ET TOUJOURS EN ÉTÉ 01 PRÉSENTATIONS
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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ET TOUJOURS EN ÉTÉ 01 PRÉSENTATIONS
ET TOUJOURS EN ÉTÉ 01PRÉSENTATIONS
C'était un peu comme dans le Sud, on pouvait y vivre plus d'un million d'années … Et toujours en été ! C'était comme dans un rêve, pour les maîtres bien sûr mais aussi pour ceux qui avait eu la chance de naître avec la bonne couleur de peau. Même ceux qui n'étaient pas riches. Pour les autres c'était tout autre chose …
J'avais de la chance, moi j'étais né de la bonne couleur, et en plus ma famille était riche. Nous avions des terres gigantesques et il fallait du monde pour s'en occuper, la travailler. Entre semer, surveiller la croissance des plantes, et les récoltes, trois récoltes par ans, il y avait de quoi s'occuper. Nous avions plus de six cent esclaves.
La famille se composait d'un peu plus de vingt personnes qui s'occupaient de superviser tout ça. Depuis plusieurs générations dans ma famille nous pratiquions une politique de tolérance et de clémence vis à vis de nos esclaves, ils étaient bien traités, soignés et logés dans de bonnes conditions, on leur accordait un jour de repos par semaine. Nos voisins se moquaient de nous, heureusement les voisins habitaient à des kilomètres de la maison … Mais l'idée n'était pas mauvaise, nous n'avions pas de problème de violence, de révoltes, de sabotage ou de désertion …
Le peu qu'on perdait par les quolibets, on le gagnait en frais de garde et de surveillance. Malgré tout, et même si nos travailleurs n'avait pas l'air malheureux ils n'étaient pas libre, mais sommes toutes, c'était normal !
La maison était immense, blanche et toute en fenêtre. Je veux dire par là qu'il y avait des ouvertures partout. Des portes fenêtres tout autour de la maison au rez chaussée, un grand balcon pour chaque chambre au premier et au second étage. Au rez de chaussée il y avait une immense terrasse avec pergola sur le côté droit de la maison, un jardin arboré et fleuri tout autour de la maison, les écuries plus loin sur le côté gauche et encore un peu plus loin, plusieurs bâtiments pour les ouvriers. Ces bâtiments eux aussi étaient bien entretenus, on les voyait quand on approchait de la maison par le chemin principal, et ma famille voulait que la propriété soit belle à voir sous tous les angles.
En contrebas de la terrasse à quelque centaines de mètres, il y avait la rivière, il lui arrivait d'être en crue pendant la saison des pluies, c'est alors toute le champ qui était en forme de cuvette qui se remplissait d'eau, on sortait les barques on s'amusait comme des fous. Je dis on, je parle de mon cousin germain Samuel. Au fait moi c'est Jonathan ! Nos parents bien sûr ne voulait pas qu'on s'éloigne pendant ces périodes de pluies.
Il pleuvait mais il faisait toujours chaud et on se baignait joyeusement en criant fort. Ensuite on se précipitait tout nu vers la maison, on arrivait couvert de boue et il y avait cette servante, Mamata, qui nous courait après avec de grandes serviettes dans les bras. Elle était terriblement gentille avec nous, même si elle avait le privilège extraordinaire de pouvoir nous gronder. Elle n'était pas, comme nous, de la race des maîtres.
Pendant qu'elle en attrapait un, l'autre se sauvait avec sa serviette sur le dos, elle lui courait après et c'est le premier qui disparaissait à son tour. On se réfugiait au grenier, on se cachait, on rigolait puis on ne faisait plus aucun bruit. Pour finir on s'amusait de l'entendre nous chercher, nous appeler. Quand elle s'éloignait on riait de nouveau, et c'est là que j'ai eu mes premiers émois.
Tout jeune, enfant, je voyais régulièrement le corps nu de mon cousin. Plus tard, rien ne changeait, et quand nous arrivions à l'âge des premiers plaisirs solitaires, les nôtres n'étaient pas toujours solitaires. On organisait des concours de branlettes, et en grandissant on en changeait les règles et chacun masturbait l'autre.
Nous étions devenus de beaux jeunes hommes, sans avoir encore atteint l'âge d'homme. Nos serviteurs nous appelaient '' Monsieur '' ainsi que les gens que nous pouvions croiser à la ville, le dimanche quand nous allions à la messe.
Ce jour là il faisait chaud, il faisait très chaud même et humide. On transpirait et pourtant notre sueur ne nous rafraîchissait pas. La saison de la pluie était terminée. Je dis la pluie, au singulier, parce que même si cette saison dure plusieurs semaines on a l'impression qu'il ne pleut qu'une seule fois et que cette pluie ne cesse pas une seconde pendant tout ce temps. L’atmosphère restait humide le sol dans les allées s'était transformé en boue, la rivière revenait lentement dans son lit, une barque au milieu d'un champ témoignait encore du dernier débordement.
La maison était vide, Tous le personnel était mobilisé pour remettre de l'ordre. Je m'étais réfugié au grenier, je regardait par la lucarne la propriété, et le paysage de nouveau verdoyant. J'étais seul et c'est sans malice que je glissais ma main dans mon pantalon, je bandais, je ne portais pas de sous vêtements et je me disais que si je ne faisais rien pour y remédier on pourrait facilement le voir sous mon pantalon en toile fine, il était large mais ce n'était que très moyennement discret.
J'ouvrais mon pantalon, et commençais à me masturber lentement, je ne me pressais pas, je ne risquais pas d'être surpris, si quelqu'un approchait il ferait obligatoirement du bruit. J'étais détendu, je glissais ma main sur mon ventre puis la descendais jusqu'à ma queue qui se redressait fièrement maintenant, j'avais ouvert mon pantalon qui ne tenait plus en place que par la ceinture. Je crachais dans ma main et refermais ma main sur mon gland, je la refermais fermement et massais avec force ma queue, je frissonnais et gémissais de plaisir.
Je me calmais rapidement, je n'avais pas envie de jouir trop vite. Je ne m'arrêtais pas pour autant et respirait fort. C'est alors que très fort j'entendais à mon oreille .
… : Mais qu'est-ce que tu fabrique là toi ?
Je sursautais, je poussais un cris, mon cœur s'arrêtait entre mes cotes. Puis je reprenais mon souffle … C'était Samuel mon cousin. Il était plié de rire, entre nous pas de gêne, nous avons si souvent joué ensemble. Je me retournais vers lui, il avait son pantalon sur les cheville, il bandait ferme, il était lui aussi venu ici, et y faisait la même chose que moi.
Moi : C'est malin, mais tu veux me tuer ?
Il ne répondait pas mais me regardait avec un léger sourire. De la main il attrapait ma queue et me la caressait avec douceur, je le laissais faire en lui caressant l'avant bras. Nos visages se rapprochaient, son visage se penchait vers le mien, mon visage s'approchait du sien, nos fronts se touchaient, nos nez se frôlaient, nos joues se caressaient, nos lèvres finissaient par se retrouver et quand nos langues partageaient cette infinie douceur humide, mon cœur battait fort et on se prenait dans les bras.
On se serrait fermement l'un contre l'autre. Je le tenais par les épaules il me caressait les fesses au moment ou mon pantalon tombait sur le sol. Nos queues aussi se retrouvaient l'une contre l'autre et je sentais cette tension infernale et tellement agréable.
C'était nouveau, on s'était bien un peu bécoté, on s'était souvent touché, on s'était régulièrement masturbé l'un l'autre mais cette étreinte, cette force pleine de douceur qui nous réunissait ce jour là, c'était la première fois. Nous n'avions jamais partagé une telle étreinte, et rien ne semblait vouloir nous dire d'arrêter.
Je glissais ma main sous sa chemise qui rapidement se retrouvait sur le sol. J'admirais le corps ferme et musclé de mon cousin, il était bronzé, il n'avait presque pas de poils, mais ça je le savais déjà, je l'avais vu si souvent nu. C'était la première fois que je le regardais avec autant de désir. Je bandais encore plus fort, tellement passionné par ce que je voyais, par ce que je touchais que je n'ai pas remarqué tout de suite que ma chemise était également sur le sol.
Je le couvrais de baisers, ils me les rendait tous et plus encore. Je lui caressais la queue, il me masturbait. Je lui caressais le bras, la main avec laquelle il me branlait, il en faisait de même.
Moi : Et si …
Il me donnait un baiser, me caressait le torse.
Lui : Et si ? …
Je me rapprochais de lui, lui caressait le torse avec mes deux mains, les descendais vers ses hanches, un peu sur les fesses et lui donnait un baiser dans le cou.
Moi : Je …Lui : Oui …Moi : Il y a un truc …Lui : Oui …Moi : Qu'on n'a jamais fait …Lui : Oui … Moi : Tu crois …Lui : Oui …
Mon corps se retirait un peu en arrière, on ne se touchait plus, des yeux je caressais son corps depuis, ses yeux, son sourire, son menton, son torse, son nombril, puis mes yeux s'arrêtaient sur sa queue, il bandait ferme.
Sans rien dire je m'accroupissais, je regardais sa bite juste devant mon visage, je la caressait de la main et la prenait dans la bouche. Il y avait quelques hésitations au début, puis j'appuyais mon visage vers lui et sa queue entrait plus loin. Dans la gorge, au début ça fait bizarre, mais j'insistais et rapidement je comprenais qu'il fallait synchroniser la respiration pour y parvenir.
Il s'était crispé un peu au début puis s'était détendu. Il me caressait les cheveux, passait la main derrière ma tête.
Lui : C'est la première fois … Moi : Hummmm, hummm !
Lui : J'y avais souvent pensé tu sais.
Moi : Humm, humm .
Lui : Toi aussi tu y pensais depuis longtemps ?
Moi : Humm , humm.
Lui : Hooo ! C'est bon ! Tu peux pas savoir !
Moi : Humm, humm .
Si il y en a un qui se demande pourquoi je ne répondais rien d'autre que '' Humm , humm '' , je lui conseille de changer de lecture et de se faire une bande dessinée de Pimprenelle et Nicolas par exemple … Non mais c'est vrai quoi, là j'avais quelque chose dans la bouche !
Bon passons !
Samuel me caressais la tête avec plus de force, je sentais des mouvements de bassin, un réflexe, il avançais son bassin par moment. Il appuyait doucement sur le dos de ma tête …
Lui : Je peux ?
Moi : Humm, humm !
Il appuyait alors plus fort sur ma tête et me balançait un coup de bassin, son gland venait écraser ma glotte, j'étais surpris, je voulais me retirer mais il ne me lâchais pas tout de suite, il recommençait plusieurs fois de suite avant de me lâcher. Je me retirais …
Moi : Vas y doucement, tu as une grosse bite et tu vas m'étouffer.
Il se penchais alors vers moi et me donnais un baiser sur les lèvres. Il se relevais et je recommençais, lui aussi mais plus doucement. Au bout d'un long moment, il posait ses mains sur mes joues et écartait mon visage.
Lui : A moi, vas y relève toi.
C'était divin, je me demandais pourquoi on n'avait pas fait ça plus tôt, d'abord on sent la douceur de la langue puis on se sent enveloppé par les lèvres puis, bon par moment on sent un peu les dents mais sinon, la langue glisse sur toute la longueur de la queue en dessous, puis il agite la langue qui s'enroule autour du gland, c'est doux, c'est chaud, c'est humide, c'est génial.
On a échangé plusieurs fois les rôles, à chaque fois c'était encore meilleur. Rapidement on comprenait qu'il fallait faire attention aux dents, quand on sent les dents de l'autre c'est pas génial mais au final on se donnait beaucoup de plaisir.
Entièrement nus, l'un à côté de l'autre, on se masturbait, on se masturbait l'un l'autre on finissait pas juter en gémissant de plaisir, j'ai juté tellement fort que j'ai juté jusqu'à l'autre bout du grenier … Enfin, heu … Plus d'un mètre tout de même. Il a juté avec force, il a juté bruyamment, il a juté et j'ai tout pris dans la figure. Ça l'a fait rire sur le coup, moi pas trop puis, j'ai bien rigolé également.
On s'est essuyé, moi surtout, puis on s'est rhabillé. J'aime bien ces vêtements en toile légère. Ils sont amples, bien ajustés à la ceinture, la toile est douce, on peut apercevoir un truc se balancer et c'est agréable à voir, stimulant, ça nous garde en alerte car si on se met à bander c'est rapidement visible. Et puis ça permet d'évacuer la chaleur. J'ai essayé des sous vêtements mais quelle chaleur et avec la transpiration, je ne vous dis pas !
En descendant je passais me laver la figure, c'était plus sûr, avant de retrouver mon cousin sur la terrasse. Ma mère y était elle s'était fait servir quelques rafraîchissements. Dans un coin, un peu en retrait il y avait Mamata, elle était assise sur une chaise. C'est notre plus vieille servante, c'est mon grand père je crois qui l'avait achetée pour s'occuper des ses enfants, elle avait été la nounou de ma mère avant d'être la nôtre à mon cousin et à moi. Elle avait le privilège d'avoir une chaise et de pouvoir s'asseoir en notre présence.
Ma mère : Ah te voilà, mais ou était tu passé Jonathan ? Ton cousin te cherche depuis des heures, et me demandait si je ne t'avais pas vu ?
Moi : Je m'étais endormi …
Je regardais Samuel, il me répondait par un sourire complice...
Je m'installais et prenais moi aussi un rafraîchissement.
Ma mère discutait avec Mamata, elles parlaient de l'organisation de la maison, des repas, de la réception que nous allions donner, du nombre de convives … Enfin de tout un tas de truc qui ne nous intéressaient absolument pas !
Mamata est notre plus vieille servante, quand nous étions enfants elle avait le droit de nous gronder mais elle ne l'a toujours fait qu'avec tellement de tendresse et d'amour. Plus âgée, elle s'occupe maintenant de superviser le travail de la maison, elle est directement sous les ordres de ma mère. Et je ne vous dis pas mais il vaut mieux, pour nous, que nous lui montrions le plus grands respect !
Le soir tombait, la nuit tombe vite dans notre pays, et une brume de chaleur s'élevaient du sol encore imbibé par la pluie récente.
Ainsi passaient les jours, on aurait pu vivre plus d'un million d'années, toujours en été, même les jours de pluie !
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
C'était un peu comme dans le Sud, on pouvait y vivre plus d'un million d'années … Et toujours en été ! C'était comme dans un rêve, pour les maîtres bien sûr mais aussi pour ceux qui avait eu la chance de naître avec la bonne couleur de peau. Même ceux qui n'étaient pas riches. Pour les autres c'était tout autre chose …
J'avais de la chance, moi j'étais né de la bonne couleur, et en plus ma famille était riche. Nous avions des terres gigantesques et il fallait du monde pour s'en occuper, la travailler. Entre semer, surveiller la croissance des plantes, et les récoltes, trois récoltes par ans, il y avait de quoi s'occuper. Nous avions plus de six cent esclaves.
La famille se composait d'un peu plus de vingt personnes qui s'occupaient de superviser tout ça. Depuis plusieurs générations dans ma famille nous pratiquions une politique de tolérance et de clémence vis à vis de nos esclaves, ils étaient bien traités, soignés et logés dans de bonnes conditions, on leur accordait un jour de repos par semaine. Nos voisins se moquaient de nous, heureusement les voisins habitaient à des kilomètres de la maison … Mais l'idée n'était pas mauvaise, nous n'avions pas de problème de violence, de révoltes, de sabotage ou de désertion …
Le peu qu'on perdait par les quolibets, on le gagnait en frais de garde et de surveillance. Malgré tout, et même si nos travailleurs n'avait pas l'air malheureux ils n'étaient pas libre, mais sommes toutes, c'était normal !
La maison était immense, blanche et toute en fenêtre. Je veux dire par là qu'il y avait des ouvertures partout. Des portes fenêtres tout autour de la maison au rez chaussée, un grand balcon pour chaque chambre au premier et au second étage. Au rez de chaussée il y avait une immense terrasse avec pergola sur le côté droit de la maison, un jardin arboré et fleuri tout autour de la maison, les écuries plus loin sur le côté gauche et encore un peu plus loin, plusieurs bâtiments pour les ouvriers. Ces bâtiments eux aussi étaient bien entretenus, on les voyait quand on approchait de la maison par le chemin principal, et ma famille voulait que la propriété soit belle à voir sous tous les angles.
En contrebas de la terrasse à quelque centaines de mètres, il y avait la rivière, il lui arrivait d'être en crue pendant la saison des pluies, c'est alors toute le champ qui était en forme de cuvette qui se remplissait d'eau, on sortait les barques on s'amusait comme des fous. Je dis on, je parle de mon cousin germain Samuel. Au fait moi c'est Jonathan ! Nos parents bien sûr ne voulait pas qu'on s'éloigne pendant ces périodes de pluies.
Il pleuvait mais il faisait toujours chaud et on se baignait joyeusement en criant fort. Ensuite on se précipitait tout nu vers la maison, on arrivait couvert de boue et il y avait cette servante, Mamata, qui nous courait après avec de grandes serviettes dans les bras. Elle était terriblement gentille avec nous, même si elle avait le privilège extraordinaire de pouvoir nous gronder. Elle n'était pas, comme nous, de la race des maîtres.
Pendant qu'elle en attrapait un, l'autre se sauvait avec sa serviette sur le dos, elle lui courait après et c'est le premier qui disparaissait à son tour. On se réfugiait au grenier, on se cachait, on rigolait puis on ne faisait plus aucun bruit. Pour finir on s'amusait de l'entendre nous chercher, nous appeler. Quand elle s'éloignait on riait de nouveau, et c'est là que j'ai eu mes premiers émois.
Tout jeune, enfant, je voyais régulièrement le corps nu de mon cousin. Plus tard, rien ne changeait, et quand nous arrivions à l'âge des premiers plaisirs solitaires, les nôtres n'étaient pas toujours solitaires. On organisait des concours de branlettes, et en grandissant on en changeait les règles et chacun masturbait l'autre.
Nous étions devenus de beaux jeunes hommes, sans avoir encore atteint l'âge d'homme. Nos serviteurs nous appelaient '' Monsieur '' ainsi que les gens que nous pouvions croiser à la ville, le dimanche quand nous allions à la messe.
Ce jour là il faisait chaud, il faisait très chaud même et humide. On transpirait et pourtant notre sueur ne nous rafraîchissait pas. La saison de la pluie était terminée. Je dis la pluie, au singulier, parce que même si cette saison dure plusieurs semaines on a l'impression qu'il ne pleut qu'une seule fois et que cette pluie ne cesse pas une seconde pendant tout ce temps. L’atmosphère restait humide le sol dans les allées s'était transformé en boue, la rivière revenait lentement dans son lit, une barque au milieu d'un champ témoignait encore du dernier débordement.
La maison était vide, Tous le personnel était mobilisé pour remettre de l'ordre. Je m'étais réfugié au grenier, je regardait par la lucarne la propriété, et le paysage de nouveau verdoyant. J'étais seul et c'est sans malice que je glissais ma main dans mon pantalon, je bandais, je ne portais pas de sous vêtements et je me disais que si je ne faisais rien pour y remédier on pourrait facilement le voir sous mon pantalon en toile fine, il était large mais ce n'était que très moyennement discret.
J'ouvrais mon pantalon, et commençais à me masturber lentement, je ne me pressais pas, je ne risquais pas d'être surpris, si quelqu'un approchait il ferait obligatoirement du bruit. J'étais détendu, je glissais ma main sur mon ventre puis la descendais jusqu'à ma queue qui se redressait fièrement maintenant, j'avais ouvert mon pantalon qui ne tenait plus en place que par la ceinture. Je crachais dans ma main et refermais ma main sur mon gland, je la refermais fermement et massais avec force ma queue, je frissonnais et gémissais de plaisir.
Je me calmais rapidement, je n'avais pas envie de jouir trop vite. Je ne m'arrêtais pas pour autant et respirait fort. C'est alors que très fort j'entendais à mon oreille .
… : Mais qu'est-ce que tu fabrique là toi ?
Je sursautais, je poussais un cris, mon cœur s'arrêtait entre mes cotes. Puis je reprenais mon souffle … C'était Samuel mon cousin. Il était plié de rire, entre nous pas de gêne, nous avons si souvent joué ensemble. Je me retournais vers lui, il avait son pantalon sur les cheville, il bandait ferme, il était lui aussi venu ici, et y faisait la même chose que moi.
Moi : C'est malin, mais tu veux me tuer ?
Il ne répondait pas mais me regardait avec un léger sourire. De la main il attrapait ma queue et me la caressait avec douceur, je le laissais faire en lui caressant l'avant bras. Nos visages se rapprochaient, son visage se penchait vers le mien, mon visage s'approchait du sien, nos fronts se touchaient, nos nez se frôlaient, nos joues se caressaient, nos lèvres finissaient par se retrouver et quand nos langues partageaient cette infinie douceur humide, mon cœur battait fort et on se prenait dans les bras.
On se serrait fermement l'un contre l'autre. Je le tenais par les épaules il me caressait les fesses au moment ou mon pantalon tombait sur le sol. Nos queues aussi se retrouvaient l'une contre l'autre et je sentais cette tension infernale et tellement agréable.
C'était nouveau, on s'était bien un peu bécoté, on s'était souvent touché, on s'était régulièrement masturbé l'un l'autre mais cette étreinte, cette force pleine de douceur qui nous réunissait ce jour là, c'était la première fois. Nous n'avions jamais partagé une telle étreinte, et rien ne semblait vouloir nous dire d'arrêter.
Je glissais ma main sous sa chemise qui rapidement se retrouvait sur le sol. J'admirais le corps ferme et musclé de mon cousin, il était bronzé, il n'avait presque pas de poils, mais ça je le savais déjà, je l'avais vu si souvent nu. C'était la première fois que je le regardais avec autant de désir. Je bandais encore plus fort, tellement passionné par ce que je voyais, par ce que je touchais que je n'ai pas remarqué tout de suite que ma chemise était également sur le sol.
Je le couvrais de baisers, ils me les rendait tous et plus encore. Je lui caressais la queue, il me masturbait. Je lui caressais le bras, la main avec laquelle il me branlait, il en faisait de même.
Moi : Et si …
Il me donnait un baiser, me caressait le torse.
Lui : Et si ? …
Je me rapprochais de lui, lui caressait le torse avec mes deux mains, les descendais vers ses hanches, un peu sur les fesses et lui donnait un baiser dans le cou.
Moi : Je …Lui : Oui …Moi : Il y a un truc …Lui : Oui …Moi : Qu'on n'a jamais fait …Lui : Oui … Moi : Tu crois …Lui : Oui …
Mon corps se retirait un peu en arrière, on ne se touchait plus, des yeux je caressais son corps depuis, ses yeux, son sourire, son menton, son torse, son nombril, puis mes yeux s'arrêtaient sur sa queue, il bandait ferme.
Sans rien dire je m'accroupissais, je regardais sa bite juste devant mon visage, je la caressait de la main et la prenait dans la bouche. Il y avait quelques hésitations au début, puis j'appuyais mon visage vers lui et sa queue entrait plus loin. Dans la gorge, au début ça fait bizarre, mais j'insistais et rapidement je comprenais qu'il fallait synchroniser la respiration pour y parvenir.
Il s'était crispé un peu au début puis s'était détendu. Il me caressait les cheveux, passait la main derrière ma tête.
Lui : C'est la première fois … Moi : Hummmm, hummm !
Lui : J'y avais souvent pensé tu sais.
Moi : Humm, humm .
Lui : Toi aussi tu y pensais depuis longtemps ?
Moi : Humm , humm.
Lui : Hooo ! C'est bon ! Tu peux pas savoir !
Moi : Humm, humm .
Si il y en a un qui se demande pourquoi je ne répondais rien d'autre que '' Humm , humm '' , je lui conseille de changer de lecture et de se faire une bande dessinée de Pimprenelle et Nicolas par exemple … Non mais c'est vrai quoi, là j'avais quelque chose dans la bouche !
Bon passons !
Samuel me caressais la tête avec plus de force, je sentais des mouvements de bassin, un réflexe, il avançais son bassin par moment. Il appuyait doucement sur le dos de ma tête …
Lui : Je peux ?
Moi : Humm, humm !
Il appuyait alors plus fort sur ma tête et me balançait un coup de bassin, son gland venait écraser ma glotte, j'étais surpris, je voulais me retirer mais il ne me lâchais pas tout de suite, il recommençait plusieurs fois de suite avant de me lâcher. Je me retirais …
Moi : Vas y doucement, tu as une grosse bite et tu vas m'étouffer.
Il se penchais alors vers moi et me donnais un baiser sur les lèvres. Il se relevais et je recommençais, lui aussi mais plus doucement. Au bout d'un long moment, il posait ses mains sur mes joues et écartait mon visage.
Lui : A moi, vas y relève toi.
C'était divin, je me demandais pourquoi on n'avait pas fait ça plus tôt, d'abord on sent la douceur de la langue puis on se sent enveloppé par les lèvres puis, bon par moment on sent un peu les dents mais sinon, la langue glisse sur toute la longueur de la queue en dessous, puis il agite la langue qui s'enroule autour du gland, c'est doux, c'est chaud, c'est humide, c'est génial.
On a échangé plusieurs fois les rôles, à chaque fois c'était encore meilleur. Rapidement on comprenait qu'il fallait faire attention aux dents, quand on sent les dents de l'autre c'est pas génial mais au final on se donnait beaucoup de plaisir.
Entièrement nus, l'un à côté de l'autre, on se masturbait, on se masturbait l'un l'autre on finissait pas juter en gémissant de plaisir, j'ai juté tellement fort que j'ai juté jusqu'à l'autre bout du grenier … Enfin, heu … Plus d'un mètre tout de même. Il a juté avec force, il a juté bruyamment, il a juté et j'ai tout pris dans la figure. Ça l'a fait rire sur le coup, moi pas trop puis, j'ai bien rigolé également.
On s'est essuyé, moi surtout, puis on s'est rhabillé. J'aime bien ces vêtements en toile légère. Ils sont amples, bien ajustés à la ceinture, la toile est douce, on peut apercevoir un truc se balancer et c'est agréable à voir, stimulant, ça nous garde en alerte car si on se met à bander c'est rapidement visible. Et puis ça permet d'évacuer la chaleur. J'ai essayé des sous vêtements mais quelle chaleur et avec la transpiration, je ne vous dis pas !
En descendant je passais me laver la figure, c'était plus sûr, avant de retrouver mon cousin sur la terrasse. Ma mère y était elle s'était fait servir quelques rafraîchissements. Dans un coin, un peu en retrait il y avait Mamata, elle était assise sur une chaise. C'est notre plus vieille servante, c'est mon grand père je crois qui l'avait achetée pour s'occuper des ses enfants, elle avait été la nounou de ma mère avant d'être la nôtre à mon cousin et à moi. Elle avait le privilège d'avoir une chaise et de pouvoir s'asseoir en notre présence.
Ma mère : Ah te voilà, mais ou était tu passé Jonathan ? Ton cousin te cherche depuis des heures, et me demandait si je ne t'avais pas vu ?
Moi : Je m'étais endormi …
Je regardais Samuel, il me répondait par un sourire complice...
Je m'installais et prenais moi aussi un rafraîchissement.
Ma mère discutait avec Mamata, elles parlaient de l'organisation de la maison, des repas, de la réception que nous allions donner, du nombre de convives … Enfin de tout un tas de truc qui ne nous intéressaient absolument pas !
Mamata est notre plus vieille servante, quand nous étions enfants elle avait le droit de nous gronder mais elle ne l'a toujours fait qu'avec tellement de tendresse et d'amour. Plus âgée, elle s'occupe maintenant de superviser le travail de la maison, elle est directement sous les ordres de ma mère. Et je ne vous dis pas mais il vaut mieux, pour nous, que nous lui montrions le plus grands respect !
Le soir tombait, la nuit tombe vite dans notre pays, et une brume de chaleur s'élevaient du sol encore imbibé par la pluie récente.
Ainsi passaient les jours, on aurait pu vivre plus d'un million d'années, toujours en été, même les jours de pluie !
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