour, c'est une très beau texte que tu nous propose aujourd'hui. Tu écris bien même s'il reste quelques fautes d'orthographe suffisamment rares pour ne pas gêner la lecture. Le récit est clair, bien raconté. On sent bien comment le baiser créé par une bousculade à laissé percer des envies. La suite est parfaitement crédible car la tension monte lentement avec des avancées, des hésitations, des étapes de plus en plus sexy jusqu'au final très jouissif pour les copains et les lecteurs.
Pour la suite je verrais bien le retour a des hésitations; la peur d'être allés trop loin, celle de ne pas être prêt à assumer. Chacun tentant de se prouver qu'il est hétéro en draguant des filles dans le train,d'autant que l'un deux aimerait avoir des enfants. Mais avec les femmes ils ne retrouvent pas la plénitude qu'ils ont découverts entre hommes. Alors ils vont se retrouver progressivement...
Bises et bon courage pour écrire la suite que nous attendons rapidement. Rémi



Texte coquin : Et si le train transformait votre vie?
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Thma69

Et si le train transformait votre vie? - Récit érotique publié le 06-01-2025
Les aventures de Sandrine 4 - Récit érotique publié le 10-04-2024
Une enquête de l’agent Anna – Fuite de données (02) - Récit érotique publié le 08-04-2024
Frédéric vs Frédérique (05) - Récit érotique publié le 05-04-2024
Les aventures de Sandrine 3 - Récit érotique publié le 01-04-2024
Les aventures de Séverine (04) - Récit érotique publié le 31-03-2024
Frédéric vs Frédérique (04) - Récit érotique publié le 28-03-2024
Les aventures de Sandrine 2 - Récit érotique publié le 23-03-2024
Une enquête de l’agent Anna – Fuite de données (01) - Récit érotique publié le 19-03-2024
Les aventures de Séverine (03) - Récit érotique publié le 18-03-2024